La thérapie fréquentielle grâce aux champs électromagnétiques: médecine d’hier et de demain?
Professeur Montagnier
Nathalie Souvorov-Robert pour WikiStrike
«Tout est énergie » (Albert Einstein).
De nombreux précurseurs de progrès ont été décriés dans un premier temps avant d’être reconnus, l’histoire se répète depuis des siècles et, en ce qui concerne l’étude des ondes, d’Albert Einstein au professeur et prix Nobel de médecine, Luc Montagnier, cette affirmation prouve sa véracité.
Tout dans l’univers a une fréquence de résonance. Une analyse de la fréquence des plantes, plantes développées pendant plus de 2,5 milliards d’années, combinée avec notamment les travaux de Raymond Rife sur les fréquences, entre autres, des bactéries et des virus pourrait être une réponse aux défis médicaux actuels et semble en tout cas être une piste à explorer aux côtés d’autres vecteurs de fréquences.
En effet, il existe différentes façons d’introduire une fréquence dans notre organisme : par la nourriture que nous mangeons, par un générateur de fréquence, par des diapasons, de la musique,… mais aussi par les huiles essentielles issues de la distillation des plantes aromatiques.
La crise du COVID-19 et, plus récemment, les cas de variole du singe au regard des séquelles et effets négatifs secondaires des vaccins occidentaux, ont remis en lumière ces thérapies médicales en sommeil depuis plusieurs décennies.
I – Un peu d’histoire
Se soigner par les plantes est aussi vieux que la civilisation et remonte à la préhistoire. Les premiers textes gravés relatant des propriétés des plantes datent de 5000 ans à Sumer et 4700 ans en Chine.
Il y a des milliers d’années, les Chinois ont inscrit les flux d’énergie invisibles au cœur de leur médecine traditionnelle reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). De même, les médecins comme Hippocrate (Vème siècle avant JC) ont porté leur attention aux « canaux d’énergie » pour optimiser la santé de leurs patients et disciples.
Cette pratique a été petit à petit oubliée pour renaître au début du XXème siècle notamment grâce aux travaux de Nikola Tesla, George Lakhovsky et Raymond Rife sur la médecine électromagnétique.
A part en URSS où les recherches scientifiques ont continué, cette médecine est de nouveau tombée dans l’oubli balayée par la révolution pharmacologique. A la chute du mur de Berlin en 1989, les Occidentaux ont recommencé à s’intéresser ponctuellement aux « ondes qui soignent ».
Plus récemment, le professeur Luc Montagnier avait axé ses travaux sur la mémoire de l’eau et sur la médecine énergétique à travers les champs électromagnétiques.
Logiquement, les analyses du professeur Montagnier et celles notamment de Raymond Rife se recoupent en partie avec des études sur les virus, bactéries, toxines, champignons, parasites qui auraient tous une fréquence bien spécifique.
II – Les huiles essentielles, vecteurs de fréquences
Chacune des huiles aromatiques contenues dans une plante a une fréquence de résonance. En introduisant à tout élément sa propre fréquence de résonance, il se trouve détruit en implosant. La distillation des plantes aromatiques, selon la thérapie fréquentielle, en générant des huiles essentielles peut permettre à celles-ci de détruire un élément pathogène si leurs fréquences sont similaires.
Une huile essentielle possède plusieurs fréquences différentes et peut donc s’attaquer à divers agents pathogènes suite à un diagnostic via notamment la kinésiologie.
III – COVID-19 et médecine par les ondes
Selon la thérapie fréquentielle, les maladies et vaccins sont réversibles naturellement.
D’après les études récentes de John Millward, tous les cas positifs de Covid-19 et les personnes vaccinées avec les vaccins en Europe sont infectées de protéines Spike qui peuvent, d’après lui, être brisées grâce aux fréquences. Cette réponse à la protéine Spike est un espoir, de nombreux spécialistes ayant mis en garde contre le danger de cette protéine bien que ce débat soit controversé.
La méthode électromagnétique semble également s’appliquer au syndrome de Guillain-Barré qui serait lié parfois à la vaccination. En effet, selon l’Agence américaine du médicament (FDA), le vaccin contre le COVID-19 entraînerait un « risque accru » de développer cette maladie neurologique rare.
Face au désarroi de la population et au scandale sanitaire possible lié au Covid-19, la thérapie fréquentielle pourrait se vulgariser, les recherches et application s’étendre.
Conclusion
« Tout est énergie et cela résume tout. Mettez-vous sur la fréquence de la réalité que vous voulez obtenir et vous ne pourrez qu’obtenir cette réalité. Il ne peut en être autrement. Ce n’est pas de la philosophie. C’est de la physique. » (Albert Einstein).
La nature semble être une réponse possible aux nombreux maux actuels, n’en déplaisent à certains. Il est peut être temps de se replonger dans notre passé pour trouver les solutions de demain.
Nathalie Souvorov-Robert pour WikiStrike
Principales sources :
Cathy Lorio / John Millward (essentialoiltherapy.org)
Xavier Bazin pour FranceSoir