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Sujet: La petite NDE/EMI du jour Lun 17 Fév 2014, 3:09 am
Rappel du premier message :
"Je me suis réveillé allongé sur mon lit d’hôpital, mais incapable de respirer. Chaque articulation me faisait souffrir atrocement. J’étais paniqué. J’ai eu la sensation que si seulement mes vêtements étaient enlevés, alors ma peau pourrait peut-être respirer à ma place. J’ai compris que j’avais un problème. Je ne trouvais pas le bouton pour appeler l’infirmière. J’ai pensé : « Je les ennuie et ils ont caché le bouton. Ils veulent que je meure. ». La panique augmentait, mes pensées étaient irrationnelles. J’ai dû me calmer moi-même et mettre en œuvre une certaine logique. Je me suis dit : « Je suis à l’hôpital, ils ont dû mettre le bouton quelque part, probablement tout près. Reste calme et regarde. ». Je l’ai découvert en haut à droite, enroulé autour du bat-flanc. Je me souviens d’une très grande douleur quand j’ai fini par l’atteindre et appuyer. L’infirmière est arrivée, me demandant ce que je voulais. Je lui ai répondu que j’étais paniqué, que je ne pouvais pas respirer.
Elle est entrée dans la chambre, me parlant d’une voix apaisante tandis qu’elle me prenait la tension. Elle était à 0/30, c’est ainsi qu’a commencé mon long voyage dans la mort imminente.
Dans les jours qui ont suivi, mon cœur s’est arrêté 4 fois… on a dit à ma famille que je n’allais très probablement pas m’en sortir. Cette période est floue pour moi, j’ai vécu deux EMI, mais j’ignore à quel moment elles se sont produites.
La première fois, j’ai traversé une lumière (c’est la seule manière dont je puisse le décrire), j’étais totalement imprégné d’amour inconditionnel. C’est l’expérience la plus merveilleuse que j’aie vécu. Un amour inconditionnel m’imprégnait et cela m’emplissait tellement !
J’ai ensuite passé ma vie en revue. Tout était orienté vers mes relations avec autrui. Pendant ce temps, j’ai éprouvé ce que les autres avaient ressenti dans leurs relations avec moi. J’ai senti leur amour ou leur souffrance vis-à-vis de choses que je leur avais faites ou dites. Leur douleur me faisait recroqueviller, je pensais : « Oooh, là j’aurais pu mieux faire. ». Mais la plupart du temps j’ai ressenti de l’amour, ce n’était donc pas trop mal. Durant ce processus, personne ne me jugeait. Je ne sentais aucune désapprobation de l’extérieur… seulement mes propres réactions à tout cela. Le sentiment d’amour inconditionnel qui m’imprégnait a persisté. Je me jugeais moi-même, par contre personne d’autre ne l’a fait lors de ce passage en revue.
On m’a ensuite demandé si je voulais revenir chez moi (c'est-à-dire là-bas) ou si je voulais repartir. Je leur ai dit que mes deux fils avaient besoin de moi et que je devais m’en retourner. Soudain, je fus à nouveau dans mon corps… sentant mes articulations brûlantes de douleur. Mais je ne me souviens pas réellement de ce qui se passait autour de moi à ce moment-là… seulement que j’avais mal. Toutefois je continuais à ressentir l’amour et j’ai pu me reposer.
Seconde expérience. Je me suis retrouvé dans une ville, on m’a dit qu’il s’agissait de la Cité de Dieu. Je me trouvais près d’une fontaine en compagnie d’un homme vêtu d’une longue robe de lin ceinte d’une corde nouée à la taille. Il m’a dit que je pouvais poser toutes les questions que je voulais, qu’il allait m’emmener en visite. J’avais une question très importante, j’ai en effet été éduqué à une époque où les catholiques disaient que le simple fait de fréquenter une autre Eglise chrétienne constituait un péché mortel, les luthériens déclarant pour leur part que ces mêmes catholiques allaient se retrouver en enfer parce qu’il y avait des statues dans leurs églises et qu’ils priaient les saints. Ma première question a été : « Quelle-est la bonne religion ? »
On m’a répondu : « Toutes le sont. Chaque religion est un chemin pour tenter d’atteindre le même endroit. ». On m’a montré une montagne sur laquelle chaque groupe religieux essayait d’atteindre le sommet, à quelque distance les uns des autres… mais chacun s’efforçait d’arriver au même endroit.
On m’a ensuite dit que les personnes choisissent de naître au sein de la religion ou du groupe qui va leur permettre d’assimiler les leçons qu’on les envoie apprendre. On m’a dit que la terre est une sorte de grande école, un endroit où l’on peut appliquer les leçons spirituelles apprises, se mettre à l’épreuve sous la pression afin de savoir si l’on peut effectivement « vivre » ce que l’on sait déjà devoir faire. Fondamentalement, la terre est l’endroit permettant de mettre en pratique et vivre de manière adéquate. On m’a précisé que certaines personnes viennent sur terre uniquement pour travailler une facette d’elles-mêmes, tandis que d’autres viennent travailler sur plusieurs aspects. Puis il y a celles qui viennent non seulement travailler sur leur propre nature, mais aussi pour aider le monde dans son ensemble.
Dans l’au-delà on ne subit pas la pression physique que constitue le fait d’avoir un corps. Ici sur terre, il faut nourrir, vêtir ce corps, lui fournir un abri contre les éléments. On est en permanence sous pression d’une façon ou d’une autre pour prendre des décisions qui ont une base spirituelle. Dans l’au-delà est enseigné ce que l’on est « censé faire », mais est-on capable de le VIVRE sous pression sur terre ? D’après ce que j’ai entendu et vu là-bas… dans l’au-delà… tout est question de relations, de prendre soin les uns des autres. On n’attend pas des gens la perfection… par contre on attend un apprentissage qui sera considéré comme une bonne progression.
Au cours d’une vie, toutes nos expériences, ont tendance à suivre un type de schéma, elles vont souvent recréer les même leçons mais d’une manière différente, dans des circonstances diverses. C’est ainsi que l’on se rend compte de ce que l’on est censé apprendre et expérimenter. En examinant ces schéma, certain thèmes deviennent clairs.
On m’a montré une bibliothèque… emplie de livres aux couvertures d’or qui représentent la vie de personnes sur terre, leur chemin de vie y est exposé, ce qu’elles espèrent atteindre au travers d’expériences essentielles. D’après ce qu’on m’a montré, les personnes exercent leur libre arbitre par rapport à la manière d’obtenir ces expériences essentielles prédéfinies. Elles peuvent emprunter un chemin tortueux d’expériences ou bien une route plus directe, mais il existe certains évènements prédéfinis qui se produiront quoi qu’il arrive. Chacun de ces évènements essentiels constitue un repère et les réactions qu’il suscite indiquent le niveau d’apprentissage, ce qu’il reste à faire ou apprendre.
Les troubles économiques que nous traversons actuellement constituent l’un de ces « évènements mondiaux » prédéfinis. Les personnes ont le choix de leurs réactions à ces évènements. D’après ce qu’on m’a montré… la voie spirituelle consiste à s’aider les uns les autres, assister ceux qui sont dans le besoin. Il s’agit de l’action aimante absolue. Mais on peut également faire le choix de se protéger davantage, d’être égocentrique… moins généreux, de placer sa propriété au centre de ses réactions aux évènements. C’est une façon matérialiste de voir les choses, agir comme si le monde matériel comptait davantage que le lien unissant toute l’humanité. Donc… quel choix va faire la majorité ? Cela reste à voir. En 1981, on m’a montré que ce temps allait venir, que les banques sont des empires de papier… érigés sur du papier et rien d’autre… conçus pour s’effondrer sous la pression. Comment les gens réagissent-ils à tout cela ? Il s’agit d’un évènement essentiel et il va en éprouver plus d’un. Vont-ils tendre la main et prendre soin les uns des autres, ou deviendront-ils plus égocentriques et protecteurs du matériel ? On a toujours le choix en la matière… les individus vont simplement prendre leur décision.
On m’a également montré d’autres endroits de la ville, là des âmes collaboraient avec des personnes sur terre… des scientifiques, des artistes et d’autres. Il existe toujours une impulsion là-bas pour « inciter » ceux qui sont sur terre à créer des choses bénéfiques pour l’humanité dans tous les domaines.
Il y avait tant d’autres choses aussi. Mais plus que tout, cet endroit était empli d’amour… l’amour de l’humanité, l’amour de chacun sur terre, de la terre elle-même. Les communications étaient transparentes là-bas… les pensées étaient partagées, tout comme on converse ici-bas. Les gens que j’ai vus travaillaient tous avec bonheur et dans une grande joie.
On m’a toutefois aussi montré un endroit bien plus sombre… Là les gens paraissaient ignorer qu’ils avaient quitté leur corps, se combattant sans cesse les uns les autres pour des choses matérielles. Ils se focalisaient sur les biens matériels, tous leurs actes étaient égocentriques là-bas. Mais au-dessus d’eux il y avait également une légion d’êtres en attente. Dès que quelqu’un levait les yeux et demandait l’aide de Dieu, il était entraîné vers un autre endroit, plus paisible, en harmonie avec Dieu et son amour. Mais dans cet endroit, beaucoup paraissaient perdus, ne levant jamais les yeux, ne demandant jamais d’aide.
La ville comportait de nombreux endroits différents, chacun orienté vers une nécessité différente. Il y avait un lieu de repos où les âmes pouvaient se remettre d’une vie traumatisante sur terre. Il y avait des lieux de travail où des âmes aidaient l’humanité et d’autres à grandir, à progresser davantage. Il y avait des bibliothèques, des théâtres, des écoles et aussi le Temple de Dieu.
On m’a emmené dans un grand hall. Face à moi se trouvaient des êtres de lumière pure. L’un d’eux était assis juste devant moi sur un fauteuil ou un trône. Ces êtres n’avaient pas forme humaine, ils ressemblaient plutôt à de l’énergie lumineuse pure. J’étais pétrifié de révérence. L’amour qui émanait d’eux, particulièrement de celui du centre, était écrasant. Je ne me sentais pas du tout leur égal, en revanche je ressentais un très, très grand honneur d’être là. L’entité du centre m’a étreint en me disant : « Tu as bien agi, Mon Enfant, je suis satisfait. ». Cette approbation et l’amour qui me traversait m’ont fait pleurer.
S’agissait-il de Dieu ? Etait-ce l’absolu ? Je l’ignore vraiment. Je sais seulement que je représentais et que je représente bien moins que cet être ou que ceux qui étaient près de lui. C’était toutefois tellement merveilleux d’obtenir cet amour. Au moment de repartir, je voulais seulement en être digne.
Que furent les fruits de ces expériences ? Qu’en ai-je retiré ?
Je vis ma vie dans l’instant, fasciné, appréciant toutes les expériences. J’aime vivre cette vie.
Je m’efforce toujours de mettre en pratique, pas seulement de dire ce qui est juste, mais de le vivre autant qu’il est possible.
Je ne crains pas la mort. Je ne suis toutefois pas impatient de quitter cette vie. Il me reste encore beaucoup à faire, la mort n’est toutefois pas quelque chose qui me fait peur. Je sais qu’un jour je retournerai « chez moi » (là-bas, pas ici).
Qu’est-ce qui est le plus important?
Je dirais que c’est la relation humaine, aimer et prendre soin les uns des autres. La religion a sa place, elle constitue un chemin vers davantage… mais il ne s’agit pas du tout de l’absolu. Les religions ne sont pas Dieu, seulement des chemins.
Mais il faut insister sur la règle d’or : aimez votre prochain comme vous-même, prenez soin les uns des autres à chaque fois que c’est possible. "
"www.nderf.org - EMI Jean R"
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Jeu 15 Mai 2014, 7:58 am
Arlitto a écrit:
Je crois aux paroles prononcées par le seigneur JESUS.
Tu as bien raison. C'est le plus grand Maître qui nous a été envoyé.
Le problème, ce n'est pas JESUS. Le problème, c'est la façon dont nous avons transcrit et répercuté le Message.
Pas de mauvaise volonté mais les mots sont limités pour décrire l'indescriptible.
Avec le temps, on a ajouté ceci ou retiré cela. Tu le sais très bien, tu le dénonces à longueur de journée.
Le Message de JESUS ? Une phrase. Incontournable. Aime le prochain comme toi-même et comme cela tu aimeras le Père. Le reste, tu peux l'oublier ...
Le croyant nie qu'il est Fils de Dieu. Comme c'est dommage ...
CHRISTOPHEG Co-Admin
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Jeu 15 Mai 2014, 8:07 pm
"Je me trouvais à la fête de fin d’année scolaire d’une copine. Elle avait une piscine, c’était une boum-piscine. Nous faisions un jeu sous l’eau consistant à tenir le plus longtemps sans respirer. En fait, je peux retenir ma respiration pendant environ 50 secondes, j’y suis allée la première.
J’ai plongé, la brosse de nettoyage se trouvait au fond, il me restait beaucoup de temps, j’ai donc tenté de soulever le balai hors de l’eau, mais le cordon est resté coincé dans l’évacuation et je n’ai pas pu me libérer. Ensuite, mes amies Shelby et Lizzie ont plongé pour voir si tout allait bien. En fait, Lizzie et moi connaissons le langage des signes et j’ai signé SOS.
Elles se sont rendus compte de la situation et ont essayé de m’aider. J’ai alors manqué d’air et j’ai perdu connaissance, tout est devenu noir. Lorsque j’ai repris conscience, j’étais hors de la piscine et tout le monde sautait à l’eau. Lorsqu’elles sont ressorties, Shelby et Lizzie portaient mon corps ! A ce moment là j’ai pris peur !
Ensuite Shelby a collé l’oreille sur ma bouche, elle a dit : « Elle ne respire pas ! », Sarah (dont c’était l’anniversaire) s’est mise à pleurer. Lizzie a dit « Appelez les urgences ! ». Sarah est entrée dans la maison puis est revenue dans la cour en disant : « Le téléphone ne marche pas ! ». Lizzie a alors répondu : « Va chez le voisin ! ». Shelby et Lizzie ont alors entamé la réanimation. A ce moment je me suis retournée et j’ai vu une lumière très, très brillante. Je me suis alors retrouvée dans ce qui semblait être un tunnel, mais d’une couleur très, très, très blanche !
Après que tout cela se soit terminé, j’ai fait les boutiques de peinture mais je n’ai pu trouver ce ton nulle part ! C’était une couleur blanche ! Tandis que je m’élevais dans cette chose, toute ma vie a défilé en un éclair ! Après, BOUM ! je me suis retrouvée face à une ville en or ! Voyez vous, je suis chrétienne et je crois en JESUS Christ, maintenant je sais qu’il existe car dans les Ecritures on dit que les rues du paradis sont d’un or tellement pur qu’on peut voir à travers ! effectivement on le peut ! mais je ne puis exprimer avec des mots à quel point c’est magnifique !
Au début, je faisais la queue derrière de nombreuses personnes, puis ce fut mon tour. Je me tenais devant un GRAND gars, dont je pense qu’il s’agissait d’un ange. Il tenait un GRAND livre, je pense que c’était le livre de vie de l’agneau. En effet, si vous laissez JESUS venir dans votre vie en le lui demandant, votre nom figure dans le livre de vie de l’agneau, rien ni personne ne peut l’en retirer. Cet ange m’a alors demandé mon nom, je le lui ai dit. Il l’a recherché et a dit : « Je suis désolé mais ce n’est pas ton heure. ». Cela m’a pour ainsi dire rendue furieuse et je lui ai répondu : « Pourquoi n’est-ce pas mon heure ?!?! Je suis prête à mourir ! Ma vie craint !! Mon meilleur ami est mort il y a trois ans !! Pourquoi n’est-ce pas mon heure ?!?! ».
Il s’est alors retourné comme si quelqu’un lui parlait, puis il s’est à nouveau tourné vers moi en disant : « Quelqu’un veut te parler. ». Il a indiqué le portail et la cité derrière celui-ci, cependant quelqu’un se trouvait là. Au début je ne voyais pas de qui il s’agissait, mais en m’approchant je suis restée sans voix, en effet c’était Jake, mon meilleur ami décédé dans un accident de voiture il y a cinq ans en août 2001.
Nous avions tous les deux sept ans, lorsque je l’ai vu, j’ai couru vers le portail aussi vite que je pouvais ! Lorsque je suis arrivée, nous nous sommes tendus les bras en pleurant. Il paraissait avoir mon âge, mais je savais qu’il s’agissait de lui, je me sens stupide en disant cela, mais il est devenu mignon depuis la dernière fois que je l’ai vu ! Hi hi hi ! Nous avons ensuite bavardé pendant un moment, au sujet d’évènements qui se sont produits, à propos de nous, puis l’ange a dit : « Il est temps pour toi de repartir. ». Je me suis donc tournée vers Jake et je lui ai dit : « Au revoir Jake. ». Il a répondu : « A bientôt. », j’ai répliqué « Je l’espère. ».
Je suis donc redescendue par le tunnel, voyant Jake devenir de plus en plus petit. J’étais de retour sur terre ! Shelby et Lizzie pratiquaient toujours la réanimation, mais Sarah est revenue dans la cour en disant : « Il n’y a personne ! nous avons fait TOUTE la rue et PERSONNE n’est là !!! ». Lizzie a demandé : « Comment est-ce possible ??? ». Sarah a répondu : « Je ne sais pas !! ».
C’est alors que deux infirmiers, venant de nulle part, sont entrés dans la cour avec un défibrillateur et un masque à oxygène, ils ont pris la suite ! Sarah leur a demandé : « Qui êtes-vous ??? ». Ils n’ont pas répondu, ils exécutaient seulement la réanimation sans rien dire à aucun moment !
Puis, selon mon décompte, ils m’ont appliqué le défibrillateur 18 fois, ils l’ont fait une fois encore, mais là je l’ai senti et cela ne faisait PAS du bien !! C’est comme lorsqu’on se pique avec une aiguille, mais PARTOUT SUR LE CORPS ! Ils l’ont refait, puis refait encore et j’ai recommencé à respirer. Je recrachais de l’eau, je n’arrivais pas à respirer, j’avais peur ! Sarah a dit que juste après que j’aie recommencé à respirer, les infirmiers ont décampé. Elle les a alors suivis.
Elle a déclaré avoir été si proche qu’elle aurait pu attraper leur chemise ! Ils ont refermé la porte derrière eux, mais comme Sarah était tellement près, elle a rouvert la porte immédiatement, pourtant ils avaient disparu !
Elle a regardé partout mais n’a pas pu les trouver. Nous nous sommes réunies pour en parler, nous avons toutes supposé qu’il s’agissait d’anges, nous avons pensé que personne n’allait nous croire, nous avons donc convenu de n’en parler à personne. Mais je n’oublierai jamais ce jour, je ne pense pas non plus que les autres l’oublieront."
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Arl Membre Actif
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Dim 18 Mai 2014, 7:27 am
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LE TESTAMENT DES DIEUX
ROMAN. Un Pasteur découvre le lourd secret de son épouse dans une lettre posthume. Suite à un accident survenu en 1971, Hannah a vécu une Expérience de Mort Imminente au cours de son coma. Transportée dans l'Au-delà, elle en est revenue avec une révélation à la fois effroyable et stupéfiante, qu'elle a gardée cachée pendant près de trente ans. Ebranlé dans ses convictions, le Pasteur Freeman se lance dans une quête de la vérité qui le conduira aux origines secrètes de l'humanité...
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CHRISTOPHEG Co-Admin
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Dim 18 Mai 2014, 8:18 pm
Pas nécessaire d'être en danger de mort physique pour vivre une NDE ...
"Je vivais une mauvaise période. J’avais rêvé d’aller à l’université de Queens à Belfast afin d’étudier l’informatique. J’ai reçu une lettre m’annonçant que j’avais échoué à l’admission car je ne satisfaisais pas aux critères. J’étais tellement furieux, que j’ai couru dans ma chambre et je m’y suis enfermé, ne laissant entrer ni ma mère ni mon père.
Je pleurais sans pouvoir me retenir lorsque, tout à coup, une magnifique lumière a pris forme devant moi. Elle passait d’une couleur à une autre, dans cette lumière j’ai pu distinguer l’ombre d’un être.
Soudain, je me suis retrouvé à côté de la lumière. J’ai regardé derrière moi, mon corps était allongé sur le lit, continuant à pleurer. J’ai pensé : « Ça alors ! Qu’est-ce qui se passe ? ». Subitement, de l’intérieur de cet être un immense tunnel s’est ouvert, c’était plus magnifique que les mots ne peuvent l’exprimer. Je ne peux décrire ce que je ressentais.
