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Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7544 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Pénurie de carburant Mer 05 Oct 2022, 10:05 pm | |
| Pénurie de carburant : Xavier Betrand demande au gouvernement de "dire la vérité" sur les livraisons :copyright:Nicolas TUCAT / AFP
Orange avec Media Services, publié le jeudi 06 octobre 2022 à 10h45Les stations services du nord de la France sont confrontées à des pénuries engendrées par un mouvement de grève chez TotalEnergies, mais aussi par une hausse de la demande portée par la remise de 20 centimes par litre d'essence.Alors que les automobilistes du nord de la France rencontre des difficultés, parfois importantes, a trouver du carburant, le président LR des Hauts-de-France, Xavier Bertrand, a interpellé jeudi 6 octobre le gouvernement."Nous avons besoin que le gouvernement nous dise la vérité sur la façon dont tout va être livré dans les jours qui viennent", a-t-il demandé sur franceinfo. Alors qu'on lui demandait s'il pensait que le gouvernement "cache quelque chose", il a répondu : "En tous cas, ils se sont réveillés bien tard"."Hier, monsieur Véran nous dit qu'il suit la situation. Non ! Ce qu'on attend de l'État, ce n'est pas qu'il suive c'est qu'il anticipe la situation", a insisté Xavier Bertrand, qui a évoque des problèmes pour la circulation des bus scolaires, des trains ou des ambulances, dans une région ou 30% des stations essence sont en tension.Alors que plusieurs raffineries sont bloquées par des grèves, l'ancien ministre a estimé que le gouvernement aurait dû utiliser "la réquisition ou la menace de la réquisition pour qu'on puisse libérer les stocks"."Quand il y a des raffineries qui sont bloquées -le droit de grève est constitutionnel-, une chose est certaine, il ne doit pas être fait obstacle à la continuité des services publics", a encore déclaré Xavier Bertrand.Il avait déjà appelé mercredi le gouvernement à "remédier" à la "pénurie" de carburant, qui engendre des files d'attente aux stations services et des difficultés dans les transports scolaires, dans une lettre au ministre délégué aux Transports Clément Beaune.Cette tension s'explique par un mouvement de grève pour les salaires au sein de TotalEnergies, mais aussi, selon le groupe, par "la baisse des prix" dans ses stations --une remise à la pompe de 20 centimes d'euros par litre-- qui a entraîné "une affluence importante" Le groupe a promis mardi "de se mobiliser pour réapprovisionner le réseau grâce à des moyens logistiques supplémentaires". "Il n'y a pas de manque de carburants car TotalEnergies a constitué des stocks et procède actuellement à des imports réguliers", a-t-il affirmé. Selon Xavier Bertrand, ces difficultés entraînent un "report" vers des stations concurrentes à TotalEnergies, qui se retrouvent elles-mêmes en situation de pénurie.Pénurie de carburant : Xavier Betrand demande au gouvernement de "dire la vérité" sur les livraisons (orange.fr) |
| | | Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7544 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Re: Pénurie de carburant Mar 11 Oct 2022, 10:16 pm | |
| Carburants : la grève reconduite chez les pétroliers, la réquisition lancée dans un dépôt normand Publié le 12 octobre 2022 à 08h08 Modifié le 12 octobre 2022 à 09h45 La grève a été reconduite à l’unanimité ce mercredi à la raffinerie Esso-ExxonMobil de Port-Jérôme. (Archives Lou Benoist/AFP) Le gouvernement met sa menace à exécution. Face à des grévistes déterminés à poursuivre leur mouvement pour les salaires dans les raffineries, une première réquisition a été lancée pour débloquer le dépôt de carburant de la raffinerie normande d’Esso-ExxonMobil.« Face à la reconduction de la grève d’une partie du personnel à Port-Jérôme (Seine-Maritime), en Normandie, le gouvernement lance la réquisition des personnels indispensables au fonctionnement du dépôt. La réquisition débutera ce jour », a indiqué le ministère de la Transition énergétique ce mercredi matin.La réquisition ne concerne pas les opérations de la raffinerie et donc la production de carburant. Les quelques grévistes indispensables au déblocage du carburant des cuves devraient donc se voir contraints de venir travailler, sous peine de sanctions pénales.Malgré cette menace brandie pour la première fois la veille par la Première ministre, les grévistes des groupes pétroliers ont décidé tôt ce mercredi