Rappel du premier message :

Samedi, le 08 août 2009 – Dieu a les yeux fixés sur vous !


« Que le Seigneur lève Sa face vers toi et te donne la paix ! » Nombres 6.26

Dallas Willard était enfant quand il perdit sa mère. Dans l'un de ses livres il parle d'un petit garçon qui a lui aussi perdu sa mère et qui, chaque soir va demander à son père s'il peut dormir avec lui pour ne pas se sentir seul. Mais c'est seulement lorsque son père lui promet de dormir le visage tourné vers le sien que le petit garçon, rassuré, accepte de s'endormir. Willard écrit : « Nous pouvons nous débrouiller dans la vie accompagnés d'un Dieu qui ne nous parle pas. Ou du moins beaucoup d'entre nous s'imaginent pouvoir le faire ! Mais une vie chrétienne sous de tels auspices ne vaut pas grand-chose, et ne correspond certainement pas à la vie abondante et épanouie que Dieu avait prévue pour nous et que Jésus est venu nous faire découvrir. »

Moïse a prié : « Que le Seigneur lève Sa face vers toi et te donne la paix. » N'est-il pas réconfortant de savoir que Dieu a les yeux fixés sur nous, qu'Il est là pour nous guider et nous protéger vingt-quatre heures sur vingt-quatre, jour après jour ! En vérité la promesse la plus courante dans les Ecritures n'est pas celle du salut ni celle du paradis, mais « Je serai avec toi... » (Josué 1.5). C'est la même promesse que Dieu fit à Hénoc, à Noé, à Abraham, à Sara, à Jacob, à Joseph, à Moïse, à Marie et à Paul. Et c'est la promesse qui leur permit de persévérer tout au long de leur vie. David a écrit : « Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, je ne crains aucun mal, car Tu es avec moi » (Psaume 23.4). Dieu rappelait constamment à Son peuple Sa présence dans le Tabernacle, dans l'Arche de l'alliance, par la manne qu'Il lui fournissait au désert et grâce à la colonne de nuée le jour et de feu la nuit.

Aujourd'hui Il veut aussi vous rappeler Sa promesse : « Sois fort et courageux ! Ne t'effraie pas, ne sois pas terrifié, car le Seigneur, ton Dieu, est avec toi partout où tu iras » (Josué 1.9). Soyez en paix, Dieu veille sur vous, Il a les yeux constamment fixés sur vous !

Bob Gass

Samedi, le 19 septembre 2009 – Ecoutez Dieu (1)


« Tes oreilles entendront une voix qui dira : voici le chemin, marchez-y ! » Esaïe 30.21

Chaque fois que vous faites un pas de foi et que vous vous lancez dans une aventure nouvelle, une voix en vous murmurera : « Tu dois être complètement fou, tu n'es pas capable de faire ça. Les petites réussites de ton passé n'étaient que des coups de chance, rien de plus. Tu t'es trouvé au bon endroit au bon moment, c'est tout ! Mais à présent tu es dépassé ! » Cette voix vous réveillera au milieu de la nuit, vous donnera mal au c½ur. Vous pourrez l'entendre en pleine réunion de votre conseil d'administration, au plus secret de votre chambre ou sur le trottoir que vous arpentez. C'est la voix de la peur, et cette voix fait fi de toute compassion ou justice. Elle se fait un malin plaisir de vous rappeler vos échecs passés et de jouer avec vos craintes les mieux cachées.

Mais vous pouvez entendre une autre voix, celle de Dieu. Et cette voix vous dit : « N'aie pas peur, Je suis avec toi. Ne regarde pas autour de toi avec inquiétude. Oui, ton Dieu, c'est Moi. Je te rends fort, Je viens à ton secours et Je te protège, avec Ma main puissante et victorieuse » (Esaïe 41.10). Apprendre à écouter la voix de Dieu ne signifie pas que soudain tous vos problèmes s'évanouiront, ni que la voix de la peur disparaîtra.

Ecouter Sa voix, cela ressemble plutôt à avoir une conversation intime avec un ami très cher au milieu d'une place publique remplie d'une foule bruyante. D'autres voix tournent autour de vous,mais vous ne les entendez pas parce que vos oreilles ne veulent écouter que la voix de votre ami. C'est ainsi avec la voix de Dieu. Qu'Il vous parle par les Ecritures, la voix d'un ami ou au travers des circonstances de la vie, Il communique toujours avec le coeur de ceux qui Le cherchent. La promesse qu'Il vous fait est la suivante : « Tes oreilles entendront une voix qui dira : voici le chemin, marchez-y ! »

Une parole venant de Dieu, juste une seule, peut changer toute votre vie. Alors, aujourd'hui, apprenez à écouter Sa voix.

Bob Gas

Dimanche, le 20 septembre 2009 – Ecoutez Dieu (2)


« N'aie pas peur, Je suis avec toi... » Esaïe 41.10

Pour réussir dans la tâche que Dieu vous a appelé à accomplir, vous devez toujours demeurer à l'écoute du Saint-Esprit qui vit en vous et apprendre à reconnaître sa voix quand Il vous dirige à travers les Ecritures. Quand la pression se fait plus forte et si vous êtes tenté d'agir trop rapidement, vous entendrez Sa voix qui vous affirme : « Ne sortez pas dans la précipitation... car le Seigneur marche devant vous, et le Dieu d'Israël sera ton arrière-garde » (Esaïe 52.12). Dieu vous protège par devant et par derrière.

Comment le fera-t-Il ? Lorsque vous serez sur le point de prendre un mauvais chemin ou une décision dangereuse, Il vous rappellera que : « L'homme élabore des plans, le Seigneur en dirige la réalisation » (Proverbes 16.9). Si vous vous découvrez incapable d'accomplir la tâche qu'Il vous a confiée, vous entendrez Sa voix vous dire : « Le Seigneur restera ton guide, même en plein désert, Il te rassasiera et te rendra des forces. Tu feras plaisir à voir, comme un jardin bien arrosé, comme une fontaine abondante dont l'eau ne tarit pas » (Esaïe 58.11). Ses ressources sont infinies et seront là pour vous soutenir et vous ravitailler. Lorsque vous serez à court de solutions et que vous ne saurez dans quelle direction vous tourner, Il vous rassurera en ces mots : « Je t'instruirai et te montrerai la voie que tu dois suivre ; Je te conseillerai, J'aurai le regard sur toi » (Psaume 32.8).

Lorsque le fardeau deviendra trop lourd sur vos épaules, vous entendrez Sa voix vous dire : « Décharge-toi de ton fardeau sur le Seigneur, et Il pourvoira à tous tes besoins ; Il ne laissera jamais le juste vaciller » (Psaume 55.22).

Ecouter la voix de Dieu peut signifier également apprendre à sacrifier d'autres choses et à refuser d'écouter d'autres voix, mais si vous voulez vraiment L'entendre, vous devrez le faire sans hésiter. Rien n'est plus important que savoir reconnaître la voix de Dieu lorsqu'Il vous parle !

