LETTRE OUVERTE À LA COP21
MANTRA 6666
Au sixième jour du sixième mois,
à 6 heures 6 minutes 6 secondes,
6666 ans après la création de Kepler 452-b :
Vraiment, aucune salutation
À tous ces gros francs-maçons
De la COP21,
Tous devenus zinzins.
Cependant, je vous adresse un mot,
À vous, tous les vieux zozos,
Inventeurs et inventionneurs,
Sous votre chef, l’Exterminateur.
Oui, vous avez inventé
Ce qui n’a jamais existé,
Et pourquoi, dites-le-moi ?
Pour faire plaisir au père François !
Cet Antéchrist, votre patron,
Suivi des fausses religions,
Vous dit : « Défions Dieu
Et ravissons-lui les cieux.
« Il faut le déposséder
Même de son éternité.
Il n’y a qu’un seul moyen :
Écoutez-moi, les copains,
Car vous connaissez quedal !
Il faut l’écologie intégrale !
À nous désormais tous les climats,
Continue le vieux François.
Le développement sera durable :
Il me l’a dit dans mon cartable !
Je vais changer les temps et les lois,
OK ? Parole de François ! »
Et vous l’avez bien écouté
Au fond de vos loges rassemblés.
Vous l’attendiez, votre patron,
Afin qu’il mette à exécution
Ce que le diable vous avait dit
Depuis tant et tant de décennies.
Votre COP21 marchera :
Vous le savez bien, n’est-ce pas ?
C’est donc bien pour rigoler
Que vous allez vous rassembler,
Et vous sablerez le champagne
Puisque vous entrez en campagne.
« Allez les mecs, au boulot,
Direz-vous dans votre zoo !
Il nous faut le changement climatique
Et vaincre les derniers catholiques. »
Toute la conciliaire s’ébranle :
Ses évêques mettent tout en branle !
Ils vont bien vous épauler
Avec leur grand-chef Françoés.
« Il nous faut des lois contraignantes !
La chose est très importante ! »
Meuglent tous ces impies
À la suite de "Laudato si".
Qui en sera l’applicateur ?
Le grand Exterminateur !
Ce sont vos potes, les conciliaires :
Sans eux vous n’auriez pu rien faire.
Sans les loups de Vatican II,
Vous seriez comme des meumeues.
Vous avez tout planifié,
Et eux vont exécuter,
Et tous ensemble sous l’Antéchrist,
Vous combattez le Christ,
Mais vous serez foutus
Car vous serez vaincus.
L’Église vous croyez détruire ?
Mais le Christ va vous occire :
Cela est absolument certain !
Vous finirez dans le purin
De l’éternel enfer
Sous votre cop-Cifer.
Mais pour lors, vous régner en maîtres
Avec toute la bande des traîtres
Qui vous appuie à fond la caisse
De leur maçonnique Grosse-Caisse.
Et que paraître voit-on ?
Inventions sur inventions
Afin de réduire la planète
À la taille d’une comète.
Ah ! vous voulez tout casser ?
Allez-y, point n’attendez,
Mais votre tour viendra :
De cela n’en doutez pas.
Eux, ils ont cassé le spirituel ;
Vous, vous cassez le matériel.
« Nous ne voulons plus d’énergies fossiles,
Ont clamé tous ces imbéciles,
Mais des énergies renouvelables ! »
Avec les crottes du diable,
Tous ces fumistes se chaufferont :
Ces utopistes s’éclaireront
Avec leurs lunes de miel
Qu’ils prennent pour le soleil !
Et ils adorent la terre,
Tous ces fils de l’enfer,
Car leur dieu, il est en bas :
Il leur est présent dans François.
« Réduisez, dit-il, réduisez l’eau
Et n’abattez plus les animaux !
Je vous impose mon nouveau carême :
C’est toute ma pâque-même !
Plus de viande, plus de poisson
Dans votre ventre, mes mignons !
Et ne coupez plus de bois :
La fumée pollue, n’est-ce pas ?
Plus de gaz, plus d’électricité :
Le nucléaire, à dégager !
Vivez donc dans les cavernes
Qu’a décrites Jules Verne.
