Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..."
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Nicodème FONDATEUR
Date d'inscription : 28/05/2008 Messages : 19785 Pays : FranceR E L I G I O N : Catholique
Sujet: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Mar 19 Aoû 2014, 1:39 am
Arlequin MODERATION
Date d'inscription : 06/05/2013 Messages : 3242 Pays : AlgérieR E L I G I O N : Muslim
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Mar 19 Aoû 2014, 2:52 am
Nicodème a écrit:
Je crois que dans toutes les justices du mondes les avis intéressés,donc partiaux sont rejetés par les juges.
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Ven 17 Oct 2014, 4:19 am
il vaut mieux écrire jihadistes que djihadistes c'est plus conforme à la langue d'Allah
Pour le reste, Mahomet PBSL a été un grand et valeureux jihadiste qui a mené une soixantaines de razias où il a décapité maintes têtes mécréantes
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Sam 25 Oct 2014, 11:21 pm
Nicodème FONDATEUR
Date d'inscription : 28/05/2008 Messages : 19785 Pays : FranceR E L I G I O N : Catholique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Sam 25 Oct 2014, 11:28 pm
yacoub a écrit:
il vaut mieux écrire jihadistes que djihadistes c'est plus conforme à la langue d'Allah
Pour le reste, Mahomet PBSL a été un grand et valeureux jihadiste qui a mené une soixantaines de razias où il a décapité maintes têtes mécréantes
A tu des preuves des razias et autres svp
Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7539 Pays : FranceR E L I G I O N : catholique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Sam 25 Oct 2014, 11:56 pm
Yacoub, je ne peux pas lire ton spoile sur zemmour, il bouge...
Dernière édition par Capucine le Sam 25 Oct 2014, 11:58 pm, édité 1 fois
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Sam 25 Oct 2014, 11:57 pm
Nicodème a écrit:
A tu des preuves des razias et autres svp
Salut Nicodème, qu'entends tu par preuve ?
Les razzias de Mahomet PBSL
Des razzias sur ordre d'Allah Puissant et Sage:
A Médine, de 624 à 630, on assiste à une glorification de la razzia, avec parallèlement, dans la révélation coranique, sa justification et sa réglementation.
Pour connaitre la "chose" disons, c'est à dire la vie du mahomet, nous conseillons la lecture des biographies d'Ibn Ishâq et/ou d'Ibn Hicham(chacun jugera de leur crédibilité, du reste, puisqu'elles furent rédigées plus de 2 siècles après le mahomet).
Toutes deux officielles, bien entendu.( tout en n'oubliant pas que les versions destinées aux occidentaux sont édulcorées, pour ne pas les "choquer" et les monter contre le "beau" modèle mahomet)
petit aperçu:
C'est à partir de Médine, au bout de 6 mois, que mahomet (surnommé le "sabre d’Allah") rédigea un document appelé Constitution de Médine, où il appela à la guerre sainte et organisa avec ses partisans des razzias et des attaques contre les caravanes mecquoises, afin de s'emparer du "butin" dont 1/5 lui était biensur reservé.
Durant le mois sacré païen, dit la sounna, où toute hostilité était proscrite, mahomet attaqua par surprise une caravane mecquoise et remporta une victoire à Nakhla.
Cela fit scandale. Mais opportunément, Allah dicta à ce moment une sourate l’autorisant à rompre la trêve. Allah accorda une large part à son prophète. Il remporta enfin une grande victoire sur les Mecquois au puits de Badr en 624.
Parmi les prisonniers se trouvait un dénommé Al Nadr qui s’était autrefois illustré en se moquant du mahomet à la Mecque. Ivre de vengeance, celui-ci en profita pour l’exécuter...
En souvenir, ce mois devint le Ramadan.
petit bilan comptable:
Le mahomet, qui s'était associé à la tribu de brigands de Ghafar, a fait soixante trois Ghazvéhs (terme "religieux" forgé par lui-meme pour désigner une razzia) durant son pouvoir et n'eut qu'une seule guerre défensive, Khandagh, dans les autres Ghazvéhs ce furent les mahometans qui s'attaquaient aux villes et villages et gagnaient beaucoup de butin.
Coran et petite analyse
Sourate le butin(S.8)
Il existe un impôt révolutionnaire en islam, la zakat (à ne pas confondre avec la saddaquat qui est l'aumône et qui peut servir à acheter des conversions), celui-ci est dédié à la croissance de la secte. C'est la première source de richesse pour mahomet. Toute tribu vaincue doit acquitter la zakat si elle veut survivre. L'argent a une importance inouïe en islam ; le dépenser au lieu de le mettre dans les caisses de la secte est un péché malin :
sourate 17; verset 27: car les gaspilleurs sont les frères des diables; et le Diable est très ingrat envers son Seigneur.
Sourate Al-Anfal (le butin : chapitre 8 du coran)
verset 1: Ils t'interrogent au sujet du butin. Dis: "Le butin est à Allah et à Son messager." Craignez Allah, maintenez la concorde entre vous et obéissez à Allah et à Son messager, si vous êtes croyants.
remarquons ici que le "saint" homme, mahomet, a naturellement la haute main sur le butin.
une interprétation officielle (tafsir):
Et d’après le récit sous l’autorité d'Ibn 'Abbas qui a dit concernant les paroles d’Allah, exalté soit-Il, ((«Ils t'interrogent (O Muhammad) au sujet du butin.) : Il dit : tes compagnons t’interrogent sur le butin de guerre du jour de Badr et aussi sur (la distribution) des armes et des chevaux. Dis O Muhammad : ‹Le butin appartient à Allah et à son messager.› Le butin de la guerre à Badr appartient à Allah et à Son Messager et rien n’est à vous ; il est aussi dit : tout appartient à Allah et le commandement au Messager pour ce qui est permis, (accomplissez votre devoir envers Allah) craignez Allah pour l’appropriation du butin de la guerre, (pour la question des différences entre vous) remédiez aux différences entre vous : que le riche donne au pauvre et le fort au faible et le jeune à l’ancien, (et obéissez à Allah et à Son messager) pour la réconciliation, (si vous êtes (de vrais) croyants) en Allah et Son Messager. (Tanwîr al-Miqbâs min Tafsîr Ibn ‘Abbâs)
remarquons aussi qu'à une autre époque, mahomet ne réclamait qu'un cinquième du butin...
verset 41: Et sachez que, de tout butin que vous avez ramassé, le cinquième appartient à Allah, au messager, à ses proches parents, aux orphelins, aux pauvres, et aux voyageurs (en détresse), si vous croyez en Allah et en ce que Nous avons fait descendre sur Notre serviteur, le jour du Discernement: le jour où les deux groupes s'étaient rencontrés, et Allah est Omnipotent
interprétation officielle(tafsir):
(Et sache) O croyant (que quelle que soit ) la richesse (que tu retires du butin de la guerre, un cinquième est pour Allah) un cinquième du butin de guerre est donné dans le chemin d’Allah, (et est pour le Messager) et est pour l’usage du Messager (et pour les proches parents) et pour les proches du Prophète (psl) (et pour les orphelins) qui ne sont pas les orphelins des Banu 'Abd al-Muttalib (et pour les pauvres) qui ne ne sont pas les pauvres des Banu 'Abd al-Muttalib (et pour les voyageurs) et pour les faibles qui ont besoin d’aide qui qu’ils soient. Du vivant du prophète (psl) ce cinquième était divisé en cinq parts : une part pour le Prophète (psl) qui était la part donnée pour la cause d’Allah (la part d’Allah ) ; une part pour les proches du Prophète, car le Prophète (psl) donnait à ses proches au nom d’ Allah; une part pour les orphelins ; une part pour les nécessiteux et une part pour les voyageurs (les gens de passage). Quand le Prophète (psl) mourut, la part du Prophète (psl) et celle de ses parents furent annulées suite aux dires d’Abu Bakr : "J’ai entendu le Messager d’Allah (psl) dire : de son vivant chaque prophète a un moyen de subsistance qui lui est assigné et quand il meurt, il est annulé et n’appartient à personne". Pendant leurs règnes respectifs, Abu Bakr, Omar, Uthman et Ali divisèrent le cinquième en trois parts : une part pour les orphelins, qui ne sont pas les orphelins des Banu 'Abd al-Muttalib (NDLR : clan de Muhammad - le nom complet de Muhammad est abû al-qasîm muHammad ibn `abdallah ibn 'Abd al-Muttalib ibn hâshim), une part pour les pauvres, qui ne sont pas les pauvres des Banu 'Abd al-Muttalib, et une part pour les voyageurs qui sont en détresse et ont besoin d’aide; (si tu crois en Allah et en ce que Nous avons révélé à notre esclave) Muhammad (psl) (au Jour du Discernement) et au jour de l’alternance du pouvoir et de la victoire de Muhammad (psl) ; il est aussi dit que le Jour du Discernement signifie le jour au cours duquel Allah sépara la Vérité du faux, c.-à-d.. le Jour de Badr, quand Allah accorda la victoire et le butin de guerre au Prophète (psl) et à ses compagnons tandis qu’il infligeait la mort et la défaite à Abu Jahl et à son armée, (le jour où les deux armées) l’armée de Muhammad (psl) et celle de Abu Sufyan se rencontrèrent. (et Allah est omnipotent) : la victoire et la possession du butin de la guerre furent pour le Prophète (psl) et la mort et la défaite pour Abu Jahl et son armée. (Tanwîr al-Miqbâs min Tafsîr Ibn ‘Abbâs)
Menace de châtiment, à présent! Un des malfaiteurs de la secte a pris une part du butin, qui revient normalement à mahomet! ghulul (le fait de voler le butin de guerre avant sa distribution)
verset 68: N'eût-été une prescription préalable d'Allah, un énorme châtiment vous aurait touché pour ce que vous avez pris. (de la rançon)
Le produit de la rapine redistribué en partie par mahomet.
verset 69: Mangez donc de ce qui vous est échu en butin, tant qu'il est licite et pur. Et craignez Allah, car Allah est Pardonneur et Miséricordieux.