En le traversant, le sentiment d’amour et de paix que j’éprouvais était stupéfiant ! Je me sentais englouti dans la passion de l’amour qui semblait s’écouler de chaque recoin de ce tunnel et de cet être !
Nous avons atteint ce que j’appelle simplement « la Pièce Blanche ». Cette pièce ne semblait pas avoir de limites ! elle paraissait remplie de livres et de livres… de Grands Livres Rouges ! Devant nous est apparue une table sur laquelle se trouvait l’un de ces livres. La « Personne » près de moi s’est mise à parler, c’était comme de la musique à mon esprit. L’être n’a jamais parlé une seule fois en utilisant la bouche, il m’a simplement mis les mots dans la tête (« Super ! » ai-je pensé).
La pensée que j’ai eue, c’est qu’il allait me raconter ma vie et ce qui m’attendait. Il a ouvert le « livre ». Ce n’était pas un livre normal, cette chose m’a montré des images télévisées de ma vie, depuis la naissance jusqu’à ce jour là. J’en avais oublié beaucoup ! L’être me regardait avec tant d’amour que j’en avais envie de pleurer.
Une pensée est arrivée dans mon esprit : nous sommes tous liés, nous ne faisons qu’un, nous faisons partie d’un immense plan. Nous sommes tous reliés spirituellement. J’ai pensé : « Ça alors ! ». Il m’a ensuite dit que je devais repartir, car certaines personnes avaient besoin de moi.
Il m’a dit d’attendre la petite Pebbels, qu’il l’avait faite mienne avant que nous ne foulions cette terre, que nous y avions été placés le même jour. Il m’a dit qu’elle était mon âme sœur et qu’elle allait bientôt être près de moi. Il m’a également dit d’attendre quelques jours, j’allais recevoir une lettre de ceux qui m’avaient tant fait souffrir.
Tout à coup, je me suis à nouveau retrouvé dans le tunnel. Je ne voulais pas partir, je me sentais tellement en sécurité. Il n’y avait aucune forme de temps là-bas, seulement de l’amour pur.
12 jours après cette expérience, j’ai reçu une lettre de Queens, m’informant qu’une erreur avait été commise et que ce serait un honneur de m’avoir comme élève. Ensuite, après trois jours à l’université, j’ai rencontré une fille.
Devinez quoi… elle m’a dit que sa mère l’avait toujours appelée Pebbels et continuait de le faire. Elle m’a révélé que sa mère disait toujours que Dieu lui avait donné ce surnom afin que la bonne personne puisse la reconnaître. « Ça alors ! ». Je me sentais tellement chanceux et béni."
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CHRISTOPHEG Co-Admin
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Lun 19 Mai 2014, 7:43 pm
"J’avais 28 ans, j’étais célibataire et je vivais au Texas avec ma fille de six ans. J’étais très déprimée, je buvais beaucoup et je ne voyais pas de sens ni de but à ma vie. J’étais complètement perdue, j’avais oublié une expérience que j’avais eue à l’âge de trois ans. A cette époque, une boule de lumière blanche/dorée était venue dans ma chambre et avait communiqué avec moi.
Par télépathie, elle m’a dit que j’aurais quelque chose à faire vers la fin de ma vie. Je ne me souviens pas de ce qu’elle a dit que je devrais faire, mais je me rappelle avoir dit à la lumière : « C’est au delà de mes capacités, je ne pourrai jamais faire cela. ». La lumière a répondu : « Tu grandiras pour le faire. ». La présence dans la lumière était attentionnée, douce, chaleureuse, aimante, suprêmement intelligente et totalement bonne.
Je me suis donc retrouvée à 28 ans, complètement perdue, ayant oublié l’expérience de la lumière, mon ambition la plus élevée étant de mincir et de me marier avec un homme suffisamment riche afin de résoudre tous mes problèmes. Un jour, je suis revenue épuisée du travail, je me suis allongée sur le lit. J’étais d’humeur maussade et je me suis complètement détendue afin d’atteindre l’état d’esprit qui fait-disparaître-le-monde.
Je me suis presque immédiatement effondrée en moi-même, j’ai implosé. J’ai ressenti une sensation de vitesse comme sur un toboggan, un bruit de souffle, je suis tombée rapidement dans un tunnel de lumière bleue satinée. Au bout du tunnel il y avait une clairière au milieu de laquelle se trouvait une « poche bleue ». Cette poche était charnelle et semblable à la poche contenant un bébé. Une poche des eaux. Son apparence était organique et vaguement en forme de poire avec une ouverture en haut. J’ai flotté vers le haut de la poche, une fois arrivée là, des « connaissances » ont commencé à jaillir de la poche.
Par « connaissances », je veux dire le savoir complet en quatre dimensions d’un concept ou d’une idée, sans son enveloppe de mots. N’avez-vous jamais entendu quelque chose une centaine de fois, puis un jour vous avez « su » ce que cela signifiait ? Il est très difficile de décrire mon expérience en mots parce qu’elle était pré-verbale. En tout cas, les « connaissances » fusaient du haut de la poche avec le débit et la rapidité du pop corn dans une casserole. J’ai essayé d’en saisir afin de pouvoir les ramener avec moi et de les mettre en mots pour m’en souvenir.
Mais elles étaient trop nombreuses et arrivaient trop vite pour qu’on puisse les retenir. Je « savais » que ce que j’avais trouvé était la somme totale de toutes les « connaissances » ou sagesses de tous les hommes à toutes les époques : passées, présentes et à venir. Toute sagesse vient de ce fond de connaissance collective et tout ce que nous apprenons va dans ce fond pour l’usage de tous.
J’ai quitté la poche bleue et je me suis immédiatement retrouvée haut en dessus de la terre. Je pouvais regarder en bas et voir la courbure de la terre, ses couleurs, la forme de ses eaux et des continents. Mais je n’étais pas seulement au dessus de l’espace, j’étais aussi au dessus du temps. Je pouvais voir le mouvement des peuples et les idées qui avaient façonné l’histoire et avaient été façonnées par elle.
A chaque époque de l’histoire, j’ai vécu la « sensation » complète de cette période, incluant sa musique, son architecture, ses modes vestimentaires, ses pensées politiques et sa littérature. C’était comme une grande marche de l’homme dans les différentes époques avec différentes visions du monde, le tout fonctionnant simultanément. C’était comme soulever le capot d’une machinerie gigantesque et observer tous les rouages, les engrenages et les poulies fonctionnant ensemble. En surface on ne voit rien de tout cela, mais en enlevant le capot, on peut alors le voir.
Ma vision a enlevé ce capot. J’ai « su » que nous sommes tous liés les uns aux autres, comme des alpinistes encordés à la taille. Quand l’un tombe, il entraîne les autres. Quand on monte, on aide les autres à monter. Nous sommes impliqués ensemble. J’ai « su » que l’espace vide que l’on observe entre nous, n’est en fait pas vide. Nous sommes comme des agates dans une vitre. On ne voit pas la vitre, on voit les billes. Mais la vitre maintient les agates ensemble. Nous sommes maintenus ensemble par une substance invisible qui est autour de nous et entre nous. Elle nous est invisible, mais elle est réelle. J’ai vu que la vie sur cette planète n’est pas le fruit du hasard, il y a un plan gigantesque.
Ce plan, cependant, est à une échelle qui nous est incompréhensible. Nos intellects sont trop finis pour le saisir.
J’ai ensuite changé de point de vue en retournant dans cette belle lumière bleue. Je suis allée dans l’image, de l’avant droit avec un léger angle vers le centre. Devant moi se trouvait un groupe d’ « essences » de personnes. Si l’on raffine un champ de fleurs en une seule goutte de parfum, on obtient l’essence des fleurs. Ces essences de personnes étaient comme des gouttes dans un seau d’eau, elles étaient individuelles mais collectives.
Elles étaient regroupées ensemble dans une forme triangulaire, tout comme la disposition des quilles de bowling, avec le sommet du triangle dirigé vers moi. Il y avait une essence qui se tenait légèrement en avant des autres. J’ai eu le sentiment qu’elle parlait pour les autres mais qu’elle n’avait pas autorité sur elles. En m’approchant d’elles, j’ai immédiatement pris conscience que le groupe me connaissait mieux que je ne me connaîtrai jamais, qu’elles m’acceptaient totalement et qu’elles m’aimaient totalement. L’amour qui provenait d’elles m’a submergé par vagues et il était si pur et si fort que je pouvais à peine le supporter.
J’étais l’une d’entre elles et je l’avais toujours été. Elles le savaient et je le savais. Celle légèrement en avant communiquait avec moi par le cœur et l’esprit, elle m’a dit que je ne pouvais pas rester, je devais repartir. Je ressentais sa présence comme étant masculine, bien que je ne l’aie pas identifiée à une figure spirituelle connue. Je l’ai imploré de ne pas me renvoyer. Il m’a dit très fermement que j’avais quelque chose à faire, mais qu’ils seraient là pour moi et que je pourrai revenir vers eux quand j’aurai accompli ma tâche.
J’ai été immédiatement renvoyée et je me suis levée du lit avec une profonde colère car j’étais de retour ici. Pendant des semaines, j’ai été en colère d’avoir dû revenir, mais ensuite, j’ai entrepris de faire ce que j’étais censée accomplir ici. Cette expérience à changé ma vie et en conséquence, j’ai apporté à mon existence de nombreuses modifications positives. J’ai abandonné certains mauvais comportements et je me suis consacrée à une recherche spirituelle qui m’a entraînée dans toutes sortes d’endroits riches et intéressants."
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ZionRock .
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Lun 19 Mai 2014, 11:04 pm
CHRISTOPHEG a écrit:
Pas nécessaire d'être en danger de mort physique pour vivre une NDE ... ...........................
C'EST CLAIR ! Ces expérienceurs qui prétendent avoir vu la mort au cours d'une NDE ne sont que des menteurs!
CHRISTOPHEG Co-Admin
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Lun 19 Mai 2014, 11:06 pm
ZionRock a écrit:
CHRISTOPHEG a écrit:
Pas nécessaire d'être en danger de mort physique pour vivre une NDE ... ...........................
C'EST CLAIR ! Ces expérienceurs qui prétendent avoir vu la mort au cours d'une NDE ne sont que des menteurs!
Ou plutôt, la "mort" n'est qu'un passage ...
CHRISTOPHEG Co-Admin
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mar 20 Mai 2014, 9:22 pm
Épuisé de fatigue, je me suis profondément endormi. C'était comme si on m'avait débranché, me vidant ainsi de toute mon énergie. J'ai lâché prise et me suis senti m'enfoncer dans le matelas, dans l'oreiller. Je me rappelle ma dernière pensée avant de sombrer.
Je vais avoir le sommeil le plus profond de toute ma vie.
Quelque part, au beau milieu de mon sommeil
Je ne sais plus si c'était une minute ou une heure plus tard - j'ai été réveillé par une sensation étrange. J'avais l'impression d'être littéralement aspiré hors du lit. Avez-vous déjà eu l'impression de tomber de votre lit ? Eh bien, c'était un peu comme cela, mais à l'envers. Je tombais vers le haut, pas vers le bas.
Voyons si je peux vous expliquer cela autrement. Imaginez une mouche immobile sur une table. Une personne arrive avec un tuyau d'aspirateur et réussit à le poser rapidement sur la mouche. Elle crie alors à une autre, " vas-y, enclenche-le ! " et l'autre personne branche l'aspirateur. Ce que ressentirait alors cette mouche est exactement ce que j'ai ressenti moi. J'étais allongé sur le ventre et j'ai eu l'impression d'être littéralement aspiré vers le haut en l'espace d'une seconde. J'en ai eu le souffle coupé.
J'ouvris aussitôt les yeux et fus stupéfait de découvrir que je flottais au-dessus de mon lit, le regard posé plus bas sur ce qui ressemblait à un gros tas d'argile sculpté et façonné d'une manière qui me ressemblait parfaitement. Mais ce n'était pas moi, me suis-je dit, puisque j'étais là-haut, en train de regarder en bas. De plus, cette forme familière qui gisait sur le lit était apparemment sans vie. Aucune énergie vitale.
C'est alors que j'ai eu ma première prise de conscience majeure, au cours de cette aventure.
Mon Dieu, je ne suis pas ce corps ! me suis-je dit. Je suis cela. CELA.
Je suis cette... entité, cette... énergie... qui OBSERVE actuellement ce corps.
Aussi élémentaire que cela puisse paraître aujourd'hui, à l'époque, ce fut pour moi une grande révélation. Elle eut un impact énorme sur moi, sans doute parce que je n'étais pas confronté à un concept ou à une théorie, mais je vivais quelque chose, très concrètement dans l'instant.
À peine avais-je assimilé cela que je sentis qu'on me retournait et que je me retrouvais maintenant face au plafond, avant de passer à travers et de sortir de la pièce.
Je me retrouvai aussitôt dans un lieu sombre qui ressemblait à un tunnel où je me sentis aussitôt tiré ou poussé à une vitesse effarante. Je n'éprouvais aucune peur, cependant, juste cette sensation de vitesse prodigieuse.
Devant moi, je distinguai peu après un minuscule point de lumière et je sus que c'était vers lui que je me dirigeais. Le point se fit de plus en plus gros jusqu'au moment où je me suis senti être expulsé de ce tunnel pour plonger dans la lumière.
Chose intéressante, j'étais dans cette lumière et pourtant c'était aussi comme si je me trouvais à l'extérieur et que je la regardais. Je me rappelle non sans émotion qu'il était pratiquement impossible de la contempler, tellement elle était belle.
Je ne sais pas comment vous expliquer de quelle manière une lumière peut être belle, puisque la lumière, c'est de la lumière, n'est-ce pas ? Sauf que celle-ci était magnifique. Peut-être tenait-ce au sentiment que cela éveillait en moi. Je ne sais pas. Je sais juste que sa beauté était au-delà de ce que je pouvais soutenir. Ce que je veux dire, c'est qu'elle était trop immense, trop glorieuse pour qu'une conscience humaine puisse la regarder. Je me sentais petit, embarrassé. Je me rappelle m'être dit...
Non, pas moi. Je ne suis pas digne d'être dans cette lumière. Je ne suis pas digne de contempler cela. Avec tout ce que j'ai fait, avec toutes les fois où j'ai failli aux autres et à moi-même, je n'en suis pas digne.
Puis, j'ai eu honte, car le fait de repenser à toutes ces choses me les faisait éprouver encore plus intensément. Alors, j'ai pleuré de honte et de culpabilité. Je tremblais de toutes mes larmes. Pourquoi n'avais-je pas été meilleur que cela ? Pourquoi avais-je fait le choix le moins bon, tant de fois ? J'étais profondément désolé. Plus encore que je ne l'avais jamais été. Puis, je me suis senti rempli - d'une seconde à l'autre - d'un sentiment que je ne saurais décrire. Chaque fois que je cherche mes mots, je n'en trouve aucun d'adéquat. Quand j'y pense maintenant, j'ai envie de dire que c'était comme si l'on m'avait donné la paix, la paix véritable, la paix totale, pour la toute première fois de ma vie. C'était comme si un doigt géant, mais doux, me relevait la tête par le menton. Et j'ai entendu ces mots résonner dans mon cœur : Tu es parfait tel que tu es. Tu es beau, au-delà de tout, et je t'aime sans condition. Tu es mon enfant et j'en suis très heureux.
Je me sentais bercé, accueilli : la lumière qui m'entourait me faisait flotter doucement en son centre. Toute tristesse me quitta aussitôt. Même les regrets disparurent. Je me sentais guéri, à nouveau complet. Mon âme débordait de gratitude et mon cœur explosait d'amour.
J'ai alors eu une seconde prise de conscience : on ne me pardonnera jamais rien de ce que je fais. Aussi triste que je sois quant à l'un de mes actes ou l'une de mes décisions, quels que soient même mes regrets, on ne me pardonnera pas. Car le pardon n'est pas nécessaire. Je suis un enfant de Dieu, un rejeton du Divin, et je ne peux nuire au Divin d'aucune manière, car il totalement inatteignable et impossible à blesser. Je serai toujours accepté dans le cœur et la maison de Dieu, je serai toujours autorisé à tirer des leçons de mes erreurs, et à devenir de plus en plus Qui Je Suis Vraiment, de quelque manière que je décide d'y parvenir, même si c'est en faisant du tort aux autres ou à moi-même. Car il est également impossible de nuire aux autres et à moi-même. Même si nous le croyons.
L'impact sur moi de cette révélation fut énorme, sans doute parce qu'il ne s'agissait pas seulement d'un concept ou d'une théorie, mais de quelque chose que je vivais, là, sur le moment.
Sitôt après cette prise de conscience, je me suis retrouvé dans une troisième réalité, rapidement entouré de millions... non, de centaines de millions de toutes petites particules d'énergie, je crois que c'est ainsi que je dois les décrire. Il y en avait partout. Devant moi, à ma gauche, derrière moi et à ma droite. On aurait dit de toutes petites cellules ou globules, chacun ayant sa forme et sa couleur propre.
Et quelles couleurs ! Mon Dieu, elles étaient d'une beauté extraordinaire, à vous couper le souffle. Il y avait là les plus bleus des bleus, les plus verts des verts et les plus rouges des rouges, et les combinaisons les plus magnifiques de teintes que j'eusse jamais vues. Et ce n'est pas peu dire, dans mon cas, puisque je suis daltonien...
Alors, c'était vraiment pour moi une vision spectaculaire.
Donc, ces cellules de couleur dansaient devant moi et tout autour de moi, formant une nappe scintillante de beauté qui recouvrai tout, qui était Tout.
J'ai su aussitôt que ce que je voyais était l'essence de toute vie. C'était la vie à l'état sous-sous-sous-moléculaire. Au niveau de ses particules les plus infimes. À la base. À son origine même. Et j'ai été témoin de quelque chose de fascinant.
Tandis que je regardais ces cellules de couleurs magnifiques danser et scintiller devant moi, j'ai remarqué qu'elles changeaient ! On aurait dit qu'elles clignotaient, qu'elles s'absorbaient en elles-mêmes pour réémerger ensuite, sous une forme et une couleur différente. Et, à mesure qu'elles changeaient de formes et de couleurs, les cellules qui les entouraient changeaient elles aussi les leurs, afin de s'y adapter et de les compléter. Puis, les cellules qui entouraient celles-ci faisaient de même, et ainsi de suite... et j'ai pris conscience qu'elles ne formaient toutes ensemble qu'un vaste puzzle qui changeait constamment, s'adaptait constamment, en constante interaction. J'observais là une mosaïque vibrante et puissante d'énergie pure.
Je fus pris d'un désir irrésistible de toucher ces particules d'une beauté indicible, pour ne faire plus qu'un avec elles. Je voulais me fondre en elles. Je désirais m'unir à elles. Je ne sais pas pourquoi. Je ressentais un appel intérieur, un désir intérieur au tréfonds de mon être.
J'ai tenté d'avancer, de m'en approcher, mais à chaque mouvement que je faisais, la mosaïque reculait. J'ai cru que je parviendrais à m'en approcher en douce, à faire semblant d'avancer puis, soudain, de faire un mouvement de côté. Mais cela n'a pas marché. Je n'arrivais pas à leurrer la matrice. Elle comprenait le moindre de mes mouvements. Elle allait même jusqu’à les prévoir.
Je n'arrivais tout simplement pas à m'en approcher et je me mis à gémir. La tristesse que faisait naître en moi ce rejet et ce déni était plus que je ne croyais pouvoir supporter. Puis, cette tristesse disparut, soudainement, au moment même où me vint ma troisième prise de conscience : si je ne parvenais pas à m'approcher d'avantage de cette énergie, c'était tout simplement parce que j'étais cette énergie-là ! Donc, quand j'avançais, elle avançait aussi. C'était évident. Je faisais déjà partie d'elle !
Toutes les choses ne forment en réalité qu'Une Seule Chose. Il n'existe vraiment qu'Une Chose seulement, et il n'est rien qui ne fasse partie de cette Chose-là.
Une fois encore, l'impact de cette révélation fut énorme, sans doute parce que ce n'était pas non plus un concept ou une théorie, c'était quelque chose que je vivais, là, maintenant.
