Date d'inscription : 06/07/2009 Messages : 2529 Pays : franceR E L I G I O N : chrétien
Sujet: taqqiya palestinienne au Vatican Dim 15 Juin 2014, 3:24 am
Le Pape a été poignardé dans le dos par des palestiniens, à l’occasion de la généreuse invitation à une prière inter-religieuse faite aux présidents israélien Shimon Peres et palestinien Abu Mazen (Mahmoud Abbas).
Invité au Vatican à prier pour la paix, le représentant musulman n'a pas pu s'empêcher d'ajouter un verset prônant la guerre:
le représentant musulman, dans les jardins du Vatican, au cours de la prière pour la paix, a récité (bien sûr en arabe) les derniers mots de la deuxième sourate : « Tu es notre Maître, accorde-nous la victoire sur les peuples infidèles. »
La deuxième sourate, la plus longue, est une sorte de résumé hétéroclite du Coran et de la charia. Elle prône bien sûr le jihad, mais surtout elle est violemment anti-juive et anti-chrétienne. C’est dans cette sourate qu’on trouve (verset 191) :
« Et tuez-les où que vous les rencontriez (…) l’association est plus grave que le meurtre (…) et combattez-les jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’association et que la religion soit entièrement à Allah seul. » (L’association, c’est la Trinité.)
l'écrivain égypto-allemand, Hamed Abdel-Samad, a lui aussi été stupéfié d’entendre cela, et il a écrit sur sa page Facebook : « Dans les jardins du Vatican, le clerc musulman conclut sa prière par le verset : “Qu’Allah nous aide à remporter la victoire contre les infidèles !” J’appelle ça une prière pour la paix ! » https://www.facebook.com/hamed.abdelsamad
Ainsi, en usant de ce stratagème habituel où les palestiniens disent vouloir la paix lorsqu’ils parlent anglais, et la guerre lorsqu’ils s’expriment en arabe, l’imam n’a pas produit le texte en anglais dont il savait qu’il serait refusé, et il a exprimé au monde qui parle arabe qu’il n’était pas question de paix avec Israël, mais de demander à Allah qu’il donne la victoire aux palestiniens.
Les arabes palestiniens ont profité de la tribune internationale que leur offrait le pape pour faire avancer la paix, et ils l’ont trompé, trahi, et lui ont planté, en arabe, un couteau dans le dos.