Pour amasser du butin, il faut des razzias, bien sûr. Mahomet s'associe donc à des brigands. Voici les versets qu'il prononce pour galvaniser ses troupes et étendre sa domination :
coran 5; 21: ش mon peuple! Entrez dans la terre sainte qu'Allah vous a prescrite. Et ne revenez point sur vos pas (en refusant de combattre) car vous retourneriez perdants.
coran 9; 39: Si vous ne vous lancez pas au combat, Il vous châtiera d'un châtiment douloureux et vous remplacera par un autre peuple. Vous ne Lui nuirez en rien. Et Allah est Omnipotent.
coran 8; 39: Et combattez-les jusqu'à ce qu'il ne subsiste plus d'association, et que la religion soit entièrement à Allah. Puis, s'ils cessent (ils seront pardonnés car) Allah observe bien ce qu'ils œuvrent.
La guerre ne cessera donc que quand la seule religion sera celle d'Allah, sous entendu la secte de mahomet. Il n'y aura donc de paix que quand les non-mahométans cesseront d'être non-mahométans...
Principe dont nous convenons parfaitement, et fort louable du reste, mais par contre quand aux méthodes qui sont employées, là il n'est plus question d'etre d'accord.
Quand on vous dit que les mahométans pratiquent un djihad défensif :
Sachez que les idées des non-mahométans sont une provocation aux yeux des mahometans, donc les mahométans les exterminent ou les convertissent de force, c'est normal, non?
Pour s'assurer la victoire, il faut faire peur aux éventuels apostats du reste.
L'islam est une secte dont on ne peut sortir qu'en risquant sa vie :
coran 4; 89: Ils aimeraient vous voir mécréants comme ils ont mécru: alors vous seriez tous égaux! Ne prenez donc pas d'alliés parmi eux, jusqu'à ce qu'ils émigrent dans le sentier d'Allah. Mais s'ils tournent le dos saisissez-les alors, et tuez-les où que vous les trouviez; et ne prenez parmi eux ni allié ni secoureur,
Mahomet(ou plutot son Maitre judéo-nazaréen) est le chantre de la terreur et du châtiment. Il recommande clairement de terroriser les "mécréants"
coran 8; 57: Donc, si tu les maîtrises à la guerre, inflige-leur un châtiment exemplaire de telle sorte que ceux qui sont derrière eux soient effarouchés. Afin qu'ils se souviennent.
à lire:
quelques ouvrages mahometans officiels : jihad, assassinats etc...
Sounna
Récit de Ka’b ibn Malik, Sahih Boukhari LII 197.
Quand l’apôtre d’Allah avait l’intention de conduire une expédition de pillage, (Ghazvéh ou ghazw ou ghazwa en arabe, ce que l’on traduit en français par razzia – dans le cas du Prophète, un tel pillage constituait un aspect du jihâd) il employait une formule équivoque pour faire croire qu’il allait dans une autre direction.
Sahih Boukhari, Volume 1, Livre 8, numéro 367
Relaté par 'Abdul' Aziz :
Anas a dit, ' Quand l'Apôtre d'Allah a envahi Khaibar, nous avons offert la prière Fajr là-bas tôt le matin) quand il faisait toujours sombre. Le Prophète est monté à dos de chameau et Abu Talha aussi et je suivais derrière Abu Talha. Le Prophète est passé par la ruelle de Khaibar rapidement et mon genou a touché la cuisse du Prophète. Il a découvert sa cuisse et j'ai vu la blancheur de la cuisse du Prophète.
Quand il est entré dans la ville, il a dit, ' Allahu Akbar! Khaibar est détruite. A chaque fois que nous nous approchons près d'une nation (hostile) (pour nous battre) alors le diable sera là dès le matin pour les avertir. ' Il l'a répété trois fois.
Les gens sont partis à leurs travails et certains d'entre eux ont dit, ' Muhammad (est venu). ' (Certains de nos compagnons ont ajouté, "Avec son armée.") Nous avons vaincu Khaibar, pris les captifs et le butin a été rassemblé. Dihya est venu et a dit, 'O Prophète d'Allah ! Donnez-moi une fille esclave parmis les captifs. ' Le Prophète a dit, ' Allez et prenez n'importe quelle fille esclave. '
Il a pris Safiya bint Huyai. Un homme est venu au Prophète et a dit, ' O Apôtre d'Allah ! Vous avez donné Safiya bint Huyai à Dihya et elle est la maîtresse du chef de la tribu des Quraiza et d'An-Nadir et elle ne convient à personne, sauf à vous. ' Donc le Prophète a dit, 'dite lui de venir avec elle.
Ainsi Dihya est venu avec elle et quand le Prophète l'a vue, il a dit à Dihya, ' Prenez n'importe quelle fille esclave parmis les captifs sauf elle. ' Anas a ajouté : le Prophète l’a affranchis de sa condition d’esclave et l'a épousée. " Thabit a demandé à Anas, "O Abu Hamza! Qu'est-ce que le Prophète lui a payé (comme Mahr) ?" Il a dit, "Elle même était sa Mahr car il l’a affranchi de sa condition d’esclave et l'a ensuite épousée."
Anas a ajouté, "pendant ce temps là, Um Sulaim l'a parée pour le mariage (la cérémonie) et la nuit, elle a été envoyé comme une jeune mariée au Prophète. Donc le Prophète était un jeune marié et il a dit, ' Quiconque a de la nourriture devra l'apporter.
Il a étalé une feuille en cuir (pour la nourriture) et quelques dates et les autres cuisait le beurre. (Je pense qu'il (Anas) a mentionné As-SawTq). Donc ils ont préparé un plat de Hais (une sorte de repas). Et c'était Walrma (le banquet de mariage) de l'Apôtre d'Allah."
Mahomet était si captivé par la beauté de cette femme qu’il l’a échangée contre sept esclaves !
Anas dit :
Une belle esclave échut à Dihyah. L’apôtre l’acheta contre sept esclaves. Il la confia ensuite à Umm Sulaim pour (qu’elle) la pare et la prépare au mariage. (Sunan Abu Dawud, Book 19, Number 2991)
Mahomet s’octroyait non seulement un cinquième du butin mais également toutes les captives qui lui plaisaient.
D'après Jâbir ibn `Abd-Allah Al-'Ansârî (qu'Allah soit satisfait de lui), l'Envoyé d'Allah (pbAsl) a dit:
"J'ai reçu cinq faveurs que personne n'avait reçues avant moi. Chaque prophète antérieur a été envoyé à un peuple spécifique, alors que moi, j'ai été envoyé à l'humanité entière. Les butins m'ont été rendus licites tandis qu'ils ne l'étaient pas pour les autres. Toute la terre m'a été offerte comme moyen de purification et un lieu de prière. Tout homme donc, surpris n'importe où par l'heure de prière, peut l'accomplir où est-ce qu'il se trouve. On m'a accordé la victoire (sur l'ennemi) en lui inspirant la terreur à une distance d'un mois de marche. Enfin, j'ai reçu la faveur d'intercéder".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 810
D'après 'Abû Hurayra (qu'Allah soit satisfait de lui), l'Envoyé d'Allah (pbAsl) a dit:
"Je fus distingué d'entre les prophètes par six faveurs (qu'Allah m'avaient accordées): J'ai eu le don de la parole exhaustive quoique brève. J'ai reçu la victoire grâce à l'effroi (jeté dans les cœurs de mes ennemis). Le butin m'a été rendu licite. Toute la terre m'a été offerte comme moyen de purification et un lieu de prière. J'ai été envoyé à l'humanité entière. Enfin, je suis le dernier des prophètes".
Numéro du Hadith dans le Sahîh de Muslim [Arabe uniquement]: 812
La Sirat Rasulallah - première biographie de Mahomet, page 461 et suivantes.
