Pédophilie et inceste en islam
Publié le 3 juin 2014 - par Hamdane Ammar -
Soyons sérieux, en islam, l’inceste et la pédophilie sont haram (illicites). Ils ne font pas partie de son ADN mais les islamophobes ne l’entendent pas de cette oreille ; ils veulent à tout prix salir la réputation des musulmans, en évoquant ces deux sujets à chaque occasion qui leur est offerte pour les trainer dans la boue. Les pratiques du beau modèle de Médine sont des légendes qui n’existent que dans les esprits mal intentionnées de ceux qui dénigrent la religion de paix et d’amour. Tout ce qui s’écrit ou se dit sur la pédophilie et l’inceste en islam, ne sont que des mensonges qui n’ont aucun fondement coranique.
Mais selon le journal britannique Le Guardian, le parlement iranien vient d’approuver le 25 mai 2014, une loi autorisant les hommes à épouser leurs filles adoptives, à partir du moment où elles ont atteint l’âge de 13 ans. Pour les législateurs islamiques d’Iran, cette loi a pour but de protéger les enfants. Et ceux en Occident qui ont cru au nouveau président Hassan Rouhani, soi-disant réformateur, seront sûrement déçus. Malheureusement, ces derniers ne savent pas qu’ils ont en face d’eux un homme spécialiste de la takia comme le lui enseigne sa religion.
L’avocate iranienne Shadi Sadr, qui milite pour les droits de l’homme au sein de l’organisation Justice for Iran, basée à Londres, dit: « cette loi légalise la pédophilie. Se marier avec un enfant adopté ne fait pas partie de la culture iranienne. Évidemment, il y a de l’inceste en Iran, plus ou moins comme dans tous les pays, mais cette loi légalise la pédophilie et met nos enfants en danger faisant de ce délit une norme dans notre culture », ajoute-t-elle. « Si un père se marie avec sa fille adoptive qui est mineure et qu’il y a des relations sexuelles, c’est un viol. »
Cette déclaration de Shadi Sadr est tendancieuse, car elle dédouane de fait l’islam et surtout Mahomet d’avoir pratiqué l’inceste et la pédophilie. A se demander si cette avocate connait bien l’islam?
Ouvrons alors les manuels islamiques et regardons de près ce que prévoit l’islam en ce qui concerne la pédophilie et l’inceste.
Mahomet, l’Envoyé d’Allah, ne s’était-il pas marié avec la gamine Aïcha ? Il s’était fiancé avec cette dernière quand elle avait 6 ans et consommé le mariage quand elle avait atteint 9 ans, alors qu’il avait 53 ans.
Dans le coran sourate 65 ( le divorce) verset 4, il est écrit : « Si vous avez des doutes à propos de la période d’attente de vos femmes qui n’espèrent plus avoir de règles, leur délai est de trois mois. De même pour celles qui n’ont pas encore de règles. Et quant à celles qui sont enceintes, leur période d’attente se terminera à leur accouchement. Quiconque craint Allah, cependant, Il lui facilite les choses. »
Selon Ibn Abbas, un homme a interrogé Mahomet : « Ô Envoyé d’Allah : qu’en est-il de la période d’attente de celles qui n’ont pas eu leurs menstruations, car celles qui n’ont pas eu leurs menstruations, sont trop jeunes ? Le prophète répondit : « rentrant dans la catégorie des femmes qui n’ont pas eu leurs menstruations, à cause de leur jeune âge, leur période d’attente est de trois mois. »
Ce verset et ce hadith, ne légalisent-ils pas le mariage pédophile qui fait partie du logiciel de base de l’islam depuis le VIIe siècle ? De nos jours, ce mariage de la honte se pratique couramment dans beaucoup de pays islamiques ( les pays du Golfe persique, Yémen, Soudan, Afghanistan, Pakistan, Somalie….) L’Iran n’est pas le seul état où on marie les fillettes impubères religieusement avec des hommes qui ont l’âge de leur père ou de leur grand-père. Pratiquement toutes les sociétés musulmanes connaissent ce phénomène, puisque l’exemple fut donné par le Beau Modèle de Médine. Il n’y a pas lieu de déroger à cette règle coranique parce qu’on ne peut pas être plus royaliste que le roi, en terre d’islam…
Mme Shadi Sadr doit savoir que tous les théologiens, sunnites ou chiites de l’imam Malek (VII siècle) jusqu’ à l’imam Khomeiny ( XX siècle) sont unanimes sur le mariage des fillettes musulmanes dès l’âge de 9 ans. En islam, on ne déroge à une règle instaurée par l’Envoyé d’Allah, sinon on est dans le décor avec comme récompense le Jour du jugement Dernier, l’Enfer.