Lundi, le 21 septembre 2009 – Dieu vous protège


« Il ne permit à personne de les opprimer... » 1 Chroniques 16.21

Jusqu'où iriez-vous pour protéger votre enfant, pour empêcher qu'il ne souffre ? Multipliez ceci à la puissance infinie et vous comprendrez peut-être combien vous comptez aux yeux de Dieu. Nabucodonosor s'empara des vases sacrés qui se trouvaient dans le temple de Jérusalem et les plaça dans un temple païen à Shinar (Daniel 1.1-2). Après lui son fils Belshatsar devint roi et, une nuit, au cours d'un festin très arrosé, il fit apporter par ses « serviteurs les vases d'or qui avaient été enlevés du Temple, de la maison de Dieu à Jérusalem ; et le roi, ses grands, ses femmes et ses concubines y burent » (Daniel 5.3).

S'ils s'étaient amusés à boire dans n'importe quelle autre coupe, cela n'aurait eu que peu d'importance, sans doute, mais Dieu avait trop investi dans ces vases sacrés pour les laisser en abuser ainsi impunément. Cette même nuit Belshatsar fut tué et son royaume complètement détruit, à cause du principe biblique exprimé dans ce verset : « Il ne laissa personne les opprimer, Il fit des reproches à des rois à leur sujet : Ne touchez pas à ceux qui ont reçu Mon onction » (1 Chroniques 16.21-22).

En tant qu'enfant de Dieu racheté par Lui, Il vous aime et veut vous protéger. N'oubliez jamais cette vérité. Peut-être devrez-vous vous battre sur une terre étrangère ou vivre et travailler dans des circonstances difficiles ; peut-être devrez-vous souffrir pour votre foi,mais comprenez ceci : Dieu a trop investi en vous pour permettre à quiconque de vous abattre. Chaque fois que Satan essayera de le faire, Dieu interrompra ses réjouissances pour lui dire catégoriquement : « Ce vase ne t'appartient pas, ne le touche pas, cela M'a pris trop de temps pour lui apprendre comment prier, J'ai passé trop d'heures à lui apprendre comment surmonter ses difficultés. Maintenant il a appris comment résister à la pression des épreuves. Il a déjà trop souffert pour Mon nom pour que Je te laisse maintenant l'écraser. Bas les pattes ! Il M'appartient ! »

Réjouissez-vous, Dieu veut aujourd'hui encore vous protéger.

Bob Gass

rdi, le 22 septembre 2009 – A propos d'intuition


« Celui qui a reçu le don de diriger doit agir avec zèle. » Romains 12.6-8

Les bons leaders sont doués d'intuition. Ils « voient » ce que d'autres ne peuvent pas voir. Ils « sentent » ce que d'autres ne comprennent pas. Quand on parle d'intuition, les êtres humains peuvent tomber dans trois catégories différentes :

1- Ceux qui n'ont pas la moindre intuition. Accorder à de telles personnes un poste de leader relève d'une grande imprudence. Quoi que vous fassiez, elles ne feront jamais de bons leaders. Si quelqu'un a reçu le don de travailler dans un rôle subalterne ce serait une erreur de le placer dans une position de chef. Dans l'orchestre il n'y a pas que des premiers violons ! Chacun de nous n'est responsable que des dons que Dieu lui a accordés, pas des dons qu'il souhaiterait avoir, ou de ceux que les autres pensent qu'il devrait avoir !

2- Ceux qui ont besoin d'un certain apprentissage pour voir plus loin. Ils ont la graine en eux, elle ne demande qu'un peu d'encouragement et de soutien pour germer et se développer. John Maxwell fait remarquer que le don de réfléchir comme un leader est souvent un don d'intuition qui a été développé et encouragé à suivre la bonne direction. Ces personnes ont seulement besoin de quelqu'un pour les instruire, les diriger et les inspirer pour devenir de bons leaders. Sans intuition nous sommes tous aveuglés, au cours de notre vie, par les événements et les opinions contradictoires.

3- Ceux qui « voient » naturellement ce que d'autres ne verront jamais. Ils sont nés avec les dons nécessaires pour devenir de bons leaders. Ils semblent comprendre instinctivement les problèmes des autres et comment prendre la bonne direction. Souvent,même dès l'enfance, on les reconnaît comme de futurs leaders. Regardez des enfants qui jouent dans un parc ou une cour de récréation, et vous en verrez un que les autres semblent suivre et vouloir imiter sans cesse. Les personnes à qui Dieu a accordé ce don d'intuition doivent le développer afin de devenir des leaders expérimentés, capables de bénir les autres.

Mais le meilleur leader était Christ. Etudiez Sa vie, Lui qui a dit : « Le Fils de l'homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie » (Matthieu 20.28).

Bob Gass

Mercredi, le 23 septembre 2009 – N'oubliez pas votre enfant !


« Joseph et Sa mère ne s'en aperçurent pas... » Luc 2.43

Les parents de Jésus étaient tellement affairés qu'ils ne s'aperçurent pas qu'ils l'avaient perdu ! « L'enfant Jésus resta à Jérusalem et ses parents ne s'en aperçurent pas. Ils pensaient que Jésus était avec leurs compagnons de voyage... » (Luc 2.43-44). Heureusement pour eux ils finirent par le retrouver. Mais ce n'est pas toujours le cas.

Un leader chrétien a raconté l'anecdote suivante, glanée au cours d'une conférence à laquelle il assistait : une fillette, âgée d'une dizaine d'années environ, devait, comme tous les autres élèves de sa classe, dessiner un portrait de sa famille au grand complet. Le soir, son travail terminé, elle le présenta avec fierté à ses parents. Après avoir jeté un coup d'oeil sur le dessin, son père lui demanda ce qu'il était censé représenter. Sa petite fille lui répondit : « C'est notre maison et nous devant. Notre professeur nous a demandé de dessiner un portrait de toute notre famille. » Le père regarda le dessin plus attentivement et remarqua que tout le monde était représenté, sauf lui. « Ma chérie », lui demanda-t-il doucement, « Ne suis-je pas sur le dessin ? » « Bien sûr que non ! » répliqua-t-elle. « Et pourquoi pas ? » demanda-t-il. « Parce que ce dessin est censé représenter notre famille à la maison, mais toi, tu n'es jamais là ! » Il se sentit soudain frappé comme par un coup de poing violent : elle venait de lui faire toucher du doigt une évidence qu'il s'était toujours refusé d'admettre. C'était comme une sonnerie de réveil pour ramener un père absent au sein de sa famille avant qu'il ne soit trop tard. Ce jour-là, il décida de changer d'attitude et de réintégrer sa place dans la famille.

Le Psalmiste a écrit : « J'ai besoin de Ton aide, pour me conduire avec intégrité surtout au sein de ma propre famille » (Psaume 101.2 TP). Comment vos enfants réagissent-ils face à Internet, la télévision, les jeux vidéo et la pression de leurs pairs ? Si vous avez gravi peu à peu la voie quimène au succès et au bien-être, et que vous avez négligé d'accompagner votre famille sur cette route, faites demi-tour tout de suite. Revenez en arrière et récupérez ceux qui devraient compter plus que tout dans votre vie. Engagez-vous à ne pas repartir s'ils ne peuvent pas vous accompagner sur le même chemin !

