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| Empoisonnement d’Alexeï Navalny | |
| Auteur | Message |
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Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7539 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Empoisonnement d’Alexeï Navalny Mer 26 Aoû 2020, 6:07 am | |
| Empoisonnement d’Alexeï Navalny: le chef de l’Otan appelle à une enquête «transparente»L’Union européenne, la France, l’Allemagne et le Royaume-Uni ont exhorté les autorités russes à rétablir la vérité.Afp | 26/08/2020
Empoisonnement d’Alexeï Navalny : le chef de l’Otan appelle à une enquête « transparente ». PHOTO AFP - AFP
Le secrétaire général de l’Alliance atlantique Jens Stoltenberg a appelé mercredi à une enquête « transparente » sur l’empoisonnement de l’opposant au Kremlin Alexeï Navalny, affirmant qu’il n’y avait « pas de raison de douter » des conclusions des médecins allemands.
« Ce dont nous avons besoin maintenant, c’est d’une enquête transparente pour découvrir ce qui s’est passé et pour s’assurer que les responsables rendent des comptes », a dit M. Stoltenberg, en arrivant à une réunion des ministres de la Défense de l’UE à Berlin.
L’Union européenne demande aux autorités russes de rétablir la vérité L’UE, Washington, Paris, Berlin et Londres ont déjà exhorté les autorités russes à établir la vérité, après que les médecins allemands traitant M. Navalny à Berlin eurent conclu lundi qu’il présentait des « traces d’empoisonnement ».
De son côté, le Kremlin a jugé prématurées les conclusions selon lesquelles son ennemi numéro 1 aurait été la victime d’une action criminelle.À la tête du Fonds contre la corruption, qui s’attache à révéler la corruption des élites, Alexeï Navalny a été admis le 20 août en réanimation dans un hôpital d’Omsk après un malaise dans un avion qui devait le ramener à Moscou depuis Tomsk, en Sibérie. Il y est resté deux jours avant d’être évacué vers l’Allemagne.- Spoiler:
https://www.lavoixdunord.fr/856270/article/2020-08-26/empoisonnement-d-alexei-navalny-le-chef-de-l-otan-appelle-une-enquete?utm_campaign=echobox_lavdn&utm_medium=Social&utm_source=Facebook&fbclid=IwAR3O6jqHTeZWMiRqZbHm4PbLFqaMkFveIOPljveeq_3Tz36EDtdQ_ngXojc#Echobox=1598448785
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| | | Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7539 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Re: Empoisonnement d’Alexeï Navalny Jeu 03 Sep 2020, 8:26 am | |
| Moscou sur la défensive à propos de l’affaire NavalnyL’Allemagne a indiqué, mercredi 2 septembre, que l’opposant russe a été empoisonné au Novitchok, un agent innervant déjà utilisé contre l’ancien espion Sergueï Skripal. Les pays occidentaux demandent des « explications » à la Russie.
- François d’Alançon,
- le 04/09/2020 à 06:00
- Modifié le 04/09/2020 à 08:00
Angela Merkel le 2 septembre. Berlin a partagé ses informations avec ses alliés au sein de l’UE et de l’Otan.[size=12]MARKUS SCHREIBER/AP[/size] « Désormais le doute n’est plus permis : Alexeï Navalny a bien été victime d’un meurtre. On a voulu le réduire au silence, a déclaré Angela Merkel. De très graves questions se posent à présent, auxquelles seul le gouvernement russe peut et doit répondre. » La chancelière allemande n’a pas mâché ses mots, mercredi 2 septembre, après les informations données par son gouvernement sur l’utilisation d’un agent neurotoxique de type Novitchok dans l’empoisonnement d’Alexeï Navalny, hospitalisé à Berlin depuis le 22 août. Le porte-parole du gouvernement, Steffen Seibert, avait été très clair, citant les « preuves sans équivoque » apportées par les examens, réalisés par un laboratoire de l’armée allemande. « L’Allemagne consultera ses partenaires au sein de l’Union européenne et de l’Otan sur une réponse commune appropriée », a assuré la chancelière. Berlin a partagé ses informations avec les pays alliés et partenaires au sein de l’UE comme de l’Otan. Le gouvernement allemand a également briefé l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (Oiac), qui a mis en novembre le Novitchok sur la liste des substances interdites. À la présidence du Conseil européen jusqu’à la fin de l’année, l’Allemagne se retrouve en première ligne pour coordonner la réponse des Européens. « C’est une crise sérieuse dans les relations entre l’Allemagne et la Russie et, plus largement, entre l’Union européenne et la Russie. Les pays occidentaux n’ont d’autre choix que de réagir de manière assez ferme », analyse Tatiana Kastouéva-Jean, directrice du Centre Russie de l’Institut français des relations internationales (Ifri). « Le consensus européen se jouera sur le niveau de la réponse, – simple renvoi de diplomates, sanctions personnelles ou sanctions économiques – sans doute quelque part au milieu. Jusque-là, l’Allemagne a tenté de gérer l’affaire en tenant un discours très dur tout en souhaitant poursuivre le projet de gazoduc russe Nord Stream 2, en dépit des pressions américaines. » Face aux transgressions répétées de la Russie, des voix s’élèvent en Allemagne pour appeler la chancelière à mettre fin à cette ambivalence. En juin, le parquet fédéral allemand a accusé les autorités russes d’avoir commandité l’assassinat d’un opposant, citoyen géorgien d’origine tchétchène, en 2009 à Berlin. La Russie est également accusée d’un piratage informatique à grande échelle contre le Bundestag et les services de la chancelière en 2015. Du côté français, l’affaire Navalny risque de plomber un peu plus le « dialogue stratégique » souhaité par Emmanuel Macron avec Moscou. La réunion, prévue lundi 14 septembre, du conseil de