Abominable : un garçonnet chrétien de 7 ans torturé et assassiné en Inde
Le 1 12 2013 Avec 2 Commentaires
Le dimanche 17 novembre, Anmol, un garçonnet chrétien de 7 ans, est parti en fin d’après-midi tout joyeux pour son cours d’instruction religieuse vers l’église de la Believers Church de Gospel for Asia dans le nord de l’Inde. Mais il n’est pas rentré chez lui le soir. Comme il avait souvent l’habitude de passer la soirée et la nuit du dimanche au domicile de parents de ses petits compagnons, les parents d’Anmol ne se sont pas inquiétés. Lundi matin, il n’était toujours pas rentré. Le père de l’enfant, Harish, un hindou, de basse caste, converti au christianisme en 2003, s’empressa d’aller signaler la disparition de son fils à la police. Dans la soirée, la police fut alertée de la découverte dans une mare du corps d’un enfant mort. C’était Anmol dont le corps portait les traces d’abominables tortures : son coup avait été découpé, ses orteils brisés, ses mains tailladées et brûlées, son visage portait aussi des marques de brûlures, sa bouche bâillonnée, son ventre avait été également brûlé par des tisons puis il fut noyé, encore vivant, dans une mare selon le légiste. Depuis la conversion de son père, la famille d’Anmol subissait une persécution constante. Les obsèques d’Anmol se sont déroulées mardi 19, en présence du pasteur local de Gospel for Asia et de deux cents fidèles. Le monstrueux assassin court toujours.

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Pauvre petit   maintenant il est avec Dieu.
 

J'espère que la police fera son travail et qu'on arrêtera les coupables.

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Inde : campagne « Justice pour le martyr Anmol » !
Le 4 12 2013 Avec 2 Commentaires
Les chrétiens se mobilisent pour que l’horrible mort du jeune Anmol soit un signe fort pour toute la société indienne afin qu’elle comprenne que les persécutions des minorités chrétiennes doivent cesser. L’Agence Fides nous apporte aujourd’hui d’abominables détails sur les conditions de la mort d’un gamin de sept ans… Comme il est dur de demander pardon à Dieu pour ses bourreaux…

Déférer à la justice les meurtriers d’Anugrag Gemethi, un enfant chrétien de 7 ans, également connu sous le nom d’Anmol, torturé et tué dans un village du Rajasthan, dans le nord-ouest de l’Inde, tel est le but d’une vaste campagne de mobilisation lancée en Inde par des organisations chrétiennes de différentes confessions. Selon la famille, le garçonnet a été tué par des extrémistes hindous afin d’envoyer un message transversal tant à sa famille qu’à la communauté chrétienne. Une note envoyée à Fides par le Catholic Secular Forum, l’une des associations promotrices, affirme que « il est véritablement choquant qu’un garçon de 7 ans n’ait pas été épargné par les fondamentalistes de l’hindustva. Ce qui est pire est que la police n’est pas en mesure d’identifier les meurtriers et de les présenter à la justice ». La campagne, intitulée « Justice pour le martyr Anmol » entend sensibiliser les responsables de l’Église et les institutions politiques et judiciaires jusqu’au plus hauts degrés. Elle réclame une punition sévère pour les meurtriers au nom de la légalité, la fin de la « persécution des chrétiens indiens » et un dédommagement pour la famille du garçonnet. Anugrag Gemethi a été torturé et tué dans le village de Gamidi, dans le district de Dungerpur de l’État du Rajasthan. Le corps du petit garçon a été retrouvé dans un lac le 18 novembre dernier après une journée d’intenses recherches. Son visage était mutilé, privé de ses yeux, du nez et des oreilles et était méconnaissable. Le cadavre portait des signes de brûlures sur l’abdomen, les orteils étaient coupés et des plaies profondes étaient présentes sur une main et un bras. Selon l’autopsie, la mort a eu lieu par noyade et d’autres blessures sont imputables à « des morsures d’animaux ». Cinq témoins à l’hôpital déclarent en revanche que des signes de torture étaient évidents sur le cadavre, signes qui ont été ignorés par le médecin. Le père de la victime, Harish Gemethi, a expliqué à la police que, « depuis des années, un certain nombre d’extrémistes hindous locaux menacent de me tuer et ont fait du tort à ma famille un nombre incalculable de fois ». L’homme a indiqué les noms des agresseurs, demandant aux enquêteurs de s’intéresser à eux mais jusqu’ici ses suggestions ont été ignorées. Dans le village se trouve une communauté chrétienne de 45 personnes, née en 2003. En septembre dernier, un groupe d’extrémistes hindous avait interrompu une rencontre de prière menaçant de mort les participants. Le pasteur protestant P.S. Jose, secrétaire de l’Église des croyants au Rajasthan, dénonce, dans une lettre aux institutions, « le grave retard de la police en ce qui concerne l’enquête », évoquant « de graves brutalités à l’égard des chrétiens » et demandant « justice pour une famille en deuil ».

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yacoub a écrit:

J'espère que la police fera son travail et qu'on arrêtera les coupables.

La police n’arrêtera les coupables que si elle est bien.........Arrosée!

Arlequin a écrit:

yacoub a écrit:

J'espère que la police fera son travail et qu'on arrêtera les coupables.

La police n’arrêtera les coupables que si elle est bien.........Arrosée!

Je ne le crois pas, il y a des policiers non corrompus.