Maintenant, obéissez-moi,
Car le nouveau Néron, c’est moi !
Ceux qui ne veulent pas obéir,
Je les ferai bouillir
Comme vous le faites des fœtus,
Des vieux ! J’ai de l’astuce
Car je suis un fourbe, un rusé,
Comme je vous l’ai déclaré. »
Et voilà que tous applaudissent
Le numéro six-six-six.
Et ce diable d’homme continue :
« Mes chéris, soyez les bienvenus
Dans ma Sodome bien-aimée :
Entre hommes vous pouvez vous marier !
Quant aux anciens mariages,
Vraiment ils sont d’un autre âge :
Je veux tous les démarier
Par mon motu approprié.
Moi je veux la confusion :
Organisez la rébellion !
Je suis de tout cœur avec vous :
Allez de l’avant, mes bijoux !
Car vous avez beaucoup de travail,
Et moi je suis votre portail.
- Nous nous sommes donnés quinze ans,
Répondent ces chenapans.
- Quinze ans, mais vous n’y pensez pas ?
Leur rétorque le François.
C’est trop ! Abrégez, abrégez !
Il faut le faire en trois années !
De sept milliards que nous sommes,
Je ne veux plus qu’un milliard d’hommes,
Et encore moins s’il le faut :
Abattez-moi tous ces animaux ! »
Et ils répondent tous en chœur :
« Nous ferons ce que dit votre grandeur,
Car à vous appartient l’éternité,
Et nous sommes tous vous obligés.
- D’accord, d’accord, mais au boulot !
Adorez-moi donc, bande d’idiots ! »
Et ils se prosternèrent devant Françoés,
La tête en bas pour l’adorer.
« Je suis le triangle à l’envers,
Reprend ce fils de Lucifer ;
Je l’ai déclaré l’autre jour
À mon assemblée de balourds.
C’est bien là ma nouvelle église
Où toute l’humanité est comprise. »
Et voici que la courtisane s’est assise
Sur le vieux dragon d’Assise,
Sur le dos de toutes les religions,
Toutes accrochées à son giron
Pour promouvoir l’œcuménisme,
L’héritier du modernisme,
Ainsi que la modernité
Que maintenant ils veulent briser !
Car Dieu leur a mis dans le cœur
De dépecer leur tracteur
Et de manger à belles dents
Celle qu’ils aimaient auparavant.
Voilà ce que tu fais, COP21,
En proclamant que c’est un grand bien
De détruire ce que tu as construit
Avec des ronces et des orties.
Vous avez attendu cinquante ans,
Et vous allez de l’avant,
Car est arrivé sur son vélo,
François Triple-Zéro.
C’est pourquoi vous avez dit :
« Maintenant il est là, allons-y !
Mais nous le surveillerons,
Car c’est nous qui commanderons ! »
Mais lui, il rigole de vous,
Car il vous prend pour des fous,
Et il sait bien, ce mécréant,
Que lui seul a le commandement !
Et il vous réduira à zéro
Et vous traitera comme des animaux
Qu’il mènera en sa boucherie
Pour en faire des fruits confits
Qu’il dégustera par la suite
Comme on déguste des frites.
Car votre supérieur inconnu,
Il n’est pas tombé des nues :
C’est le fils ainé de la Veuve
Qui accomplit son Grand-Œuvre
Au compas et à l’équerre
Pour se soumettre la terre.
« Plus de papier, dit le Vieux de la montagne !
Je veux partout de la campagne,
Avec des arbres sur les toits !
Avez-vous compris les gars ?
- Oui, on t’a compris François !
On installera tout cela,
Comme on a fait à Évry,
Et on boira du whisky !
- Mais du whisky renouvelable
À la sauce de mon diable !
- On a bien compris, patron !
- Encore un mot, les compagnons !
Internet est mon domaine :
C’est là que je me promène
Au clair de K-452b
D’où vient l’énergie renouvelée.
Capturez-moi cette nouvelle terre,
Car c’est sur elle que je veux faire
Mon paradis renouvelable
Du développement durable.
- Demain on te l’amènera !
