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| La crise de l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem, dégénère en violences meurtrières | |
| Auteur | Message |
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Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7545 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: La crise de l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem, dégénère en violences meurtrières Lun 24 Juil 2017, 8:08 am | |
| La crise de l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem, dégénère en violences meurtrières Les affrontements font suite à l’installation de portiques de détection de métaux aux abords du lieu saint, en réponse à l’assassinat de deux policiers israéliens, le 14 juillet. LE MONDE | 22.07.2017 à 06h32 • Mis à jour le 22.07.2017 à 09h48 | Par Piotr Smolar (Jérusalem, correspondant) La funeste chronique d’une crise annoncée se décline en chiffres. Trois morts et plus de 450 blessés côté palestinien ; trois Israéliens tués au couteau dans la colonie d’Halamish, au nord-ouest de Ramallah. Tel est le bilan du seul vendredi 21 juillet, point d’orgue d’une semaine de fièvre autour de l’esplanade des Mosquées (mont du Temple pour les juifs). Les affrontements qui ont émaillé les quartiers arabes de Jérusalem-Est ainsi que des villes en Cisjordanie étaient redoutés par tous les observateurs. Ils font suite à l’installation de portiques de détection de métaux par la police aux abords de l’esplanade, en réponse à l’assassinat de deux policiers par trois Arabes israéliens, le 14 juillet. Depuis, à l’appel du Waqf – la fondation pieuse jordanienne gérant le lieu saint –, les fidèles musulmans refusent d’y pénétrer, participant à des prières de rue. Vendredi, la police a décidé de créer un cordon étanche autour de la vieille ville, en limitant les accès aux femmes et aux hommes de plus de 50 ans. Il s’agissait de parer au plus pressé après la décision du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, de maintenir les portiques, à l’issue d’une réunion du cabinet de sécurité, la nuit précédente. Dès la soirée de vendredi, l’illusion de pouvoir juguler la violence palestinienne s’est évanouie. Un homme s’est infiltré dans la colonie d’Halamish, pendant le dîner de shabbat, avant de poignarder quatre personnes ; trois décéderont. L’armée a envoyé aux journalistes une photo du sol de la cuisine, entièrement couvert de sang. L’assassin, grièvement blessé, avait évoqué sur Facebook « la guerre contre Al-Aqsa » (le troisième lieu saint de l’islam) pour justifier son attaque, postant chaque jour des clichés du lieu saint. « Punition » Policiers, émeutiers, « martyrs » tueurs de colons : ces acteurs classiques des violences dans le conflit israélo-palestinien ont joué leur triste partition, vendredi. Mais un mouvement de résistance civique, non violent, mobilise aussi l’opinion publique palestinienne, chauffée par les médias et les responsables religieux. La mosquée Al-Aqsa est la maison commune à défendre, par la prière de rue. Pour les croyants, il en va non seulement de leur foi, mais de leur identité et de leur fierté comme Palestiniens. Les habitants de Jérusalem-Est sont particulièrement mobilisés. L’esplanade des Mosquées fait partie de leur géographie intime. En y mettant les pieds, fin septembre 2000, Ariel Sharon, alors chef du Likoud, avait déclenché la seconde Intifada. Walid Abou Ikab, 48 ans, vit aux Etats-Unis depuis trois décennies. Il est rentré à la mi-mai pour passer du temps en famille, à Nazareth. Vendredi, ce plombier a pris sa voiture, seul, dans la nuit, pour parvenir à l’entrée de l’esplanade dès l’aube. Mais il n’a pas pénétré sur le site, en raison des portiques. « Ils sont totalement injustes, c’est une maison de prière ici. Avez-vous vu des portiques devant les églises ? » Walid Abou Ikab estime que cette mesure représente « une punition », marquant la domination israélienne sur le lieu saint. Lorsqu’on lui demande s’il perçoit une solidarité dans le monde arabe, ses yeux s’embuent. « Ce n’est pas facile de se sentir seul. » Au pied de la montée conduisant vers la porte des Lions, des barrages de police empêchent les fidèles de monter. Le soleil cogne, peu d’ombre salvatrice. A la mi-journée, des centaines de Palestiniens ont afflué. A même le sol ou sur des tapis de prière, ils ont prié. Un peu plus tôt, les policiers avaient tiré trois grenades assourdissantes pour ouvrir la voie à deux voitures. Les affrontements entre les forces de l’ordre et les émeutiers ont été bien plus graves, au même moment, dans plusieurs quartiers de Jérusalem-Est, comme Wadi al-Joz, Silwan ou Abou Dis. Selon le Croissant-Rouge palestinien, 23 Palestiniens auraient été blessés par balles réelles. Grenades assourdissantes Salah Abou Farah, 51 