Peu de temps après massacre des mâles juifs Ibn Ishaq a écrit à la page 466 :
"Alors l'apôtre a divisé la propriété, des épouses, et des enfants du Banu Quraiza entre les musulmans, il a fait connaître à ce jour les parts concernant les chevaux et les hommes, et en a pris le cinquième ",(Mahomet et sa famille ont obtenu un cinquième des prises de guerre). Puis l'apôtre a envoyé Sa'd. . . avec certaines des femmes captives de Banu Quraiza à Najd pour qu'il les vende contre des chevaux et des armes."
Conclusion
Mahomet le beau modèle fut bel et bien un pillard, et pour etre exact le chef d'une bande de pillards, donc un voleur, ceci est corroboré par le coran et la sounna.
Nous prions pour la conversion des mahometans, car hors de l'Eglise, personne n'est sauvé.
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Sam 25 Oct 2014, 11:59 pm
Capucine a écrit:
Yacoub, je ne peux pas lire ton spoile, il bouge...
Le voici sans le scroll
Zemmour:
62% des Français ont une mauvaise opinion d’Eric Zemmour
Étonnant sondage que celui concernant Eric Zemmour. Quand il parlait des arabes et des noirs en mal, personne ne songeait à faire un sondage. mais, pourquoi vend-il autant de livres si les Français ne l’aimaient pas ? Près des deux-tiers des Français (62%) ont une mauvaise opinion du polémiste Eric Zemmour et se déclarent « choqués » par sa thèse sur le régime de Vichy qui « aurait sauvé des juifs français », selon un sondage Odoxa pour Le Parisien/aujourd’hui en France. Ambiance.
Seulement 37% ont une bonne opinion d’Eric Zemmour et 8 % une très bonne opinion, indique ce sondage publié hier, dimanche.
Son image est très contrastée entre sympathisants de gauche et de droite: un sur deux l’apprécie à droite (53 % contre 46%) alors que huit sympathisants de gauche sur dix ont une mauvaise opinion de lui dont 49% une « très mauvaise opinion », indique encore ce sondage.
Vichy
Concernant la thèse d’Eric Zemmour sur Vichy, soutenue dans son livre « Le suicide français » et que récusent les historiens, le « choc » est très grand chez les sympathisants de gauche qui sont près de 8 sur 10 (78%) « à ne pas avoir digéré » ses propos, souligne le sondage.
Chez les sympathisants de droite, 50 % se déclarent « choqués » contre 49% qui ne le sont pas, « ce qui ne vaut évidemment pas pour autant accord de leur part avec cette idée », souligne l’institut.
Dans l’ensembre de la droite, 69 % des symphatisants du FN ne sont pas « choqués » par cette thèse alors que les sympathisants des autres partis de droite sont une majorité à se déclarer « choqués »: de 79% au MoDem à 55% à l’UMP.
Le sondage a été réalisé auprès d’un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus interrogés par internet les 23 et 24 octobre.
« Choquage »
Les professionnels du « choquage » et des indignations sélectives sont de sorties. Laissez Eric Zemmour tranquille. Pourquoi hier, « il disait la vérité » et aujourd’hui, « il ment ». Du moins, sa thèse est validée hors de France, notamment en Belgique. Pourquoi ? Cherchez l’erreur ! Yannick Noah a bien fait de demander pourquoi Zemmour n’est-il pas interdit. Bien sûr, il sévit toujours à la télévision et à la radio.
Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7539 Pays : FranceR E L I G I O N : catholique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Dim 26 Oct 2014, 12:03 am
yacoub a écrit:
Capucine a écrit:
Yacoub, je ne peux pas lire ton spoile, il bouge...
Le voici sans le scroll
Zemmour:
62% des Français ont une mauvaise opinion d’Eric Zemmour
Étonnant sondage que celui concernant Eric Zemmour. Quand il parlait des arabes et des noirs en mal, personne ne songeait à faire un sondage. mais, pourquoi vend-il autant de livres si les Français ne l’aimaient pas ? Près des deux-tiers des Français (62%) ont une mauvaise opinion du polémiste Eric Zemmour et se déclarent « choqués » par sa thèse sur le régime de Vichy qui « aurait sauvé des juifs français », selon un sondage Odoxa pour Le Parisien/aujourd’hui en France. Ambiance.
Seulement 37% ont une bonne opinion d’Eric Zemmour et 8 % une très bonne opinion, indique ce sondage publié hier, dimanche.
Son image est très contrastée entre sympathisants de gauche et de droite: un sur deux l’apprécie à droite (53 % contre 46%) alors que huit sympathisants de gauche sur dix ont une mauvaise opinion de lui dont 49% une « très mauvaise opinion », indique encore ce sondage.
Vichy
Concernant la thèse d’Eric Zemmour sur Vichy, soutenue dans son livre « Le suicide français » et que récusent les historiens, le « choc » est très grand chez les sympathisants de gauche qui sont près de 8 sur 10 (78%) « à ne pas avoir digéré » ses propos, souligne le sondage.
Chez les sympathisants de droite, 50 % se déclarent « choqués » contre 49% qui ne le sont pas, « ce qui ne vaut évidemment pas pour autant accord de leur part avec cette idée », souligne l’institut.
Dans l’ensembre de la droite, 69 % des symphatisants du FN ne sont pas « choqués » par cette thèse alors que les sympathisants des autres partis de droite sont une majorité à se déclarer « choqués »: de 79% au MoDem à 55% à l’UMP.
Le sondage a été réalisé auprès d’un échantillon de 1.000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus interrogés par internet les 23 et 24 octobre.
« Choquage »
Les professionnels du « choquage » et des indignations sélectives sont de sorties. Laissez Eric Zemmour tranquille. Pourquoi hier, « il disait la vérité » et aujourd’hui, « il ment ». Du moins, sa thèse est validée hors de France, notamment en Belgique. Pourquoi ? Cherchez l’erreur ! Yannick Noah a bien fait de demander pourquoi Zemmour n’est-il pas interdit. Bien sûr, il sévit toujours à la télévision et à la radio.
Yacoub, je vais lire cela toute à l'heure.
Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7539 Pays : FranceR E L I G I O N : catholique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Dim 26 Oct 2014, 12:11 am
Date d'inscription : 13/10/2011 Messages : 4200 Pays : BelgiqueR E L I G I O N : Juif messianique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Dim 26 Oct 2014, 1:01 am
C'est vrai à condition de prendre le djihadiste comme une évévation de l'individu.... Le Djihad commence par soi...mais hélas une mauvaise interprétation nous donne un synonyme de terrorisme
HOSANNA Co-Admin
Date d'inscription : 08/08/2010 Messages : 55310 Pays : franceR E L I G I O N : CHRETIEN
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Dim 26 Oct 2014, 1:10 am
Mister Be a écrit:
C'est vrai à condition de prendre le djihadiste comme une évévation de l'individu.... Le Djihad commence par soi...mais hélas une mauvaise interprétation nous donne un synonyme de terrorisme
Charité bien ordonnée commence par soit mème...lol
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Dim 26 Oct 2014, 3:37 am
HOSANNA a écrit:
Charité bien ordonnée commence par soi même...lol
dans ce cas, pourquoi JESUS a préféré mourir plutôt que de répandre ne serait ce qu'une goutte de sang et puis avant lui Bouddha ou Socrate qui ont considéré que la violence c'est de la barbarie
HOSANNA Co-Admin
Date d'inscription : 08/08/2010 Messages : 55310 Pays : franceR E L I G I O N : CHRETIEN
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Dim 26 Oct 2014, 3:39 am
yacoub a écrit:
HOSANNA a écrit:
Charité bien ordonnée commence par soi même...lol
dans ce cas, pourquoi JESUS a préféré mourir plutôt que de répandre ne serait ce qu'une goutte de sang et puis avant lui Bouddha ou Socrate qui ont considéré que la violence c'est de la barbarie
Parce que JESUS à commencé par Lui mème
Arlequin MODERATION
Date d'inscription : 06/05/2013 Messages : 3242 Pays : AlgérieR E L I G I O N : Muslim
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Lun 27 Oct 2014, 4:19 am
Mister Be a écrit:
C'est vrai à condition de prendre le djihadiste comme une évévation de l'individu.... Le Djihad commence par soi...mais hélas une mauvaise interprétation nous donne un synonyme de terrorisme
Une mauvaise interprétation?Mon oeil!Je crois plutôt que c'est une des astuces inventées par des musulmans qui en fait,n'ont jamais crus en Dieu,et à plus forte raison à son message.
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Mar 28 Oct 2014, 5:24 am
Et si tu arrêtais de dire des krinouilleries mon ami, si tu utilisais ton cerveau.