On te la servira sur un plat. »
Et les pèlerins du climat,
Partout ont mis le branle-bas :
On les voit tous arriver
En rigolant en rangs serrés.
Et pour n’être pas de reste,
Heureusement qu’ils sont lestes,
Les tradis ont pris le train en marche !
Installés sur la dernière marche,
Ils se sont tous métamorphosés
En conciliaires traditionalisés.
Le changement climatique bat son plein
Pour la sainte COP21 !
Et c’est à qui inventera,
Et c’est à qui découvrira
La dernière des utopies
Pour faire pousser… les radis.
Chacun y va de son invention :
On y fabrique des champignons
Avec des trucs nouvelle génération !
On construit une tonne de ponts
Et on abat tous les murs :
Vraiment les temps sont mûrs
Pour la nouvelle carmagnole !
Fin de l’ère des bagnoles :
On circule dans les airs
Sans avions ni hélicoptères !
On appuie sur un bouton
Placé au milieu du front
Et on fait tout ce qu’on veut
Jusqu’à marcher dans le feu
Sans aucunement brûler !
« Merci, ô merci Françoés !
Nous voici enfin heureux !
C’est toi qui es notre dieu !
- Et oui, et je le serai
Jusqu’au-delà de l’éternité. »
À condition pourtant, vieux crouton,
Que toi et tes francs-maçons,
Lorsque le temps sera venu,
Vous irez avec le cornu
Tout au fond des enfers
Pour faire griller vos chairs.
Car c’est là que vous finirez,
Et vous ne pouvez en douter :
Ce sera votre COP22,
Votre nouveau Vatican II
Qui se tiendra dans le feu
De Luciferrailleux.
De pauvres, vous n’en voulez plus ?
Il faut être vraiment ingénu
Pour avaler un truc pareil !
Oui, la maladie du sommeil
A envahi toute l’humanité
Désormais bien moutonnée
À la sauce des francs-maçons
Qui en feront du saucisson
Pour offrir à leur grand boucher,
J’ai nommé le gros Françoés.
Quant à votre sobriété heureuse,
Sachez-le bien, fils de la gueuse,
C’est une attrape de nigauds
Que vous êtes d’ailleurs, vieux zozos.
Voici que nos polichinelles
Ont revêtu l’arc-en-ciel :
Ils sont homos, c’est bien connu,
Comme leur supérieur inconnu.
N’est-ce pas vous qui avez fait,
Inspirés par votre baphomet,
Toutes ces lois scélérates
Qui font marcher à quatre pattes ?
Comme si cela ne vous suffisait pas,
Vous voulez changer le climat
Avec l’infâme Bergoglio,
Votre François trois fois zéro ?
Mais vous n’y réussirez pas :
Le climat ne vous appartient pas !
- Si, mon vieux, il nous appartient !
- Et depuis quand ce baratin ?
- Depuis qu’on en a décidé
Dans nos loges tous assemblés :
Nous sommes les maîtres du monde !
C’est par nous que la terre est ronde…
- Mais vous l’avez rendue carrée
Car vous êtes tous timbrés…
- C’est toi qui es timbré, mon vieux !
Regarde si tu as des yeux !
Ne vois-tu pas que le CO2
Nous mange tous à petit feu ?
C’est notre ennemi numéro 1 !
- Contre qui vous faites le foin !
- Parfaitement, et on va gagner
Cette troisième guerre mondiale…
- En nous faisant tous exterminer
Par votre écologie intégrale !
Car il faudra que vous éliminiez
Tout ce qui pollue et est pollué.
Or c’est l’homme le plus grand producteur
De CO2. – À la bonne heure !
Si l’homme continue à respirer,
Il faudra bien l’éliminer :
À bas le gaz carbonique
Et tous ceux qui le fabriquent ! »
Ils ont commencé depuis longtemps :
Comptez tous les avortements
Qui se comptent par millions,
Et même plus, nous le verrons.
Voilà qu’ils ont organisé
La tuerie généralisée :
Leur COP21 planifiera
Le dernier acte de ce combat.
Mais à qui donc profitent les crimes
De tous ces gros francs-maçons ?
Quand ils seront dans les abîmes,
Alors là, ils le sauront.