ans, a réussi à passer le barrage. Vêtu d’un élégant costume italien malgré la chaleur, cet architecte monte lentement vers la porte des Lions. Il se revendique hiérosolymitain et se dit l’égal de cette jeunesse chauffée à blanc. « Tout le monde, nos pères et nos fils, nos grands-mères, défendront Al-Aqsa. On est contre la violence. Mais qui la cherche ? Les Israéliens provoquent les gens, qui deviennent nerveux sous le soleil. » Au loin, la vallée de Silwan renvoie l’écho de grenades assourdissantes. La suite des événements demeure imprévisible. M. Nétanyahou s’en est remis à la police, se ménageant ainsi une marge de manœuvre au sujet des portiques. Les concertations avec la Jordanie se poursuivent. Mais pour l’heure, le premier ministre a choisi d’assumer le prix des affrontements, qui le placent dans une situation classique de gestion de crise. Le président de l’Autorité palestinienne (AP), Mahmoud Abbas, a, lui, annoncé le gel des contacts avec les Israéliens, en attendant le retrait des portiques. Une décision surtout symbolique, tant l’AP dépend d’Israël, qui permet au « raïs » de détourner la tête de sa confrontation avec le Hamas dans la bande de Gaza. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2017/07/22/la-crise-de-l-esplanade-des-mosquees-a-jerusalem-degenere-en-violences-meurtrieres_5163725_3218.html#bc12m5CTXfvzz0C6.99 |
| | | Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7545 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Re: La crise de l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem, dégénère en violences meurtrières Mer 26 Juil 2017, 8:25 am | |
| Situation tendue autour de l'esplanade des Mosquées à Jérusalem
AFP, publié le mercredi 26 juillet 2017 à 20h40
La situation restait tendue mercredi entre Israéliens et Palestiniens autour de l'esplanade des Mosquées à Jérusalem malgré le retrait de détecteurs de métaux controversés, suscitant la crainte d'une éruption de violence lors de la grande prière du vendredi.
Les fidèles musulmans refusaient toujours mercredi d'entrer sur l'esplanade, troisième lieu saint de l'islam, et priaient dans les rues adjacentes comme ils le font depuis plus une dizaine de jours, a constaté un journaliste de l'AFP.
Les tensions étaient montées brusquement autour de ce site religieux situé à Jérusalem-Est , partie palestinienne --occupée et annexée par Israël-- de la ville, après l'installation le 16 juillet par l'Etat hébreu de détecteurs de métaux aux entrées de l'esplanade.
Les musulmans palestiniens y avaient vu une tentative d'Israël d'augmenter son contrôle sur ce site, administré par la Jordanie.
Les autorités israéliennes avaient elles justifié ce dispositif par le fait que les assaillants qui avaient tué deux policiers israéliens le 14 juillet avaient dissimulé des armes sur ce site et en étaient sortis pour mener leur attentat.
Cinq Palestiniens ont trouvé la mort la semaine dernière au cours des affrontements qui ont éclaté après l'installation des détecteurs. Trois Israéliens ont également été tués pendant la même période par un Palestinien dans une colonie israélienne en Cisjordanie occupée.
- 'Technologies avancées' -
Après d'intenses pressions de la communauté internationale qui craignait une escalade, Israël a finalement accepté de retirer les détecteurs mardi.
Mais le gouvernement a indiqué qu'il les remplacerait par un autre moyen d'inspection, "basé sur des technologies avancées", au grand dam des autorités musulmanes qui ont maintenu la consigne de boycott du site.
Des échauffourées entre manifestants palestiniens et forces de l'ordre israéliennes ont éclaté tard mardi aux abords de la Vieille ville de Jérusalem où est située l'esplanade des Mosquées. Ces heurts ont fait 13 blessés palestiniens, selon le Croissant-Rouge palestinien.
Selon le quotidien israélien Haaretz, le gouvernement israélien veut mettre en place un réseau de caméras de surveillance sophistiquées, reposant sur une technologie de reconnaissance biométrique. Pour identifier d'éventuels suspects, le système utiliserait une base de données de photos qui pourraient provenir de la police, du Shin Bet, le service de sécurité intérieure et de ministères, précise le journal.
"Nous rejetons les détecteurs de métaux, nous rejetons les caméras" de surveillance, a déclaré mercredi à l'AFP Oum Maath, une Arabe israélienne venue de Nazareth, dans le nord d'Israël, pour prier aux abord de l'esplanade.
Le président palestinien Mahmoud Abbas a exigé mardi un retour pur et simple à la situation d'avant le 14 juillet pour lever le gel de la coopération avec Israël.
- 'Empire ottoman révolu' -
Le président turc Recep Tayyip Erdogan s'est félicité de la décision d'Israël de retirer les détecteurs de métaux aux entrées de l'esplanade, mais a jugé qu'elle n'était "pas suffisante".
