"Que le Christianisme est bien quelque chose de fade - Nous aurions
bien mieux encore reçu le Mahométisme, cette doctrine de la récompense
de l'héroïsme : le combattant seul a le septième ciel ! Les Germains
auraient avec cela conquis le monde, ce n'est que par le Christianisme
que nous en avons été tenus éloignés."
(Adolf Hitler / 1889-1945)
Hitler admirait PBSL et avait le Saint Coran sur sa table de chevet.
Il méprisait le christianisme et n'a pas tari d'éloges sur l'islam,
religion virile. Jamais Dar el Islam n'a cru à sa mort et des
Grands Savants de l'islam l'ont fait musulman sous le nom de Hadj Abou
Ali. Michel Onfray en parle dans son livre Traité d'athéologie.
"La
religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme,
réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette
vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands
méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme
l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée." (Carl-Gustav Jung /
1875-1961)
Hitler : "Le coup le plus dur qui ait jamais frappé l'humanité fut
l'avènement du christianisme."
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de
Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 11-12
juillet 1941, p. 7
Le christianisme est une rébellion contre la loi naturelle, une
protestation contre la nature. Poussé à sa logique extrême, le
christianisme signifierait la culture systématique de l’échec humain.
[...] Mais il n’est pas question que le national-socialisme se mette
un jour à singer la religion en établissant une forme de culte. Sa
seule ambition doit être de construire scientifiquement une doctrine
qui ne soit rien de plus qu’un hommage à la raison [...] Il n’est donc
pas opportun de nous lancer maintenant dans un combat avec les
Églises. Le mieux est de laisser le christianisme mourir de mort
naturelle. Une mort lente a quelque chose d’apaisant. Le dogme du
christianisme s’effrite devant les progrès de la science. La religion
devra faire de plus en plus de concessions. Les mythes se délabrent
peu à peu. Il ne reste plus qu’à prouver que dans la nature il
n’existe aucune frontière entre l’organique et l’inorganique. Quand la
connaissance de l’univers se sera largement répandue, quand la plupart
des hommes sauront que les étoiles ne sont pas des sources de lumière
mais des mondes, peut-être des mondes habités comme le nôtre, alors la
doctrine chrétienne sera convaincue d’absurdité [...] Tout bien
considéré, nous n’avons aucune raison de souhaiter que les Italiens et
les Espagnols se libèrent de la drogue du christianisme. Soyons les
seuls à être immunisés contre cette maladie.
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de
Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 10-14
octobre 1941, p. 51-60
Je conçois que l'on puisse s'enthousiasmer pour le paradis de Mahomet,
mais le fade paradis des chrétiens !
Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de
Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 décembre
1941, p. 141