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| Pakistan: l'offensive militaire prive un père de 36 enfants d'une 4e épouse | |
| Auteur | Message |
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Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7539 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Pakistan: l'offensive militaire prive un père de 36 enfants d'une 4e épouse Mer 16 Juil 2014, 10:29 pm | |
| AFP 17-07-2014 - 10:56 Pakistan: l'offensive militaire prive un père de 36 enfants d'une 4e épouse
Dans le nord-ouest du Pakistan, l'offensive de l'armée n'a pas que détruit des repaires talibans, elle a aussi anéanti le rêve du vieux Gulzar, père de 36 enfants, de prendre une quatrième épouse pour assouvir son appétit sexuel insatiable.
L'opération militaire au Waziristan du Nord, zone tribale située à la lisière de l'Afghanistan et qui servait de base arrière aux mouvements islamistes armés de la région, a jeté sur les routes des centaines de milliers de civils.
Parmi eux, Gulzar Khan, barbe blanche fournie et grosses lunettes de soleil tout droit sorties des années 70, qui a quitté son village waziri où il vivait avec une centaine de membres de sa famille, ses épouses, ses enfants et ses petit-enfants.
L'homme qui dit être âgé de 54 ans, mais semble plutôt flirter avec la soixantaine, a dépensé une bonne partie de ses économies pour évacuer les siens dans la ville de Bannu, à la porte des zones tribales. A son grand regret: cet argent devait financer son quatrième mariage.
La loi islamique autorise un homme à prendre jusqu'à quatre épouses. Et dans les zones rurales du nord-ouest pakistanais, les grandes familles demeurent encore aujourd'hui la norme.
Mais après avoir donné naissance à une douzaine d'enfants chacune, ses trois épouses lui ont bien fait comprendre "qu'assez, c'est assez".
"J'avais donc planifié un quatrième mariage parce que mes femmes me boycottent et me disent qu'elles ne veulent plus tomber enceinte. Elles ne m'autorisent même plus à les approcher, mais, moi, j'ai des désirs à assouvir", confie Gulzar sans ambages.
- Toujours plus -
Il avait 17 ans lorsqu'il a marié, comme c'est souvent la coutume au Pakistan, sa cousine, alors âgée d'à peine 14 ans. Huit ans plus tard, il a pris une deuxième épouse.
"Je n'étais pas satisfait et j'avais besoin de faire davantage l'amour", dit-il dans la maison où il a trouvé refuge à Bannu, toute en longueur et au sol de terre battue.
Et lorsque son frère a été tué dans une dispute, un mois à peine après son mariage, Khan a épousé sa veuve comme le veut la tradition locale.
"Je ne commets pas l'adultère, je satisfais mes désirs biologiques de façon tout à fait légale par le mariage", dit celui qui fut aussi dans l'intervalle chauffeur de taxi à Dubaï de 1976 à 1992.
Aujourd'hui, ce sont deux de ses fils qui sillonnent en taxi les rues de la mirifique cité émiratie et envoient chacun 500 dollars par mois à leur père au Pakistan.
Entouré ce jour-là de ses enfants et ses petit-enfants, Gulzar Khan peine à associer chacun à la bonne génitrice. "Je peux vous dire que celui-ci ou celle-ci est mon enfant, mais je ne peux pas dire dans tous les cas qui est leur mère", reconnaît-il.
Avec pareille marmaille, difficile de trouver un coin d'intimité pour batifoler. "Il y a souvent deux ou trois enfants qui traînent autour lorsque je vais me coucher, c'est donc difficile d'avoir un peu d'intimité avec mes femmes", se plaint-il poliment.
Et n'allez pas demander au vieil homme s'il avale une pilule pour stimuler son corps avant de se glisser au lit.
"J'ai eu une crise cardiaque il y a 12 ans et j'ai encore un ulcère. Mon docteur m'a dit de rester heureux. Or je ne suis heureux que lorsque je fais mon devoir conjugal", clame-t-il.
Au Pakistan, les femmes donnent en moyenne naissance à quatre enfants, un taux de reproduction élevé pour ce pays de plus de 180 millions d'habitants qui pourrait en compter près du double en 2050, accroissant ainsi la pression sur les ressources, notamment en eau.
Mais Ghufran, fils de Gulzar âgé de 14 ans, n'en a cure. "Moi aussi je vais avoir plusieurs épouses et encore plus d'enfants que mon père", espère-t-il.
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| | | claudem_1 Membre Actif
Date d'inscription : 04/06/2014 Messages : 2644 Pays : Canada R E L I G I O N : La Religion de l'Esprit.
| Sujet: Re: Pakistan: l'offensive militaire prive un père de 36 enfants d'une 4e épouse Mer 16 Juil 2014, 11:01 pm | |
| - Capucine a écrit:
- AFP 17-07-2014 - 10:56
Pakistan: l'offensive militaire prive un père de 36 enfants d'une 4e épouse
Dans le nord-ouest du Pakistan, l'offensive de l'armée n'a pas que détruit des repaires talibans, elle a aussi anéanti le rêve du vieux Gulzar, père de 36 enfants, de prendre une quatrième épouse pour assouvir son appétit sexuel insatiable.
L'opération militaire au Waziristan du Nord, zone tribale située à la lisière de l'Afghanistan et qui servait de base arrière aux mouvements islamistes armés de la région, a jeté sur les routes des centaines de milliers de civils.
Parmi eux, Gulzar Khan, barbe blanche fournie et grosses lunettes de soleil tout droit sorties des années 70, qui a quitté son village waziri où il vivait avec une centaine de membres de sa famille, ses épouses, ses enfants et ses petit-enfants.