Une fois encore, à peine avais-je compris cela, que l'on m'arrachait à cette réalité. Cette fois, je me suis retrouvé face à un livre énorme. Il avait l'air aussi grand que le plus grand livre que j'eusse jamais vu. Ou plutôt, non, deux fois plus grand. Trois fois plus grand. Il semblait avoir la taille d'une centaine d'annuaires téléphoniques de Manhattan collés ensemble. Et sur chaque page - sur chaque page - il était écrit en caractères minuscules de quoi remplir des milliers d'encyclopédies.
Tandis que je me tenais devant ce volume monumental, la voix que j'avais entendue lorsque j'étais enveloppé de lumière résonna de nouveau. Elle m'a dit de la façon la plus douce possible, presque avec indulgence, mais sans se moquer de moi le moins du monde : D'accord, Neale, d'accord. Toute ta vie durant, tu as cherché des réponses. Tu as vraiment cherché partout et ta quête était réelle, elle était sincère, tu désirais honnêtement trouver la vérité. Alors, ça y est. Voici les réponses.
À cet instant, les pages de ce livre se sont mises à défiler devant moi, comme si un pouce géant les feuilletait ou encore comme si un vent sacré les soufflait. Elles tournaient rapidement devant moi, tout le document se trouvant ainsi exposé, page par page, en l'espace d'une nanoseconde. Et pourtant, je fus en mesure d'en lire et d'en absorber le moindre mot sur chaque page.
Alors j'ai su. Je savais tout ce qu'il y a jamais eu à savoir autrefois, tout ce qu'il y a à savoir aujourd'hui et tout ce qu'il y aura à savoir à l'avenir. Je comprenais la cosmologie de l'univers et le secret de toute vie. J'en discernais la simplicité. L'extraordinaire, la magnifique simplicité.
L'impact de cette révélation fut énorme, sans doute parce qu'il ne s'agissait pas seulement d'un concept ou d'une théorie, c'était quelque chose que je vivais, là, maintenant.
Ce fut là ma quatrième prise de conscience. Et je me rappelle m'être dit, au moment d'arriver à la dernière page du livre, avant qu'il se referme... Bien sûr. C'est tout ce que j'ai dit. Simplement... Bien sûr.
Puis, je me suis réveillé. J'étais de retour dans mon corps, et celui-ci me paraissait plus lourd que jamais. J'avais l'impression que le moindre de mes doigts pesait une tonne. Je voulais tendre la main vers la table de nuit pour y prendre du papier et un stylo, afin de noter ce que je venais de vivre, pour m'en rappeler, pour me prouver que j'avais bien reçu tout cela. Mais je n'arrivais pas à bouger le bras. Je parvenais tout juste à cligner des yeux.
Puis, pour la dernière fois, j'ai entendu cette voix, ma Voix Spéciale, celle-là même qui m'était venue durant ce rêve, durant ce voyage, ce... peu importe ce que c'était. Et cette voix m'a dit : Ce n'est pas nécessaire. T'imagines-tu que tu vas oublier ce qui vient de t'arriver ? Pourtant tu ne peux pas le prouver et ce n'est pas nécessaire. On ne peut ni prouver, ni infirmer la vérité. Elle est, tout simplement.
Je me suis alors endormi.
EMI de NDW -
CHRISTOPHEG Co-Admin
Date d'inscription : 21/10/2013 Messages : 21899 Pays : BelgiqueR E L I G I O N : Trinitaire
Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mer 21 Mai 2014, 9:09 pm
"C’était fin juillet 1984, je me trouvais en train de camper en famille aux environs de Royan lorsqu’une nuit, vers une heure du matin, je me suis levée pour ma seconde fille âgée alors de trois ans. Elle me faisait lever toutes les nuits depuis sa naissance six ou sept fois par nuit et bien qu’habituée, j’étais épuisée nerveusement. Je me suis donc occupée d’elle puis je me suis recouchée prés de mon mari qui dormait.
Alors que je recherchais le sommeil en pensant à Dieu car j’étais dans un camping chrétien avec des réunions spirituelles et j’étais en quête de plus d’expériences, mais bien loin de me douter ce que j’allais vivre... car je ne savais même pas que l’on pouvait vivre celà !
J’étais donc allongée, tranquille, lorsque une sorte de "fourmillement puissant" a commencé a s’introduire dans mon corps par les pieds et doucement jusqu’à la tête. C’était comme une dantesque Puissance Electrique qui séparait tous les atomes de mon corps... une Force Incroyable et pourtant, je n’avais pas peur. J’ai choisi de Lui faire confiance. Là, je me suis sentie aspirée dans un grand tuyau, un tunnel où j’étais comme une feuille morte. A un moment, je me suis arrêtée au-dessus du camping, j’ai vu le ciel étoilé... puis j’ai continué à monter, attirée par une musique, des chants de fête, de victoire ! J’avais l’impression que l’on fêtait mon arrivée mais je ne voyais rien.
Puis je me suis trouvée dans une sorte de hall, une entrée avec une porte ouverte. J’ai passé la porte et je me suis trouvée derrière une Immense foule, des gens à perte de vue, sur une place gigantesque pleine de lumière. J’étais dans un coin du Ciel !...
Ces gens étaient tous habillés en blanc et tous tournés vers la même direction. Ils ne se sont absolument pas occupés de moi. Je crois qu’ils ne se sont même pas aperçus de ma présence ! tellement ils étaient absorbés !
Il y avait beaucoup de Musique... de la vraie Grande Musique !... Des chants magnifiques... Une harmonie parfaite ! J’étais ébahie par tant de beauté ! comme hynotisée !
Puis, je me suis demandée ce que tous ces gens regardaient ? ... C’est là que je L’ai vue ! ! ! ELLE m’a irradiée ! Depuis, je ne L’ai jamais oubliée ! J’y pense jour et nuit ! Elle continue d’illuminer tous les jours de ma vie !... et il y a 24 ans !
Il y avait comme une mer de cristal... et un trône où siégeait une Lumière Magnifique ! La Beauté et l’Amour de Celle-ci surpasse toutes choses içi-bas... Elle est indicible ! Elle est au-dessus de tous les levers tous les couchers de soleil ! ! ! Je ne cessais de la regarder ! et en plus, Elle ne me faisait pas mal aux yeux !
Elle m’a attirée à Elle ! ... et là j’ai TOUT trouvé ! et je me suis sentie tellement aimée... et enfin chez moi ! quels merveilleux moments... !
Puis j’ai été conduite en présence de JESUS-Christ que j’ai retrouvé comme un Grand Ami, un Frère, avec qui j’ai passé de merveilleux moments aussi... !
Cette Expérience a totalement changé ma foi. Avant, je croyais par intuition et à cause de tout ce qu’on m’avait enseigné, de ce qu’on m’avait dit. Depuis, je crois parce que je L’ai vue !... Elle, La Lumière Eternelle ! L’Alpha et L’Oméga... CELUI QUI EST TOUT ! Quand on LA voit, croyez-moi, Celà change Tout !
C’est la Plus belle Expérience qui m’a été donnée de vivre !"
EMI de Christiane
T. .
Date d'inscription : 12/02/2014 Messages : 561 Pays : FRANCER E L I G I O N : TOUTES
Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Ven 23 Mai 2014, 2:08 am
Bonjour christopheg ;
Un petit coucou en passant par ce site que j'aime et que je choisis comme boite .
Nous sommes tous sur cette terre réunis pour vous les enfants .
CHRISTOPHEG Co-Admin
Date d'inscription : 21/10/2013 Messages : 21899 Pays : BelgiqueR E L I G I O N : Trinitaire
Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Ven 23 Mai 2014, 2:24 am
Bonjour à toi THE.
J'espère que tout va bien pour toi.
CHRISTOPHEG Co-Admin
Date d'inscription : 21/10/2013 Messages : 21899 Pays : BelgiqueR E L I G I O N : Trinitaire
Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Ven 23 Mai 2014, 2:33 am
"Je suis heureuse de voir que les gens reconnaissent leur expérience. Ce n’est que très récemment que j’ai pensé devoir réfléchir plus en profondeur sur ma propre expérience, car elle pourrait recéler des clés pour mon dessein ici.
Ma famille faisait construire notre maison, qui en août 1978 était environ à moitié terminée. Ma mère ramassait du bois pour le nouveau tas de bois qu’elle était en train de faire, tandis que je jouais avec un voisin et ami dans ce qui n’était que la structure d’une maison.
Ce jour là, le maçon devait venir pour examiner la zone de la cheminée et du sol afin de se faire une idée pour démarrer le travail. Habituellement, les trous pour la cheminée à venir, étaient couverts à chaque étage par de lourdes planches, afin que personne ne tombe dedans. Ce jour là, sans que je le sache, elles avaient été enlevées pour qu’il prenne des mesures, elles n’avaient pas été replacées.
Le sol avait également été damé le même jour, afin de préparer le coulage de la dalle. Deux étages au dessus, j’allais crier « Bouh ! » à mon ami qui était en train de descendre les escaliers du haut. Au lieu de cela, je suis tombée dans le trou non recouvert. Je me rappelle particulièrement avoir pensé combien il était merveilleux de voler, puis à quel point c’était effrayant de voir le sol remonter à toute vitesse vers moi. Ensuite, j’ai crié, ma mère l’a entendu, là bas dans les bois.
On m’a dit que j’ai atterri sur la nuque, à plat sur le dos, à l’endroit où la moelle épinière rejoint le pédoncule cérébral. Tout d’abord, je me rappelle avoir eu très froid et très peur, dans un endroit complètement obscur à l’exception d’une minuscule lumière qui brillait au bout, pareille à un trou d’épingle.
J’ai pu sentir le vent tandis que j’avançais vers cette lumière, suffisamment lentement pour que je puisse voir, à mesure qu’augmentait la lumière, que j’étais dans un tunnel relativement petit. Je pouvais voir la texture des parois du tunnel, inégales comme pourrait l’être un tunnel dans la terre.
Alors que j’approchais de la lumière, ma vitesse a décru et j’ai remarqué l’incroyable chaleur émanant d’elle, différente de toute chaleur que j’aurais pu ressentir auparavant. Lorsque j’ai pratiquement été dans la lumière, si on peut décrire une telle chose ainsi, j’ai stoppé, flottant devant une silhouette qui semblait humaine, bien que la lumière de fond ait été si brillante que l’on ne pouvait pas distinguer de visage.
Les bras étaient étendus, comme pour m’étreindre et je ne voulais rien d’autre que d’être dans cette lumière. J’ai ressenti une acceptation et un amour sans égal sur terre. Je n’étais peut-être qu’à quelques dizaines de centimètres de ces bras stupéfiants quand j’ai (nous avons) entendu ma mère hurler mon nom.
Ce fut le seul son ou la seule voix que j’aie entendu durant tout mon voyage. J’ai hésité, et regardé pour savoir si cette personne l’avait également entendue, je me sentais plus en colère à l’égard de ma mère que je ne l’avais jamais été, car elle allait m’empêcher d’aller dans cette lumière.
Comme prévu, la silhouette a croisé les bras puis les a mis en avant, me repoussant doucement vers l’endroit d’où j’étais venue, dans l’obscurité et le froid. Jamais de ma vie je n’ai autant voulu quelque chose que d’être dans cette lumière. Je sais maintenant que je ne vivrai jamais à nouveau quelque chose d’aussi merveilleux que de retourner à cet endroit et d’être enfin acceptée. Je suis impatiente de voir ce jour, cependant je n’ai pas les sentiment d’avoir accompli ce pour quoi j’ai été envoyée ici. Dans le tunnel, tandis que je flottais, m’éloignant de la lumière, je pouvais voir mes longs cheveux flotter devant moi.
J’étais très en colère et paniquée quand je me suis réveillée sur le dos, suçant mon pouce, ma mère penchée sur moi, paraissant plus effrayée qu’elle ne l’a été depuis. L’ambulance, sirène hurlante, avait 40 kilomètres à parcourir pour arriver jusqu’à moi, les poumons me brûlaient tandis qu’ils luttaient pour aspirer l’air. Mon dos était très douloureux quand on m’a emmenée pour les examens, les injections et enfin dans le service de Soins Intensifs pour enfants afin d’y passer la nuit. Je ne me rappelle pas avoir repensé à mon expérience dans le tunnel, jusqu’à ce que j’entende une autre histoire similaire alors que j’avais environ 14 ans.
C’est alors que je me suis rendu compte de ce qui s’était produit. Je peux encore me souvenir comme si c’était arrivé hier de ce tunnel et de la lumière. Je sais que ce n’était pas un rêve, car les rêves s’estompent rapidement et deviennent moins nets au fil des heures.
A tous les médecins qui déclarent que les expériences de mort imminente sont induites par l’usage de médicaments, je répond que j’étais une enfant de 8 ans, saine et active, qui n’était jamais allée à l’hôpital depuis sa naissance, jusqu’à ce jour là. J’ai quitté l’hôpital le lendemain, après qu’on ait affirmé à mes parents que dans le meilleur des cas je serai paraplégique et que subirai des dommages à long terme au cerveau, à cause du traumatisme de la nuque et de la tête. Je n’ai même pas eu un bleu et j’ai continué à vivre indemne, réussissant à l’université, aucun effet secondaire ne s’étant manifesté.
D’ici là, ceux d’entre nous qui ont été choisis, continueront à aimer et à savoir quelle est l’importance réelle de notre séjour sur terre."
EMI de Jennifer - www.nderf.org
CHRISTOPHEG Co-Admin
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Dim 25 Mai 2014, 8:10 pm
"Les urgentistes continuaient à s’occuper de moi ; ils ont appelé pour obtenir une équipe de renfort à cause de mon arrêt total. La deuxième équipe s’est précipitée à l’intérieur avec un nouveau défibrillateur chargé et prêt à l’emploi. Je n’ai eu aucune peur de mourir pendant tout ces évènements.
Tout à coup, je suis entré dans un tunnel, il était très étroit. A l’autre bout se trouvait la plus belle lumière que j’aie jamais vue. J’avais l’impression d’avancer tête la première à 150 kilomètres/heure. La lumière approchait sans cesse, elle était tellement brillante, mais elle ne faisait pas mal aux yeux. Puis je suis entré dans la lumière, tout comme on saute dans une piscine.
J’étais totalement immergé dans la lumière. Du centre de la lumière est venue une voix, elle a dit que tout irait bien. Je n’ai jamais ressenti une telle paix, il n’y avait pas de douleur, l’amour que je ressentais était tellement grand qu’il n’y a pas assez de mots dans le monde pour vous exprimer à quel point il était grand !!!
Je ne sais comment, j’ai compris qu’il s’agissait de DIEU, IL a dit : « Tu dois repartir, ta femme ne surmonte pas très bien la situation. » IL a dit : « Regarde en bas et tu pourras la voir. ».
J’ai regardé en bas et j’ai pu voir tout ce qui se passait dans notre maison. Ann était comme une loque. Bien que je l’aime tant, je me suis retourné et j’ai dit à DIEU : « Je ne veux pas repartir. Mon DIEU, je n’ai jamais ressenti autant d’amour et de paix sur terre que je n’en ressens ici. ».
IL a dit « Entre et je vais te montrer le PARADIS, mais ensuite, tu devras repartir, j’ai besoin que tu accomplisses une tâche sur la terre. ».
Ce que DIEU m’a montré ce jour là, il n’existe pas assez de mots sur terre pour vous le raconter, mais je vais faire de mon mieux avec le vocabulaire insuffisant dont je dispose. Il y avait la plus belle des portes, où nous avons vu mes parents, mes grands-parents qui sont morts il y a longtemps. Il y avait quelqu’un que je ne connaissais pas, mais il m’a dit qu’il m’aimait aussi.
Ils ont tous dit qu’ils étaient bien et qu’ils attendraient que je revienne. Nous avons continué à l’intérieur. C’était comme si tout se trouvait dans une pièce, mais la vue portait à l’infini. On pouvait se trouver à un endroit puis en une seconde, on était ailleurs. Il y avait tant à voir, les rivières et les fleuves les plus clairs. L’eau était pure comme du cristal.
Le ciel était tellement bleu, l’herbe tellement verte, quand on marchait dans l’herbe, on ne laissait pas de trace. La plus belle musique qu’on ait jamais entendue. Les fleurs étaient les plus belles que j’aie jamais vues. Je n’ai vu personne qui soit malade, handicapé ou qui semblait malheureux.
On m’a dit que j’ai été mort pendant 3 à 4 minutes, mais au PARADIS, le temps semblait s’être arrêté. J’ai l’impression d’avoir été là pendant trois ou quatre mois. Puis DIEU a lâché ma main et a dit : « Tu dois repartir pendant quelques temps, lorsque ton travail sera accompli, tu pourras revenir. ». Sur le champ, je suis repassé par le même tunnel, tout aussi vite qu’en venant.
Mon souvenir suivant est de me retrouver face à face avec un urgentiste, j’ai aperçu mon petit-fils qui habite à côté, il avait environ 4 ans à l’époque. Il s’était introduit dans la pièce à la faveur de l’agitation. Je les ai regardés et j’ai dit, je vous ai laissé un moment n’est-ce pas ? Il a répondu battez-vous avec nous, pas contre nous, nous essayons de vous garder ici. Je n’avais toujours pas peur de la mort. 23 injections et 3 défibrillations plus tard, j’étais en route pour l’hôpital. L’un des urgentistes a dit à mon beau-frère de ne pas se dépêcher d’aller à l’hôpital car je n’allais pas y arriver vivant.
Le lendemain on m’a fait ce qu’on appelle un « roto-rooter » pour enlever les obstructions du mieux possible. Après la fibro, on a dit à ma femme et à moi-même que j’avais perdu entre 25 et 33 %, ou un peu plus, de la partie inférieure gauche du cœur.
Après le « roto-rooter » on m’a renvoyé en cardiologie. Une infirmière très gentille s’occupait de moi, mais elle paraissait tellement triste et elle avait des larmes dans les yeux quand elle était près de moi. Le lendemain, elle m’a dit qu’un infirmier, qui s’était occupé de moi, lui avait déclaré que j’étais en mesure de lui révéler ce qu’elle voulait savoir plus que tout au monde. Je lui ai demandé de quoi il s’agissait. Elle a répondu, vous n’avez pas besoin de me répondre, écoutez seulement ce que j’ai à dire.
Elle m’a appris que son fils de 8 ans était mort 3 mois auparavant d’un cancer au cerveau, elle voulait savoir à quoi ressemblait l’endroit où il était allé. L’urgentiste lui avait dit qu’il savait que je pouvais le lui dire à cause de ce que je lui avais raconté quand on m’avait ramené.
Je restais là, ne sachant pas quoi dire. Si je le lui racontais, les gens allaient penser que j’étais fou ou que mon cerveau avait subi des dommages. Elle s’est mise à pleurer, ce qui m’a brisé le cœur et j’ai pleuré moi aussi.
Deux jours plus tard, j’avais eu le temps d’y réfléchir, DIEU a dû prendre les choses en main ce jour là. Tout à coup, j’ai commencé à raconter toute l’histoire, nous avons pleuré tout le temps. Ensuite, elle a dit : « Je peux vivre avec cela maintenant que je sais comment est le PARADIS. ». Elle m’a serré dans ses bras et m’a dit : « Je ne vous oublierai jamais, merci beaucoup. ».
Je crois également que DIEU l’a envoyée pour s’occuper de moi pendant que je me trouvais en cardiologie, elle s’est occupée de moi comme une mère.
Je suis revenu chez moi un peu plus tard dans la semaine. La route vers le rétablissement a été longue.
Au cours des neuf dernières années, j’ai raconté mon voyage à très peu de gens, sachant qu’on penserait que je suis fou. Par ailleurs, tenter de comprendre ce que DIEU voulait que je fasse pour lui me plongeait dans une grande confusion. Pendant ces neuf années j’ai partagé cela avec des personnes dont le médecin disait qu’elles allaient mourir bientôt.
Elles me disaient ensuite que la peur de mourir consistait à ne pas savoir à quoi ressemble la mort. Je l’ai aussi raconté à Emily, mon unique sœur, avant qu’elle ne meure du cancer. Mais je savais où elle allait, c’était une femme bonne craignant DIEU. Elle n’avait que 57 ans. Elle est morte en 2000. Maintenant, à part mes enfants, il ne reste que moi.
Cela a complètement changé ma vision de la vie. Je la prends au jour le jour, ce jour que je vis comme si c’était le dernier. Cela a attendri mon cœur, j’essaie d’aider les autres au lieu de penser à moi. Je viens juste de terminer un cours de catéchisme pendant les vacances dans le chœur de l’église pour 33 jeunes gens de 13 à 19 ans.