Bob Gass

Jeudi, le 24 septembre 2009 – Evaluez les autres de la bonne manière !


« Prends Marc et amène-le avec toi, car il m'est fort utile pour le service. » 2 Timothée 4.11

Quand Jean-Marc décida de prendre un peu de temps libre pour aller rendre visite à sa famille, Paul en prit ombrage. Quelque temps plus tard, quand Barnabas voulut que Jean-Marc les accompagne dans leur prochaine mission, Paul laissa exploser sa colère. « Leur désaccord s'aggrava tellement qu'ils partirent chacun de leur côté. Barnabas prit Marc avec lui et s'embarqua pour Chypre, tandis que Paul s'adjoignait Silas » (Actes 15.38-40).

Mais l'histoire ne s'arrête pas là ! Plus tard, plus âgé et plus sage, l'apôtre Paul qui avait su ajouter une bonne dose de grâce à son caractère de lutteur écrivit ces lignes : « Démas m'a abandonné par amour pour le monde présent... Prends Marc et amène-le avec toi, car il m'est précieux pour le ministère » (2 Timothée 4.10-11).

Remarquez ces trois leçons importantes pour nous aujourd'hui :

1- Soyez toujours prêt à donner à quelqu'un une seconde chance. Après tout, n'est-ce pas ce que Dieu a fait pour chacun d'entre nous ? Bien sûr, en faisant preuve de grâce et de compassion vous risquez de souffrir et d'être profondément déçu, mais si vous souhaitez marcher dans les pas de Christ, c'est un risque que vous devez accepter de courir.

2- Ne jugez pas les autres en fonction de votre propre caractère et de vos propres buts. En vérité ils n'ont pas été appelés par Dieu à accomplir la tâche qu'Il vous a confiée, ou bien Il leur a demandé de l'accomplir d'une manière différente de la vôtre. Ne laissez pas vos préférences personnelles dicter votre attitude envers eux et vous empêcher de les aimer, de les accepter tels qu'ils sont et de travailler à leurs côtés.

3- Si vous recherchez le meilleur en chacun d'entre nous, vous le trouverez certainement ! La Bible dit : « Nous portons ce trésor dans des vases de terre... » (2 Corinthiens 4.7). Chaque fois que vous trouverez un trésor, vous verrez d'abord le vase de terre qui le contient ! Ne rejetez pas le trésor à cause du vase de terre. C'est votre responsabilité de le trouver dans ce vase sans valeur. Les gens motivés se feront un plaisir de répondre à votre quête !

Bob Gass

Vendredi, le 25 septembre 2009 – Servant Dieu et son époux(se)


« Celui qui est marié... cherche à plaire à sa femme... » 1 Corinthiens 7.33

Paul a écrit : « Celui qui n'est pas marié s'occupe des affaires du Seigneur, il cherche à plaire au Seigneur. Mais celui qui est marié... cherche à plaire à sa femme. » Gayle Urban a raconté l'anecdote où elle se trouvait dans un magasin, et qu'elle a remarqué une étagère remplie d'objets décoratifs à prix réduit. Parmi eux elle souleva une petite figurine représentant un homme et une femme en train de s'embrasser. Une étiquette portait la mention : « Joyeux anniversaire pour vos 20 ans de mariage ! » La figurine paraissait en parfait état et pourtant une autre étiquette indiquait : « Imparfait ». Elle l'examina attentivement et, en la retournant, découvrit une étiquette qui disait : « La femme est en train de se décoller ! »

Lorsque vous épousez quelqu'un, vous acceptez à la fois tout ce qu'il (ou elle) représente et tout son passé. C'est à prendre en bloc, on ne peut pas choisir seulement le meilleur ! Et si vous demandez l'aide de Dieu, Il vous accordera la grâce de servir convenablement votre épouse (ou époux). Vous ne verrez probablement pas beaucoup de changement immédiat. Même une blessure légère peut prendre pas mal de temps pour cicatriser. Mais si vous Lui faites confiance, Il vous fournira « l'huile de la compassion et le vin de l'amour » pour les verser sur ses blessures. Ne montez jamais dans votre tour d'ivoire spirituelle au point de ne plus lui être disponible.

N'oubliez pas que votre premier devoir est envers votre époux/se et envers votre famille. Votre priorité est là, et devrait passer avant votre carrière, votre vocation ou tout autre but. Dieu dit en fait, sous la plume de Paul : « Je libère ceux qui sont mariés de l'obligation de service et de consécration que j'exige de ceux qui ne sont pas mariés, afin qu'ils puissent passer assez de temps à s'occuper des relations au sein de leur famille. » Peut-être direz-vous : « Mais je dois passer du temps seul avec le Seigneur ! » C'est vrai, et la Bible ne vous dispense pas de votre responsabilité individuelle vis-à-vis de Dieu. Elle établit seulement une échelle de priorités : vous devez servir Dieu... et votre époux (se) !

Bob Gass

Samedi, le 26 septembre 2009 – Que vous a-t-Il appelé à faire (1)


« Vous êtes le sel de la terre... » Matthieu 5.13

Parfois nous ne remarquons pas le travail accompli par quelqu'un qui nous est proche jusqu'au jour où il disparaît. On raconte l'histoire de cet homme qui rentre de son travail, en fin de journée, pour découvrir sa maison dans une pagaille monstre. Le dernier-né est en train de s'époumoner dans le salon, l'évier de la cuisine est rempli à ras-bords de piles d'assiettes sales, et du linge à laver jonche le sol. La télévision est allumée et le son monté à fond, les lits ne sont pas faits, les tapis n'ont pas été passés à l'aspirateur et bien sûr le dîner n'est pas prêt, loin s'en faut ! Abasourdi, il demande à sa femme ce qui se passe et elle lui répond : « Tu sais, tu me demandes chaque jour, en rentrant du travail, ce que j'ai bien pu faire de ma journée ? Eh bien, aujourd'hui, je ne l'ai pas fait ! »

La Bible dit : « Que chacun vive selon la condition que le Seigneur lui a donnée en partage, tel qu'il était quand Dieu l'a appelé... » (1 Corinthiens 7.17). Cela ne veut pas dire que nous devons nous contenter de notre position dans la vie sans jamais essayer de l'améliorer, mais cela signifie que si nous ne voulons pas commencer à nous améliorer ici, dans la position où Dieu nous a placés, alors inutile de nous imaginer pouvoir le faire ailleurs !

Un jour, Jésus a guéri un homme possédé d'un démon qui avait vécu des années séparé de sa famille. Une fois libéré cet homme voulait accompagner Jésus, mais Celui-ci lui a dit : « Non, rentre chez toi et raconte à tous ce que le Seigneur a fait pour toi... » (Luc 8.39). En d'autres termes, commence par là où tu es, sers-toi des dons qui t'ont été accordés et fais de ton mieux. La Bible affirme : « Vous êtes le sel de la terre. » Le sel n'existe pas pour lui-même. Il doit être versé sur quelque chose de plus important que lui et c'est seulement alors qu'il accomplit ce pourquoi il a été créé.