Nicodème FONDATEUR
Date d'inscription : 28/05/2008 Messages : 19785 Pays : FranceR E L I G I O N : Catholique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Sam 22 Nov 2014, 10:06 am
Arlequin MODERATION
Date d'inscription : 06/05/2013 Messages : 3242 Pays : AlgérieR E L I G I O N : Muslim
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Lun 24 Nov 2014, 5:38 am
Comme toutes les religions, l'islam a été l'objet de critiques depuis sa formation. Les critiques sont d'ordre philosophique, scientifique, éthique, politique, théologique et historiographique.
En général la critique de la religion peut avoir trois origines différentes : d'un point de vue séculier (ce qui ne se limite pas à l'athéisme), du point de vue d'une autre religion, ou du point de vue d'une autre doctrine, ou confession, de la même religion (Wafa Sultan, Taslima Nasreen). La critique peut se cantonner à des écrits ou des discours ou encore prendre la forme de protestation ou un ton humoristique. Les critiques sont souvent négatives mais peuvent aussi être positives. Dans un sens large chaque commentaire du Coran constitue une critique de l'islam dans la mesure où le texte révélé ne se suffit pas à lui-même.
Les réactions des musulmans aux critiques de l'islam sont également variées : écrits, discours, voire violences et répression (à l'instar de bien d'autres religions officielles). Ces réactions ont pu aussi venir de non-musulmans, et ce pour des raisons politiques, intellectuelles, personnelles ou autres.
Monde médiéval de culture judéo-chrétienne
Les premières critiques contre l'islam sont le fait de païens arabes et de Juifs habitant le sud de l'Arabie, en particulier les tribus juives de Médine qui accusaient Mahomet d'avoir mal cité leurs propres textes sacrés5. Les musulmans répondant que le Coran, en tant que révélation divine, corrige les textes juifs et chrétiens, et que toute différence entre les deux doit donc être comprise comme la preuve d'une altération des textes antérieurs[réf. nécessaire].
Les plus anciennes analyses connues à ce jour provenant de textes non islamiques se trouvent dans les écrits des religions monothéistes du Moyen Âge, tels ceux de Jean Damascène, ou venant de chrétiens originaires de régions comme la Syrie qui tombèrent sous la coupe des premiers califes. La principale critique écrite vient de Jean Damascène La source de la connaissance contient trois chapitres, dont le second, Des Hérésies, aborde l'islam en tant qu'« hérésie des Ismaélites6 ». Le Coran et l'Hadith étaient suffisamment familiers à Jean Damascène pour qu'il les cite en arabe.
Du "Grand Siècle" au monde moderne Des jugements de valeur négatifs sur l'islam ont été émis bien avant le XXe siècle en France par différents auteurs
- Blaise Pascal (1623 - 1662 scientifique et philosophe français) dans Les Pensées " : “La religion Mahométane a pour fondement l’Alcoran et Mahomet. Mais ce Prophète qui devait être la dernière attente du monde a-t-il été prédit ? Et quelle marque a-t-il que n’ait aussi tout homme qui se voudra dire Prophète ? Quels miracles dit-il lui-même avoir faits ? Quel mystère a-t-il enseigné selon sa tradition même ? Quelle morale, et quelle félicité ?”
- Bossuet (1627 - 1704), écrivain, précepteur de Louis XIV, évêque de Meaux : L’islam(isme) ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers. (Panégyrique de Saint Pierre Nolasque).
- Montesquieu ; ~1689 - 1755 philosophe et écrivain français : "C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée." (De l’Esprit des lois) "La religion des Guèbres rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire."
- Voltaire, 1694 - 1778 écrivain et philosophe français : Le personnage de Mahomet a fortement intéressé Voltaire qui lui a consacré une pièce de théâtre Le Fanatisme ou Mahomet et suggéré de nombreux commentaires. Voltaire considère Mahomet comme un imposteur, un faux prophète, un fanatique et un hypocrite7 dans son œuvre Le Fanatisme, qui ne vise pas uniquement le fanatisme musulman mais aussi, indirectement, le fanatisme chrétien de son époque. Il développa de féroces commentaires dans le Dictionnaire philosophique. Dans son Essai sur les Mœurs, il évoquera toutefois le grand homme qui a changé la face d’une partie du monde
- Chateaubriand (1768 - 1848 écrivain et homme politique français) : "Je dois remarquer que j’ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols." (Mémoires, XXIX, 12) "Tous les éléments de la morale et de la société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet." (Mémoires d’Outre-tombe)
- Alfred de Vigny (1797 - 1863 écrivain français) : "Croyez en Dieu et en son prophète qui ne sait ni lire ni écrire (dans le Coran)."(Journal d’un poète, été-automne 1829) "Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte. (Journal d’un poète, année 1831)
- Gustave Flaubert (1821 - 1880, écrivain français) : "Sans doute par l’effet de mon vieux sang normand, depuis la guerre d’Orient, je suis indigné contre l’Angleterre, indigné à en devenir Prussien ! Car enfin, que veut-elle ? Qui l’attaque ? Cette prétention de défendre l’Islamisme (qui est en soi une monstruosité) m’exaspère.
Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise La Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme." (Lettre à Mme Roger des Genettes / 12 ou 19 janvier 1878)
En Allemagne, on peut citer :
- Schopenhauer (1788 - 1860 philosophe allemand) : "Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. Peut-être le sens nous en échappe-t-il dans les traductions. Cependant je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde."
L'orientalisme ou un nouveau regard sur l'Orient
L'ouvrage "Les Mille et Une nuits" est une compilation mise par écrit au Xe siècle a été redécouverte en Occident au XVIIe siècle. (BERNUS-TAYLOR Marthe, (dir.), L’étrange et le merveilleux en terres d’Islam, catalogue de l’exposition, Paris, Musée du Louvre, Réunion des musées nationaux, 2001, 334 p.) 8
Un orientalisme humaniste et classique s'est développé à la fin du Moyen Âge et au début de la Renaissance, lorsque les explorations commencèrent (par exemple Marco Polo). Il se poursuit au XVIIIe siècle baroque puis rococo. Ce goût oriental hérite aussi du contact de l'époque des Croisades avec le monde islamique. L’orientalisme, terme répandu à partir de 1830, ne désigne pas un style mais plutôt un mouvement dans la littérature et la peinture française aux XVIIIe et XIXe siècles. Il marque l'intérêt de cette époque pour les cultures d'Afrique du Nord, turque et arabe, et l'Empire ottoman.
Pierre Loti en 1879, auteur de Aziyadé, témoigne de sa passion et d'une belle histoire d'amour. Avec ce livre il avait aussi retourné l’opinion occidentale en faveur des Turcs.
Victor Hugo en 1829 écrit un recueil de poèmes : Les Orientales. Il s'agit de tableaux pittoresques de l’Orient méditerranéen où voisinent les accents guerriers, épiques, érotiques et même intimistes. Critiques du XXe siècle
"C'est ce qui permit à une minorité conquérante, politiquement et socialement dominante, de populations surtout chrétiennes, païennes et zoroastriennes, de consolider l'Islam et de soumettre rapidement les mondes sémitiques et iranien." — (P.J. Vatikiotis, L'Islam et l'État, 1987, traduction de Odette Guitard, 1992)
La conception de l'Islam démarrant d'une hérésie anti-trinitaire se retrouve dans l'analyse historique de John Wansbrough et Gerald Hawting9. Une série de réflexions entre chrétiens et musulmans est discutée avec l'idée, rejetée par les musulmans, que Mahomet fut influencé par un moine nestorien, Bahira. Selon cette théorie, l'islam est né d’une mutation dans ce qui était à l’origine une secte judéo-chrétienne qui essayait de se répandre dans les territoires arabes. La parole de Mahomet n'est donc pas une révélation divine, le Coran ne serait qu'une retranscription dans la langue arabe de certaines paroles de JESUS, d'usages et de rites plus anciens.
Dans De la dignité de l'islam. Examen et réfutation de quelques thèses de la nouvelle islamophobie chrétienne (v. Bibliographie), Michel Orcel étudie quelques aspects de la critique spécifiquement chrétienne de l'islam aux XXe et XXIe siècle, laquelle s'inspire pour partie du "révisionnisme" européen et anglo-saxon.
Claude Levi-Strauss dans Tristes Tropiques, publié en 1955, considère l'islam comme rigide et intolérantcitations 5. Critiques du XXIe siècle
De nos jours, les orientalistes européens et américains examinent l'islam d'un point de vue universel et spirituel10. La fin du XXe siècle a vu une résurgence de l'influence mondiale de l'islam, et les conflits politiques et militaires, principalement avec les États-Unis suite aux attentats du World Trade Center du 26 février 1993 et surtout du 11 septembre 2001, ont ramené sur le devant de la scène les discours sur le « choc des civilisations », entraînant une augmentation significative des critiques de l'islam, surtout dans les médias non-musulmans. Critique du Coran
Coran : les différentes théories chronologiques de la rédaction du Coran, philologie et approche paléographique.