L'homme qui dit être âgé de 54 ans, mais semble plutôt flirter avec la soixantaine, a dépensé une bonne partie de ses économies pour évacuer les siens dans la ville de Bannu, à la porte des zones tribales. A son grand regret: cet argent devait financer son quatrième mariage.
La loi islamique autorise un homme à prendre jusqu'à quatre épouses. Et dans les zones rurales du nord-ouest pakistanais, les grandes familles demeurent encore aujourd'hui la norme.
Mais après avoir donné naissance à une douzaine d'enfants chacune, ses trois épouses lui ont bien fait comprendre "qu'assez, c'est assez".
"J'avais donc planifié un quatrième mariage parce que mes femmes me boycottent et me disent qu'elles ne veulent plus tomber enceinte. Elles ne m'autorisent même plus à les approcher, mais, moi, j'ai des désirs à assouvir", confie Gulzar sans ambages.
- Toujours plus -
Il avait 17 ans lorsqu'il a marié, comme c'est souvent la coutume au Pakistan, sa cousine, alors âgée d'à peine 14 ans. Huit ans plus tard, il a pris une deuxième épouse.
"Je n'étais pas satisfait et j'avais besoin de faire davantage l'amour", dit-il dans la maison où il a trouvé refuge à Bannu, toute en longueur et au sol de terre battue.
Et lorsque son frère a été tué dans une dispute, un mois à peine après son mariage, Khan a épousé sa veuve comme le veut la tradition locale.
"Je ne commets pas l'adultère, je satisfais mes désirs biologiques de façon tout à fait légale par le mariage", dit celui qui fut aussi dans l'intervalle chauffeur de taxi à Dubaï de 1976 à 1992.
Aujourd'hui, ce sont deux de ses fils qui sillonnent en taxi les rues de la mirifique cité émiratie et envoient chacun 500 dollars par mois à leur père au Pakistan.
Entouré ce jour-là de ses enfants et ses petit-enfants, Gulzar Khan peine à associer chacun à la bonne génitrice. "Je peux vous dire que celui-ci ou celle-ci est mon enfant, mais je ne peux pas dire dans tous les cas qui est leur mère", reconnaît-il.
Avec pareille marmaille, difficile de trouver un coin d'intimité pour batifoler. "Il y a souvent deux ou trois enfants qui traînent autour lorsque je vais me coucher, c'est donc difficile d'avoir un peu d'intimité avec mes femmes", se plaint-il poliment.
Et n'allez pas demander au vieil homme s'il avale une pilule pour stimuler son corps avant de se glisser au lit.
"J'ai eu une crise cardiaque il y a 12 ans et j'ai encore un ulcère. Mon docteur m'a dit de rester heureux. Or je ne suis heureux que lorsque je fais mon devoir conjugal", clame-t-il.
Au Pakistan, les femmes donnent en moyenne naissance à quatre enfants, un taux de reproduction élevé pour ce pays de plus de 180 millions d'habitants qui pourrait en compter près du double en 2050, accroissant ainsi la pression sur les ressources, notamment en eau.
Mais Ghufran, fils de Gulzar âgé de 14 ans, n'en a cure. "Moi aussi je vais avoir plusieurs épouses et encore plus d'enfants que mon père", espère-t-il.
...(908.1) 81:6.12 Vous êtes parfois révoltés par les ravages de la guerre, mais vous devriez reconnaître la nécessité de faire naître un grand nombre de mortels pour fournir d’amples occasions au développement social et moral ; mais avec cette fécondité planétaire surgit bientôt le grave problème de la surpopulation. La plupart des mondes habités sont petits. Urantia est dans la moyenne, peut-être un peu au-dessous. La stabilisation de la population nationale au niveau optimum rehausse la culture et empêche la guerre. Et sage est la nation qui connaît le moment de s’arrêter de croitre.(770.8) 68:6.11 Du point de vue mondial, le surpeuplement n’a jamais posé de question grave dans le passé, mais, si les guerres se raréfient et si la science réussit à maitriser progressivement les maladies humaines, il peut devenir un problème sérieux dans un proche avenir. À ce moment-là, la grande épreuve de sagesse dans la conduite du monde se présentera. Les dirigeants d’Urantia auront-ils la clairvoyance et le courage de favoriser la multiplication d’êtres humains moyens et stabilisés, ou de favoriser celle des groupes extrêmes, d’une part ceux qui dépassent la normale et d’autre part la masse considérablement croissante des êtres inférieurs à la normale ? L’homme normal devrait être encouragé ; il est l’épine dorsale de la civilisation et la source des génie mutants de la race. L’homme inférieur à la normale devrait être gardé sous le contrôle de la société ; il ne devrait pas en être produit plus qu’il n’en faut pour travailler aux niveaux inférieurs de l’industrie, aux tâches qui demandent une intelligence dépassant le niveau animal, mais qui exigent des activités d’un niveau tellement inférieur qu’elles deviennent véritablement un esclavage et un asservissement pour les types supérieurs de l’humanité. (771.1) 68:6.12 [Présenté par un Melchizédek jadis stationné sur Urantia.](1934-1935) |
| | | Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7539 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Re: Pakistan: l'offensive militaire prive un père de 36 enfants d'une 4e épouse Jeu 17 Juil 2014, 1:01 am | |
| Faut dire cela aux musulmans qui tolèrent la polygamie. Ils n'auraient qu'une femme, ils auraient quand même moins d'enfants. |
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| Sujet: Re: Pakistan: l'offensive militaire prive un père de 36 enfants d'une 4e épouse | |
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| | | | Pakistan: l'offensive militaire prive un père de 36 enfants d'une 4e épouse | |
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