Mais faites attention, ne laissez pas votre ego vous dominer. Ne prenez pas le mauvais chemin, dans votre désir de compter à tout prix aux yeux des autres. Votre quête doit se faire avec Dieu et pour accomplir Ses desseins. Alors Dieu pourra vous bénir !

Bob Gass

Merci ma Soeur Saufi pour cet enseignement:

J'en conclus qu'il

faut être détaché de soi-même , ne pas se soucier des regards malveillants.... le détachement de nous-mêmes nous apporte la véritable liberté qui ne peut exister qu'en Christ, le détachement nous donne le bonheur de vivre en enfants de Dieu.

Tout est Vanité dit le Livre de l'Ecclésiaste.

Notre Paix ne doit dépendre de personne d'autre que de Jésus, Notre Bien-Aimé !

Que le Seigneur me donne la grâce du véritable détachement pour ne vivre qu'en Lui !

Dimanche, le 27 septembre 2009 – Que vous a-t-il appelé à faire (2)


« Vous êtes le sel de la terre... » Matthieu 5.13

Lorsque Dieu appela Moïse, l'une des questions qu'Il lui posa fut : « Qu'as-tu dans ta main ? » (Exode 4.2). Moïse tenait dans sa main un bâton de berger. C'était le symbole de sa vie professionnelle, de sa spécialité, de son gagne-pain. Ses troupeaux lui permettaient de gagner sa vie et de soutenir sa famille, ils étaient aussi toute sa richesse. Ce que Dieu lui demandait, c'était d'accepter de Lui abandonner tout cela. Et Dieu vous demande aujourd'hui la même chose : « Qu'avez-vous dans votre main ? »

Réfléchissez à ce qu'Il vous a déjà donné : vos talents, votre argent, votre caractère, votre expérience, vos relations avec les autres, votre esprit, votre éducation...

Dieu vous a donné ce que le docteur Martin Seligman appelle « des qualités typiques de votre signature ». Seligman considère que les talents des humains peuvent être répartis en différentes catégories : 1- Celle de la sagesse et de la connaissance (curiosité, soif d'apprendre, discernement, intelligence sociale). 2- Celle du courage (persévérance, intégrité). 3- de l'humanité (gentillesse, compassion, bonté). 4- de la justice (le talent de créer un climat d'équilibre, d'honnêteté et de créer des leaders). 5- de la tempérance (contrôle de soi, prudence, humilité). 6- de la transcendance (appréciation de la beauté, expression de reconnaissance, capacité à espérer et à être heureux).

Nous avons tous la capacité de développer l'une ou l'autre de ces « qualités », mais certaines sans doute résonnent mieux en vous que les autres. Celles-là sont « les qualités de votre signature. » Identifiez-les et vous aurez une idée de votre « appel ».

Parfois nous nous imaginons que Dieu ne peut ni ne veut nous utiliser à cause de nos faiblesses. Mais en fait c'est le contraire qui est vrai. Personne ne peut aider les personnes qui souffrent d'avoir perdu un proche mieux que ceux qui ont souffert la même peine. Chuck Colson était l'avocat principal de la Maison Blanche, jusqu'au scandale du Watergate. Mais son expérience de la prison, suite à une condamnation pour escroquerie, lui permit de lancer une mission de soutien aux prisonniers. Aujourd'hui, si vous laissez Dieu agir, Il saura se servir de vous.

Bob Gass

Lundi, le 28 septembre 2009 – Que vous a-t-il appelé à faire (3)


« Vous êtes le sel de la terre... » Matthieu 5.13

Souvenez-vous :
1- Que votre appel est souvent lié à ce qui vous trouble profondément. Pour Moïse, c'était l'oppression dans laquelle se trouvait son peuple. Dieu se servit de cela et appela Moïse à libérer son peuple. Pour William Wilberforce, c'était l'esclavage. Il consacra toute sa vie à obtenir l'abolition de l'esclavage en Grande-Bretagne, qui fut finalement votée peu de temps avant sa mort. Pour le docteur Martin Luther King, c'était l'injustice d'une société qui maintenait en esclavage et sous l'oppression les afro-américains. Aussi se mit-il à rêver, à prêcher, à organiser des marches pacifiques et des boycotts, jusqu'au jour où le mouvement des Droits Civiques fut lancé et galvanisé par sa passion. Si vous voulez vraiment découvrir quel est votre appel, commencez par prier à propos des choses qui vous tourmentent profondément. D'habitude nous essayons d'éviter ce qui ne nous convient pas trop, mais si vous pensez que votre appel concerne l'aide aux pauvres, acceptez de passer du temps en leur compagnie. Ne résistez pas au sentiment de compassion s'il vient submerger votre c½ur. Conservez la conviction que les choses doivent changer et priez sans cesse : « Seigneur, aide-moi à devenir un instrument de changement. »

2- Que votre appel signifie que Dieu croit en vous. Quand Jésus a appelé Ses disciples à Le suivre, ils étaient loin d'être des conquérants dans la vie. D'habitude, lorsque des gens voulaient devenir disciples d'un rabbi, ils s'y prenaient plus tôt et de plus, les rabbis ne recrutaient pas, ils consultaient les CV des disciples potentiels. Mais Jésus était différent. Il choisit un docteur, un inspecteur des impôts et des pêcheurs et leur dit : « Je crois en vous. Ce que Je sais, Je vous le transmettrai. Celui qui croit en Moi fera, lui aussi, les ½uvres que Moi Je fais. » Pas étonnant qu'ils abandonnèrent leurs filets! Jésus leur donna la force d'aller vivre dans le monde comme Lui avait vécu. Aujourd'hui, voilà à quoi Il vous appelle aussi !

Bob Gass

Mardi, le 29 septembre 2009 – Vous devez savoir ce qui est aussi écrit !


« Jésus lui dit : Il est aussi écrit... » Matthieu 4.7

Après les bénédictions vient la bataille ! Et pour Jésus ce fut la même chose. Après Son baptême, « Tout de suite après, l'Esprit le poussa dans le désert » (Marc 1.12), mais, après quarante jours sans manger, Il eut faim. C'est alors que Satan apparut et Lui dit : « Si Tu es Fils de Dieu, ordonne que ces pierres deviennent des pains » (Matthieu 4.3). Vous pouvez être sûr que l'ennemi fera son apparition dès que vous serez vulnérable. Et quand il est devant vous, mieux vaut que vous sachiez ce que dit vraiment la parole de Dieu - ne vous contentez pas de quelques bribes glanées ici ou là ! - « Toute Écriture est inspirée de Dieu et utile pour enseigner... pour éduquer dans la justice » (2 Timothée 3.16).

Nous choisissons facilement les portions des écritures qui correspondent à notre mode de vie et qui encouragent notre théologie, mais quand l'ennemi se met à manipuler la Parole de Dieu afin de l'utiliser contre vous, vous devez pouvoir dire : « Il est aussi écrit... » Et vous devez aussi savoir ce que Dieu a à dire ! La Bible affirme que Satan « prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très-Haut, il espèrera changer les temps et les lois » (Daniel 7.25). Satan sait aussi que la Parole de Dieu est « plus acérée qu'aucune épée à deux tranchants » (Hébreux 4.12), mais néanmoins il fera tout pour vous engager dans un combat d'escrime !