Les recherches récentes montrent que le Coran n'est pas la transcription directe de la parole de Mahomet ; avant d'arriver à sa forme actuelle canonique il est passé par plusieurs phases d'écriture et de réécriture. Le Coran, comme tout autre livre, a une histoire. L'histoire de son élaboration
Il n'existe pas de Coran « original » remontant à l'époque de Mahomet. Certains chercheurs essaient de cerner les conditions de formation et la période de la rédaction du texte ou des textes : pendant ou après la vie de Mahomet, voire -pour certains extraits- avant, ainsi que le suggère Christoph Luxenberg dans l'un de ses ouvrages.
Le Coran inclut des parties récitées, selon la tradition, par Mahomet rejoignant des passages de la Bible hébraïque, du Talmud, du Nouveau Testament que le Coran cite explicitement comme des livres révélés tout en affirmant qu'ils contiennent des erreurs ; et le Coran présente certaines ressemblances notables avec d'autres sources plus légendaires telle que les Sept Dormants d'Éphèse ou le Roman d'Alexandre. Ainsi, de nombreux commentateurs du Coran ont voulu reconnaître en Dhû-l-Qarnayn de la sourate dix-huit du Coran, Alexandre le Grand ou Cyrus le Grand, d'autres personnages historiques ont été repris par les savants musulmans dans le cadre d'une exégèse du Coran. Le Coran reprend de nombreux récits des apocryphes chrétiens concernant la vie de Marie et l’enfance de JESUS.
Concernant la composition du Coran par Mahomet, Maxime Rodinson écrit : «… comme (Mahomet) était doué d'une personnalité singulièrement plus riche et plus puissante que celle des Kâhin ordinaires, cette insatisfaction le poussait aussi à réfléchir. Toute une élaboration intellectuelle se déroulait parallèlement aux répercutions de son tempérament inné de son histoire personnelle sur le plan nerveux. Et cette élaboration intellectuelle était d'une rare qualité… Petit à petit, son esprit s'avançait sur une voie qui devait le mener à dépasser l'horizon de son pays et de son temps24. » Après une longue comparaison, sur une quarantaine de pages, de Mahomet avec certains mystiques comme Thérèse d'Ávila et appuyé l'idée que Mahomet croyait sincèrement à la Voix qui lui dictait des choses25, Rodinson conclut : « Mohammed dut aussi éliminer, trier, inconsciemment sans doute, et ne retenir que ce qui édifiait, exortait, consolait. Ses plus beaux poèmes n'ont sans doute jamais été écrits. Il attendait de Dieu des messages dans un sens donné et son attente modelait le verbe qui cherchait, en vain, à se montrer plus fort que lui. Au-delà des glossalistes chrétiens, il découvrait la démarche des grands prophètes d'Israël26. » De sa compilation à sa canonisation Chercheurs contemporains
Le philologue et islamologue Manfred Kropp explique que la langue du Coran aurait été retravaillée par des grammairiens en un texte en arabe populaire qui déjà avait de nombreux emprunts au syriaque27. Selon le traducteur Maurice Gloton et Mahmoud Azabnotes 1, le Coran comporte certaines irrégularités grammaticales par rapport à la grammaire simplifiée de l'arabe moderne, qui seraient des artéfacts de l'ancienne grammaire arabe de l'époque de Mahomet28.
L'opinion la plus partagée dans le monde des chercheurs est que « l'initiative de constitution d'un codex coranique officiel, commencée apparemment sous le califat de Uthman semble avoir trouvé son achèvement sous le règne d'Abd al-Malik (685-705) ou un peu plus tard29 ». L'absence d'uniformité de lecture due à l'absence de voyelles [réf. nécessaire] , créant des variations grammaticales et sémantiques, engendre différentes traditions locales de lectures (qira'at) dont quatorze [réf. nécessaire] seront autorisées à partir du Xe siècle. Les lectures non-autorisées demeureront cependant débattues par les savants musulmans. Une lecture dite de Hafs ou Coufique sera imposée à tout l'Empire ottoman au XVIe siècle et reste la plus répandue de nos jours. Quelques lectures ont subsisté à la périphérie de l'empire dont la version dite de Warsh ou Médinoise, la seule encore imprimée, en Afrique de l'Ouest et du Nord-Ouest30. Comme le souligne Manfred Kropp, actuellement, une collection de lectures (mu'jam al qira'ât) est répertoriée comme des variantes par rapport à la lecture hafs, tandis que point de vue scriptural, le rasm de toutes ces variantes (sans les voyelles et les hurûf al 'illah) reste uniforme et similaire aux quelque trente-mille fragments de textes coraniques remontant au Ier siècle hégirien31. . Parole de Dieu ?
Des écrivains contemporains comme Karen Armstrong basent leur critique de Mahomet et de sa religion sur la contestation d'une des idées centrales de l'Islam : le Coran représenterait la parole littérale de Dieu.
Armstrong et d'autres préfèrent parler en de vagues formules de la nature transcendantale des visions et perceptions de Mahomet dès qu'il est question de la nature divine ou non du texte du Coran. Ces formulations n'en restent pas moins considérées hérétiques par les musulmans pieux, comme le furent, en leur temps, les travaux des chercheurs universitaires sur le problème synoptique ou la quête du JESUS historique par diverses autorités religieuses du christianisme10.
Critiques autour de Mahomet
Critiques théologiques
Les critiques théologiques de l'islam se concentrent autant sur Mahomet que sur les croyances des musulmans à propos de Dieu. Ces critiques ne proviennent pas seulement des autres religions monothéistes. Au contraire, de nombreuses critiques visant plusieurs aspects ou pratiques considérés comme faisant partie de l'islam « traditionnel », s'il existe, sont le fait d'autres musulmans. Ainsi les différences de rites, d'interprétations entre sunnisme et chiisme sont une parfaite illustration des critiques théologiques de l'islam. Église évangélique
Samuel Marinus Zwemer, missionnaire américain parti en Arabie à la fin du XIX siècle répandre la parole évangélique, critique la vie de Mahomet dans ses nombreuses publications56 :
selon les normes de l'Ancien et du Nouveau Testament, textes que Mahomet lui-même reconnaît comme étant des révélations divines. Des auteurs musulmans réfutent cette critique en affirmant que cela concerne seulement les versions originales de ces deux textes, versions prétendument perdues qui différeraient de celles qui nous sont connues. selon la moralité païenne de ses compatriotes arabes. selon la loi même dont il prétendait être le « médium choisi par Dieu et son gardien » (critique en opposition flagrante à l'immense majorité des commentateurs musulmans à travers l'histoire)
Zwemer dit même que Mahomet contredisait l'éthique traditionnelle des brigands idolâtres parmi lesquels il vivait, et qu'il contrevenait aussi à la morale sexuelle de son propre système. Citant Johnstone, Zwemer conclut en disant que le jugement des universitaires modernes contre l'islam, bien que sévère, est basé sur des preuves qui « viennent toutes des propres lèvres et plumes de ses [Mahomet] propres disciples dévots »[réf. nécessaire]. Église catholique
À son apogée, la domination islamique est allée jusqu'au nord des péninsules ibérique et grecque, en Afrique noire, au Nord de l'Inde et aux portes de la Chine. L'Église commença à voir en l'Islam une religion et pas seulement une menace militaire. Les écrits religieux commencèrent alors à décrire l'Islam et Mahomet comme étant inspirés par Satan, l'avant-garde, à savoir l'Antéchrist ou comme l'Antéchrist lui-même.
Hindouisme
D'autres religions, comme l'Hindouisme développèrent des arguments semblables à la suite de la conquête arabe en Inde. De nos jours, les théologiens font un parallèle entre les attaques contemporaines à l'encontre de l'islam et celles de l'époque médiévale qui culminèrent dans la rhétorique de la Reconquista
Les chrétiens d'Europe sont devenus de plus en plus inquiets par l'expansion de l'empire islamique (voir Histoire de la conquête musulmane, Bataille de Yarmouk) et voyaient l'Islam comme un fléau militaire et païen, châtiment divin pour les punir de leurs péchés. Des auteurs musulmans modernes ont avancé que cette idée, réactualisée au cours des siècles jusqu'à nos jours, a de fait positionné l'Islam en tant qu'Autre par excellence dans la culture judéo-chrétienne, un Autre qui a permis et qui permet à la chrétienté de se définir contre le Judaïsme et le paganisme.
Pour l'encyclopédie catholique de 1911, un ouvrage apologétique produit en pleine Crise moderniste, Mahomet a été inspiré par une compréhension incomplète du Judaïsme, du Christianisme et du Zoroastrisme.
Ainsi, pour certaines personnes, Mahomet aurait été instruit par des textes apocryphes et non pas par les Évangiles canoniques, ne puisant donc « pas sa connaissance (du christianisme) à des sources purement chrétiennes », mais plutôt judéo-chrétiennes57. De là découleraient également les « incohérence[s] partielle[s] » auxquelles sont sujettes les données coraniques sur Jésus58.