matin de poursuivre leur mouvement pour de meilleurs salaires, prolongeant les pénuries de carburants qui affectent la France entière.Six raffineries sur sept en grèveSix des sept raffineries de France sont en grève : les quatre de TotalEnergies et les deux d’Esso-ExxonMobil. Seule celle de Lavéra (groupe Petroineos) n’est pas bloquée.Avant l’aube ce mercredi, à la raffinerie Esso-ExxonMobil de Gravenchon (Port-Jérôme), en Seine-Maritime, une cinquantaine de salariés grévistes ont voté à main levée la poursuite de la grève, au pied de l’usine, où des palettes brûlent et sans présence policière alentour.La grève se poursuit aussi à la raffinerie Esso de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône), mais aucune réquisition n’a été reçue. Aucun carburant n’est sorti d’ici depuis le 21 septembre.Chez TotalEnergies, la grève dure depuis deux semaines et prend de l’ampleur. Dans l’ensemble des sites en mouvement, la grève a été reconduite ce mercredi avec « quasiment 100 % de grévistes parmi les opérateurs », a indiqué tôt mercredi à l’AFP Eric Sellini, coordinateur CGT pour le groupe. Soit la raffinerie de Normandie, près du Havre, le dépôt de carburant de Flandres, près de Dunkerque, la « bio-raffinerie » de La Mède (Bouches-du-Rhône), la raffinerie de Feyzin, et depuis mardi, la raffinerie de Donges (Loire-Atlantique).Les grévistes prennent ainsi le risque d’un épilogue brutal avec réquisition de certains d’entre eux pour faire redémarrer les usines, comme le précédent mémorable de 2010 sous la présidence de Nicolas Sarkozy.Pour les dépôts, le redémarrage serait immédiat car assez simple, puisqu’il suffira d’ouvrir les vannes pour les camions. Mais « s’il y a réquisition pour redémarrer la production à la raffinerie, il faudra au moins deux semaines », explique Gil Vilard, de la CGT Esso à Fos-sur-Mer.« Plus d’une semaine qu’on galère »« L’essence, c’est trop important pour nous ! Vous voyez, ça fait plus d’une semaine qu’on galère », témoigne Santiago, l’un des innombrables coursiers à « galérer » pour faire le plein, à Paris, comme tous ceux dont le véhicule est un outil de travail.Faute d’approvisionnement, près de 30 % des stations-service étaient à sec en France, mardi soir.Face à ces files d’attente d’automobilistes exaspérés, interviewés en boucle sur les chaînes d’information, et sous le feu des critiques de l’opposition, le gouvernement a dégainé mardi la menace de la réquisition, pour l’instant seulement pour débloquer les dépôts d’Esso-ExxonMobil.Un accord salarial y a en effet été conclu lundi par deux organisations syndicales, majoritaires à l’échelle du groupe, mais pas par la CGT, à l’origine de la grève.Élisabeth Borne a également évoqué la possibilité de réquisitions chez TotalEnergies.Amorce de dialogue ? Ce groupe a convié les syndicats représentatifs qui « ne participent pas au mouvement de grève » à une réunion de « concertations et d’échanges » ce mercredi après-midi.Devant les tribunaux« Si la CGT lève tous les blocages de sites avant demain midi, elle sera bienvenue à cette réunion de dialogue », a précisé le géant français de l’énergie.Éric Sellini y voit une manière « d’écarter » la CGT et de « justifier » ainsi une intervention du gouvernement en cas de refus de celle-ci de lever les blocages.Le ministère a indiqué qu’un autre arrêté de réquisition serait activé pour le dépôt de carburant TotalEnergies près de Dunkerque, si la grève s’y poursuivait.La CGT de TotalEnergies réclame 10 % d’augmentation sur les salaires pour 2022, contre les 3,5 % obtenus en début d’année.En cas de réquisition, « on ira devant les tribunaux pour les faire annuler », a averti Eric Sellini, tandis que la CGT d’Esso-ExxonMobil a dénoncé « une remise en cause du droit de grève ».Carburants : la grève reconduite chez les pétroliers, la réquisition lancée dans un dépôt normand - Économie - Le Télégramme (letelegramme.fr) |
| | | Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7544 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Re: Pénurie de carburant Mer 12 Oct 2022, 9:17 am | |
| Centrales nucléaires : la grève se poursuit, la centrale de Gravelines rejoint le mouvement
Orange avec Media Services, publié le mercredi 12 octobre 2022 à 20h08
Les mouvements de grève se poursuivent ce mercredi 12 octobre dans plusieurs centrales nucléaires, une mobilisation à laquelle se joint la centrale de Gravelines, la plus puissante d'Europe de l'Ouest, jeudi.