Mais ils le savent bien déjà,
Eux qui fomentent les attentats
Et qui payent les terroristes
Afin qu’ils soient leurs lampistes.
Si tout marche en votre faveur,
C’est parce que c’est votre heure ;
Mais quand votre temps sera passé,
De tous vous serez oubliés.
Vous avez dit : « Faisons le fête,
Et nous ferons tourner la planète
Dans le sens que nous voudrons bien,
Et malheur à qui ne le veut point !
À celui-là nous couperons le cou
Et nous exposerons sa tête
Pour être vue de tous !
Maintenant, continuons la fête ! »
Et la fête battra son plein
À la COP21,
Avec ou sans François
Qui pourtant sera là !
Car ce monsieur est partout,
Où on ne l’attend pas,
Et souvent il n’est pas là
Où pourtant l’attendent tous !
La tarasque n’est plus à Tarascon :
Elle a émigré à Sainte-Marthe !
Autrefois ce fut sainte Marthe
Qui terrassa ce vieux dragon !
Ce signe n’est-il pas parlant ?
Ce fait n’est-il pas évident ?
Mais aujourd’hui on ne comprend plus rien,
Si ce n’est Milou et Tintin !
Sainte Marthe enchaîna la tarasque
Pour la livrer à la dérision ;
Mais la nouvelle tarasque
À Sainte-Marthe fait ronron !
« Dans mon lit, je fais gros dodo :
Je rêve à la COP21 !
Ce truc-là, c’est mon machin,
Mon bidule-chouette, no ?
Oui, je pense toutes les nuits
À mon cher Laudatossi,
Et je veux qu’on lui obéisse,
Sinon… c’est le tourne-visse.
Dans ma nouvelle Tarascon,
Je danse avec mes francs-maçons !
Sainte-Marthe ? Je l’ai enchaînée
À un homo pour la diriger !
Et je vole sans obstacle
Car j’ai vaincu l’Obstacle,
M’en ayant débarrassé
Vers ce que j’ai décidé.
J’ai décidé que je suis,
Et je l’ai dit aux FFI,
Le fils du diable, rien de moins :
Après cela, je suis serein.
Comme je le leur ai dit,
Je fais toute persécution
Comme venant du démon :
Voyez plutôt ici : https://www.youtube.com/watch?v=hyxlCj7En8Y
Vous avez bien écouté
Ce que j’ai raconté ?
La chose n’est-elle pas claire,
Sauf à avoir des œillères ?
Ceux qui n’ont rien compris,
Je dis pour eux, tant pis !
Ils ne comprendront jamais rien,
Et je m’en frotte les mains.
Car c’est cela mon boulot,
De faire de tous des zozos :
Quand je vous ai bien moutonnés,
Je puis ensuite vous dépecer.
J’ai toujours fait de la sorte,
Et que le diable m’emporte
Si je faisais autrement !
Je suis le maître en ce moment. »
Tu es le maître en ce moment ?
Je le conçois aisément !
Vas donc rejoindre tes copains
Qui sont de la COP21.
N’ont-ils pas besoin de François
Après les fameux attentats ?
Oui, dans son vaisseau spatiale,
Il entend votre chant intégral.
N’est-il pas en bleu-blanc-rouge
Le fameux pape rouge
Qui brandit son marteau
Pour vous frapper d’en haut ?
Il vogue entre les comètes
Pour atterrir sur la planète
Au milieu de la capitale
De l’écologie intégrale.
Il amène dans votre boutique
Son changement climatique
Parmi les compas et les équerres
Des triangles de la terre.
Accourez tous les francs-maçons,
À son dernier coup de canon,
Car il a donné le signal
De son développement infernal.
Le signal a été donné :
Plus de paix ni sécurité !
Le bal va pouvoir commencer :
Vous allez pouvoir danser !
Vous danserez la carmagnole
Sur le toit de sa bagnole :
Vous finirez par le métal
Au fond du gouffre fatal.
Je vous souhaite bien du plaisir
Quand vous serez sous sa ire,
Car il ne vous épargnera pas
Quand vous chanterez le ça-ira.