De ma vie, je n’avais jamais rien écrit d’autre qu’une lettre, jusqu’à l’an dernier. Depuis, j’ai écrit 12 poèmes, dont un au sujet de mon voyage aux approches de la mort. Chaque jour j’essaie de vivre ma vie de la façon dont je pense qu’elle plaît à DIEU, ainsi lorsque ma vie sera terminée, je pourrai retourner au PARADIS. Si vous pensez que je suis fou, ce n’est pas un problème, certains croiront, certains le désirent.
J’espère qu’en ayant témoigné, cela aidera quelqu’un pour un passage facile vers l’au-delà quand l’heure sera venue de mourir. Je souhaite prendre le temps de remercier DIEU pour chaque jour et chaque année supplémentaire qu’il m’a accordé. Je souhaite remercier tous les urgentistes qui travaillent pour les urgences du conté. Je voudrais aussi remercier les médecins et toutes les infirmières qui se sont occupés de moi.
QUE DIEU VOUS BENISSE TOUS."
EMI de Jerry B - www.nderf.org
CHRISTOPHEG Co-Admin
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Lun 26 Mai 2014, 8:55 pm
"Nous approchions d’une courbe et il m’a semblé que la moto s’inclinait trop à gauche. J’ai appris plus tard que nous avions dérapé sur une flaque d’huile. Je me suis instinctivement penchée à droite. Ce fut probablement une bonne chose, car sinon je serais restée coincée sous la moto sur la voie opposée. Je me rappelle d’avoir volé dans les airs et d’avoir vu la glissière de sécurité approcher terriblement vite. Ensuite tout est devenu noir et j’ai entendu un genre de sonnerie parasite aigüe.
Il n’y avait pas de lumière là où je me trouvais, mais je voyais un très fin, très grand croissant entrer dans mon champ de vision. Il est devenu de plus en plus petit, jusqu’à je comprenne de quoi il s’agissait : la face nocturne de la terre.
Je me suis mise à « flotter » devant, puis j’ai vu le côté éclairé. La terre rapetissait de plus en plus tandis que j’étais entraînée au loin par une force invisible.
Je me suis retournée afin d’être entraînée en avant et non en arrière, c’est alors que j’ai vu l’intégralité des cieux. Les étoiles, les nébuleuses, les novas, les nuages de poussière, les galaxies, les planètes, le soleil, l’ensemble était en 3D ! Et c’était vivant, en mouvement et non pas immobile comme sur les photos d’Hubble. Il y avait tant de choses à voir, tout était absolument magnifique.
Tandis que j’étais entraînée « en avant » sans savoir pourquoi, j’ai compris plusieurs choses.
C’était réel, aussi réel que tout ce que j’avais vécu auparavant. Ce n’était pas un rêve.
La réponse à la grande question : « Pourquoi sommes-nous ici ? » est : « Pourquoi pas ? C’est une bonne idée ! ». Ou mieux encore : « Parce que ! ». Et c’est tout ! Vraiment !
J’ai remarqué que je commençais à être entraînée de plus en plus vite. Les étoiles se sont mises à défiler en accélérant jusqu’à devenir des traits lumineux. Puis elles ont commencé à disparaître jusqu’à ce que je me retrouve à nouveau dans l’obscurité totale. Je n’avais pas peur, l’endroit était réconfortant, maternel, je m’y sentais en sécurité.
Ensuite, j’ai remarqué un petit point de lumière très, très lointain, semblable à l’unique lampe d’une ferme vue à grande distance depuis une autoroute. Puis la lumière s’est rapprochée et j’ai vu qu’elle était dorée. Elle a continué d’approcher de plus en plus en une série de 8 ou 10 sauts que je pourrais décrire ainsi : « Boum, boum, boum… ». Sans transition, je me suis retrouvée tout près. Il s’agissait d’un nuage doré « bouillonnant » qui ressemblait aux photos de la surface du soleil que j’ai vues depuis.
L’instant suivant j’étais dans ce nuage. Je descendais en flottant un grand couloir, peut-être 20x20. Il y avait des gens apparaissant et disparaissant dans les parois nuageuses, je n’ai toutefois reconnu personne. J’avais la sensation de flotter au-dessus de NOMBREUSES personnes qui se trouvaient immédiatement sous moi. Elles étaient toutes vêtues de blanc et paraissaient heureuses.
Tandis que j’avançais en flottant, je me souviens particulièrement d’avoir vu un homme qui se tenait sur la gauche dans une courbe du couloir. Je lui ai demandé où je me trouvais, il a en quelque sorte étouffé un rire en disant : « Continue simplement à avancer, va jusqu’au bout. ».
C’est ce que j’ai fait. Quand je suis arrivée à la fin du couloir, j’ai vu un gars derrière un bureau, on aurait dit un réceptionniste. Il a levé les yeux vers moi, l’air plutôt perturbé, il a pensé : « Que fais-tu là. ». J’ai répondu : « Je ne sais pas, je suis là, c’est tout. ». C’est alors que des gens de l’autre côté ont pointé le doigt par-dessus mon épaule vers ceux qui restaient à l’extérieur, faisant signe que je vienne.
Le type a haussé les épaules, froncé les sourcils en pensant : « Bon ! Un instant. Je vérifie quelque chose. ». Pendant qu’il le faisait, j’ai regardé derrière lui et je me suis aperçu e que nous n’étions absolument pas dans un tunnel, nous nous trouvions dans une grotte et le gars se tenait à l’entrée. Derrière lui se trouvait un magnifique paysage, à flanc de montagne avec des fleurs, des arbres étincelants et un torrent ; l’endroit le plus somptueux et paisible que j’aie jamais vu. Puis, à ma gauche sur le flanc de la montagne, j’ai remarqué des gens en position du lotus. Une grande lumière s’est mise à pulser sur eux. Cela m’a intriguée, pendant que le type avait la tête baissée regardant quelque chose, je me suis donc faufilée dans le coin pour voir ce qui se passait. J’ai avancé dans ce qui semblait être une très grande présence (10m peut-être), l’amour et l’innocence en émanaient. Elle paraissait tout simplement si pleine de joie qu’elle ne pouvait la contenir, émettant donc ces pulsations, c’était vraiment agréable. J’ai été inondée comme une passoire sous l’eau. Passionnant, stupéfiant, inspirant la révérence… tout le vocabulaire y passerait.
J’ai tenté de m’approcher. Je me suis rendu compte que la présence était sur une île environnée par une étendue liquide. Lorsque j’ai avancé dans ce liquide, tout ce qui constituait « Jill » a disparu. « Je » n’existais plus… pourtant, « j » ‘étais toujours là. J’étais l’essence de… la vie… j’imagine. J’ignore comment l’appeler autrement. J’avais conscience de mon environnement. J’avais rejoint toutes les autres consciences dans l’étendue liquide, ne faisant qu’un avec elles. Je « connaissais » toute autre vie dans l’étendue liquide ; je ne faisais « qu’un avec tout. ». J’étais chez moi.
Puis je suis revenue. Le gars m’avait ramenée devant le bureau. Le souffle coupé, je lui ai demandé : « C’était QUOI ? ». Il m’a répondu : « Ne te préoccupe pas de cela. N’y pense même pas. ». J’ai rétorqué : « Mais… mais… je veux y retourner. »
« Non »
« Mais… »
L’instant d’après j’étais de nouveau hors du tunnel doré. Tandis que j’étais chassée du nuage, j’ai entendu « l’employé » dire : « Ne t’inquiète pas. ». J’espérais qu’il voulait dire : « Ne t’inquiète pas, tu peux revenir. ». J’ai refait dans l’autre sens tout le chemin à travers l’espace, me retrouvant à mon point de départ. « HOOO ! » ai-je pensé en voyant les cieux dont la beauté m’avait laissée bouche bée quelques instants auparavant.
Par la suite, j’ai été très déprimée. J’ai tenté d’en parler, mais tout le monde pensait que j’étais folle ou droguée."
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mar 27 Mai 2014, 8:11 pm
"Que peut-on dire de l’expérience de mort imminente ? Ce n’est pas la mort, c’est la vie. J’en ai vécu une il y a environ six ans et je surfe toujours sur les douces couleurs dorées de l’amour du paradis. J’ai vu des légions d’anges qui m’escortaient vers l’hôpital en flottant dans le ciel sur des kilomètres de nuages.
Quand je suis arrivé, les portes se sont transformées en une grotte dorée sur les parois de laquelle se déversaient des eaux cristallines. Lorsque je me suis effondré sur la chaise roulante, les portes ne s’ouvraient plus sur la grotte mais à nouveau sur la terre. J’ai vu les médecins et les infirmières, j’ai su atteindre et toucher le plus Lumineux d’entre eux.
Je lui ai pris la main et j’ai vu la lumière curatrice rayonner à travers son corps pour entrer dans le mien. Pendant des mois j’ai continué à avoir des visions de Dieu, des anges et d’octaves au delà de la terre. Je ne pouvais exprimer les conversations avec les anges, les saints, ni tout ce que je voyais. Les auras de tous les objets autour de moi étaient éclatantes.
Même les magasins étaient pleins de couleurs, la moindre boîte de conserve, le moindre produit montrait son authentique couleur en contenu de vibrations. J’ai visité des temples de Lumière au sein de grandes montagnes de la terre. J’ai vu Mère Theresa jeune femme dans une église, belle avec de longs cheveux et vêtue d’une robe de mariée.
L’église était éclairée par de magnifiques cierges dorés, elle épousait l’Esprit-Saint. Elle devenait davantage une éminente Mère du paradis. J’ai été amené auprès de son feu et j’ai été aveuglé par la Lumière une nuit entière. Il y aurait bien davantage à raconter avec du temps. Toutefois ma plus grande joie c’est que tout le monde sache qu’on n’est jamais seul, les grands saints, les Maîtres et les anges sont là.
Réjouissez-vous du jour, du ciel, des étoiles, des rivières qui courent rencontrer les grands et vastes océans de la Divine Mère.
Revenir à cet octave a été un défi. Il me fallait rechercher des anges pour fermer mon troisième œil, l’œil spirituel qui voit tant de choses, en effet il me distrayait trop. J’ai demandé à ne voir que ce qui était nécessaire à la sécurité. Quotidiennement je demande à être l’instrument de ce grand amour du paradis, afin d’offrir un verre d’eau fraîche au nom de JESUS.
J’ai également vécu la « nuit noire de l’âme » dont parle saint Jean de la Croix. Tout le paradis est retiré et l’on va au plus profond de l’enfer. On n’est retenu que par un fil de Lumière. On est seul, désespéré, mais on doit rester constant dans l’espoir et la foi afin d’être victorieux. C’est une initiation très curieuse.
Etre dépouillé de toute identité et tout désir. Mais après l’avoir entamée, on ressent une grande compassion pour toute vie. Pas de l’empathie qui pousserait à sauver le monde, mais on est un électron divin dans l’atome de Dieu et très aimé. Et tout ce qu’on fait et dit, c’est d’étendre et adorer cette Présence Divine aimante.
Tout autour de soi devient pareil à un film dans lequel on n’est qu’un acteur, un observateur. Mon plus grand délice, ce sont les enfants et la Lumière qu’ils possèdent, ils sont inconditionnels dans leur amour. Je suis également honoré que Dieu m’ait fait confiance pour me faire vivre l’expérience de la mort et de l’enfer, qu’il m’ait donné les outils, si souvent oubliés, de passer ces épreuves.
A tous ceux qui ont vécu une EMI, intérieurement et extérieurement demandez à Dieu l’équilibre, l’orientation et simplifiez votre vie avec la beauté, les promenades tranquilles, la musique majestueuse. Harmonisez finement votre cœur en écrivant de la poésie, en dessinant, en créant. Et sachez que la vie est faite pour se réjouir. Trouvez un ami ouvert pour lui confier vos pensées, soyez ce pilier d’amour. Moi aussi je demeure un élève du tout."
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Dim 01 Juin 2014, 8:48 pm
"Je me rappelle avoir descendu les cinq premières marches en direction de la voiture, puis plus rien. Je me suis effondrée dans la rue. Comme c’était une chaude soirée de septembre, des voisins se trouvaient dehors et ils m’ont vu tomber.
Tandis que des gens accouraient pour m’enlever du carrefour (pour une raison que j’ignore, j’avais entraîné mon père jusqu’au milieu de la rue !), quelqu’un a appelé les urgences. Les urgentistes sont arrivés et se sont occupés de moi, dans la rue, pendant quasiment 45 minutes. Comme je constituais un « poids mort », je n’ai pas été déplacée jusqu’à ce qu’ils arrivent et qu’ils puissent glisser un brancard sous moi.
On m’a dit qu’ils avaient recherché des traces de drogue, ils ont prélevé du sang pour une analyse rapide et ils m’ont immédiatement intubée. Je respirais irrégulièrement et mes pupilles étaient fixes. Quand ils ont pensé que j’étais stabilisée pour me transporter, j’ai été mise dans l’ambulance pour le transfert. C’est alors que mon cœur s’est arrêté pour la première fois.
Nous n’avions roulé que jusqu’au coin de ma rue. Comme mon père était à côté du conducteur, il a entendu l’alarme du moniteur et aussi les jurons du conducteur qui a actionné les sirènes en marmonnant : « On est en train de la perdre. ».
Mon père ne m’a pas revue. Deux fois encore, mon cœur s’est arrêté brièvement dans la salle des Urgences. La dernière fois, au moment où mon esprit a rejoint mon corps, j’imagine, je me suis relevée de la table et dans un mouvement souple, j’ai envoyé un coup de poing dans la joue d’une infirmière.
Il a fallu que 4 membres du personnel luttent pour me remettre sur la table et m’administrer un injection d’un produit pour me calmer. Ils ont pensé que je voulais atteindre le tube du respirateur.
Il est très difficile d’expliquer ce qui m’est arrivé pendant ces moments, en effet, c’était comme un rêve, un rêve magnifique que je n’avais jamais fait auparavant. A quel moment a-t-il commencé, je l’ignore.
Je me déplaçais dans un tunnel d’un noir tendre (un type de noir que je n’avais vu et que je ne peux pas décrire non plus), en direction d’un minuscule point de lumière très lointain. Je disposais de guides spirituels qui m’ont fait faire ce que j’appellerais « une visite de l’univers », c’était la sensation de l’immensité de l’univers, de se trouver à sa création, de faire partie de l’univers depuis son commencement, je faisais partie de tout ce qui s’est produit et de tout ce qui va arriver.
C’était comme si je n’avais pas de notion de moi, que j’étais tout et que tout était moi, y compris Dieu. C’était un sentiment très rassurant, je me sentais en sécurité et protégée… Je ressentais un amour inconditionnel, de la joie et une paix profonde. Je n’avais pas de sensation de linéarité temporelle, même maintenant j’ai des difficultés à fonctionner avec les paramètres du « temps ».
On m’a dit tout ce qui est jamais arrivé et tout ce qui va se produire. On m’a donné les raisons de ce qui a été, de ce qui est, de ce qui sera. Par exemple, on m’a dit que les changements climatiques mondiaux se produisent en partie parce que la planète commence à reprendre sa forme originelle, dans le but de défaire les actions que l’homme a cru bon d’entreprendre pour asservir sa puissance. Par exemple, les cours d’eau reprennent leurs lits.
Je me souviens d’avoir questionné ces êtres : pourquoi cela se produit-il et pourquoi de cette manière, j’ai appris qu’il doit en être ainsi. On m’a également indiqué une autre facette des choses, les humains possèdent le libre-arbitre, certains évènements adviennent à cause de leurs choix. Je me rappelle avoir pénétré profondément les concepts de cause et de conséquence, de Yin et de Yang.
Je n’en ai pas aimé certains aspects et bien que je doive parfois faire un effort pour comprendre, je me rends compte que les choses se produisent à cause des choix. C’était le royaume du bien et du mal. J’ai entendu des sons que je n’avais jamais entendus, bien que je n’aie vu aucune forme humaine, j’avais conscience « d’ondes » tout autour de moi, me guidant et m’assistant dans mon périple.
Alors que je me déplaçais en flottant, je me suis soudain arrêtée. Je ne voulais pas retourner dans mon corps. J’ai rencontré une forme que je savais être Dieu, il m’a dit que le temps était venu pour moi de repartir.
J’ai commencé à discuter de manière arrogante avec Dieu, Il m’a répondu que je devais repartir parce que ma mission ici n’était pas terminée. Je pense que c’est à ce moment que j’ai commencé à bousculer la table et à devenir violente aux Urgences, après l’absence de signes neurologiques et de réponses aux stimuli neurologiques (piqûres, etc…).
J’ai ouvert les yeux et à mesure que la pièce devenait plus nette, j’ai senti que les merveilles de mon périple étaient aspirée hors de moi par le dos, il a moins fait partie de la réalité à mesure que mon niveau de conscience augmentait. Ma famille s’était assemblée autour de moi et ils se sont précipités sur moi.
Malheureusement, je ne pouvais pas parler (ni bouger à ce moment-là car j’étais en contention). J’ignore pourquoi, mais je leur ai demandé de me délier les mains afin que je puisse écrire. Je devais prouver qu’il n’y avait pas eu manque d’oxygène/dommage au cerveau, ainsi, lorsque l’infirmière est entrée, j’ai tendu un papier avec mon nom, ma date de naissance, mon adresse, mon numéro de sécurité sociale, mon numéro de téléphone professionnel, les noms de mes parents, nièces et neveux, etc. Elle a tenu à me poser d’autres questions jusqu’à ce que je lui écrive de « dégager » de la chambre. Ce qu’elle a fait.
A ce moment-là, un médecin est entré et a essayé de me faire une autre injection, il pensait en effet que je redevenais violente, mais je lui ai assuré que j’allais bien et il est parti. C’est alors que ma sœur m’a dit pourquoi j’étais attachée. J’ai ri.
Inutile de dire que j’étais très déçue après mon réveil par la disparition si rapide de la légèreté de l’au-delà. Après que ma famille soit partie, j’ai eu la vision d’un oncle décédé dans un accident de moto au cours des années 60, beau comme James Dean, il m’a dit : « Ce n’était tout simplement pas ton heure, ma fille. ».
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Lun 02 Juin 2014, 8:20 pm
"En 1992 j’ai été emmenée à l’hôpital en ambulance. Aux urgences, j’ai été informée que je faisais une crise cardiaque. Le médecin et les infirmières étaient un peu étonnés car je n’avais que 37 ans. J’étais une femme blanche sans hypertension ni cholestérol.
Tout à coup, je me suis mise à pleurer parce que je ne voulais pas mourir… La mort a commencé à me faire peur. Aux Soins Intensifs, des parents sont venus puis ils sont repartis. Je ne me suis pas rendu compte à quel point j’allais mal. Mon ex-mari est arrivé dans la salle avec ma fille.
Il m’a dit de ne pas m’inquiéter pour ma fille parce que lui et sa femme allaient bien s’en occuper car ils l’aimaient. C’est le seul élément de la visite dont je me souvienne. Tandis que mon ex-mari me disait cela, j’ai regardé ce qui ressemblait à de la peinture blanche commençant à recouvrir la porte en face de moi. Cela partait du bas vers le haut.
Toute la zone a été lentement recouverte et tout ce que je voyais était d’un blanc le plus pur et le plus net que j’aie jamais vu de ma vie. Ma fille m’a dit qu’au moment où elle est venue avec son père, elle a pensé que je m’étais endormie. Mais soudain, elle a entendu le moniteur cardiaque émettre un long bip et la ligne était totalement plate.
Ils ont reculé quand une équipe d’environ 5 personnes est arrivée autour de moi, parlant de chose à prendre et à faire. Elle a vu quelqu’un aller vers moi avec le défibrillateur et le rideau a été tiré à ce moment là. On leur a demandé d’aller dans la salle d’attente. Ils ont donc été accompagnés là bas, on leur a dit que quelqu’un les informerait dès que possible de ce qui se passait.
Je baignais dans le meilleur sentiment que j’aie jamais ressenti de ma vie. Je progressais de plus en plus profondément dans la zone où je me trouvais. Je n’ai jamais vu ni imaginé un endroit d’une telle pureté et d’une telle paix. Une sérénité, une tranquillité et un calme que je n’avais jamais connus auparavant étaient présents à cet endroit.
Je pouvais affirmer qu’il n’y avait là bas ni maladie, ni douleur, ni souffrance d’aucune sorte. Absolument rien de négatif ne se trouvait nulle part dans cet endroit. Rien de mauvais ou de malfaisant n’était présent. Plus je regardais alentour, mieux les choses semblaient aller. Je me souviens très bien d’avoir ressenti et dit à haute voix : « Révérence » car j’étais emplie de Révérence.