La centrale de Gravelines, la plus puissante d'Europe de l'Ouest, joindra jeudi 11 octobre les mouvements de grève, qui se poursuivent dans plusieurs centrales nucléaires et qui sont susceptibles de causer des retards dans les travaux préalables au redémarrage de certains réacteurs. Leur revendication : une revalorisation des salaires.
A Gravelines (Nord), les employés, en grève à l'appel de FO et de la CGT pour réclamer une augmentation de 5% de leur salaire brut, menacent de retarder le raccordement au réseau d'un des six réacteurs de 900 MW, qui sera arrêté ce week-end pour maintenance annuelle et doit être relancé avant la fin de l'année.
Selon le secrétaire FO du comité social et économique, Franck Redondo, un retard dans le raccordement n'aurait pas de conséquences sur les particuliers, mais entraînerait "des coupures" dans les entreprises.
"Les grèves peuvent avoir un impact sur certains travaux de maintenance", a indiqué EDF à l'AFP, sans être en mesure dans l'immédiat d'évaluer si le calendrier de retour au réseau de ces installations serait affecté par ces mouvements. Le cas échéant, EDF serait tenue de le communiquer.
Un accord après des mois de bras de fer
D'autres centrales connaissent des mouvements de grève depuis plusieurs semaines, à l'appel d'intersyndicales, également pour obtenir des revalorisations de salaires et une prise en compte de l'inflation. Les centrales de Tricastin (Drôme), Cruas (Ardèche), Bugey (Ain), Cattenom (Moselle) sont notamment touchées par ces grèves qui retardent, pour certaines, les tests préalables à leur remise sur le réseau après des opérations de maintenance prévues ou des travaux afin de résoudre des problèmes de corrosion, alors que la France connaît une situation très tendue à l'approche de l'hiver, avec une large part du parc nucléaire qui est indisponible.
Au niveau de la branche, après des mois de bras de fer, le patronat des industries électriques et gazières et les syndicats sont parvenus le 6 octobre à un accord soumis à signature jusqu'à lundi, qui prévoit notamment une augmentation de 3,6% du salaire national de base sur 2022 et 2023, dont 2,3% au titre de 2023. Des avancées "notables mais loin d'atteindre les revendications", notamment de la FNME-CGT, a indiqué son secrétaire fédéral Fabrice Coudour. "Comme c'est un accord de branche, il y aura des négociations en entreprise derrière", a-t-il ajouté, précisant ainsi l'objet de ces mouvements de grève.
La CGT demandait notamment le rattrapage de l'inflation et a rappelé, par la voix de Fabrice Coudour, qu'il était au mois d'août autour de 6%. Il n'y a "pas de tendance qui se dégage pour l'instant" de la consultation de la base par les syndicats CGT des industries électriques et gazières, pour savoir si cet accord sera ratifié par le syndicat, a-t-il conclu.
source : Centrales nucléaires : la grève se poursuit, la centrale de Gravelines rejoint le mouvement (orange.fr)
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| | | Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7544 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Re: Pénurie de carburant Mer 12 Oct 2022, 9:20 am | |
| Carburants : Macron prévoit le retour à la normale "dans le courant" de la semaine prochaine
Orange avec Media Services , publié le mercredi 12 octobre 2022 à 21h12
Interrogé sur France 2 mercredi 12 octobre sur les pénuries de carburants, le président de la République se dit assuré que le retour à la normal dans stations service se fera dans la semaine qui vient.
Sur France 2, le président de la République mercredi 12 octobre se dit assuré que le retour à la normal dans stations service se fera dans la semaine qui vient.
Le gouvernement a lancé une première réquisition de quatre salariés grévistes chez Esso-ExxonMobil pour débloquer des stocks de carburants et ravitailler les stations-services franciliennes à sec mais la grève se poursuivait, y compris chez TotalEnergies, faute d'avancées sur les négociations salariales.
"Je souhaite un appel à la responsabilité (...). La Première ministre a pris une décision de réquisition. Il fallait le faire, on ne peut pas laisser le pays bloqué car quelques personnes veulent aller plus loin" a indiqué le chef de l'Etat.
Le chef de l'Etat a de nouveau appelé "à la responsabilité" la direction de TotalEnergies et des syndicats. "Que la CGT permette au pays de fonctionner", exhorte Emmanuel Macron. "Au moment où nous avons la guerre, chacun doit être à sa place et prendre toutes ses responsabilités. Il y a un dialogue social, et ce dialogue social doit vivre." a-t-il ajouté
Carburants : Macron prévoit le retour à la normale "dans le courant" de la semaine prochaine (orange.fr) |
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