La marseillaise a retenti
À Notre-Dame de Paris :
Vos gémissements retentiront
Quand dans l’enfer serez au fond.
Mais de tout cela, qui est le moteur ?
Je vais vous le dire : l’Exterminateur
Qui est un pyromane très expérimenté
Qui par ensuite joue bien les pompiers.
Francs-maçons de la COP21,
Vous allez bientôt vous réunir, hein ?
Mais sous quel chef vous réunissez-vous ?
N’est-ce pas sous le roi des loups ?
Vous me répondrez n’importe quoi,
Mais je ne vous croirez pas,
Puisqu’en tant que grands farceurs,
Vous êtes sous l’Exterminateur.
C’est par vous que tous les attentats
Ont créé le branlebas
Afin que tout soit globalisé
Sous une fausse sécurité.
Mais votre fausse sécurité
Ne vaut rien en vérité !
Car vous trompez par cela
Tous les gens de bonne foi.
Et qu’arrivera-t-il à la fin ?
Je vais vous le dire, écoutez bien !
Vous exterminerez tous les gens
En soi-disant les défendant.
Vous l’avez fait par l’avortement
Puis par les vieux exterminant !
Vous êtes donc des criminels,
Digne du châtiment éternel !
Mais il faut que je m’arrête
Sur la ligne des crêtes
Pour descendre dans la vallée
De l’insécurité.
Et là, que vois-je ? Horreur !
Rien que des exterminateurs
Qui suivent l’Exterminateur
Recouvert des sept couleurs,
Des sept couleurs de l’arc-en-ciel
Pour pouvoir percer le ciel
Et prendre la place de Dieu !
Mais d’un seul souffle il est en feu,
Et ce feu ne s’éteindra pas :
Toujours, toujours il brûlera !
C’est son développement durable
Qui est le couteau du diable,
Le poignard que les francs-maçons
Ont caché dans leur giron,
Mais qui se retournera contre eux
Parce qu’ils ont blasphémé Dieu.
De Dieu, l’on ne se moque pas !
Vous vous en moquez, n’est-ce pas ?
Eh bien, il se moquera de vous
Lorsque vous serez dans le trou.
Ouvrez votre 21COP
Et faites-en du non-stop,
Car c’est l’heure des ténèbres
Et de votre convoi funèbre.
Pour vous, aucune salutation
À votre assemblée de francs-maçons :
Accomplissez donc votre œuvre
Et finissez le grand-œuvre !
Mais votre temps sera abrégé
Comme il a été écrit !
Vous n’atteindrez pas le Paradis
Mais vous irez tous brûler
Dans les enfers, comme il se doit :
De vous, on ne se souviendra plus !
Ave, ave, ave Maria !
Vive Marie ! Vive JESUS !
Mais voici un post-scriptum
Pour la périphérie de l’homme
De péché, comme il se doit,
Et qui pour lors est François.
Mais quand vas-tu arrêter
De nous casser les pieds
De tes sottises répétées
Et de ton langage dévoyé ?
Oh ! tu n’arrêteras pas !
À moins qu’un autre t’arrête
De dévoyer la planète
Et te relègue en bas !
Pour lors, tu vas ton chemin,
Vers le ciel, tendant le poing,
Disant : « Je ne servirai pas ! »
Lucifer l’a dit avant toi !
Tu es le digne successeur
Du patron des radiateurs,
Et tu le serviras encore mieux
Quand tu seras dans le feu.
Alors Lucifer te dira :
« Assieds-toi-là, mon mignon !
Tu m’as bien servi, n’est-ce pas ?
Tiens, voilà un saucisson ! »
Tu seras un saucisson sec
Pour le diable, car ce mec
Fera de toi de la compote :
Voilà ce que fera ton pote !
Souviens-toi de la Révolution,
Celle qu’on appelle française,
Et cesse de faire la niaise,
Toi le roi des francs-maçons.
N’aimes-tu pas la marseillaise,
Cette chanson si sanguinaire ?
Voici les trois couleurs pour te plaire,
Dont la dernière est de braise.
C’est le rouge que tu préfères,
Toi, la bête écarlate
Qui as posé tes trois pattes
Sur le dôme de Saint-Pierre !