Alors que je regardais devant moi, j’ai vu le plus doux des blancs que j’aie jamais vu. Il s’étalait aussi loin que mes yeux pouvaient voir. Il paraissait s’étendre sur des kilomètres en longueur et en largeur. J’étais abasourdie et je ne cessais de regarder devant. J’ai commencé à voir la couleur d’une lumière gris bleuâtre au fond de la douce blancheur.
Tandis que j’avançais en dérivant, j’ai commencé à distinguer que la couleur que je voyais était en fait des silhouettes de personnes, des grands, des petits, des vieux, des jeunes, aucun n’avait de race car tous étaient des silhouettes. Il y en avait beaucoup, tellement qu’on ne pouvait les compter. Partout, il y avait une sensation d’amour inconditionnel.
Je voulais continuer à avancer. Je voulais savoir ce qu’était cet endroit. Je voulais en faire partie. A mesure que je m’approchais d’eux, il semblait qu’une brume blanche s’élevait afin que je puisse mieux voir et de plus près. A peu près à ce moment là, j’ai été approché par une personne qui semblait être une femme. Elle s’est suffisamment approchée pour prendre ma main. J’ai su que je l’aimais dès que je l’ai vue.
J’ai reçu un sentiment d’amour et d’acceptation dès que mes yeux l’ont aperçue. Toutes les autres personnes sont restées à leur place tout en regardant comme si elles discutaient ensemble. Je connaissais cette femme et nous avons parlé un moment. Je ne sais pas ce qui a été dit.
J’ai rouvert les yeux, ma tête était penchée vers le sol. J’ai essayé de lever la tête pour voir où je me trouvais, mais elle était trop inclinée pour que je puisse la relever. J’ai donc regardé sur ma droite, il y avait un inconnu que je n’avais jamais vu auparavant. Il m’a dit « Bonjour ! Vous ne devez pas être à l’aise ainsi. Je vais vous remonter la tête. ».
Puis il a dit : « Vous nous avez bien fait peur, jeune femme. ». L’homme était le médecin qui avait fait redémarrer mon cœur. Je me souviens que je ne voulais pas parler. Je me sentais très triste et vide. J’étais dans la confusion. J’ai fermé les yeux parce que je voulais répéter la sensation que je venais juste d’éprouver. Je voulais ce blanc et tout ce qui allait avec. Mais lorsque j’ai fermé les yeux, cela n’a pas fonctionné.
En l’occurrence, ma fille est la raison pour laquelle je ne me suis pas effondrée. Elle est ma paix céleste sur terre. Certains jours, je pense à mourir, je le voudrais réellement.
Mais je ne suis même plus en mesure de penser au suicide. Je ne peux même pas tuer une mouche ou une fourmi si elles entrent dans la maison. Je mets dehors ce qui vole ici. Pour les autres, je n’ai pas encore eu de problème, ils sont donc mis dehors aussi.
Je sais que le suicide pourrait ne pas me ramener à l’endroit où je suis allée en 1992 et je veux faire tout ce qui est en mon pouvoir pour y retourner quand l’heure viendra. Donc peu importe à quel point la vie est dure ou pénible ici. Je vais rester ici et attendre, car la Mort n’est pas la fin de la vie, la Mort est une existence différente de celle-ci, il y a un monde (meilleur) de différence…J’attendrai donc pour partir jusqu’à ce que mon heure soit venue."
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mer 04 Juin 2014, 9:02 pm
"Lorque j'étais dans le véhicule de secours, j'ai senti mon corps s'engourdir et j'avais un poids sur la poitrine. J'ai commencé à voir la pièce devenir noire et j'avais du mal à entendre tout le monde autour de moi mais je me rappelle avoir entendu mon médecin dire "non, nous ne pouvons pas le perdre, continuons, je ne veux pas le perdre, il est encore un enfant, donnez encore une autre série de chocs électriques et chargez à 360 et continuer de travailler" Puis tout est devenu noir et mortel presque.
Ensuite j'étais dans ce que je pensais la salle d'attente et mon médecin parlait à mon père. Et mon frère (qui était aux urgences avec moi) marchant abasourdi, et disant "qu'est ce que j'ai fait de mal, toute la pratique médicale que j'ai et je n'ai pas pu sauver mon frère, que diable ai je fait comme erreur".
J'essayais de lui dire que j'allais bien mais il ne pouvait pas m'entendre. puis je me suis rappellé ce que ma soeur avait raconté qu'il lui était arrivé quand elle avait eu une EMI juste quelques semaines avant. J'ai pensé oh ! mon Dieu je suis mort, c'est à ça que ça ressemble, mais où est ma mère et mon grand père ? Où est la musique qu'elle a dit avoir entendu ? Où est la lumière si brillante dont elle a parlé ? Alors tout est devenu noir et je ne pouvais plus rien voir et toutes mes pensées me revenaient en écho. ?
Ensuite où que j'étais, ça commençait à se remplir de brouillard. Et alors je me suis sentis bouger le long d'un corridor de ténèbres. Puis j'ai entendu quelqu'un m'appeler par mon nom et me dire de venir. J'étais d'accord et j'allais rentrer à la maison. Ils allaient me guider vers la maison. Je sentais que quelque chose n'allait pas et je voulais faire demi tour reprendre le chemin d'ou j'étais venu mais on m'a dit que je ne pouvait pas revenir, que mon temps sur terre était terminé. Je devais continuer d'avancer et je verrai ma mère bientôt.
Les voix me disaient sans cesse de marcher avec elles et de de continuer. Chaque fois que je regardais en arrière je sentais que quelque chose de mal allait m'arriver et que je devais retourner d'où je venais. Chaque fois que je regardais en arrière les voix me disaient de continuer d'avancer.
Je me suis dit qu'assez était assez et j'ai dit que je ne voulais pas aller plus loin que là où j'étais, jusqu'à ce qu'ils me disent où j'étais et où ils allaient. Les voix m'ont dit que nous avions atteint notre but. Que j'étais où j'avais besoin d'être maintenant. Alors j'ai senti ce que j'ai pensé être souffre et mort. Alors les voix ont commencé à rire et à dire que c'était ce que ma vie m'avait fait gagner. J'ai demandé où j'étais et ce qui allait arriver ensuite.
Les voix ont juste ri encore plus et ont répété ce que je disais. Je pensais en moi même que ça devait être l'enfer. parce que ce n'était pas ce que ma soeur avait raconté de son expérience. Ce n'est pas comme ça qu'elle a décrit le paradis. Puis j'ai pu entendre mes pensées tout haut. Les voix ont alors dit qu'il n'y avait pas de paradis pour moi. Que ceci était le paradis qui m'était destiné. Puis l'un deux dit qu'il était l'heure de manger.
Je me suis senti alors comme poussé contre un mur et mes bras plaqués contre le mur. Je me sentais impuissant et alors j'ai vu quelque chose comme une boule de cheveux avec des dents de requins venir vers moi. J'ai regardé sur ma droite et j'ai vu que les voix étaient de petits monstres qui se changaient tantôt en boules de cheveux, tantôt en monstres. C'étaient les choses les plus laides que j'avais vu jusque là, et même encore maintenant.
Ils ressemblaient à des serpents croisés avec des chauves souris croisés avec quelquechose qui avait des cornes. Ils avaient des corps qui étaient comme ceux de serpents et ils avaient des ailes. Leurs bras et mains étaient comme ceux de chauve souris. Leur visage ressemblait à des serpents et ils avaient des crocs comme une chauve souris et un serpent. Sur le haut de la tête ils avaient des cornes mais pas comme celles d'un taureau ou d'un cerf. Ils avaient des cornes pointues mais rien qui ressemblait à quelque chose de terrestre.
Quand ils se sont transformés en boules de cheveux, je me suis demandé ce qu'il allait m'arriver. Ils ont ri et m'ont dit de me taire et je pouvais entendre ce que je ressentais tout fort. Ensuite ils ont commencé à venir me chercher et quand ils ont fait ça j'ai eu la nausée. Je me souviens me demander qu'est ce qui ce passe ? où est ma mère et où est Dieu ?
Ensuite, je les sentais me manger. Je me suis regardé, regardé ce que je pensais être mon corps et des morceaux avaient disparus. Je les ai ensuite regardé et des morceaux de moi étaient dans leur bouche. Alors l'un d'eux dit " Nous t'avons déjà dit que ici c'est ton paradis et nous sommes ton Dieu"
Je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça mais j'ai commencé à dire le 23 ème psaume haut et fort et ils se sont arrêté de me manger pendant quelques secondes. L'un d'eux a dit que cela n'allait pas m'aider maintenant. Je continuai de dire Le Seigneur est mon berger je ne voudrai pas ? il m'a déposé sur de vertes prairies, pour l'amour de son nom.
C'est alors qu'ils se sont mis en pile et ont hurlé, "Il n'y a personne pour te sauver!" J'ai continué de dire le 23 ème psaume. "oui, je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne craindrai aucun mal car tu es avec moi, ton bâton et ta canne, voila qui me rassure." Alors j'ai senti mes bras redevenir libres et j'était debout et ils s'amassaient en disant qu'il n'y avait personne pour m'aider maintenant.
Je sentis que je devais dire le psaume tout le temps pour trouver mon chemin hors de cet endroit - Que maintenant, je crois était l'enfer. Alors, avec tout ce que j'avais en moi, j'ai essayé de me rappeler de chaque mot que je pourrais dire. "Il me conduit le long des eaux calmes et il a soigné mon âme. Devant moi tu dresses une table face à mes adversaires.
Tu parfumes d'huile ma tête, et remplis mon âme. Ton amour et ton être ont toujours été avec moi." A ce moment là, j'ai commencé à ressentir une sensation, une merveilleuse sensation qui me prenait et j'ai dû fermer les yeux.
Alors, j'ai su que j'entendais ma mère car elle a dit : "Joe, mon doux bébé de thanksgiving, (ma mère m'appellait toujours ainsi car j'étais né en Novembre) tout va bien maintenant, le pire est fini maimntenant, ouvre tes yeux bébé, ce n'est pas grave d'avoir peur mais il est nécessaire que tu ouvres tes yeux maintenant, mon doux petit pois, s'il te plait, pour moi, bébé"
Quand j'ai ouvert mes yeux, je l'ai vu se tenir devant moi, m'embrassant et elle me demanda de regarder en bas. Quand je l'ai fait, j'ai vu que mon corps était de nouveau entier. Les parties qui avaient été dévorées étaient de nouveau sur mon corps. Elle me dit que tout allait bien maintenant et que j'avais un choix à faire mais avant elle voulait me montrer quelque chose.
Elle me prit par la main et nous sommes partis. La première chose qu'elle m'a montrée c'est un château. Il paraissait très vieux et très beau. Je pouvais voir des chevaliers sur leur monture allant à la bataille. Je pouvais aussi voir que le chateau était sur une colline très verte. Je pouvais voir aussi des bergers avec leur troupeau broutant l'herbe de la colline. Alors je demandai à ma mère si je pouvais sentir l'herbe car je n'avais jamais vu une telle colline auparavant.
Elle m'emmena en bas pour que je puisse le faire, et quand nous nous sommes approchés, je pouvais sentir l'odeur de l'herbe. Cela sentait la pastèque, c'était une odeur si agréable qu'elle vous envahisait et je voulais en manger car je pensais que c'était de la pastèque. Ma mère me dit que je ne pouvais pas, que c'était pour les moutons.
Ensuite, elle me montra un océan. Ce n'était pas un océan qui était sur la terre. L'eau était bleu marine sombre. Je dirais presque que c'était un bleu cobalt. Ma mère me dit que je pouvais en boire. Je le fis et c'était si bon. C'était comme un bâton glacé tutti fruit ou un chewing gum à la framboise. ça ne ressemblait à rien de ce que j'avais mangé avant et que j'ai mangé depuis, en tout cas, de ce que j'ai trouvé jusqu'ici. Elle me dit que cet océan est celui où tous vont boire et se détendre un peu.
Ensuite elle m'a dit qu'elle avait une dernière chose à me montrer. Ce n'était pas une chose très gaie à montrer mais elle devait le faire. J'ai dit que ça allait. Si elle devait le montrer alors c'était OK. Je n'allais pas l'empêcher de me le montrer. Cela faisait partie de ce qu'elle devait faire. Elle m'emmena à notre maison et dans les pièces et je vis ma famille.
Je devais voire ce qu'il ressentait avec moi dans leurs vies. Je pouvais ressentir une grande perte dans chaque pièce. Leur coeur était si lourd de tristesse et ils se demandaient ce que j'aurais pu avoir dans ma vie. Je demandai ensuite à ma mère si la raison pour laquelle elle me montrait cela était m'aider à choisir si j'allais rester avec elle ou retourner avec mon père et ma famille sur la terre. Elle me dit "oui". Elle voulait que je décide entre les lieux où je pouvais aller.
Elle me dit alors que je devais me présenter à quelqu'un et c'était le moment, maintenant. Elle me dit de ne pas m'effrayer de ce qui allait arriver à partir de maintenant. Alors nous nous sommes rendus au lieu qu'elle a appellé le point du choix.
Lorque nous y sommes arrivés, il y avait une scène énorme à ma droite. Puis une lumière brillante arriva. Au fur à mesure que la lumière s'approchait, je vis un centre doré dedans. Quand elle s'arrêta le centre était juste en face de moi et ne dit rien. Alors, on me dit de regarder la scène à ma droite. Comme je me tournai, ma mère me dit que c'était OK de juste faire connaître mes sentiments. Je pouvais voir des photos de ma vie sur terre.
Mes anciennes écoles et tous mes amis, tous mes animaux de compagnie, toutes les farces à mes professeurs. Puis les denières photos que j'ai vues étaient de ma famille. Toutes les fois où j'ai blessé ma soeur et tous les jeux que mes frères et moi avions joués. Lorsque ce fut fini on me demanda si j'avais appris quelquechose sur ce que l'autre personne ressentait. Je dis oui et j'étais très peiné de toutes les blessures que je leur avait fait ressentir.
La lumière dit que j'avais un choix à faire. J'étais libre de rester ou bien je pouvais repartir. Le point de passage était juste en face de moi. Tout ce que j'avais à faire était de le passer quelques mètres mais si je le faisais, je ne pourrais pas revenir. Je devais ensuite rester si je faisais ces quelques mètres.
Je dis que je voulais rester mais je ne pouvais accepter de savoir ce que ma famille allait ressentir si je restais. Je voulais qu'ils soient heureux que je sois OK mais je sais que j'allais leur manquer trop pour que je sois heureux si je restais. On me dit que je pouvais repartir si mon choix était de repartir.
Alors la lumière dorée dit à ma mère de me ramener. Elle dit OK, qu'elle le ferait. Puis elle dit OK baby allonge toi simplement et garde tes pensées fixées sur moi. Cela ne fait rien si tu as peur mais rappelle toi seulement que tout va bien aller. Rappelle toi que je t'aime toi et tes frères, ta soeur et ton père. Je serai là pour chacun de vous, vottre nouvelle belel mère incluse. Puis elle me dit de fermer les yeux et quand je les ai rouverts, j'étais de nouveau avec mon père dans mon corps. Elle m'a dit aussi que je ressentirai des douleurs, mais que cela irait. Je serait à la maison dans une semaine environ et je serai complètement rétabli de mon cancer de l'estomac dans quelques mois.
Les yeux fermés je me suis senti flotter et revenir à mon corps. Et pendant ce temps, je pouvais voir des mots et des réponses passer à travers moi. comme si je bénéficiais de toutes les réponses à tout ce que je voulais savoir.
Quand j'ai ouvert mes yeux six heures plus tard, ma famille était à mes côtés, heureuse de savoir que j'étais de retour. Je ne pouvais trouver les mots pour leur raconter ce qui m'atait arrivé. Bon, au moins la partie que je ressens est l'enfer. J'ai eu du mal à leur raconter et à leur faire comprendre que j'avais été un moment en enfer. Ma mère s'est trompée pour la douleur. Je ne ressentais pas de douleur et je suis revenu à la maison une semaine après. Et j'ai en effet été guéri de mon cancer à l'estomac environ en trois mois."
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Jeu 05 Juin 2014, 10:46 pm
"En 1994, j’ai subi un effondrement de poumon et j’ai été hospitalisé, il n’y avait aucune autre raison qu’un coup de froid et un passé d’asthmatique, j’avais 18 ans quand c’est arrivé. Pendant mon sommeil, alors que j’étais revenu chez moi depuis environ un mois, j’ai rêvé que je me trouvais en haut d’une falaise, je suis tombé.
Au moment où j’ai percuté la terre, j’ai senti que j’avais cessé de respirer. Immédiatement je me suis dit : « J’ai atterri dans mon rêve, je dois être mort. ». Tout est devenu noir à la seconde où j’ai subi l’impact dans le rêve. A cet instant j’ai su qu’il ne s’agissait pas d’un rêve.
J’ai commencé à flotter dans un espace noir. Je ne voyais rien autour de moi, pendant cette période j’ai eu peur. A ce moment là, peut-être une seconde ou deux après que je me sois mis à flotter, j’ai entendu une voix assourdissante qui disait : « JE SUIS L’ALPHA ET L’OMEGA, LE DEBUT ET LA FIN. ».
J’ai alors vu une lumière arriver par la droite, elle était très éloignée, elle s’est approchée de plus en plus jusqu’à ce que je sois immergée en elle, je ne voyais que cette lumière et je ressentais sa chaleur. J’ai alors entendu une voix s’adresser à moi en m’appelant Jim, ce qui n’est pas mon nom.
A cet instant la lumière à pris la forme de ce qui m’a paru être les contours de JESUS, c’était similaire à l’apparence du suaire de Turin. J’ai alors pris la parole, verbalement ou par des moyens non verbaux, il est difficile de le dire pour cette fois, mais je le perçois comme verbal.
J’ai demandé : « Suis-je mort ? ». Je n’ai même pas douté qu’il s’agissait de JESUS car je savais tout simplement que c’était lui. Je sentais la paix et l’amour en la présence de sa lumière/forme.
Je lui ai alors dit que je ne m’appelle pas Jim lui demandant pourquoi il me donnait ce nom. JESUS a répondu qu’une erreur avait été commise et que mon temps était nécessaire. A cette seconde et durant celle-ci, j’ai supposé qu’on avait appelé la mauvaise personne.
Mais ensuite, quelque chose m’a poussé à demander si la réincarnation existait, si c’était le cas, étais-je réincarné et qui étais-je ? JESUS m’a répondu qu’elle existe et que j’étais réincarné mais que ce n’était pas ce qui importait. Pour une raison que j’ignore, je lui ai demandé si j’étais Jim Morrison, le chanteur des Doors. Maintenant je considère cela comme bizarre, avant l’EMI je n’avais en effet que très peu de connaissances à son sujet.
En y réfléchissant, c’est comme si des pensées avaient été implantées dans ma conscience, afin que je pose la question à JESUS et pour qu’il puisse y répondre. Il a répondu oui, mais que ce n’était pas important parce que la réincarnation n’est pas telle que nous la percevons.
A ce moment là, j’ai eu la sensation que la communication était davantage non verbale, je recevais en effet des connaissances à un rythme rapide. Il m’a été dit que bien que nous puissions nous réincarner, nous sommes toujours la même âme, simplement dans une enveloppe différente. Toutefois, il n’était pas important de me focaliser sur qui j’avais été car j’étais toujours la même âme.
J’ai alors demandé si je pouvais rester, il m’a été répondu que je devais repartir, que ce n’était pas mon heure. JESUS avait un effet très tranquillisant, très apaisant et quand j’ai entendu cela, j’ai changé d’opinion au sujet de mon départ. J’ai alors demandé quand j’allais revenir s’il fallait que je parte, JESUS a répondu qu’il y avait deux âges auxquels j’allais pouvoir revenir, soit à 37 ans, soit à 73 ans ; j’allais avoir une crise cardiaque à 37 ans, toutefois il n’était pas encore certain si j’allais être rappelé chez moi, mais si je le voulais ce serait parce qu’on me donnait dix années de plus que ma dernière vie.