Mais Jésus répondit : « Il est aussi écrit : Ne mets pas à l'épreuve le Seigneur ton Dieu. » Il savait exactement ce que Son Père avait dit et refusait de laisser Satan dicter Ses réponses, et décider de ce qu'll pouvait ou ne pouvait pas manger. Quel menu avez-vous choisi, vous-même ? Ressemblez-vous au fils prodigue qui se contentait de manger ce que l'on donnait aux cochons alors que son père avait préparé un festin pour lui ? Dites donc à Satan : « Arrière de moi... » (Matthieu 16.23), et n'écoutez pas les demi-vérités et les mensonges qu'il se plaît à vous balancer à tout bout de champ ! Plongez-vous dans la Parole de Dieu et laissez-la pénétrer jusqu'au plus profond de vous !

Bob Gass

Mercredi, le 30 septembre 2009 – Il a fait le choix de vous sauver !


« Il a sauvé les autres et Il ne peut se sauver lui-même. » Matthieu 27.42

Quand le pasteur introduisit le prédicateur du jour, c'est un vieil homme qui s'avança jusqu'à la chaire. Voici l'histoire qu'il raconta : « Un père de famille, son fils et un ami de son fils, étaient partis faire une promenade en mer sur la côte du Pacifique quand une tempête imprévisible fit chavirer leur voilier, les jetant tous trois dans l'océan. A la dernière seconde le père parvint à attraper une corde de sauvetage mais un terrible choix se présenta alors à lui : à quel garçon devait-il jeter l'autre bout de la corde et quel autre devait-il sacrifier ? Il savait que son fils avait accepté Christ tandis que son ami ne l'avait pas fait. Bouleversé, il cria « je t'aime tant mon fils » avant de lancer la corde à son ami. Le temps de ramener le garçon jusqu'à la coque retournée du voilier, son propre fils avait disparu sous les vagues. Son corps ne fut jamais repêché. Le père savait que son fils venait d'entrer dans l'éternité avec Jésus, il n'avait pas pu accepter l'idée de laisser son ami s'enfoncer dans l'éternité sans avoir eu l'occasion de connaître Jésus. »

A la fin du culte un adolescent s'approcha du prédicateur pour lui dire : « Belle histoire, mais peu plausible : quelle sorte de père sacrifierait son fils dans l'espoir que l'ami de son fils devienne chrétien ? » Le vieux prédicateur répondit : « Vous avez raison, ce n'est pas très plausible. Mais je vous affirme que cette histoire m'a donné une bonne idée de ce que Dieu a dû ressentir lorsqu'Il a décidé de sacrifier Son Fils pour chacun d'entre nous. Voyez-vous, dans l'histoire que j'ai racontée, le père qui a sacrifié son fils, c'était moi... et votre pasteur était l'ami de mon fils ! »

Les Pharisiens qui assistaient à la mort de Jésus-Christ, s'écrièrent : « Il a sauvé les autres et Il ne peut se sauver Lui-même ! » Et ils avaient raison ! Il ne pouvait faire les deux, alors Il a choisi de vous sauver, vous !

Accepterez-vous l'offre de salut qu'il veut vous faire aujourd'hui ?

Bob Gass

Jeudi, le 01 octobre 2009 – Huit principes à adopter


« Que le discernement et la réflexion te guident, ils te feront vivre une vie véritable et belle » Proverbes 3.21-22

Les hommes et les femmes qui établissent des buts à atteindre réussissent mieux, en général, que d'autres aussi intelligents et doués mais qui négligent d'en faire autant. Dans cette perspective, faites vôtres les principes suivants pour vivre une vie riche et épanouie.

1- Choisissez ce que vous voulez obtenir, mais n'oubliez pas de consulter Dieu en priorité.
« L'homme élabore de nombreux plans, mais seule la décision du Seigneur se réalise » (Proverbes 19.21).
2- Consignez vos buts par écrit pour leur garantir une certaine permanence et pour vous procurer davantage d'enthousiasme. « Que le discernement et la réflexion te guident... » Sans buts clairement définis, vous n'irez pas bien loin.
3- Décidez d'une date butoir. Sans point de départ ni date prévue d'achèvement, il est facile de se laisser aller et ne rien accomplir.
4- Etablissez une liste de ce que vous devez faire. Gardez-la toujours à portée de main. Vous aurez ainsi une direction à suivre.
5- Transformez cette liste en plan bien ordonné. Décidez de vos priorités, choisissez les buts les plus importants et mettez de côté ceux qui peuvent attendre. Un plan bien conçu est plus facile à suivre que des idées flottant ici et là dans votre cerveau.
6- Agissez sur le champ. « Prenez bien garde à votre manière de vivre. Ne vous conduisez pas comme des ignorants mais comme des sages. Faites un bon usage de toute occasion qui se présente à vous... » (Ephésiens 5.15-16). Agissez ! Mieux vaut un plan médiocre, mis à exécution, plutôt qu'un plan brillant, mais abandonné.
7- Progressez chaque jour dans la direction de votre but. Projetez des étapes régulières dans votre progression. Comme par exemple de lire systématiquement votre Bible chaque jour, ou de vous astreindre à contacter un certain nombre de clients chaque jour ou de pratiquer une activité physique régulière.
8- Choisissez un but qui mérite votre engagement total et qui puisse justifier la consécration de toute votre vie. Et gardez ce but toujours à l'esprit,

« Enseigne-nous à bien compter nos jours, afin que nous conduisions notre coeur avec sagesse » (Psaume 90.12).

Bob Gass

Vendredi, le 02 octobre 2009 – Allégez votre vie !


« Rejetons tout fardeau... et courons avec endurance... » Hébreux 12.1

La Bible dit : « Ne savez-vous pas que ceux qui courent dans le stade courent tous, mais qu'un seul reçoit le prix ? Courez de manière à l'obtenir » (1 Corinthiens 9.24).

La vie est une course que l'on ne court qu'une seule fois. Courez donc pour gagner. Afin de ne pas trébucher et tomber ou perdre votre place, ne regardez pas en arrière. Vous ne pouvez pas changer votre passé, mais, grâce à Dieu, vous pouvez en tirer des leçons salutaires avant de l'enterrer. Ne vous faites pas de souci à propos du prochain tour de piste. Concentrez vous sur celui que vous êtes en train de parcourir en ce moment. Sinon vous risquez de faire un faux pas, de tomber et de ne pas vouloir vous relever. Peu à peu vous parviendrez au point où vous découvrirez que vous avez parcouru davantage de tours de piste qu'il ne vous en reste à faire ! Assurez-vous de n'en gâcher aucun !