Critiques éthiques
Certains (par exemple Geert Wilders, à la tête du Parti nationaliste néerlandais, assimilant l'islam a une idéologie fasciste) affirment qu'en tant que religion et système légal d'organisation de la société, l'islam ne parvient pas à fournir des valeurs morales acceptables selon les critères modernes60. En réponse, les défenseurs de l'islam ont suggéré :
que les critiques morales de l'islam se concentrent sur des formes diverses de traditionalisme culturel, et non sur les principes réels de la foi et que ces critiques, quand elles portent bien sur les principes légaux islamiques, se concentrent souvent sur les points les plus sensationnels, et ne prêtent pas attention au résultat social réel, généralement populaire, produit par la charia dans son ensemble, au sein d'une communauté musulmane donnée61.
*Mariage de Mahomet avec Aïcha
Une critique de Mahomet est le mariage de celui-ci avec une très jeune fille quand il était âgé d'une cinquantaine d'années. Selon un certain hadith, Mahomet aurait épousé Aïcha alors qu'elle aurait eu six ans. Ce hadith considéré authentique par nombre d'oulémas et rapporté tant par Muslim que par Boukhari68 -selon Hicham ibn Urwah- rapporte qu'Aïcha se serait mariée à l'âge de 6 ans et que Mahomet aurait consommé le mariage avec Aicha, quand elle eut atteint l'âge de 9 ans ; Aïcha aurait dit : « J'avais six ans lorsque le Prophète m'épousa et neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi69. »
Arlequin MODERATION
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Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Jeu 27 Nov 2014, 4:46 am
Comme toutes les religions, l'islam a été l'objet de critiques depuis sa formation. Les critiques sont d'ordre philosophique, scientifique, éthique, politique, théologique et historiographique.
En général la critique de la religion peut avoir trois origines différentes : d'un point de vue séculier (ce qui ne se limite pas à l'athéisme), du point de vue d'une autre religion, ou du point de vue d'une autre doctrine, ou confession, de la même religion (Wafa Sultan, Taslima Nasreen). La critique peut se cantonner à des écrits ou des discours ou encore prendre la forme de protestation ou un ton humoristique. Les critiques sont souvent négatives mais peuvent aussi être positives. Dans un sens large chaque commentaire du Coran constitue une critique de l'islam dans la mesure où le texte révélé ne se suffit pas à lui-même.
Les réactions des musulmans aux critiques de l'islam sont également variées : écrits, discours, voire violences et répression (à l'instar de bien d'autres religions officielles). Ces réactions ont pu aussi venir de non-musulmans, et ce pour des raisons politiques, intellectuelles, personnelles ou autres.
Monde médiéval de culture judéo-chrétienne
Les premières critiques contre l'islam sont le fait de païens arabes et de Juifs habitant le sud de l'Arabie, en particulier les tribus juives de Médine qui accusaient Mahomet d'avoir mal cité leurs propres textes sacrés5. Les musulmans répondant que le Coran, en tant que révélation divine, corrige les textes juifs et chrétiens, et que toute différence entre les deux doit donc être comprise comme la preuve d'une altération des textes antérieurs[réf. nécessaire].
Les plus anciennes analyses connues à ce jour provenant de textes non islamiques se trouvent dans les écrits des religions monothéistes du Moyen Âge, tels ceux de Jean Damascène, ou venant de chrétiens originaires de régions comme la Syrie qui tombèrent sous la coupe des premiers califes. La principale critique écrite vient de Jean Damascène La source de la connaissance contient trois chapitres, dont le second, Des Hérésies, aborde l'islam en tant qu'« hérésie des Ismaélites6 ». Le Coran et l'Hadith étaient suffisamment familiers à Jean Damascène pour qu'il les cite en arabe.
Du "Grand Siècle" au monde moderne Des jugements de valeur négatifs sur l'islam ont été émis bien avant le XXe siècle en France par différents auteurs
- Blaise Pascal (1623 - 1662 scientifique et philosophe français) dans Les Pensées " : “La religion Mahométane a pour fondement l’Alcoran et Mahomet. Mais ce Prophète qui devait être la dernière attente du monde a-t-il été prédit ? Et quelle marque a-t-il que n’ait aussi tout homme qui se voudra dire Prophète ? Quels miracles dit-il lui-même avoir faits ? Quel mystère a-t-il enseigné selon sa tradition même ? Quelle morale, et quelle félicité ?”
- Bossuet (1627 - 1704), écrivain, précepteur de Louis XIV, évêque de Meaux : L’islam(isme) ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout l’univers. (Panégyrique de Saint Pierre Nolasque).
- Montesquieu ; ~1689 - 1755 philosophe et écrivain français : "C’est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l’a fondée." (De l’Esprit des lois) "La religion des Guèbres rendit autrefois le royaume de Perse florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion mahométane détruit aujourd’hui ce même empire."
- Voltaire, 1694 - 1778 écrivain et philosophe français : Le personnage de Mahomet a fortement intéressé Voltaire qui lui a consacré une pièce de théâtre Le Fanatisme ou Mahomet et suggéré de nombreux commentaires. Voltaire considère Mahomet comme un imposteur, un faux prophète, un fanatique et un hypocrite7 dans son œuvre Le Fanatisme, qui ne vise pas uniquement le fanatisme musulman mais aussi, indirectement, le fanatisme chrétien de son époque. Il développa de féroces commentaires dans le Dictionnaire philosophique. Dans son Essai sur les Mœurs, il évoquera toutefois le grand homme qui a changé la face d’une partie du monde
- Chateaubriand (1768 - 1848 écrivain et homme politique français) : "Je dois remarquer que j’ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols." (Mémoires, XXIX, 12) "Tous les éléments de la morale et de la société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet." (Mémoires d’Outre-tombe)
- Alfred de Vigny (1797 - 1863 écrivain français) : "Croyez en Dieu et en son prophète qui ne sait ni lire ni écrire (dans le Coran)."(Journal d’un poète, été-automne 1829) "Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s’ils ne changent de culte. (Journal d’un poète, année 1831)
- Gustave Flaubert (1821 - 1880, écrivain français) : "Sans doute par l’effet de mon vieux sang normand, depuis la guerre d’Orient, je suis indigné contre l’Angleterre, indigné à en devenir Prussien ! Car enfin, que veut-elle ? Qui l’attaque ? Cette prétention de défendre l’Islamisme (qui est en soi une monstruosité) m’exaspère.
Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on broie la Pierre-Noire, pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise La Mecque, et que l’on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme." (Lettre à Mme Roger des Genettes / 12 ou 19 janvier 1878)
En Allemagne, on peut citer :
- Schopenhauer (1788 - 1860 philosophe allemand) : "Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. Peut-être le sens nous en échappe-t-il dans les traductions. Cependant je n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde."
L'orientalisme ou un nouveau regard sur l'Orient
L'ouvrage "Les Mille et Une nuits" est une compilation mise par écrit au Xe siècle a été redécouverte en Occident au XVIIe siècle. (BERNUS-TAYLOR Marthe, (dir.), L’étrange et le merveilleux en terres d’Islam, catalogue de l’exposition, Paris, Musée du Louvre, Réunion des musées nationaux, 2001, 334 p.) 8
Un orientalisme humaniste et classique s'est développé à la fin du Moyen Âge et au début de la Renaissance, lorsque les explorations commencèrent (par exemple Marco Polo). Il se poursuit au XVIIIe siècle baroque puis rococo. Ce goût oriental hérite aussi du contact de l'époque des Croisades avec le monde islamique. L’orientalisme, terme répandu à partir de 1830, ne désigne pas un style mais plutôt un mouvement dans la littérature et la peinture française aux XVIIIe et XIXe siècles. Il marque l'intérêt de cette époque pour les cultures d'Afrique du Nord, turque et arabe, et l'Empire ottoman.
Pierre Loti en 1879, auteur de Aziyadé, témoigne de sa passion et d'une belle histoire d'amour. Avec ce livre il avait aussi retourné l’opinion occidentale en faveur des Turcs.
Victor Hugo en 1829 écrit un recueil de poèmes : Les Orientales. Il s'agit de tableaux pittoresques de l’Orient méditerranéen où voisinent les accents guerriers, épiques, érotiques et même intimistes. Critiques du XXe siècle
"C'est ce qui permit à une minorité conquérante, politiquement et socialement dominante, de populations surtout chrétiennes, païennes et zoroastriennes, de consolider l'Islam et de soumettre rapidement les mondes sémitiques et iranien." — (P.J. Vatikiotis, L'Islam et l'État, 1987, traduction de Odette Guitard, 1992)
La conception de l'Islam démarrant d'une hérésie anti-trinitaire se retrouve dans l'analyse historique de John Wansbrough et Gerald Hawting9. Une série de réflexions entre chrétiens et musulmans est discutée avec l'idée, rejetée par les musulmans, que Mahomet fut influencé par un moine nestorien, Bahira. Selon cette théorie, l'islam est né d’une mutation dans ce qui était à l’origine une secte judéo-chrétienne qui essayait de se répandre dans les territoires arabes. La parole de Mahomet n'est donc pas une révélation divine, le Coran ne serait qu'une retranscription dans la langue arabe de certaines paroles de JESUS, d'usages et de rites plus anciens.