On pourrait penser que cela allait m’inquiéter, mais ce n’était pas le cas, ce n’était en effet pas effrayant. J’ai ensuite demandé quand le monde allait finir, JESUS m’a répondu que Dieu seul sait l’époque et l’heure exactes. Je ne me rappelle pas grand chose d’autre de cette période, je me souviens seulement de l’amour de JESUS et qu’on m’a dit que j’allais repartir. Puis j’ai senti que mon esprit redescendait dans mon corps allongé sur le lit, j’ai alors eu la sensation de m’enfoncer dans la vase ou dans des sables mouvants.
J’ai dormi le reste de la nuit, j’ai probablement eu le sommeil le plus paisible de ma vie. Bien, maintenant que je vous ai raconté cette histoire, je voudrais évoquer celui dont on m’a dit qu’il a été moi. Car je sais, sans l’ombre d’un doute, que c’est la vérité. Les choses que j’ai faites pendant ma vie se cumulent maintenant, au cours des 9 dernières années, je me suis confronté au fait de savoir qui j’ai été.
Lorsque j’avais trois ou quatre ans, j’avais coutume de tournoyer dans le salon, quasiment jusqu’à perdre connaissance, je pratiquais aussi des danses des Indiens d’Amérique. Je ne suis pas Indien et je n’avais aucun moyen de connaître ces gestes. Au cours des 8 dernières années, j’ai beaucoup appris au sujet de Jim Morrison, je sais qu’il croyait lui-même être un chamane, sur scène il pratiquait des danses et des mouvements circulaires. Une médium m’a dit qu’elle me voyait comme un Indien ou avec un sorcier Indien près de moi.
Etant petit, j’étais également fasciné par les lézards. Ce n’est pas extraordinaire, mais étant enfant, j’allais en Floride chaque été, en effet mon père en était originaire, dehors, j’essayais d’attraper les petits lézards.
Au cours de mes années de lycée avant l’EMI, j’ai gagné un concours de poèmes, mais je n’ai jamais persisté, j’étais aussi intéressé par la réalisation de film, j’ai choisi Communication à l’université, avant mon effondrement de poumon j’espérais devenir réalisateur. J’ai aussi chanté dans un groupe, avant même que j’aie entendu parler des Doors, un des membres du groupe m’a dit que je chantais comme eux. Jim Morrison était doué pour toutes ces choses et il les a pratiquées. J’ai également appris que Jim est mort d’une défaillance cardiaque le 3 juillet 1971.
Même avant mon EMI (je sais donc que je ne l’ai pas créé moi-même), tous les ans je suis malade vers le 3 ou le 4 juillet. Comme mentionné j’ai également des problèmes pulmonaires et cardiaques. Après avoir étudié les EMI et les situations de vies antérieures, étant donné que je suis ainsi depuis l’enfance, je suis arrivé à la conclusion que cela provient de ma vie antérieure. Je n’ai jamais pris de drogue d’alcool ou de cigarette.
Pourtant j’ai des problèmes cardio-pulmonaires, ce qui est dû, je crois, à un genre d’équilibre karmique dû aux abus de ces substances pour mon corps antérieurement. J’ai aussi un exemple alors que j’étais jeune enfant en Floride, ma famille est allée dans un restaurant qui s’appelait Chez Morrison, Je me trouvais sur la banquette arrière de la voiture et j’ai dit que c’était mon nom. Mes parents ont rectifié car ce n’est évidemment pas le cas dans cette vie-ci. Je n’avais pas plus de 4 ans à l’époque."
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Lun 09 Juin 2014, 7:29 pm
"Tandis que j’étais à mon poste dans la marine des Etats-Unis, j’ai mâché un œuf à la coque et je me suis étouffé. Je ne parvenais qu’à inspirer. Mes poumons se sont emplis jusqu’à ce qu’ils ne puissent plus le faire.
J’ai eu l’impression que je survivrais si je réussissais à sortir l’œuf de ma bouche. Je suis allé à une fontaine d’eau qui se trouvait à proximité et j’ai fait couler l’eau. J’ai essayé de boire et au moment où mes lèvres ont touché l’eau, j’ai reçu un choc de 120 volts. Mon idée immédiate a été que je venais d’être électrisé mais je m’attendais sans aucun doute à survivre.
Je subissais toujours l’impossibilité de respirer à cause de l’œuf localisé dans l’œsophage. J’en ai enlevé une partie avec un doigt, mais je ne pouvais pas respirer. A ce moment là j’ai commencé à paniquer, je ne voyais aucune solution pour réchapper de cet incident. J’ai pensé au Seigneur et je me suis dit : « Au moins je suis chrétien. ».
J’ai regardé dans la pièce contiguë et j’ai vu mon supérieur, assis sur une chaise pivotante, en train de travailler sur un message radio. Réalisant que je pouvais encore marcher, c’est ce que j’ai fait et j’ai atteint sa chaise. Je ne pouvais pas parler, j’ai donc utilisé le reste de mon énergie pour donner un coup de pied dans la chaise afin d’attirer son attention. Il a été projeté au sol et s’est retrouvé allongé à côté de la machine à écrire. J’étais sur le plancher près de mon supérieur car j’étais tombé également.
Un autre marin, nommé Joe, avait observé mes actes. J’étais alors immobile et ne respirais pas. Je saignais de l’os du nez car j’avais heurté le bureau en tombant. Quelques instants plus tard, Joe a appliqué sur moi ce qu’on appelle maintenant la procédure de réanimation cardio-pulmonaire. Un autre marin a appelé une ambulance.
Je me trouvais près du plafond de la pièce, en train de regarder les marins accomplir des gestes destinés à me sauver la vie. Je me sentais tout à fait bien. Je me suis rendu compte que le corps inconscient sur le sol était le mien, mais cela ne me préoccupait absolument pas. Je me voyais tel que les autres m’avaient vu. Cette fois, il n’y avait pas de reflet inversé comme lorsqu’on regarde dans un miroir. Je me sentais bien et tonique et j’ai bientôt perdu tout intérêt dans l’observations des marins qui travaillaient sur mon corps.
J’étais sous forme d’esprit, cependant, je me sentais vivant comme je l’avais été auparavant. Je suppose que je m’étais attendu à mourir, mais tout cela était tout neuf pour moi. J’apprenais rapidement cette nouvelle vie, sans m’inquiéter beaucoup pour quoi que ce soit.
Toutefois, cette nouvelle façon de vivre m’a déconcerté. Par exemple, si je pensais à une chose, je la réalisais automatiquement. J’ai regardé le mur près de moi et l’instant suivant je l’avais traversé. J’étais à nouveau dans la pièce où je me trouvais lorsque je me suis étouffé. J’ai flotté à volonté autour de la pièce. J’ai traversé les nombreux télétypes et radios sans aucun problème.
J’ai vu une zone sombre près de mon bureau et je suis dirigé vers elle. L’instant suivant, j’entrais dans une brume obscure. Une fois dedans, j’ai vraiment voulu en sortir. Cette chose m’engloutissait. J’avais l’impression d’être à l’intérieur d’une personne. J’étais inquiet et je regrettais l’esprit libre que j’avais été l’instant d’avant. Finalement, j’ai été libéré de cette zone chaude qui me comprimait. C’était comme si je m’étais trouvé dans une matrice, mais comment cela peut-il être imaginé ?
Immédiatement après, je me suis rendu compte que j’étais dans un tunnel. J’en estime la taille entre 1,80 m et 2 m. Je pouvais me mettre debout sans en toucher la partie supérieure. Je mesure 1,75 m. Immédiatement j’ai été projeté dans le tunnel bien plus vite que je ne l’aurais souhaité. La vitesse était énorme. J’étais effrayé. Quelque part pendant mon trajet dans ce tunnel, j’ai ralenti et je me suis arrêté, un homme m’a calmé et m’a dit que le voyage était presque terminé.
Je suis reparti à la même vitesse qu’auparavant. Je ne sais pas comment j’ai survécu à ce périple. La vitesse devait atteindre celle de la lumière et même plus. Je ne ressentais pas de forces d’accélération, seulement la crainte et l’exaltation d’une vitesse terrible. Finalement j’ai cessé de me déplacer dans le tunnel ce qui m’a fourni une bonne opportunité de l’examiner. Il ressemblait à un grand tuyau d’évacuation, comme celui d’un sèche-linge. La lumière ne venait pas de l’intérieur du tunnel mais provenait de l’extérieur, elle éclairait dedans.
Pendant le trajet dans le tunnel, j’ai entendu un fort bourdonnement qui m’a blessé les oreilles. Je me demande ce qui soutenait ce tunnel. J’ai alors commencé à marcher à la recherche du bout du tunnel. A ce moment là, je me trouvais dans une zone beaucoup plus vaste, enveloppée par une brume blanche et la lumière du jour. Toutes mes peurs du tunnel ont été amoindries par la lumière que je voyais. J’ai entendu des voix de personnes juste en dehors de cette zone.
Les voix m’encourageaient à venir en traversant la brume blanche. Je l’ai fait et j’ai vu environ une douzaine de personnes. Mon instinct me disait que tous étaient mari et femme. J’avais déjà vu ces personnes mais je ne pouvais me rappeler d’aucun nom. Un homme m’a dit de ne pas m’inquiéter de cette absence de souvenir des noms.
Bientôt, quelqu’un est venu pour moi. Cet homme avait environ 27 ans et il portait un Levis et un T-shirt blanc. Les douze autres personnes portaient des toges blanches. L’homme qui portait le Levis m’a expliqué qu’il était mon guide. Il m’a dit plus tard que j’allais rencontrer d’autres personnes mais il voulait que je marche avec lui pour voir ce nouvel endroit.
Nous avons marché dans le plus beau jardin floral que j’aie jamais vu. J’ai observé en détail les pétales des fleurs. En regardant l’herbe, je me suis concentré sur les brins et j’ai été émerveillé de la beauté de chacun d’entre eux. Cet homme et moi avons communiqué par transmission de pensée ainsi je l’avais fait avec le groupe des douze personnes.
J’ai vu au loin une ville avec de grands immeubles. Les immeubles étaient couleur d’or et mon guide m’a dit qu’ils étaient en or. Il m’a déclaré que si je le désirais, je pouvais souhaiter être plus proche de la ville et je le serais. Bien sûr, j’ai pensé à m’en rapprocher et soudain, je me suis retrouvé juste à la limite de la ville dorée. Dans le jardin de fleurs, j’ai vu des petites chutes d’eau qui étaient absolument à couper le souffle. Je me sentais tellement bien.
Plus tard, mon guide m’a fait aller en direction d’un homme, celui-ci m’a expliqué que j’allais pas passer ma vie en revue. Pendant cet examen qui a duré environ une seconde ou moins, j’ai revu tout ce que j’avais vu auparavant durant ma vie sur terre. J’ai revécu chaque conversation. J’ai vu chaque animal de compagnie que j’avais possédé. J’ai revu chaque vêtement que j’avais porté. J’ai revécu chaque cours que j’avais suivi à l’école. J’ai tout revu.
C’est là, dans cet immeuble, qui ressemblait tout à fait à une bibliothèque, que l’examen de ma vie a pris fin. C’est là également que j’ai appris que je n’allais pas rester dans cet endroit paradisiaque. J’ai été tellement déçu d’apprendre que je devais retourner sur terre. J’ai pleuré et insulté tous ceux qui m’entouraient. Mon guide est venu vers moi et m’a emmené voir deux camarades de classe décédés quatre ans auparavant.
Cela a été un choc pour moi de les voir en vie. Sur terre, ils avaient été joueurs de foot au collège. Un jour, ils sont arrivés en retard à l’entraînement et leur entraîneur leur a fait faire des tours de terrain après la séance. Ils sont donc arrivés aux vestiaires longtemps après que les autres joueurs en soient partis. Il n’y avait pas d’eau chaude pour les douches.
Ils se sont donc assis tous les deux en attendant que le chauffe-eau fournisse de l’eau chaude pour leur douche, ils ont été asphyxiés par les fumées qui s’échappaient du chauffe-eau au gaz naturel. Ironie du sort, le père d’un des garçons était le plombier qui, juste quelques jours auparavant, avait installé ce chauffe-eau, il devait revenir un autre jour pour installer le tuyau d’évacuation dans cette nouvelle salle de douches.
J’ai demandé à chacun d’entre eux pourquoi ils se trouvaient là alors qu’ils étaient censés être morts. Ils m’ont expliqué que personne ne meurt jamais. Les deux garçons avaient environ le même âge que la dernière fois où je les avais vus sur terre. Tous deux semblaient heureux et pleinement satisfaits d’être là.
Mon guide m’a ramené à l’endroit où j’avais revu ma vie. J’ai demandé une fois encore si je pouvais rester. Un homme m’a répondu que je devais retourner sur terre afin de finir de vivre ma vie. De mes classes de catéchisme m’était resté le souvenir que si une personne demande à voir le Seigneur, elle le voit.
J’ai demandé à voir JESUS.
Avec mon guide à côté de moi, j’ai marché ou flotté vers une petite estrade. Mon guide m’y a laissé. Je n’ai pas eu longtemps à attendre avant d’entendre une voix sur cette scène, à côté de l’endroit où je me trouvais.
Une brume s’est formée sur l’estrade et j’ai entendu une voix qui me demandait : « Peux-tu me voir. ». Je ne voyais que la brume et j’entendais la voix. La voix m’a demandé de mieux me concentrer et qu’alors je pourrais le voir. Peu après, j’ai vu JESUS debout devant moi. Il m’a demandé ce que je voulais de lui. Je lui ai répondu que j’avais appris que je devais retourner sur terre mais je ne voulais pas quitter cet endroit céleste.
Il m’a expliqué que je n’avais pas encore accompli les projets qu’il avait formés à mon égard pour le cours de ma vie. Je lui ai demandé quels étaient ses projets, il ne m’a pas répondu. Il a dit que je le saurai en temps utile, à un moment donné au cours de mon avenir. Il m’a demandé s’il pouvait faire autre chose pour moi. Comme à l’époque j’étais dans la marine des Etats-Unis, je lui ai demandé de me faire transférer dans l’état du Tennessee. Je lui ai expliqué que j’avais passé un mois dans cet état lorsque j’avais douze ans, que je voulais y retourner parce que cet état est magnifique. Il ne m’a pas répondu. Je lui ai demandé s’il l’envisageait.
Il m’a dit qu’il m’avait suffi de le dire une fois et que ce serait fait. JESUS m’a parlé de nombreuses évènements que j’allais vivre au cours de ma vie. Je me rappelle uniquement de ce qu’il m’a dit ensuite. Il m’a effectivement dit et je m’en souviens bien, de raconter à tout le monde ma rencontre avec lui.
Il sous entendait : dire aux gens qu’il est réel. Une autre chose que je n’oublierai jamais, est d’avoir ressenti le rayonnement de son amour tandis qu’il se tenait près de moi. C’était l’amour le plus parfait que j’aie jamais ressenti. JESUS m’a dit que j’allais bientôt être accompagné pendant mon retour chez moi sur la terre.
Deux hommes sont venus pour moi, ils m’ont expliqué qu’ils étaient mes anges gardiens. L’un de ces hommes était celui qui m’avait guidé auparavant. Je ne me rappelle pas être revenu sur terre par le tunnel. Nous avons voyagé à travers l’obscurité de l’espace.
Sur le chemin du retour vers la terre, nous nous sommes arrêtés pour discuter. Un des anges gardien m’a dit qu’un jour j’allais rencontre une femme et qu’elle deviendrait une amie très proche. Il m’a été dit que je n’allais pas la rencontrer tout de suite car elle était encore une très jeune fille. Cela se passait en 1957. Depuis lors, je l’ai recherchée et je pense l’avoir trouvée. Mais elle habite en Australie.
Je me suis réveillé sur une table d’examen à l’hôpital. J’ai demandé aux trois médecins si l’on m’avait administré un médicament qui pourrait me faire croire que je suis mort et que je suis allé au Paradis. Ils ont répondu non. J’ai dit : « Eh bien, je viens de revenir du Paradis. ». Deux médecins sont immédiatement sortis et le troisième m’a dit qu’il ne savait tout simplement pas quoi en penser."
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mar 10 Juin 2014, 8:53 pm
"Le matin du vendredi 13 novembre 1994, j’étais à bord d’un grand catamaran dans le port de Key West et je regardais une course de motonautisme. La météo était venteuse. Je me tenais à la poupe du navire, regardant vers l’arrière, la voile principale a basculé tout à coup, c’est à dire qu’un soudain changement de direction du vent l’a poussée de l’autre côté du bateau avec une vitesse et une force incroyables, l’extrémité m’a heurté le côté du crâne, me faisant tomber tête la première dans une trappe.
Heureusement, une personne à bord possédait un portable et du fait de la course, les garde-côtes se trouvaient à proximité, ils sont donc venus et m’ont emmené à terre, puis à l’hôpital. Je m’en souviens partiellement.
A l’hôpital on m’a examiné, on m’a fait passer un scanner CAT qui a montré une fracture du crâne multiple, les sinus emplis de sang etc.. On m’a ensuite raccordé à un électrocardiogramme dans une pièce contiguë. Dehors, il y a soudain eu un bruit d’hélicoptère et tout un pandémonium dans les Urgences. Juste après mon accident, un bateau à moteur de la course a fait un tonneau par l’avant, le pilote et le mécanicien ont été piégés sous l’eau pendant quinze minutes (l’un d’eux est mort). On m’a laissé seul dans la pièce.
Je me souviens d’avoir ensuite pu quitter mon corps et voler dans la pièce. J’étais ravi de pouvoir me propulser alentour. Je suis monté au plafond, j’ai vu de près les fixations de la lampe, j’en ai remarqué les détails, la constitution. J’ai ensuite regardé en bas et j’ai vu mon corps qui gisait toujours là, mais un homme ayant l’apparence d’un médecin était penché sur lui. Je suis descendu en « volant » pour voir de plus près.
Il était vêtu de ce qui m’a d’abord paru être un genre de blouse d’hôpital, elle était toutefois jaune, presque comme s’il y avait eu de l’or dedans. L’homme portait une coiffe sans rebord qui ressemblait un peu au genre de couvre-chef que portent les chirurgiens, mais celui-ci ressemblait davantage à un chapeau, il y avait des inscriptions dessus dans un alphabet que je n’ai pas reconnu, mais cela aurait pu être de l’Hébreu ou une langue apparentée.
Il tenait des objets qui ressemblaient à des aiguilles de crochet, elles étaient de couleur or ou bronze, il les utilisait pour faire quelque chose sur le côté de ma tête à l’endroit où j’avais été heurté. Ensuite il m’a dit (quelque chose du genre) : « Bon ! Tu n’auras pas beaucoup de chances de guérir d’une telle blessure une seconde fois, tu dois être bien plus prudent à l’avenir, sinon tu ne seras pas en mesure d’accomplir ce que tu as à faire et ce ne sera pas bon. ». C’était comme s’il ne l’avait pas dit avec autant de mots, mais je l’ai compris en tant que phrases complètes.
Il a ensuite dit: « Maintenant cesse de perdre ton temps à voleter partout ainsi, retourne dans ton corps, demande de l’eau et une couverture à quelqu’un. ». J’ai fait ce qu’il m’a dit, en un instant il a disparu et j’ai senti que je me glissais dans mon corps.
Bientôt, une infirmière est passée près de moi, je lui ai demandé de l’eau et une couverture. Elle m’a amené la couverture (qui m’a vraiment fait du bien) et m’a laissé m’humecter la bouche avec un peu d’eau. Ensuite je me suis endormi. Plus tard on m’a emmené à l’étage. A cause de mon état de confusion, j’ai passé neuf heures aux Urgences."
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mer 11 Juin 2014, 8:30 pm
"Un jour en semaine, je me suis éveillé vers 7 heures avec des difficultés à respirer (j’étais comme d’habitude sous traitement permanent contre les crises d’asthme). J’ai réveillé ma mère et je lui ai demandé qu’elle me fasse quelques pulvérisations et des Fedrabarb. Ces derniers n’ont pas fonctionné, il a donc fallu que j’aille à nouveau voir les médecins, je finissais souvent chez eux mais très rarement à l’hôpital.
Je suis arrivé chez les médecins vers 8 h 30, on m’a fait attendre jusqu’à 10 h 30, puis un médecin a remarqué que je n’allais pas bien, je devenais bleu. On m’a donc emmené d’urgence en salle d’opération et on m’a fait des injections, j’ignore ce dont il s’agissait, mais cela n’a pas fonctionné et mon état a lentement empiré.