coordination sur les questions de sécurité entre les ministres des affaires étrangères et de la défense des deux pays aura valeur de test. À Moscou, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a affirmé, jeudi 3 septembre, ne voir « aucune raison d’accuser l’État russe », tout en se disant prêt au « dialogue » avec Berlin et les Européens. Aucune enquête n’a officiellement été ouverte dans le pays, malgré les demandes de l’opposition et de la famille. La présence du Novitchok, substance qui a servi à empoisonner l’ancien espion russe Sergueï Skripal et sa fille, en 2018, en Angleterre, met clairement en évidence la signature des autorités russes. Selon le service de renseignements de l’Occident, Moscou a produit et stocké dans la dernière décennie une petite quantité de Novitchok, – « petit nouveau » en langue russe –, une molécule mise au point par des scientifiques soviétiques à l’époque de la guerre froide. Qui a empoisonné Navalny et pourquoi ? Pourquoi Poutine a-t-il accepté son évacuation en Allemagne ? Toutes ces questions restent aujourd’hui sans réponses. Comme dans l’affaire Skripal, les soupçons se portent sur les renseignements militaires russes (GRU), sachant que l’opposant était sous la surveillance permanente du FSB, le service fédéral de renseignements. « Cette affaire est avant tout liée à la politique intérieure russe », estime Tatiana Kastouéva-Jean. « Navalny est le seul visage reconnaissable de l’opposition dite non systémique, des élections régionales sont prévues le 13 septembre, et son activité dérangeait beaucoup de monde, comme le montre la confiscation du matériel de son organisation. » L’état de santé de l’opposant « continue de s’améliorer », selon l’hôpital de la Charité de Berlin, mais il est « est encore trop tôt pour évaluer les effets à long terme de cette grave intoxication ».
https://www.la-croix.com/JournalV2/Moscou-defensive-propos-laffaire-Navalny-2020-09-04-1101112154? |
| | | Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7539 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Re: Empoisonnement d’Alexeï Navalny Sam 05 Sep 2020, 8:26 pm | |
| Affaire Navalny : Berlin menace Moscou de sanctions en l’absence d’explications « dans les prochains jours »L’Allemagne, qui préside actuellement l’Union européenne, va débuter des discussions sur des mesures ciblées contre la Russie après l’empoisonnement de l’opposant.Le Monde avec AFP Publié aujourd’hui à 06h28, mis à jour à 06h51Alexeï Navalny et son épouse Yulia participent à une marche à la mémoire de l’opposant politique assassiné Boris Nemtsov, à Moscou, le 29 février. KIRILL KUDRYAVTSEV / AFP Berlin accentue encore la pression sur le Kremlin. L’Allemagne, qui préside actuellement l’Union européenne (UE), va débuter des discussions sur de possibles sanctions contre la Russie si Moscou ne livre pas « dans les prochains jours » des explications sur l’empoisonnement de l’opposant Alexeï Navalny, a prévenu, dimanche 6 septembre, son chef de la diplomatie.« Fixer des ultimatums n’aide personne, mais si dans les prochains jours la partie russe ne contribue pas à clarifier ce qui s’est passé, alors nous allons devoir discuter d’une réponse avec nos partenaires », a déclaré Heiko Maas au quotidien allemand Bild. Il a ajouté que si des sanctions devaient être décidées, elles devront être « ciblées ».Bête noire du Kremlin, Alexeï Navalny est actuellement hospitalisé à Berlin, où, selon le gouvernement d’Angela Merkel les médecins ont établi « sans équivoque » qu’il avait été empoisonné en Russie, avant son transfert, par une substance neurotoxique de type Novitchok, conçue à l’époque soviétique à des fins militaires.« Scepticisme » à MoscouBerlin et les autres pays occidentaux ont exhorté Moscou à plusieurs reprises à faire la lumière sur cet empoisonnement, mais jusqu’ici les autorités russes sont restées de marbre. Le ministre russe des affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a dit accueillir avec « une bonne dose de scepticisme » les accusations d’assassinat et il a demandé à Berlin de fournir des preuves.Son homologue allemand a, lui – et pour la première fois aussi clairement de la part de Berlin –, mis en cause l’Etat russe dans l’empoisonnement. « Il y a plusieurs indices en ce sens, c’est la raison pour laquelle la partie russe doit maintenant réagir », a-t-il dit.« La substance mortelle avec laquelle Navalny a été empoisonné s’est trouvée dans le passé en possession des autorités russes ; seul un petit nombre de personnes ont accès au Novitchok et ce poison a déjà été utilisé par les services russes pour l’attaque contre l’ex-agent [russe] Sergueï Skripal [en mars 2018 au Royaume-Uni] », a encore énuméré M. Maas.A propos des éventuelles sanctions dont pourraient discuter les pays de l’UE, le chef de la diplomatie allemande n’a pas totalement exclu le projet en cours de finition de gazoduc Nord Stream 2, censé approvisionner l’Allemagne et l’Europe en gaz russe, mais très contesté notamment par les Etats-Unis.« J’espère en tout cas que les Russes ne nous contraindront pas à changer notre position sur Nord Stream », a ajouté le ministre allemand, tout en appelant à bien mesurer les conséquences d’une éventuelle annulation du projet et à ne pas « réduire » le débat sur les sanctions à ce seul dossier.-20200906-[zone_edito_1_titre_3]] https://www.lemonde.fr/international/article/2020/09/06/affaire-navalny-l-allemagne-menace-moscou-de-sanctions-sans-explication-dans-les-prochains-jours_6051164_3210.html?xtor=EPR-32280629-[a-la-une]-20200906-[zone_edito_1_titre_3] |
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