Dans De la dignité de l'islam. Examen et réfutation de quelques thèses de la nouvelle islamophobie chrétienne (v. Bibliographie), Michel Orcel étudie quelques aspects de la critique spécifiquement chrétienne de l'islam aux XXe et XXIe siècle, laquelle s'inspire pour partie du "révisionnisme" européen et anglo-saxon.
Claude Levi-Strauss dans Tristes Tropiques, publié en 1955, considère l'islam comme rigide et intolérantcitations 5. Critiques du XXIe siècle
De nos jours, les orientalistes européens et américains examinent l'islam d'un point de vue universel et spirituel10. La fin du XXe siècle a vu une résurgence de l'influence mondiale de l'islam, et les conflits politiques et militaires, principalement avec les États-Unis suite aux attentats du World Trade Center du 26 février 1993 et surtout du 11 septembre 2001, ont ramené sur le devant de la scène les discours sur le « choc des civilisations », entraînant une augmentation significative des critiques de l'islam, surtout dans les médias non-musulmans. Critique du Coran
Coran : les différentes théories chronologiques de la rédaction du Coran, philologie et approche paléographique.
Les recherches récentes montrent que le Coran n'est pas la transcription directe de la parole de Mahomet ; avant d'arriver à sa forme actuelle canonique il est passé par plusieurs phases d'écriture et de réécriture. Le Coran, comme tout autre livre, a une histoire. L'histoire de son élaboration
Il n'existe pas de Coran « original » remontant à l'époque de Mahomet. Certains chercheurs essaient de cerner les conditions de formation et la période de la rédaction du texte ou des textes : pendant ou après la vie de Mahomet, voire -pour certains extraits- avant, ainsi que le suggère Christoph Luxenberg dans l'un de ses ouvrages.
Le Coran inclut des parties récitées, selon la tradition, par Mahomet rejoignant des passages de la Bible hébraïque, du Talmud, du Nouveau Testament que le Coran cite explicitement comme des livres révélés tout en affirmant qu'ils contiennent des erreurs ; et le Coran présente certaines ressemblances notables avec d'autres sources plus légendaires telle que les Sept Dormants d'Éphèse ou le Roman d'Alexandre. Ainsi, de nombreux commentateurs du Coran ont voulu reconnaître en Dhû-l-Qarnayn de la sourate dix-huit du Coran, Alexandre le Grand ou Cyrus le Grand, d'autres personnages historiques ont été repris par les savants musulmans dans le cadre d'une exégèse du Coran. Le Coran reprend de nombreux récits des apocryphes chrétiens concernant la vie de Marie et l’enfance de JESUS.
Concernant la composition du Coran par Mahomet, Maxime Rodinson écrit : «… comme (Mahomet) était doué d'une personnalité singulièrement plus riche et plus puissante que celle des Kâhin ordinaires, cette insatisfaction le poussait aussi à réfléchir. Toute une élaboration intellectuelle se déroulait parallèlement aux répercutions de son tempérament inné de son histoire personnelle sur le plan nerveux. Et cette élaboration intellectuelle était d'une rare qualité… Petit à petit, son esprit s'avançait sur une voie qui devait le mener à dépasser l'horizon de son pays et de son temps24. » Après une longue comparaison, sur une quarantaine de pages, de Mahomet avec certains mystiques comme Thérèse d'Ávila et appuyé l'idée que Mahomet croyait sincèrement à la Voix qui lui dictait des choses25, Rodinson conclut : « Mohammed dut aussi éliminer, trier, inconsciemment sans doute, et ne retenir que ce qui édifiait, exortait, consolait. Ses plus beaux poèmes n'ont sans doute jamais été écrits. Il attendait de Dieu des messages dans un sens donné et son attente modelait le verbe qui cherchait, en vain, à se montrer plus fort que lui. Au-delà des glossalistes chrétiens, il découvrait la démarche des grands prophètes d'Israël26. » De sa compilation à sa canonisation Chercheurs contemporains
Le philologue et islamologue Manfred Kropp explique que la langue du Coran aurait été retravaillée par des grammairiens en un texte en arabe populaire qui déjà avait de nombreux emprunts au syriaque27. Selon le traducteur Maurice Gloton et Mahmoud Azabnotes 1, le Coran comporte certaines irrégularités grammaticales par rapport à la grammaire simplifiée de l'arabe moderne, qui seraient des artéfacts de l'ancienne grammaire arabe de l'époque de Mahomet28.
L'opinion la plus partagée dans le monde des chercheurs est que « l'initiative de constitution d'un codex coranique officiel, commencée apparemment sous le califat de Uthman semble avoir trouvé son achèvement sous le règne d'Abd al-Malik (685-705) ou un peu plus tard29 ». L'absence d'uniformité de lecture due à l'absence de voyelles [réf. nécessaire] , créant des variations grammaticales et sémantiques, engendre différentes traditions locales de lectures (qira'at) dont quatorze [réf. nécessaire] seront autorisées à partir du Xe siècle. Les lectures non-autorisées demeureront cependant débattues par les savants musulmans. Une lecture dite de Hafs ou Coufique sera imposée à tout l'Empire ottoman au XVIe siècle et reste la plus répandue de nos jours. Quelques lectures ont subsisté à la périphérie de l'empire dont la version dite de Warsh ou Médinoise, la seule encore imprimée, en Afrique de l'Ouest et du Nord-Ouest30. Comme le souligne Manfred Kropp, actuellement, une collection de lectures (mu'jam al qira'ât) est répertoriée comme des variantes par rapport à la lecture hafs, tandis que point de vue scriptural, le rasm de toutes ces variantes (sans les voyelles et les hurûf al 'illah) reste uniforme et similaire aux quelque trente-mille fragments de textes coraniques remontant au Ier siècle hégirien31. . Parole de Dieu ?
Des écrivains contemporains comme Karen Armstrong basent leur critique de Mahomet et de sa religion sur la contestation d'une des idées centrales de l'Islam : le Coran représenterait la parole littérale de Dieu.
Armstrong et d'autres préfèrent parler en de vagues formules de la nature transcendantale des visions et perceptions de Mahomet dès qu'il est question de la nature divine ou non du texte du Coran. Ces formulations n'en restent pas moins considérées hérétiques par les musulmans pieux, comme le furent, en leur temps, les travaux des chercheurs universitaires sur le problème synoptique ou la quête du JESUS historique par diverses autorités religieuses du christianisme10.
Critiques autour de Mahomet
Critiques théologiques
Les critiques théologiques de l'islam se concentrent autant sur Mahomet que sur les croyances des musulmans à propos de Dieu. Ces critiques ne proviennent pas seulement des autres religions monothéistes. Au contraire, de nombreuses critiques visant plusieurs aspects ou pratiques considérés comme faisant partie de l'islam « traditionnel », s'il existe, sont le fait d'autres musulmans. Ainsi les différences de rites, d'interprétations entre sunnisme et chiisme sont une parfaite illustration des critiques théologiques de l'islam. Église évangélique
Samuel Marinus Zwemer, missionnaire américain parti en Arabie à la fin du XIX siècle répandre la parole évangélique, critique la vie de Mahomet dans ses nombreuses publications56 :
selon les normes de l'Ancien et du Nouveau Testament, textes que Mahomet lui-même reconnaît comme étant des révélations divines. Des auteurs musulmans réfutent cette critique en affirmant que cela concerne seulement les versions originales de ces deux textes, versions prétendument perdues qui différeraient de celles qui nous sont connues. selon la moralité païenne de ses compatriotes arabes. selon la loi même dont il prétendait être le « médium choisi par Dieu et son gardien » (critique en opposition flagrante à l'immense majorité des commentateurs musulmans à travers l'histoire)
Zwemer dit même que Mahomet contredisait l'éthique traditionnelle des brigands idolâtres parmi lesquels il vivait, et qu'il contrevenait aussi à la morale sexuelle de son propre système. Citant Johnstone, Zwemer conclut en disant que le jugement des universitaires modernes contre l'islam, bien que sévère, est basé sur des preuves qui « viennent toutes des propres lèvres et plumes de ses [Mahomet] propres disciples dévots »[réf. nécessaire]. Église catholique
À son apogée, la domination islamique est allée jusqu'au nord des péninsules ibérique et grecque, en Afrique noire, au Nord de l'Inde et aux portes de la Chine. L'Église commença à voir en l'Islam une religion et pas seulement une menace militaire. Les écrits religieux commencèrent alors à décrire l'Islam et Mahomet comme étant inspirés par Satan, l'avant-garde, à savoir l'Antéchrist ou comme l'Antéchrist lui-même.