Vers 11 h 30, ma mère n’a plus voulu attendre l’ambulance qui devait m’emmener à l’hôpital, elle m’y a amené d’urgence dans sa propre voiture, tandis qu’elle accourait dans le hall, on lui a dit de monter directement par l’ascenseur. Lorsque nous y sommes entrés, ma mère m’a dit : « C’est bon maintenant, tout va bien se passer. ». Je savais cependant qu’elle n’en était pas sûre, elle tentait de me rassurer. Je me suis donc détendu, je me suis laissé aller tout en murmurant : « Merci maman. ».
C’est à cet instant que j’ai été entraîné en arrière vers le bas (mais latéralement) loin de mes yeux. Je descendais un tunnel à une vitesse stupéfiante (c’était comme si tout bougeait, sauf moi) laissant mes yeux derrière moi, semblables à 2 petits trous très éloignés, jusqu’à ce qu’ils disparaissent totalement (je pouvais cependant toujours entendre ce qui se passait de façon assourdie).
Après un laps de temps de 5 minutes m’a-t-il semblé, je suis arrivé dans un endroit que je voyais mais que je ne pouvais pas sentir ou ressentir, j’éprouvais une joie et un amour écrasants se déversant sur moi comme un fleuve traversant mon corps. J’avais conscience de la présence de « ma dame en blanc », elle était arrivée et m’accueillait. Ce n’était pas une communication verbale, c’était plutôt comme si je sentais ce qu’elle souhaitait.
Avant même que j’aie terminé de les penser, j’avais l’impression de connaître les réponses à mes questions, comme si je les avais toujours su. On m’a demandé si j’aimais cet endroit et si je souhaitais rester. Je le voulais bien sûr, toutefois, il semble qu’on m’ait averti qu’en cas de retour, je ne pourrais pas emporter cette connaissance. Je connaissais également le sens de la vie, ce que j’aurais à faire si je revenais, cependant, c’était avant tout une hypothèse car en fait je ne voulais pas vraiment repartir.
Là bas, j’ai eu l’impression que l’expérience avait duré très longtemps, environ 2 heures, la plupart des souvenirs y sont restés, mais dans ce monde-ci cela a duré environ 15 minutes. Ces entités, esprits, ou quel que soit le mot que l’on emploie pour désigner ces êtres, n’étaient pas faits de chair et ne semblaient pas sujets aux limitations physiques, comme celles que nous subissons. Quand j’étais là bas, en fait j’étais comme eux.
J’ai été préparé à cette expérience à peu près sur les 4 années la précédant, depuis l’âge de 3 ans, j’étais visité par une dame en robe blanche avec capuchon, elle portait une corde en guise de ceinture et des sandales aux pieds, pas une fois elle ne m’a parlé, elle n’en avait pas besoin, on aurait dit que je savais qu’elle gardait un œil sur moi.
Quoi qu’il en soit, il était temps pour moi de leur répondre concernant ce que je souhaitais faire : soit rester, soit repartir. C’est à ce moment, à l’étage supérieur de l’hôpital principal du mont Isa, que j’ai entendu un médecin annonçant mon décès à ma mère, il a ajouté qu’il était désolé (à mon retour, j’ai demandé à ma mère si j’avais été mort parce que j’avais entendu le docteur le dire), cela a été un choc pour elle. Pas autant cependant que lorsque je suis revenu.
Ayant entendu les pleurs désespérés de ma mère, j’étais devenu hésitant face aux entités, elles ont souri et ont semblé comprendre, je me suis alors retrouvé sur le chemin du retour, redescendant le tunnel (beaucoup plus vite, cette fois, cela n’a semblé durer que 30 secondes), au point d’arrivée, j’ai pris une profonde inspiration, j’ai levé les yeux vers ma mère, puis j’ai perdu connaissance. J’ai dormi pendant 2 jours comme si rien ne s’était passé, l’asthme n’a plus jamais menacé ma vie depuis lors.
J’aimerais ajouter quelque chose : concernant ma présence là-bas, je sais qu’il s’agissait de l’existence réelle, par exemple, lorsque je suis revenu, je souffrais dans tout le corps (pas de la lutte pour respirer, mais de la gravité), c’était comme si je me trouvais dans un monde onirique, depuis lors, je vois ce monde comme n’étant pas tout à fait représentatif de ce que les choses sont réellement, ici c’est un rêve en comparaison de la netteté des pensées là-bas."
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Lun 16 Juin 2014, 3:12 am
"J'étais “mort” et tout d'un coup, je flottais, sur une diagonale, au-dessus des trois gars adolescents qui m'avaient attaqué (et leur berger allemand), à environ deux mètres au-dessus de leurs têtes. Tout devint immobilisé, comme un calme de mort, au cours des événements, le temps et l'espace se sont arrêtés.
Je pouvais tout de même bouger moi-même, complètement libre, libre de l'inertie et des limites habituelles du corps.
J'ai regardé en bas vers mon corps – comme si ce n'était pas le mien – et ne ressentis absolument aucune peine, aucun regret pour lui, pas de douleur, ou quoi que ce soit d'autre. J'ai juste réalisé que mon corps était allongé là sur la pelouse. Rien de plus, rien de moins. Ça peut paraître étrange maintenant, mais à ce moment-là, tout paraissait être évident.
Au moment même où le monde se tenait là derrière moi, dans son état “gelé”, je me suis retrouvé moi-même encerclé par une chaleur absolue, dans un état de satisfaction et de légère tiédeur. Je continuais encore à “flotter” (ex.: comme si j'étais “suspendu” là dans l'air).
Je me suis retourné/ mon vrai moi/ ma conscience (mon moi complet était comme une conscience unique – pas de corps, pas d'extension, pas de début ni de fin dans cette conscience qui était moi) et j'ai vu droit devant, un peu vers le haut (je me rappelle avoir jeté un coup d'œil vers le haut), une “lumière” indescriptible, comme une ouverture sur une autre dimension, sur un monde complètement différent, et, il y avait un visage.
Je n'oublierai jamais ce visage! Il était tellement accueillant, un sourire d'amour non-exigeant, chaleureux... Dans ce visage attirant, comme dans toute l'expérience, il n'y avait rien d'autre qu'un amour complet pur et total, une compréhension illimitée, de la gentillesse, et une affection réelle, un humour compatissant et chaleureux. Je pleure maintenant tandis que je m'en souviens (bien que je ne croyais pas pleurer, après toutes ces années!).
Il y avait une communication directe silencieuse, que je ne suis pas capable de “traduire” en mots écrits ou parlés, ni surtout en image. J'ai juste senti, de ce merveilleux visage, que j'étais à la fois bienvenu et attendu; exactement comme si j'avais vu ce visage auparavant, et beaucoup plus encore... Comme si tout était si connu, si familier et si évident.
Presque comme si j'avais été loin dans un long, long voyage dans un pays étranger, et après un certain temps, j'étais finalement encore revenu! La maison, où tout était si connu et en sécurité. J'ai ressenti la joie exubérante de retourner à la maison, d'être capable de revenir.
Soudain sur ma droite, un peu plus loin du visage, une “porte” s'ouvrit (ou plutôt une entrée, une ouverture sans porte), et elle se rapprochait de moi, par ex. l'entrée devint de plus en plus grosse (ou c'était moi qui m'approchait de l'entrée – difficile à savoir parce que je n'avais besoin de faire aucun mouvement d'aucune sorte, que ce soit flotter, voler, nager, marcher, etc. Je voulais juste aller là-bas – parce que j'étais curieux de ce qui existait de l'autre côté de la “porte” - et donc, immédiatement, j'étais là à l'entrée.
En premier, j'ai seulement pu détecter une énorme “foule de gens” de l'autre côté de l'ouverture. Puis, quand j'étais sur le bord, j'ai vu là un monde entier, comme je le décrirais maintenant. Certaines “créatures” se tenaient du côté intérieur de l'entrée – je suppose qu'ils étaient des anges, bien qu'ils n'avaient pas d'ailes, etc., juste des visages heureux merveilleux et des corps qui ressemblaient aux corps humains. Ils me sourirent d'une manière accueillante et affectueuse. J'ai jeté un regard à travers l'ouverture mais n'y suis jamais rentré.
Puis, j'ai vu cela! Un “monde” infini d'anges se tenait là, des millions, trillions de créatures. Et tout et tout le monde était dans cette indescriptible lumière pure et magnifique, comme l'argent; oui, je ne peux tout simplement pas trouver de mots pour décrire cela. Le plus remarquable de tout et en même temps merveilleux: il semblait que tous ces anges m'attendaient! Le petit moi!
C'était comme si ils me montraient – ou me rappelaient – ce qui m'attendait après pour moi, quelque chose que j'ai senti sous une forme immédiate... En même temps, il apparut comme s'ils savaient que mon “heure” n'était pas encore arrivée. J'ai d'abord été surpris, peut-être désappointé ou quelque chose comme ça, mais je me suis réconcilié avec cela et accepté le fait.
Pas parce que c'était leur décision, mais parce que c'était ma propre décision. Ils m'avaient reçu dans ce “maintenant” ou quoi que ce soit d'autre que je puisse l'appeler, mais pour une certaine raison, je devais retourner sur terre (et, donc, dans mon corps). C'était comme si ils me rappelaient juste ma propre décision!
En un instant, j'étais dans mon corps, me levais, et partit si vite de cet endroit que pas même un chien ne m'aurait rattrapé.
Pendant le procès suivant au tribunal d'instance, quand ils examinèrent en détail chaque morsure, chaque coup, contre ma tête et ma poitrine, il a été établit que “la maltraitance devrait être estimée comme hautement sévère”. Certaines des morsures contre ma tête auraient dû me tuer. Et je n'avais même pas été à l'hôpital! Manifestement, je n'en avais pas besoin. Je n'avais ni blessures internes, ni externes. Je pouvais courir et parler normalement. Il s'est passé que j'ai seulement craché quelques glaires et du sang. C'était tout."
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Lun 16 Juin 2014, 9:14 pm
"J'ai entendu, et j'ai vu le docteur qui me donnait un excès d'anesthésique, et puis le chirurgien qui lui a dit: «Imbécile, tu lui en as trop donné , tu l'as tuée». De suite, je me trouvais dans un tunnel, noir et velouté. Tout noir, mais doux comme du velours. Il y avait un bruit semblable au passage de mille trains à la fois, et moi au milieu du bruit, c'était affreux, et d'une durée quasiment interminable.
Puis j'ai été poussée, apparemment, et enveloppée davantage de velours noir. Sur la droite du tunnel, je voyais des solutions écrites aux problèmes algébriques qui m'avaient causé tant de difficultés en secondaire, et qui se distinguaient en brillantes lumières de néon. Il y avait quelques autres écritures, mais j'en ignore la signification. J'ai toujours aimé les enseignes en néon.
En même temps, une voix aimante, tout à fait bienveillante et omniprésente m'a dit: «Judi, toutes ces choses n'avaient pas d'importance, à la longue. Tu as tout le nécessaire». Il m'a tout simplement rassurée que je n'étais pas stupide, ni «lente», comme disait la famille. Il m'a dit que ce que je faisais était plus important. Il m'a expliqué que si ma sœur et mon ex-mari étaient plus instruits que moi, cela n'empêchait pas que je sois plus instruite quand il s'agissait du Seigneur.
J'étais si paisible, le Seigneur a ri, non pas à mes dépens, mais en quelque sorte en sympathie avec moi. Je savais simplement qu'il voulait me communiquer que j'avais une raison d'être qui le servait, LUI... j'avais l'impression de rester en ce lieu pendant des heures. Jamais, ni avant ni depuis ce moment-là, je n'ai vécu une telle paix, une telle liberté, jamais.
Puis j'ai vu une brillante lumière, plus lumineuse que le soleil vu de face. Il y avait de part en part une lueur bleue et douce. Puis j'ai senti comme deux mains géantes qui me berçaient, et qui me donnaient le choix, soit de rester là, soit de retourner. Rien que de penser à quitter ce lieu me déchirait le cœur.
Alors il m'a dit «J'ai besoin de toi pour élever tes deux fils» (je n'avais qu'un seul fils à l'époque)... C'était triste de vouloir obéir au Seigneur, en revenant ici-bas. C'est son amour qui m'a permis de faire le choix de retourner. D'un coup, j'étais de nouveau dans la salle d'hôpital, où me soignaient des infirmières et des médecins."
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mar 17 Juin 2014, 8:44 pm
"A l’époque de cette expérience, je travaillais dans un emploi très stressant, j’arrivais juste de l’étranger après de nombreux mois de déplacements mouvementés et de lourdes négociations incessantes. Le soir suivant, je venais de coucher mes jeunes enfants dans mon lit et je me suis moi-même endormie.
Mon mari est arrivé quelques minutes plus tard et il a commencé à emmener les petits dans leur chambre. Quand il a pris le premier, la chair du côté droit de mon corps s’est mise à « hurler ». J’avais l’impression qu’elle se tordait sur elle-même. J’ai presque immédiatement jailli hors de mon corps.
J’ai fusé par le haut de la tête, à travers le mur de la maison (le lit était installé contre ce mur), je me suis mise debout et j’ai parlé à une silhouette humaine, semblable à un nuage aux contours bleus (j’ai fini par comprendre qu’il s’agissait de l’un des mes anges gardiens).
Je lui ai demandé de l’aide parce que mon corps était en train de mourir (je n’avais aucun doute sur son désir ou sa capacité à m’aider). Il m’a répondu « Pendant si longtemps Il t’a demandé de partir. Maintenant, regarde ce qui t’arrive. ».
Immédiatement j’ai su que je le connaissais, qu’il me connaissait, qu’il était bien et dans l’ordre des choses qu’il en soit ainsi, j’ai su qu’il faisait référence au travail que Dieu m’avait ordonné de quitter en janvier 1997. Mais j’avais tenté de me défiler afin de le conserver. J’étais contrariée parce qu’à ce stade critique, j’avais le sentiment qu’il était injuste de me sermonner.
J’ai donc dit : « D’accord, d’accord, je vais partir, je vais le quitter. Aide-moi juste en pour mon corps. ». Il m’a dit de retourner dedans et d’essayer d’appeler mon mari. C’est ce que j’ai fait, mais le côté gauche de la bouche me faisait « défaut », je ne le maîtrisais pas et je ne parvenais pas à articuler.
J’ai bondi hors de mon corps en disant que la bouche ne fonctionnait pas. A travers le mur de la maison, je voyais l’intérieur notre chambre, mon mari était toujours là en train d’emmener les enfants, l’ange m’a dit de repartir et d’essayer avec le cerveau. Je suis retournée à l’intérieur et j’ai essayé d’appeler mon mari avec mon cerveau, mais j’avais l’impression d’un vieux disque qu’on passe à vitesse trop basse.
A nouveau je suis sortie de mon corps en pensant : « Eh bien ! C’est fini – Adios amigos. ». Je lui ai dit que le cerveau ne fonctionnait plus, il a alors répondu « D’accord, retournes-y, je m’en occupe. ».
J’ai à nouveau pénétré à l’intérieur de mon corps, bizarrement j’étais capable d’avoir des pensées « localisées » (pas à distance comme lorsqu’on essaie d’appeler quelqu’un). J’ai demandé à Dieu que je ne meure pas, mais s’il le fallait quand même, de me laisser tenir jusqu’au matin, afin que mes enfants ne subissent pas le traumatisme de la mort de leur mère durant la nuit, sans pouvoir dire adieu.
J’ai dit : « Père, que ta volonté soit faite, pas la mienne, je remets mon esprit entre tes mains. ». Ensuite, je n’ai eu conscience de rien jusqu’à ce que mon mari se mette au lit. L’ensemble a duré environ vingt minutes.
Quand mon mari s’est couché, apparemment j’avais été réanimée, je lui ai dit que je ne me sentais pas bien (il a confirmé cette déclaration le lendemain matin), il semble que j’aie perdu à nouveau connaissance. Lors de mon souvenir suivant, j’ai compris que je m’étais réveillée. C’était le matin et j’ai vérifié pour savoir si j’étais « encore bien ici ».
Je suis sortie dehors pour « découvrir le monde », je me sentais un peu fatiguée comme si je venais de courir. A l’extérieur, les montagnes, les arbres et les fleurs paraissaient plus brillants et j’étais heureuse d’être de retour. J’ai appelé ma sœur (qui est médecin) et je lui ai dit ce qui s’était passé.
Elle m’a fait passer une série d’examens, comme elle a trouvé mes réactions trop lentes du côté gauche, elle m’a immédiatement envoyé passer un scanner CAT. Celui-ci a montré un endroit calcifié (durci) dans le cerveau. Les examens ultérieurs : EEG, ECG et résonance magnétique ont été totalement négatifs."
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claudem_1 Membre Actif
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mer 18 Juin 2014, 3:30 am
Vous devriez réfléchir aux déclarations concernant “ le ciel ” et le “ ciel des cieux ”. Le ciel conçu par la plupart de vos prophètes était le premier monde des maisons du système local. Quand l'apôtre parle d'être “ enlevé au troisième ciel ”, il se référait à une expérience où son Ajusteur s'était détaché pendant le sommeil et, dans cet état insolite, avait fait une projection sur le troisième des sept mondes des maisons. Certains de vos sages ont eu la vision du plus grand ciel, “ les cieux des cieux ”, dont l'expérience du septuple monde des maisons n'était que le premier ciel. Le second était Jérusem, le troisième Édentia et ses satellites, le quatrième Salvington et les sphères éducatives qui l'entourent, le cinquième Uversa, le sixième Havona, et le septième le Paradis.
LU
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mer 18 Juin 2014, 6:11 am
claudem_1 a écrit:
Vous devriez réfléchir aux déclarations concernant “ le ciel ” et le “ ciel des cieux ”. Le ciel conçu par la plupart de vos prophètes était le premier monde des maisons du système local. Quand l'apôtre parle d'être “ enlevé au troisième ciel ”, il se référait à une expérience où son Ajusteur s'était détaché pendant le sommeil et, dans cet état insolite, avait fait une projection sur le troisième des sept mondes des maisons. Certains de vos sages ont eu la vision du plus grand ciel, “ les cieux des cieux ”, dont l'expérience du septuple monde des maisons n'était que le premier ciel. Le second était Jérusem, le troisième Édentia et ses satellites, le quatrième Salvington et les sphères éducatives qui l'entourent, le cinquième Uversa, le sixième Havona, et le septième le Paradis.
LU
Les témoignages sont intéressants dans le sens où ils montrent le niveau de conscience acquise de la personne. Dans ce sens, ils sont évidemment tous différents.
L'objet de ce sujet consiste à donner une petite ouverture sur l'immédiate après-mort de centaines de personnes.
claudem_1 Membre Actif
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mer 18 Juin 2014, 6:17 am
CHRISTOPHEG a écrit:
claudem_1 a écrit:
Vous devriez réfléchir aux déclarations concernant “ le ciel ” et le “ ciel des cieux ”. Le ciel conçu par la plupart de vos prophètes était le premier monde des maisons du système local. Quand l'apôtre parle d'être “ enlevé au troisième ciel ”, il se référait à une expérience où son Ajusteur s'était détaché pendant le sommeil et, dans cet état insolite, avait fait une projection sur le troisième des sept mondes des maisons. Certains de vos sages ont eu la vision du plus grand ciel, “ les cieux des cieux ”, dont l'expérience du septuple monde des maisons n'était que le premier ciel. Le second était Jérusem, le troisième Édentia et ses satellites, le quatrième Salvington et les sphères éducatives qui l'entourent, le cinquième Uversa, le sixième Havona, et le septième le Paradis.
LU
Les témoignages sont intéressants dans le sens où ils montrent le niveau de conscience acquise de la personne. Dans ce sens, ils sont évidemment tous différents.
L'objet de ce sujet consiste à donner une petite ouverture sur l'immédiate après-mort de centaines de personnes.
OK. J'ai vécus des expériences qui ressemblent à des sorties hors corps..environs cinq. Mais pas de mort imminente.
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mer 18 Juin 2014, 6:20 am
claudem_1 a écrit:
CHRISTOPHEG a écrit:
Les témoignages sont intéressants dans le sens où ils montrent le niveau de conscience acquise de la personne. Dans ce sens, ils sont évidemment tous différents.
L'objet de ce sujet consiste à donner une petite ouverture sur l'immédiate après-mort de centaines de personnes.
OK. J'ai vécus des expériences qui ressemblent à des sorties hors corps..environs cinq. Mais pas de mort imminente.
Oui. La mort imminente n'est pas obligatoire. On peut parler aussi de OBE (expérience hors du corps).
J'ai même entendu parler d'un suisse qui le fait sur commande. C'est dire.
La profondeur de l'expérience dépend du temps passé hors du corps (même si le temps n'existe pas dans le monde absolu).