Israël a réagi en affirmant, dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères, que "la seule démocratie réelle dans la région" n'avait pas de "leçons de morale" à recevoir du gouvernement turc "qui a envahi le nord de Chypre, réprime brutalement le minorité kurde et emprisonne des journalistes".
"Les jours de l'Empire ottoman sont révolus", a-t-il ajouté.
Une porte-parole de la police israélienne a affirmé mardi que "cette dernière n'utilise aucun type de caméra portant atteinte à la vie privée et n'a aucune intention de le faire dans le futur".
La Maison Blanche a salué mercredi la décision de retirer les détecteurs de métaux, louant "les efforts d'Israël pour assurer la sécurité tout en réduisant les tensions dans la région".
Les entrées de l'esplanade où se trouvent la mosquée Al-Aqsa et le dôme du Rocher sont contrôlées par Israël, qui l'appelle Mont du Temple, le lieu le plus saint du judaïsme, mais elle est gérée par la Jordanie. Les musulmans peuvent y aller à toute heure. Les juifs ne peuvent y pénétrer qu'à certaines heures et n'ont pas le droit d'y prier.
Les autorités israéliennes assurent qu'elles n'ont pas l'intention de modifier ces règles tacites.
http://actu.orange.fr/monde/situation-tendue-autour-de-l-esplanade-des-mosquees-a-jerusalem-CNT000000Ll2DC/photos/un-palestinien-prie-a-l-exterieur-de-l-esplanade-des-mosquees-le-26-juillet-2017-a-jerusalem-2c633d600cae3a9b072147c73a5ddf87.html
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| | | Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7545 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Re: La crise de l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem, dégénère en violences meurtrières Mer 26 Juil 2017, 9:11 pm | |
| Esplanade des Mosquées: toutes les nouvelles mesures de sécurité retirées
AFP, publié le jeudi 27 juillet 2017 à 09h36
La police israélienne a annoncé avoir retiré dans la nuit de mercredi à jeudi les mesures de sécurité qui étaient restées en vigueur après le retrait mardi des détecteurs de métaux à l'entrée de l'esplanade des Mosquées à Jérusalem-Est.
"La police est revenue aux mesures de sécurité en vigueur avant l'attaque terroriste sur l'esplanade des Mosquées, le 14 juillet", a précisé une porte-parole, en référence à une attaque meurtrière contre deux policiers israéliens près de ce site ultra-sensible.
Malgré ce retrait, les autorités musulmanes en charge de l'esplanade des Mosquées ont ordonné jeudi aux fidèles de maintenir leur boycott de ce lieu saint de Jérusalem-Est, la partie palestinienne --occupée et annexée par Israël-- de la ville.
Le cheikh Omar Kiswani, directeur de la mosquée Al-Aqsa a ordonné jeudi matin aux fidèles de n'entrer "(sur l'esplanade des Mosquées) qu'après la confirmation du comité technique".
Il faisait allusion à une réunion prévue jeudi matin d'un comité composé de responsables musulmans. Des rails et échafaudages récemment montés, où avaient été installés des caméras de surveillance, ont été retirés aux premières heures jeudi par les autorités israéliennes après le retrait des détecteurs de métaux mardi.
L'installation de ces détecteurs de métaux aux entrées de l'esplanade des Mosquées le 16 juillet par Israël, deux jours après une attaque qui avait coûté la vie à deux policiers israéliens près du site religieux, avait engendré des tensions et des violences.
Israël avait justifié ce dispositif par le fait que les assaillants avaient dissimulé des armes sur ce site et en étaient sortis pour mener leur attentat.
Mais les musulmans palestiniens y avaient vu une tentative d'Israël d'affermir son contrôle sur ce site, dont il contrôle les entrées mais qui est géré par la Jordanie.
http://actu.orange.fr/monde/esplanade-des-mosquees-toutes-les-nouvelles-mesures-de-securite-retirees-CNT000000Ll2DC/photos/des-palestiniens-celebrent-devant-la-porte-des-lions-le-retrait-par-israel-des-installations-de-securite-le-27-juillet-2017-a-jerusalem-c012ebbb6f7da587b5c86d130b4acb7d.html |
| | | Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7545 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Re: La crise de l’esplanade des Mosquées, à Jérusalem, dégénère en violences meurtrières Ven 28 Juil 2017, 1:26 am | |
| Prière sous haute tension à Jérusalem après des restrictions imposées aux fidèles
AFP, publié le vendredi 28 juillet 2017 à 13h52
La police israélienne a interdit vendredi aux hommes de moins de 50 ans l'accès à l'esplanade des Mosquées à Jérusalem pour la prière hebdomadaire, laissant craindre une nouvelle flambée de violences après deux semaines de tensions autour de ce lieu saint.