« Rejetons tout fardeau, et le péché qui sait si bien nous entourer, et courons avec endurance l'épreuve qui nous est proposée. »

Beaucoup d'entre nous s'obstinent à porter des fardeaux que d'autres, plus expérimentés et plus sages, considèrent comme totalement inutiles. Nous gaspillons si souvent notre énergie à étouffer des feux qui s'éteindraient tout seuls de toute façon, sans notre aide ! N'oubliez pas que le temps est votre plus grande richesse. Conservez-le du mieux possible. Débarrassez-vous de vos bagages alourdis de vieilles relations obsolètes, de craintes sans fondement, de fausse reconnaissance envers ceux qui n'ont fait que vous manipuler dans le passé. La vie est assez pleine d'épreuves sans que vous en ajoutiez d'autres, ceux que vous pourriez laisser sur le bord du chemin. Lorsque Bartimée, l'aveugle bien connu, entendit que Jésus était proche, il jeta à terre son manteau pour ne pas trébucher en courant et se précipita vers Lui. Et sa foi fut récompensée ! « Aussitôt il retrouva la vue et se mit à Le suivre sur le chemin. »

Bob Gass

Samedi, le 03 octobre 2009 – Aller au delà...


« Si quelqu'un te réquisitionne pour faire un mille, fais-en deux avec lui. » Matthieu 5.41

Du temps de l'occupation romaine les soldats pouvaient obliger n'importe quel citoyen juif de passage à porter leur barda sur une distance d'un« mille ». Mais Jésus affirme :« Si quelqu'un te réquisitionne pour faire un mille, fais-en deux... »

Max Lucado a écrit :« Dans notre église,nous avons un serviteur spécialiste du deuxième mille ! Il est architecte de profession,mais sa passion est de servir les autres. Avant chaque culte il s'empresse de vérifier la propreté des toilettes, essuyant un lavabo ici et là, nettoyant un miroir, jetant dans la corbeille un papier qui traîne... Il ne dit rien à personne, ne demande rien en retour...

Comment reconnaître de tels serviteurs ? Ils ne portent pas de badge ni d'uniforme, ils arborent seulement un grand sourire. Ils ont découvert la vraie joie qui se cache derrière la satisfaction d'aider les autres,de faire un effort supplémentaire pour les servir. Pour eux la vraie récompense se trouve au début du deuxième « mille ». Car ils ont trouvé la vraie liberté, ils sont passés de la position d'esclave à celle d'engagé volontaire ! »

Lorsque Marie versa du parfum sur les pieds de Jésus, ceux qui ne savaient pas ce que signifiait faire un mille supplémentaire, comme Judas par exemple, la critiquèrent, considérant son action comme irresponsable. Mais pas Jésus ! Il apprécia son geste, l'acceptant comme un acte d'amour, une amie très chère lui offrant son plus beau cadeau.

Dans votre voisinage se trouve peut-être un vieil homme qui vient de perdre sa femme. Une heure de votre temps lui ferait tellement de bien ! Des enfants près de chez vous n'ont pas de père pour les emmener au cinéma ou à un match de football. Peut-être pourriez-vous les accompagner ? Ils ne pourront jamais vous rendre la pareille, mais ils sauront vous offrir leur plus beau sourire pour récompenser votre bonté à leur égard. Et que pensez-vous de cette idée :au rez-de-chaussée de votre maison se trouve une personne dont vous portez le nom. Surprenez-la de votre gentillesse,une fois vos devoirs d'école achevés sans plaintes ni caprices. Apportez-lui une tasse de café alors qu'elle ne s'y attend pas,ou offrez-lui un mot gentil quand ce n'est pas son anniversaire... Comme un vase d'albâtre versé sans raison ! Jésus choisit de vivre dans le quartier des serviteurs.

Et nous, en sommes-nous incapables ? John Gardner a dit : « Quand les gens apprennent à servir ils se rendent compte que la vie a un sens ! »

Ecoutez Jésus, Il vous demande d'aller au delà du premier « mille » !

Bob Gass

Dimanche, le 04 octobre 2009 – Réussite familiale


« C'est par la sagesse qu'une maison se construit... » Proverbes 24.3

Bâtir de solides relations au sein de votre propre famille ressemble à la construction d'un mur : il faut le monter, brique après brique, et le mortier qui les lie toutes ensemble est un amour inconditionnel, dénué de tout sentiment de jugement et d'égoïsme. Le seul moyen de tester la solidité de votre travail est de voir comment il se comportera lorsque les tempêtes de la vie viendront se jeter contre lui. La réussite familiale passe avant tout par une bonne communication entre tous. Pour cela vous devez :

1- Faire preuve de créativité. Passez du temps avec votre famille. Téléphonez de temps en temps à votre époux/se au cours de la journée, lorsque vous le pouvez, et essayez de vous rencontrer autour du déjeuner par exemple. Emmenez vos enfant à l'école ou au stade afin de parler avec eux. Il est possible de communiquer dans tant d'endroits différents, mais vous devez le vouloir plus que tout.
2- Affronter les obstacles à la communication familiale, comme internet, la télévision, le téléphone... Un couple passe d'ordinaire moins d'une heure par jour à vraiment communiquer ensemble, mais cinq fois plus à regarder la télévision. Vous ne pouvez éviter ce test !
3- Encourager chaque membre de votre famille à exprimer ses sentiments, sans juger ni critiquer. Les différences d'opinions sont salutaires et peuvent créer un climat de confiance.
4- Analyser votre attitude envers les autres membres de votre famille. Peut-être, sans en être conscient, avez-vous adopté un comportement qui les empêche de s'épancher devant vous. Avez-vous pris l'habitude de rétorquer à chacune de leurs affirmations ? De les écraser de votre autorité, ce qui est toujours intimidant pour des enfants, de les isoler des autres, ce qui risque de frustrer leurs tentatives de communication ? Mieux vaut obtenir leur coopération, ce qui constitue une attitude plus encourageante de votre part ! Si votre style de communication décourage leur coopération, il est temps de modifier votre attitude envers eux.

Sinon vous ne connaîtrez jamais la réussite familiale !

Bob Gass

Lundi, le 05 octobre 2009 – Trouvez une raison de louer le seigneur !


« Que tout ce qui est... digne de louange, soit l'objet de vos pensées. » Philippiens 4.8

Le général Robbie Risner a décrit les sept longues années qu'il passa comme prisonnier de guerre, comme « l'essence même du désespoir ». Il affirma : « S'il m'avait été possible de créer une image à partir du mot désespoir, elle aurait eu la couleur du plomb, d'une glaise brunâtre et d'une pénombre sale. » Le plus extraordinaire dans son témoignage, est l'attitude qu'il adopta pour survivre. Il réussit un jour à forcer le couvercle d'un drain qui traversait sa cellule et à passer sa tête dans l'ouverture. Il remarqua alors un simple brin d'herbe qui poussait dans la fange, unique trait de couleur dans son univers gris. Ce fut, dit-il, comme une transfusion sanguine pour son âme ! Il décida de commencer chacune de ses journées en prière, couché à même le sol de sa cellule, la tête dans l'ouverture du drain, les yeux rivés sur cet unique brin d'herbe.

Jésus a dit : « L'½il est la lampe du corps. Si ton ½il est bon, tout ton corps sera illuminé, mais si ton ½il est mauvais, tout ton corps sera dans les ténèbres » (Matthieu 6.22-23). Sur quoi posez-vous vos regards d'habitude ? Chaque jour vous avez le choix de porter vos regards vers telle ou telle chose. Et vous trouverez toujours beaucoup de raisons de vous plaindre : l'augmentation du prix du carburant, la multiplication des guerres, la crise économique, le réchauffement de l'atmosphère, la montée du crime...