Tu le sais, nous sommes à la veille d'une grande révolution spirituelle.
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Mer 18 Juin 2014, 8:15 pm
"Le dernier moment de conscience avant expérience a été de voir le personnel médical qui roulait mon lit dans les couloirs très rapidement pour m'emmener au sous-sol en réanimation (à partir de ce moment-là, je n'ai plus du tout de notion de temps, ni de lieu).
Quand ma conscience réapparait je suis dans un tunnel large et qui se rétrécit au loin (les parois du tunnel sont sombres comme capitonnées et luisantes, comme si j'étais dans un intestin humain propre bien entendu) et je me sens très bien, en apesanteur comme si une force (mais douce) me pousse à une vitesse indescriptible.
Vers le bout du tunnel apparait une lumiére très blanche où je veux aller car je sais que dans cette lumière ce sera le bonheur, l'amour, le bien être total. La lumière grossit de plus en plus et très très vite et hop me voilà assise au bord de mon tunnel; les jambes pendantes, je sens dans mon dos le tunnel noir et devant la lumière blanche douce qui m'englobe, chaude, paisible, qui ne m'éblouie pas, qui me procure un bien-être total (la définition de l'amour universel, le bonheur que j'ai recherché toute ma vie).
Je suis émerveillée, je contemple la douceur de cette lumière et j'écoute une musique magnifique qui me comble de bonheur, une musique qui ne peut pas exister sur la terre tellement elle est belle. Puis je vois sur ma gauche arriver du fond de la lumière et qui se rapprochent doucement de moi d'abord des formes humaines, des hommes, femmes, enfants, jeunes, agés;ils me regardent avec une très grande bonté, comme s'ils avaient énormément d'amour pour moi et entre eux; ils viennent m'accueillir avec bienveillance pour que je rejoigne leur groupe: ils sont souriants, calmes,tous habillés de blanc.
Je les regarde car je cherche si je les connais; en fait je sais que je cherche mon père décédé, ma sœur décédée, ma grand-mère ;je ne les vois pas mais le groupe qui marche doucement défile devant moi et je suis un peu déçue de ne pas voir ma famille, mais je me dis ils vont arriver car les personnes continuaient de défiler en me souriant donc je suis paisible.
Puis soudainement je vois, à droite cette fois-ci un mouvement dans la lumière , je regarde et tout doucement, comme sortant de la lumière un être lumineux en habit de lumière grand, serein, un homme de lumière qui ne me fait pas peur du tout (car pour moi c'est la sécurité paternelle) me dit avec une voix grave et douce en même temps "ce n'est pas encore le moment pour toi, tu as encore beaucoup de choses à faire sur la terre !"
Ce n'est pas un ordre, c'est comme un constat, une évidence, une logique totale. Je le regarde, il est bienveillant comme un père qui vous protège; je suis déçue car j'ai envie d'aller dans la lumière(je suis toujours assise au bord de mon tunnel) mais j'attendais que ma famille passe pour sauter en plein dedans et rester là avec eux dans cet endroit merveilleux ou tout n'est qu'amour et douceur.
Puis je me retourne vers le tunnel et hop .... plus rien...nouvelle reprise de conscience je suis dans mon lit en réanimation, la gorge me fait mal ... je me dis "j'ai été intubée".
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Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Jeu 19 Juin 2014, 9:43 pm
"Je me rappelle clairement, même si c’était au début, de m’être trouvé dans un grand vide obscur. Il y avait du danger ou des aspects/entités/êtres négatifs mais je ne souviens pas les avoir vus ou rencontrés, j’en étais seulement conscient.
Ensuite je suis rapidement passé à un chaud sentiment de lumière et d’amour absolu. En chemin, toutefois, j’ai été stoppé. Des êtres qui semblaient constitués à la fois de lumière et d’amour, ainsi que certains membres décédés de ma famille, avaient formé un demi-cercle, ils m’ont arrêté juste devant eux. Les membres de ma famille ressemblaient à ce qu’ils avaient été sur terre mais ils n’étaient pas matériels, tous rayonnaient une grande quantité de lumière, de sérénité.
J’ai vu ma tante décédée à 7 ans, une année avant ma naissance. J’ai décrit avec précision à ma famille les vêtements et les quelques bijoux qu’elle portait le jour de sa mort, ce qui fut confirmé. Il était impossible d’obtenir ces information sans l’avoir vue. Ils semblaient m’accueillir.
Les êtres de lumière qui les accompagnaient paraissaient n’avoir jamais été dans un corps matériel. On pourrait les décrire comme des anges. Même s’ils n’avaient pas d’ailes, je comprends toutefois l’origine historique de cette représentation.
L’amour rayonnant de leur cœur était si puissant et si vaste qu’il environnait la partie supérieure de leur corps, presque comme des ailes. C’est un peu embrouillé ensuite. Il semble que je les aie quittés avant de revenir vers eux plus tard, je ne me souviens pourtant pas de m’être déplacé.
Je suis allé vers la lumière qui les surplombait, elle n’était que pur amour inconditionnel et acceptation. En allant vers elle je n’avais pas peur, mais je me rappelle avoir dit/pensé que j’étais désolé pour tout ce que j’avais fait de mal dans ma vie. A ce moment-là j’ai vécu un passage en revue partiel de ma vie.
J’ai revécu de nombreux évènements de ma vie, non pas comme je m’en souvenais, mais de la façon dont les personnes, les animaux et l’environnement en avaient fait l’expérience autour de moi. J’ai éprouvé cela comme si c’était moi. Lorsque j’avais rendu les autres heureux et tristes, j’ai tout ressenti comme eux.
Il était tout à fait évident que chacune des pensées, paroles et actes influencent tout autour de nous, l’univers tout entier en fait. Les arbres, les plantes, les animaux également. Cela fait longtemps que je suis végétarien, depuis l’âge de 18 ans, je sais que ce fut apprécié et que c’est un bon choix de vie.
Spirituellement cela paraissait une preuve de respect pour toute vie, semblant même contrebalancer certaines choses négatives et méchantes que j’avais commises dans ma vie.
Au cours du passage en revue de la vie, on se juge soi-même ; personne d’autre ne le fait, la lumière/dieu ne le fait pas, mais sans ego ni mensonge on ne peut se cacher de ce que l’on a fait, on ressent du remord et de la honte, particulièrement en présence de cet amour, de cette lumière.
Certaines choses que l’on considère comme importantes dans la vie, ne paraissent plus aussi importantes là-bas. Mais certaines choses, insignifiantes du point de vue matérialiste humain, sont très importantes spirituellement.
Après ce passage en revue, il est plus ou moins apparu un équilibre entre le mal que j’avais fait et la quantité de bien que j’avais malgré tout accompli également. Comme j’étais sincèrement désolé, j’ai commencé à me rapprocher de la lumière, c’est au-delà de toute description, l’amour, l’acceptation et l’unité de toute chose sont tellement profonds.
Il semble qu’ensuite j’étais pratiquement à côté de la lumière/l’amour (j’hésite à utiliser le mot Dieu car il n’y a pas de jugement et nous créons nous-même le monde bien plus que je ne le pensais auparavant. Nous pouvons créer un paradis ou un enfer en fonction de nos actes dans la vie. Les champs de disette en Afrique avec des enfants faméliques qui meurent, les maladies atroces et la guerre constituent un enfer, la béatitude allègre de l’amour et du soutien sont le paradis sans-doute ?
C’est nous qui le créons, personne d’autre. Par ailleurs, Dieu est considéré comme distinct, alors que j’ai fait l’expérience de l’unicité de cet amour et lumière, c’est en chacun de nous et nous le refoulons ainsi que je vais le décrire plus bas.
J’étais prêt à commencer à fusionner avec l’amour et lumière, mais pas complètement, il semble que je l’aie fait pendant un moment (bien que le temps tel que nous le connaissons n’existe pas là-bas).
Le sentiment d’unicité, d’amour, de béatitude est profond. Je savais que si je fusionnais complètement, « je »allait disparaître, devenant un avec l’amour lumière et le tout. Etre si proche, baigner dedans, c’est une expérience que je ne pourrai jamais exprimer ou décrire correctement.
Tandis que j’en étais proche, m’en rapprochant de plus en plus, m’y exposant j’ai pris conscience de la terre loin en-dessous de moi/nous. J’ai alors posé de nombreuses question auxquelles il a été répondu, quoi que je veuille savoir et comprendre.
Je me souviens nettement d’avoir tout compris. Ces informations semblent toutefois avoir été bloquées en revenant dans une forme matérielle, pourtant je sais que je comprenais tout à ce moment-là.
En voyant la terre, j’ai pris conscience de plusieurs choses. Je voyais de nombreux êtres spirituels qui quittaient leur corps également et s’éloignaient de la terre. Beaucoup d’entre eux cependant ne paraissaient en mesure ni de voir la lumière, ni au-dessus d’eux.
Il y avait presque des sortes de nuages au-dessus de leur tête, comme des nuées cachant un soleil toujours présent mais qu’on ne peut voir. J’avais tout à fait conscience que ces nuages représentaient leurs schémas de pensée, de sentiments. Plus ils étaient furieux, haineux, amers etc. plus les nuages étaient gros et sombres, ce qui constitue simplement une autre représentation de leur état d’esprit.
Les plus négatifs paraissaient aussi regarder vers le bas, pas même vers le haut. Je ressentais leurs sentiments, leur colère et je voulais qu’ils regardent vers le haut, qu’ils voient l’amour, qu’ils viennent vers la lumière, mais je ne parvenais pas à leur faire passer ce message. Il s’agit d’une partie de l’expérience qui n’est pas agréable. Ces êtres négatifs semblaient provenir de la terre et descendre en s’éloignant de la lumière, j’avais conscience qu’ils allaient vers un vide/ une obscurité/ subissant les rotations perpétuelles de leur vécu/état d’esprit sur ce tourne-disque négatif, pour ainsi dire des habitudes de pensées et de sentiment. Je savais qu’ils allaient vers un endroit pareil à l’enfer, mais je n’ai pu le voir, ou bien cela a été bloqué dans mes souvenirs. L’amour et lumière ne voulait pas qu’ils vivent cela, il faisait tout ce qu’il pouvait pour les faire venir à lui. Mais eux ne le pouvaient, ou ne l’acceptaient, ou ne le voyaient pas. Il était évident que c’était eux-mêmes qui créaient cette expérience, non pas un diable distinct ou un dieu qui les aurait punis. Peut-être qu’avoir revu leur vie les avait emplis de tant de remords qu’ils devaient se punir eux-mêmes. Peut-être dans ce passage en revue de leur vie n’avaient-ils eu aucun remord mais simplement de la colère contre d’autres se réjouissant de leur souffrance ou de leur chute.
Je sais par-contre que c’était leur propre choix, leur création, pas le choix extérieur d’un dieu ou d’un diable. Je n’ai vu aucun diable ou être distinct qui les aurait appelés. Ils ne pouvaient simplement pas voir la lumière, leur esprit/cœur était obstrué par leurs pensées, habitudes actuelles et passées, c’était tellement intense, évident pour moi, mais eux ne pouvaient tout simplement pas le voir. Peut-être était-ce dans cette direction que j’allais, ou ce que je vivais au début lorsque j’étais dans le vide, que j’avais conscience d’entités/êtres négatifs. Je ne suis pas un saint et j’ai fait beaucoup de mal dans ma vie, je ne comprends donc toujours pas pourquoi je n’ai pas été ainsi moi-même.
Certains allaient vers la lumière ou, regardant vers le haut, n’avaient aucun tourbillon sombre ou seulement un peu d’énergie au-dessus et autour de la tête. Mais dans mon souvenir, il ne s’agit là seulement que d’un très petit pourcentage, peut-être 1 pour 100, ou moins. Ce qui suit me laisse inquiet aujourd’hui encore, j’ai en effet peur de devenir l’un de ceux qui ne voyaient pas.
J’ai également pris conscience d’êtres, principalement des humains, toujours en vie sur terre. Une fois encore, je voyais soit de la clarté ou de la lumière autour d’eux, soit les obscurs tourbillons de l’énergie des pensées. A nouveau très, très peu paraissaient être positifs. Une poignée sur chaque continent semblait être sous forme matérielle et capable de voir la lumière tout en étant vivant, ils regardaient vers le haut en souriant, étant conscients de la lumière, sans pensée/énergie négative sombre autour d’eux, peut-être 10 ou 20 dans le monde entier.
Le reste de l’humanité constituait un mélange, mais la majorité regardait vers le bas environnée par beaucoup de noirceur. J’ai ensuite compris que nous étions en fait dans une époque importante sur terre. Il existe d’autre planètes, d’autres êtres ailleurs, mais pour les humains sur la terre il s’agit d’un âge très important. Nous semblons être au bord du précipice, le choix entre la destruction totale ou une voie meilleure se trouve sur le fil du rasoir. L’amour/lumière ne va rien nous faire de mal, il ne va pas nous frapper, c’est nous qui faisons tout, qui créons tout. Nous choisissons par notre amour pour autrui, par le soutien ou par l’égoïsme. On m’a informé de certaines choses très importantes à venir, mais encore une fois cela a été bloqué.
En regardant cela (ce qui s’est probablement produit en moins d’une seconde, car le temps est tellement différent là-bas), je me rapprochais de la lumière tout en m’en détournant pour observer ce qui se passait sur terre, ainsi que les âmes quittant le monde matériel. J’éprouvais un tel amour pour tous les êtres, une telle tristesse, douleur et confusion à l’égard de ceux qui ne pouvaient voir l’amour et la lumière alors qu’ils étaient morts, de ceux qui souffraient sur terre, ces émotions étaient si différentes de tout ce que j’avais vécu. C’était tellement fort.
J’ai aussi réalisé que nos émotions, l’amour et la compassion constituent finalement le ciment de toute chose, tout est amour, mais c’est comme avec les nuages d’énergie au-dessus de nombreuses personnes, nous ne le voyons tout simplement pas. Ce qui ne signifie toutefois pas que cela n’imprègne pas tout ce qui est, présent en chaque atome et molécule.
Mon cœur semblait vouloir sortir de la poitrine afin d’aider à soulager la souffrance que je voyais, je ne voulais qu’aider, faire vivre à tous cet amour lumière dans lequel je baignais.
Avec cette pensée, l’expérience s’est modifiée instantanément, j’ai eu l’impression d’être dans un wagonnet dévalant une montagne russe, allant plus vite que la lumière elle-même.
Ce fut la fin de l’expérience. Je me suis réveillé du coma en décembre 2004, environ une semaine après l’accident."
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Date d'inscription : 21/10/2013 Messages : 21899 Pays : BelgiqueR E L I G I O N : Trinitaire
Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Dim 22 Juin 2014, 9:12 pm
"Un samedi matin, je suis allée à l’hôpital, je ne me souviens que de quelques moments dans la salle des urgences. Les membres de ma famille m’ont dit que le lundi matin, on a appelé ma sœur pour lui dire de se rendre à l’hôpital. On m’a mise sous assistance, j’ai été inconsciente pendant environ 2 mois.
Tandis que j’étais dans le coma, je me souviens d’avoir entendu les gens dans la chambre, mais je ne pouvais pas me réveiller, je ne pouvais pas répondre. Je me rappelle avoir eu très froid. Je me souviens de ma sœur qui me couvrait et qui me tenait la main. J’avais une très forte fièvre.
J’ai entendu l’infirmière réprimander ma sœur pour m’avoir recouverte. Elle lui a dit qu’il fallait me découvrir à cause de la fièvre. Ma sœur a répondu à l’infirmière qu’elle pouvait voir à mon visage que j’avais froid et que j’étais agitée. Je le lui ai rappelé plus tard. Elle a confirmé que cela s’était bien produit, il est curieux que des sœurs sachent lire les expressions sur le visage l’une de l’autre.
Je me souviens avoir entendu la voix de mon frère dans la chambre, il avait pris un vol depuis un autre Etat. En entendant sa voix, j’ai su que je devais être dans un état grave. Je me rappelle que je me sentais tellement seule et impuissante. Je n’étais pas certaine de l’endroit où je me trouvais, mon esprit continuait à fonctionner.
J’étais tellement heureuse quand j’entendais des voix dans la chambre. C’était la seule chose qui m’indiquait que j’étais encore en vie. Après ma sortie de l’hôpital, j’ai ressenti la nécessité de me rendre à l’hôpital pour informer les familles qu’elles ne devaient pas laisser leurs proches lorsqu’ils sont dans le coma. J’avais fait directement l’expérience que l’on peut entendre.
J’ai commencé à sentir que je dérivais de plus en plus loin. Je me souviens avoir supplié Dieu de ne pas laisser mon cerveau s’arrêter. Je sentais qu’il s’agissait de la seule chose, du seul signe que j’étais encore vivante.
Ensuite j’ai senti que je me trouvais tout simplement dans l’obscurité quelque part. J’ai réellement dû me battre. Je me souviens d’un être masculin. Je me rappelle qu’il parlait ou communiquait mentalement avec moi. Il n’arrêtait pas de me dire que c’était bien de mourir, de cesser de lutter si durement, d’abandonner tout simplement.
Il est resté là longtemps. Tout à coup, ce fut comme s’il avait d’une certaine façon glissé vers le haut. Je sentais qu’il était malfaisant et qu’il mettait mon esprit à l’épreuve afin de me faire commettre un suicide en abandonnant. Je me souviens d’avoir demandé à Dieu de m’aider et l’être malfaisant a disparu.
Ensuite, je me rappelle m’être retrouvé dans un endroit très lumineux. C’était comme si j’avais été dans les airs ou sur un nuage, mais à ce moment là, je savais qu’il ne s’agissait pas d’un nuage. C’était merveilleux. La lumière semblait m’étreindre, comme si on m’avait portée ou serrée dans les bras.
La seule manière dont je puisse le décrire, c’est comme si j’avais fait partie de l’univers. Je me souviens que je n’étais pas surprise, comme si j’avais toujours su que je serai bientôt là, comme si je m’y étais trouvée auparavant. J’étais plus à l’aise que je n’aurais pu le rêver sur terre. Je me sentais vraiment comme si j’étais revenue d’où j’étais partie, que je le savais. Il n’y avait personne.
Puis, au loin, j’ai vu une silhouette s’approchant de moi. L’être se tenait debout comme un homme mais avait une sorte d’énergie électrique autour de lui. Je ne me souviens pas qu’il ait parlé le premier. Je me rappelle que je lui ai dit de manière puérile : « Tu as fait tout cela. », puis, quasiment avant que ma voix ou bien ma pensée ne se soit exprimée, j’ai su qu’il s’agissait de Dieu.
J’ai eu le sentiment d’avoir été tellement irrévérencieuse, je ne savais plus quoi faire. Il communiquait avec moi par sa présence. Je ne me souviens d’aucune de ses paroles, mais je sais qu’il m’a fait me sentir merveilleusement bien et à l’aise, non seulement pour sa présence, mais pour ma vie et pour ce dont je faisais l’expérience. Je n’avais pas du tout peur. Je me rappelle avoir eu l’impression que mon cerveau s’ouvrait tout simplement et que toutes les réponses à la vie étaient juste là, s’écoulant dans ma tête si rapidement, comme si tous les problèmes du monde (pas seulement les miens) allaient s’arranger.
Je me souviens d’avoir été amusée par le fait que tout, je veux bien dire « tout », le bon, le mauvais et le laid dans le monde était sous contrôle. Tout était planifié et n’était pratiquement pas réel. J’avais l’impression que l’endroit où je me trouvais était réel et que la partie vie avait entièrement été un rêve, un test ou une expérience, puis, pour une raison que j’ignore, je suis revenue.
Je me suis débattue avec cela au cours des années passées, j’ai même été en colère parce que je n’étais pas parvenue à rester. Je n’ai pas (encore ?) réussi à me souvenir tout. Même actuellement, j’ai des flashs, je me souviens de choses que j’avais oubliées j’imagine."
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T. .
Date d'inscription : 12/02/2014 Messages : 561 Pays : FRANCER E L I G I O N : TOUTES
Sujet: Re: La petite NDE/EMI du jour Lun 23 Juin 2014, 11:39 pm
Bonjour CHristopheg
J'espère que tu vas bien .
J'ai fini les 4 livres , je ne sais quand ils seront dans les bacs .
J' ai beaucoup appris en les écrivant , car ce sont les connaissances de l'ange et pour les comprendre
il faut puiser en nous tout l'amour et savoir remettre en question beaucoup de choses ,