Le prophète Mahomet, ne s’est-il pas marié avec sa belle-fille Zeynab bint Jahsh, la femme de son fils adoptif Zayd, après l’avoir fait divorcer par un verset coranique ? Ce mariage mit fin à l’adoption qui était courante en Arabie préislamique. Et pourtant Mahomet, au début de sa prophétie, ne dérogea pas à la coutume de l’adoption. Selon sahih Bukhari, le prophète emmena Zayd dans Al-Hijr (place où les mecquois se réunissaient pour leurs affaires et clama : « soyez témoins que Zayd est mon fils, il hérite de moi et j’hérite de lui. » Depuis ce jour, Zayd fut appelé Zayd Ibn Mohammed (fils de Mohammed) et Abdellah Ibn Ummar confirma cette adoption : « nous l’appelions Zayd ibn Mohammed. »
Et pourquoi Mahomet avait-il mis fin à l’adoption qui régissait les tribus mecquoises ? Il avait agi par instinct bestial ( c’est sa petite tête qui pensait pour sa grande), sans plus. En effet, un jour il sortit pour rendre visite à son fils adoptif Zayd qui fut le troisième personnage converti à l’islam. Il faut dire, selon les chroniqueurs musulmans que Zeynab, l’épouse de Zayb était très belle. Quand elle ouvrit la porte à Mahomet, elle était en tenue légère. Mahomet fut frappé par sa beauté et s’exclama : « Doux Seigneur ! Dieu du Ciel ! Comme tu tournes le cœur des hommes ! ». Il refusa d’entrer et repartit l’esprit confus. Cependant Zeynab avait entendu ses paroles et les avait rapportées à Zayd, dès qu’il était rentré à la maison. Zayd alla aussitôt chez Mahomet et lui offrit obligeamment de divorcer. Mahomet refusa en ajoutant : « garde ta femme et crains Dieu. » Une telle union aurait été considérée comme incestueuse par les Arabes, car un fils adoptif avait les mêmes droits qu’un fils naturel. Et la crainte du qu’en-dira-t-on faisait hésiter le prophète. Comme toujours, une révélation vint au moment opportun pour balayer ses scrupules, alors qu’il était assis à côté de sa femme gamine Aïcha, il entra soudainement dans ses transes prophétiques. Quand il revint à lui, il dit : « Qui ira féliciter Zaynab et lui dire que le Seigneur l’a unie à moi en mariage ? »
Et Aïcha lui répliqua sèchement : « Ô envoyé d’Allah, je vois que ton Seigneur est empressé de te plaire. »
Le mariage de Mahomet avec Zaynab fut légalisé par le coran mettant fin ainsi à l’adoption.
Dans la sourate 33, versets 4, 5 37 et 38, il est écrit :
« Allah n’a pas placé à l’homme deux cœurs dans sa poitrine. Il n’a point assimilé à vos mères, vos épouses ( à qui vous dites en les répudiant) : « tu es aussi illicite pour moi que le dos de ma mère ». Il n’a point fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants. Ce sont des propos qui sortent de votre bouche. Mais Allah dit la vérité et c’est Lui qui met l’homme dans la bonne direction. »
« Appelez-les du nom de leurs pères : c’est plus équitable devant Allah. Mais si vous ne connaissez pas leurs pères, alors considérez-les comme vos frères en religion ou vos alliés. Nul blâme sur vous pour ce que vous faites par erreur, mais vous serez blâmés pour ce que vos cœurs font délibérément. Allah, cependant, est Pardonneur et Miséricordieux. »
« Quand tu disais à celui qu’Allah avait comblé de bienfaits tout comme toi-même l’avais comblé : « garde pour toi ton épouse et crains Allah », et tu cachais en ton âme ce qu’Allah allait rendre public. Tu craignais les gens, et c’est Allah qui est plus digne de ta crainte. Puis quand Zayd eut cessé toute relation avec elle, Nous te la fîmes épouser, afin qu’il n’y ait aucun empêchement pour les croyants d’épouser les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le commandement d’Allah doit être exécuté. »
« Nul grief à faire au prophète en ce qu’Allah lui a imposé conformément aux lois établies pour ceux qui vécurent antérieurement. Le commandement d’Allah est un décret inéluctable. »
Ces versets ne sont-ils pas un encouragement à la pratique de l’inceste ?
Dans sahih Bukhari, volume 7, page 48, il est mentionné : « Tout ce que voulait Mahomet, Allait le voulait pour lui. De la manière dont Mahomet réagissait, Allah réagissait avec lui. Tout ce que Mahomet désirait, Allah le désirait pour lui. »
C’est clair et net : Mahomet avait désiré Zaynab et pour lui plaire, Allah avait légalisé l’inceste en mettant fin à l’adoption….
En résumé, quand l’avocate Shadi Sadr s’émeut de la loi votée par le parlement iranien, soit elle ignore les fondements de l’islam, soit elle fait de la takkia.
Alors, il est temps de dénoncer et de démasquer le discours à la carte des musulmans !
Hamdane Ammar