Dieu procura à Adam et Eve tout ce dont ils avaient besoin pour vivre heureux dans le jardin d'Eden, mais ils choisirent la seule chose qu'ils ne pouvaient avoir ! Il ouvrit un passage pour les Israélites à travers la Mer Rouge, les guida à travers le désert et leur fournit de la nourriture afin qu'ils ne manquent de rien. Au début, « Ils chantèrent Sa louange...mais ils oublièrent vite ce qu'Il avait fait... » (Psaume 106.12-13). Ne faites pas comme eux. La Bible dit : « Que tout ce qui est... digne de louange soit l'objet de vos pensées. »

Vous trouverez certainement beaucoup de raisons de louer le Seigneur aujourd'hui !

Bob Gass

Mardi, le 06 octobre 2009 – Jouir d'une paix intérieure


« J'ai imposé le calme et le silence à mon âme. » Psaume 131.2

L'un des plus graves obstacles à la paix est le bruit. Nous vivons dans un monde plein de bruits et de cris. Si nous voulons lui échapper et connaître la paix intérieure nous devons créer une atmosphère de paix autour de nous ! Cherchez un lieu de calme où personne ne vous dérangera et apprenez à faire le silence dans votre âme. Mais vous découvrirez que ce n'est pas facile si vous êtes habitué à vivre une vie trépidante où chaque seconde compte, si vous avez toujours trop à faire et si vous êtes obsédé par les résultats. Et avant que vous ne commenciez à penser que ces lignes ne sont pas très « spirituelles », considérez attentivement les versets suivants :
1- « Le fruit de la justice sera la paix : la justice produira le calme et la sécurité pour toujours » (Esaïe 32.17).
2- « Mieux vaut une poignée de repos que deux poignées de travail et de poursuite du vent » (Ecclésiaste 4.6).
3- « Ayez pour ambition de vivre en paix, de vous occuper de vos propres affaires » (1 Thessaloniciens 4.11).
4- « Arrêtez, et reconnaissez que Je suis Dieu... » (Psaume 46.10).

Vous ne pouvez vivre sans cesse au milieu du bruit et vous attendre à connaître la paix intérieure !

Jésus fit en sorte de toujours se réserver des heures de tranquillité et de solitude. Et pourtant personne ne vivait pour accomplir des desseins plus importants que les Siens. Personne ne devait faire face à autant de demandes pressantes de la part des foules qui l'entouraient. La Bible affirme cependant : « Mais Jésus se retirait dans des endroits isolés où Il priait » (Luc 5.16). Si Jésus Lui-même avait besoin de ce mode de vie, croyez-vous ne pas en avoir besoin vous-aussi ?

Passer du temps dans le calme en compagnie de Dieu est essentiel si vous voulez que votre corps, votre âme et votre esprit reprennent des forces. En vérité vous avez besoin de vous ressourcer régulièrement, insistez donc sur cette nécessité et ne laissez personne vous convaincre du contraire ou tenter de vous en éloigner.

Arrangez votre emploi du temps autour de ces moments passés auprès de Dieu, et ne faites surtout pas le contraire !

Bob Gass

Mercredi, le 07 octobre 2009 – Soyez honnête avec Dieu !


« Tant que je me suis tu à propos de ma faute...Ta main s'est appesantie sur moi.. » Psaume 32.3-4

Une psycho-thérapeute, qui avait obtenu son diplôme trente-quatre ans auparavant, téléphona à l'université de l'Oregon pour déclarer qu'elle avait triché à cette époque pour réussir à son examen. Au lieu d'annuler son diplôme le recteur de l'université lui demanda d'écrire un essai sur le thème de l'intégrité !

Une femme qui venait d'achever un tour du monde à pied confessa qu'elle avait été « aidée » dans son périple : elle était montée parfois dans un véhicule qui l'accompagnait : "Je ne veux pas prétendre être la première femme à avoir fait le tour du monde à pied, puisque j'ai triché ici ou là." déclara-t-elle. Combien d'entre nous auraient le courage d'admettre ainsi leur malhonnêteté ?

Le Psalmiste a dit : « Tant que je me suis tu à propos de ma faute... Ta main s'est appesantie sur moi. » Si vous acceptez de confesser vos fautes,
1- Vous ferez l'expérience du pardon divin. Il connaît bien sûr tous vos péchés, mais Il ne vous pardonnera pas tant que vous essayerez de vous inventer des excuses ou de blâmer quelqu'un d'autre. Jean a écrit : « Si nous confessons nos péchés... Il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés... » (1 Jean 1.9). A vous de faire le premier pas !
2- Vous retrouverez votre énergie physique et émotionnelle. Rien ne sape davantage vos forces que le refus d'admettre vos fautes et rien n'est plus excitant qu'une ardoise débarrassée de toute dette. David a dit : « Ma force vacille à cause de ma faute... » (Psaume 31.10). Repensant à sa liaison avec Bath-Shéba, il écrivit : « Tant que je me suis tu,mes os se consumaient, je gémissais toute la journée... Je T'ai fait connaître mon péché... et Toi, Tu as enlevé le poids de mon péché » (Psaume 32.4-5).
3- Vous pourrez reprendre votre chemin. Confesser vos péchés vous permet de repartir à zéro, sans traîner de fardeau inutile. Il est important de tirer une ligne entre le passé et le présent, afin de ne pas être tenté de refaire les mêmes erreurs.
4- Vous pouvez vous développer à nouveau. Thomas Edison a dit que ses échecs lui avaient appris des milliers de fois comment ne pas inventer d'ampoule électrique !

Afin de bénéficier de vos erreurs au lieu d'en souffrir sans cesse, commencez par les confesser à Dieu et acceptez Son pardon !

Bob Gass

Jeudi, le 08 octobre 2009 – Voulez-vous être le premier ?


« Si quelqu'un veut être le premier... » Marc 9.35

Le jour où Dan Mazur prit la tête de son équipe de grimpeurs pour atteindre le sommet de l'Everest, les conditions climatiques étaient idéales. Deux heures avant d'atteindre le but de leur ascension, ils découvrirent un alpiniste appelé Lincoln Hall qui avait fait, la veille, une chute dans la descente et perdu une partie de son équipement, et qui gisait, à demi-mort, en proie à des hallucinations, déshydraté et souffrant de gerçures. Ils découvrirent plus tard que le chef de l'expédition avait déjà téléphoné à la femme de Hall pour lui dire que son mari s'était perdu dans la descente et était présumé mort ! Sans aucune hésitation Dan Mazur et son équipe lui donnèrent de l'oxygène, de l'eau et des vivres et restèrent avec lui jusqu'à ce que les secours qu'ils venaient d'alerter puissent arriver jusqu'à lui. Il était trop tard alors pour poursuivre l'ascension.

Ils avaient sacrifié des mois de préparation, des semaines d'ascension à travers l'Himalya, et le rêve de toute leur vie pour sauver la vie d'un autre alpiniste.Vous ne serez pas surpris d'apprendre que Dan Mazur travaille aujourd'hui au Népal, construisant des hôpitaux et des écoles dans des régions quasi inaccessibles, sans eau courante, électricité ni routes.