Hindouisme
D'autres religions, comme l'Hindouisme développèrent des arguments semblables à la suite de la conquête arabe en Inde. De nos jours, les théologiens font un parallèle entre les attaques contemporaines à l'encontre de l'islam et celles de l'époque médiévale qui culminèrent dans la rhétorique de la Reconquista
Les chrétiens d'Europe sont devenus de plus en plus inquiets par l'expansion de l'empire islamique (voir Histoire de la conquête musulmane, Bataille de Yarmouk) et voyaient l'Islam comme un fléau militaire et païen, châtiment divin pour les punir de leurs péchés. Des auteurs musulmans modernes ont avancé que cette idée, réactualisée au cours des siècles jusqu'à nos jours, a de fait positionné l'Islam en tant qu'Autre par excellence dans la culture judéo-chrétienne, un Autre qui a permis et qui permet à la chrétienté de se définir contre le Judaïsme et le paganisme.
Pour l'encyclopédie catholique de 1911, un ouvrage apologétique produit en pleine Crise moderniste, Mahomet a été inspiré par une compréhension incomplète du Judaïsme, du Christianisme et du Zoroastrisme.
Ainsi, pour certaines personnes, Mahomet aurait été instruit par des textes apocryphes et non pas par les Évangiles canoniques, ne puisant donc « pas sa connaissance (du christianisme) à des sources purement chrétiennes », mais plutôt judéo-chrétiennes57. De là découleraient également les « incohérence[s] partielle[s] » auxquelles sont sujettes les données coraniques sur Jésus58.
Critiques éthiques
Certains (par exemple Geert Wilders, à la tête du Parti nationaliste néerlandais, assimilant l'islam a une idéologie fasciste) affirment qu'en tant que religion et système légal d'organisation de la société, l'islam ne parvient pas à fournir des valeurs morales acceptables selon les critères modernes60. En réponse, les défenseurs de l'islam ont suggéré :
que les critiques morales de l'islam se concentrent sur des formes diverses de traditionalisme culturel, et non sur les principes réels de la foi et que ces critiques, quand elles portent bien sur les principes légaux islamiques, se concentrent souvent sur les points les plus sensationnels, et ne prêtent pas attention au résultat social réel, généralement populaire, produit par la charia dans son ensemble, au sein d'une communauté musulmane donnée61.
*Mariage de Mahomet avec Aïcha
Une critique de Mahomet est le mariage de celui-ci avec une très jeune fille quand il était âgé d'une cinquantaine d'années. Selon un certain hadith, Mahomet aurait épousé Aïcha alors qu'elle aurait eu six ans. Ce hadith considéré authentique par nombre d'oulémas et rapporté tant par Muslim que par Boukhari68 -selon Hicham ibn Urwah- rapporte qu'Aïcha se serait mariée à l'âge de 6 ans et que Mahomet aurait consommé le mariage avec Aicha, quand elle eut atteint l'âge de 9 ans ; Aïcha aurait dit : « J'avais six ans lorsque le Prophète m'épousa et neuf ans lorsqu'il eut effectivement des relations conjugales avec moi69. »
Des avis de personnages partiaux qui défendent leurs causes!Choses que je comprend et que je respecte!Sauf,que ça ne m’empêche pas de dire que tout ces avis,ne reflètes en rien l'Islam tel qu'enseigné par Mahomet!Sinon,qui a donné à Bukhari,à Muslim,et aux autres le droit de parler aux noms des autres?
Nicodème FONDATEUR
Date d'inscription : 28/05/2008 Messages : 19785 Pays : FranceR E L I G I O N : Catholique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Dim 21 Déc 2014, 10:49 pm
bonjour,
en moins de 48h, 4 personnes ont tués et tenter de tuer des personnes en France au nom d'allah..... pourquoi ?
Nicodème FONDATEUR
Date d'inscription : 28/05/2008 Messages : 19785 Pays : FranceR E L I G I O N : Catholique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Sam 10 Jan 2015, 12:42 am
Bonjour,
En moins d'un mois, près de 20personnes ont été assassinés par des musulmans... que penser des propos de Zemmour
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..." Mer 21 Sep 2016, 11:27 pm
Mondialisme – Islamisme – France : Les Gaulois, ou le retour à l’assimilation Par Ivan Rioufol / Eric Zemmour : « l’islam est inassimilable » Par The Wolf le 21/09/2016 • ( Poster un commentaire ) Les Gaulois, ou le retour à l’assimilation
Par Ivan Rioufol le 21 septembre 2016 Le Figaro
Si Nicolas Sarkozy avait dit : « Nos ancêtres les Arabes », son audace aurait été saluée par tous les tenants des identités multiples, des histoires plurielles, des blessures coloniales, des repentances unilatérales, des réécritures du passé, etc. Ceux-là monopolisent les médias audiovisuels et se pressent dans les couloirs de l’Education nationale. Mais le candidat à la présidentielle a dit : « Dès que vous devenez français, vos ancêtres sont gaulois ! ». Pour les défenseurs du multiculturalisme, fossoyeur de la mémoire collective et de la nation indivisible, cette évocation en creux de laFrance assimilatrice est un scandale. Ces indignés n’ont rien dit du sondage Ifop pour l’institut Montaigne, paru dimanche, qui montre que 50% des jeunes musulmans de France se réclament d’Allah et de la loi islamique (charia). En revanche, ils trouvent intolérable de rappeler que l’histoire de la France ne commence pas avec l’arrivée récente des nouvelles minorités ethniques et religieuses, mais qu’elle a sa source dans un passé millénaire mythifié. Il faut être de mauvaise foi pour feindre de comprendre, comme Bruno Le Maire par exemple, que cette évocation symbolique d’une racine gauloise exclurait tous les autres apports. Najat Vallaud-Belkacem,plus péronnelle que jamais, a cru faire la leçon en rappelant à l’ancien chef de l’Etat que la France, c’était aussi « des Romains, des Normands, des Burgondes, des Arabes, des Italiens, des Espagnols », tout en oubliant d’ailleurs les Juifs. Mais la ministre de l’Education connaît mieux que d’autres le travail de sape que mène le Conseil supérieur des programmes, qui revendique sa rupture avec l’enseignement du roman national et avec « l’injonction à l’appartenance » à la patrie, au nom de la valorisation des nouveaux venus.
Il est permis de douter des convictions de Sarkozy. Président, il voulait inscrire la « diversité » dans la constitution, imposer le métissage, faire disparaître l’expression « Français de souche’.
Sa conversion à l’assimilation n’impressionnera sans doute pas ceux qui ont rejoint le FN. Reste que ce retour à l’ADN de la France, qui est encore inscrit dans l’article 21-24 du Code civil (‘Nul ne peut être naturalisé s’il ne justifie de son assimilation à la communauté française (…) »), est un louable objectif.
La faillite de l’intégration, qui fracture le pays, est la conséquence d’un constant renoncement de l’Etat à imposer une identité commune construite sur des racines, des mémoires, des héros, des valeurs, des transmissions. C’est bien entendu l’islam conquérant, qui réclame toujours plus de visibilités et d’accommodements, qui est visé par ce retour aux sources. Ce réveil national ne se réduit pas à l’évocation des Gaulois, qui sont néanmoins une réalité pour ceux des cités quand ils désignent ainsi les « Français ». La réhabilitation de l’assimilation oblige à des exigences vis-à-vis de l’islam dominateur et à des discrétions pour les musulmans fiers de leur religion. Un processus de longue haleine doit être engagé par un Etat suffisamment puissant pour résister aux réticences prévisibles. C’est une épreuve de force avec l’islam radical qu’annonce en fait Sarkozy avec sa petite phrase. Pour ma part, je renouvelle ma proposition faite dans La guerre civile qui vient (page 186) d’un référendum pour trancher la question du choix entre une République multiculturelle, instrument de l’islam politique, et une nation indivisible reconstruite sur l’objectif de l’assimilation. Les politiques sont trop faibles pour se passer du peuple.
(Vidéo) Eric Zemmour : « l’islam est inassimilable » PAR GUERRECIVILEENEUROPE le 19 SEPTEMBRE 2016 telechargement-10Eric Zemmour, invité de Thierry Ardisson dans « Salut Les Terriens » sur C8 le 17 septembre 2016 à l’occasion de la sortie de son livre « Un quinquennat pour rien », le recueil des chroniques qu’il dispense sur RTL. Dans ce passage vidéo on apprend que les autruches ne sont pas seulement lâches et aveugles. Elles sont surtout incultes…
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Sujet: Re: Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..."
Eric Zemmour " Les Djihadistes Ne Sont Ni Criminels Ni Terroristes,Ils Suivent Le Coran..."