Tu vas bien la dépasser,
La française Révolution :
Elle n’est pour toi que du maté
À côté de ta voulue confusion.
Toutes les révolutions,
À côté de ta révolution,
Ne sont que des chansonnettes,
Car toi, tu es la tête.
Oui, l’Antéchrist est la tête
De toutes les révolutions
Qui ensanglantèrent la planète :
Voilà bien ton saucisson !
Le saucisson de l’Antéchrist,
Ce sont les révolutions,
Et les frites de l’Antichrist,
Ce sont toutes les confusions.
Or, que signifie Babylone,
Si ce n’est confusion ?
Ainsi tu veux la confusion
Dans la nouvelle Babylone.
La nouvelle Babylone,
C’est le monde post-moderne,
Et ce nouvel Holopherne
Grince des dents et tonne !
Mais ta fin est décrétée,
Ô roi de l’aquilon :
Ton sort est déjà réglé
Dans l’enfer, tout au fond.
Ton enfer sera bien durable
Avec messire le diable
Que tu sers si servilement,
Toi, le roi des mécréants !
En enfer, ton changement climatique
Sera de toutes les secondes :
Lucifer a chauffé ses briques
En attendant que la terre te ponde.
Cette pondaison est arrivée :
Encore quelques petites années,
Puis tu iras voir ton chéri
Dans l’épouvantable nuit.
Ta place sera rouge
Comme celle de Lénine
Tout au fond de ce bouge,
Ces infernales latrines.
Tu y verras Staline
Qui te dira en rigolant :
« Prends ta place sous mon séant,
Car tu es de ma machine. »
Hitler ne sera pas de reste,
Et dans ses chambres à gaz
Il t’enverra la peste
En te disant : « Ça gaze ! »
Et enfin l’infâme Mao,
Pour achever le trio,
Te jouera une cadence
En remuant sa grosse panse.
Tous les tourments te sont réservés,
Et ils seront intégraux :
Finies tes excentricités !
Tu ne joueras plus aux dominos.
Les hommes sont pour toi des dominos
Que tu déplaces selon ton humeur :
Mais dans l’éternel radiateur
De Lulu, là, tu feras dodo !
Cifer te mettra dans les fers
Parce que tu infectas la terre
De son venin infernal,
Son écologie intégrale.
J’en ai assez dit sur toi
Qui te nommes aujourd’hui François !
Sera-ce un autre ou bien toi ?
Très bien vite on le saura.
Paix et sécurité ?
Ni paix ni sécurité !
C’est que le temps est arrivé
De l’Homme de péché.
L’Homme damné fut décrit
Il y a cinquante années :
Nous le voyons aujourd’hui
Dans toute sa cruauté.
Il plane sur les deux tours
Que lui-même a renversées :
Lui-même sera renversé
De même façon à son tour.
Et ta guerre en morceaux,
Pour toi sera plénière
Quand tu plongeras d’en haut
Jusqu’au fond des enfers.
Va-t’en, va-t’en bien vite !
Oui, vas donc manger tes frites
Dans les abîmes tout au fond
Avec ton saucisson !
Comme je l’ai dit au début,
Tu es le saucisson de Lulu
Qui piaffe d’impatience
En attendant ta présence.
Mais il faut que j’en termine
Avec cette vermine,
Ce terroriste avéré,
Ce pyromane expérimenté.
Tout ce qu’on peut dire de toi
Qui es pour lors François,
N’est que misérables paroles
Qui au vent toutes s’envolent.
C’est pourquoi je suis bien forcé
Ici de m’arrêter.
Tous ceux qui me liront
À la fin, tout comprendront.
Mais il faudra beaucoup du sang
Pour savoir pourquoi et comment.
Point n’est besoin d’en dire plus !
J’arrête là mes rapiamus !
Car l’aveuglement est tel
Qu’on ne voit plus le ciel
Depuis un certain Vatican II
Qui partout a mis le feu.
Le produit de Vatican II,
C’est l’Homme de péché :
Un déluge de feu
Réduira cet Homme damné !
Fin de mon post-scriptum
Qui est adressé à l’Homme
Damné comme il se doit
Et qui pour lors est François.