Cette mesure intervient au lendemain de heurts entre manifestants palestiniens et police israélienne dans le secteur de l'esplanade où des milliers de fidèles avaient pénétré jeudi, mettant fin à un boycott de deux semaines après la levée par Israël des mesures de sécurité controversée aux entrées de ce site ultra-sensible.
La grande prière de vendredi attire généralement des milliers de fidèles à Al-Aqsa, l'une des deux mosquées situées sur l'esplanade, et la police israélienne a estimé vendredi matin qu'il y avait "des indications selon lesquelles des troubles et des manifestations (allaient) avoir lieu".
Des rues autour de la Vieille ville de Jérusalem, où est située l'esplanade, ont été fermées et quelque 3.500 policiers ont été déployés dans le secteur.
"Seuls les hommes de plus de 50 ans et les femmes de tous âges sont autorisés", a affirmé la police, en référence à l'accès à l'esplanade, appelé Noble sanctuaire par les musulmans et Mont du Temple par les juifs.
"C'est un acte lâche", a indiqué Amjad Hassoun, un jeune homme de Jérusalem, près de la porte de Damas à l'entrée de la Vieille ville, en référence à la restriction d'âge.
- 'Foule pacifique' -
L'esplanade, troisième lieu saint de l'islam situé à Jérusalem-Est annexée par Israël, avait été fermée le 14 juillet après une attaque meurtrière contre deux policiers israéliens.
La police avait ensuite mis en place aux entrées du site des mesures de sécurité controversées, entraînant le boycott des fidèles musulmans, mais aussi des violences à Jérusalem-Est et en Cisjordanie occupées.
Des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre israéliennes ont alors fait six morts ainsi que des centaines de blessés côté palestinien.
Trois colons israéliens ont en outre été poignardés à mort en Cisjordanie par un Palestinien. Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a réclamé jeudi sa condamnation à mort.
Après d'intenses pressions de la communauté internationale qui craignait une escalade, Israël a retiré mardi les détecteurs de métaux, puis, jeudi, les derniers éléments du nouveau dispositif de sécurité.
Les autorités politiques et religieuses ont alors appelé jeudi les Palestiniens à retourner prier à Al-Aqsa, mais peu après l'entrée sur l'esplanade de milliers de fidèles musulmans, des affrontements ont éclaté avec les forces de l'ordre israéliennes.
Selon Amnesty International, les forces de sécurité ont tiré "des grenades assourdissantes, des gaz lacrymogène et des balles en caoutchouc envers une foule pacifique" à l'entrée du site. "Cela semble être une attaque qui n'a pas fait l'objet de provocations", a ajouté l'ONG.
La police israélienne a indiqué pour sa part que des Palestiniens avaient jeté des pierres sur les membres des forces de l'ordre, entraînant leur riposte.
Ces heurts, qui ont eu lieu aussi autour du site, ont fait 187 blessés selon le Croissant-rouge palestinien.
La Jordanie, gardienne des lieux saint musulmans de Jérusalem, s'est félicité du retrait des mesures de sécurité, mais a appelé l'Etat hébreu à agir avec responsabilité.
"A moins qu'Israël agisse avec responsabilité, nous allons au devant d'une nouvelle crise qui va tous nous plonger dans l'abysse", a averti le ministre des Affaires étrangères jordanien Aymane Safadi, à l'issue d'une réunion d'urgence de la Ligue arabe au Caire jeudi.
- 'Ratage de Bibi' -
Mais le retrait de ces mesures est perçu par la presse israélienne comme une défaite pour M. Netanyahu, qui les avait lui-même ordonnées mais qui a ensuite été obligé de faire marche arrière, de crainte que la spirale de violence ne devienne incontrôlable.
"Le grand ratage de Bibi", titrait en Une le Jérusalem Post, généralement proche du Premier ministre, utilisant son surnom.
Israël avait justifié la mise en place des nouvelles mesures de sécurité en affirmant que les assaillants des deux policiers israéliens avaient dissimulé sur l'esplanade des armes et en étaient sortis pour mener leur attentat.
Mais les Palestiniens y avaient vu une tentative d'Israël d'affermir son contrôle sur ce site, que les juifs considèrent comme leur lieu le plus sacré et les musulmans leur troisième lieu le plus saint. Les musulmans peuvent aller prier sur l'esplanade à toute heure. Les juifs ne peuvent y pénétrer qu'à certaines heures et n'ont pas le droit d'y prier.
Les autorités israéliennes ont assuré qu'elles n'avaient pas l'intention de modifier ces règles tacites.
http://actu.orange.fr/monde/priere-sous-haute-tension-a-jerusalem-apres-des-restrictions-imposees-aux-fideles-CNT000000LsjRx/photos/des-palestiniens-prient-a-l-exterieur-de-la-vieille-ville-de-jerusalem-le-28-juillet-2017-596ce8f8722fb5349201c6da7baa238c.html |
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