Seriez-vos prêt à sacrifier votre rêve pour sauver quelqu'un ? Des gens ordinaires le font quotidiennement : des pères ou des mères de famille qui travaillent dur pour élever leurs enfants, des parents qui refusent des promotions pour ne pas avoir à déraciner leur famille, des personnes soignant nuit et jour leurs proches souffrant de maladies incurables..

Jésus a dit :« Si quelqu'un veut être le premier, qu'il aille se mettre à la dernière place... » Au royaume de Dieu les priorités sont différentes ! Ceux qui occupent les places les plus humbles sont les mieux considérés (Luc 9.48).La place d'honneur dans un festin est celle que tout le monde ignore (Luc 14.8- 9). Nous devons avoir davantage d'estime pour les autres que pour nous-mêmes (Romains 12.10 & Philippiens 2.3). Nous devons donner notre manteau à qui en a besoin et accepter de parcourir des kilomètres supplémentaires pour faire plaisir aux autres (Matthieu 5.40-41). Jean le Baptiste a dit de Jésus :« Il faut que Lui croisse et que,moi, je diminue » (Jean 3.30).

Voulez-vous toujours être le premier ?

Bob Gass

Vendredi, le 09 octobre 2009 – Apprendre à tenir ferme...


« Après avoir combattu jusqu'à la fin, vous tiendrez encore fermement... » Ephésiens 6.13

Ne vous imaginez pas, lorsque vous traversez des périodes de calme dénuées de tout conflit et de toute difficulté majeure, que vous êtes désormais en sécurité ! « Veillez ! Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui dévorer » (1 Pierre 5.8).
Que devons-nous faire lorsque le Diable s'approche de nous ? « Après avoir combattu jusqu'à la fin, vous tiendrez ferme... » car « Dieu est capable de [vous] affermir » (Romains 14.4). Ce n'est pas grâce à votre force que vous tiendrez, mais grâce à celle de Jésus-Christ. Tout seul vous êtes très vulnérable,mais si vous vous appuyez sur la puissance du Seigneur, vous pourrez tenir ferme et ne pas vous rendre.

Aujourd'hui, si Satan s'approche de vous avec sa batterie de tentations, dites-lui que vous allez tenir ferme grâce à la puissance de Jésus. Déclarez-lui que vous allez tenir ferme jusqu'à ce qu'il cesse de vous tourmenter, que l'oppression de la solitude s'évanouisse, que votre mariage retrouve son élan, que les soucis de vos dettes disparaissent, que la lutte faiblisse... jusqu'à ce que le tentateur admette sa défaite et vous laisse tranquille. Si vous tenez ferme, Dieu fera le reste et vous soutiendra de Sa force.

Paul a dit : « Je peux faire face à toutes les difficultés grâce au Christ qui m'en donne la force » (Philippiens 4.13). Et Il vous en donnera la force tant que ce sera nécessaire et pas seulement une fois. Il continuera de le faire chaque fois que vous faites face à un défi insurmontable, chaque fois que le passé revient vous hanter, chaque fois que Satan vous rappelle votre passé de pécheur, chaque fois que vous vous trouvez dans une situation difficile. Bien sûr, puiser dans la source de puissance que Dieu met à votre disposition ne sera pas facile et exigera beaucoup d'efforts de votre part : vous devrez Le louer, Lui exprimer votre reconnaissance, vous approcher sans cesse de Lui par la prière, vous plonger dans Sa parole comme vous l'avez rarement fait...mais vous découvrirez que vous pouvez tenir ferme si seulement vous déclarez vouloir le faire !

Bob Gass

Samedi, le 10 octobre 2009 – Quel héritage laisserez-vous ?


« Ceux qui auront enseigné la justice à une multitude resplendiront comme des étoiles, à toujours. » Daniel 12.3

Un personnage peu recommandable venait de mourir et un pasteur du coin était en train de faire un éloge funèbre du défunt, qu'il n'avait jamais connu. Désireux de plaire à la famille de ce dernier, le pasteur força la dose, décrivant le défunt comme un fils dévoué à ses parents, comme un père aimant et un époux modèle. A la fin du service la veuve poussa du coude son fils aîné en lui disant : Va soulever le couvercle du cercueil pour être sûr que c'est bien de ton père qu'il parlait ! »
Plus sérieusement, si votre vie devait être jugée non pas sur sa longévité mais sur l'héritage que vous laissez derrière vous, comment les autres se souviendraient-ils de vous ?

James Kennedy a écrit : « Considérez la grande pyramide de Giza, l'une des structures humaines les plus impressionnantes du monde. Quelqu'un la fit construire comme monument funéraire dédiée à sa propre personne. Le pharaon Khufu, pour être exact ; avez-vous souvent entendu parler de lui ? L'empereur Shah Jehan fit élever le TajMahal en mémoire de sa femme, mais croyez-vous que beaucoup de personnes se souviennent de Mumtaz, sa femme ? Ces gens sont oubliés depuis longtemps, mais vous, vous pouvez laisser une marque indélébile sur notre monde.

Dieu a placé en nous le désir de l'éternité et de la permanence, car nous vivrons éternellement. Mais comment faire pour que notre nom resplendisse pour l'éternité ? En amenant des âmes à Christ ! Connaissez-vous quelqu'un, près de vous, qui a besoin d'être sauvé ? Cette personne vous sera éternellement reconnaissante, si vous prenez le temps, et si vous faites l'effort, de la présenter à Jésus. La Bible nous dit que si vous « enseignez la justice à une multitude » de gens, vous « resplendirez comme des étoiles à toujours... »

Bob Gass

Dimanche, le 11 octobre 2009 – Quand tout semble aller mal


« Heureux l'homme qui... met son espoir dans le Seigneur » Psaume 146.5

F.B. Meyer a dit :« Le développement de notre foi ne peut se poursuivre si nous ne comprenons pas que la providence divine doit parfois nous faire traverser des périodes de manque et de perte, et que Dieu veut nous enseigner même à travers les échecs et les expériences négatives de notre vie. Le ruisseau près duquel Elie était assis et qui s'assèche soudain, est une image de notre vie ! « Au bout d'un certain temps le torrent fut à sec... » (1 Rois 17.7).

Telle est l'histoire de notre passé et une prophétie concernant notre avenir, aussi devons-nous apprendre à faire la différence entre faire confiance en nous appuyant sur la bénédiction reçue ou faire confiance à Celui qui nous a accordé la bénédiction.Celle-ci ne durera qu'un temps, tandis que Celui qui en est la source durera éternellement. Si le Seigneur avait conduit Elie directement dans la maison de la veuve de Zarepta, il n'aurait pas vécu l'expérience qui allait faire de lui un autre homme, capable de vivre vraiment par la foi. Lorsque les ressources terrestres en viennent à tarir, il est peut-être temps de nous tourner vers Celui qui est notre espoir et notre soutien. » Comme quelqu'un l'a écrit : « L'argent manque parfois pour terminer une tâche que nous avons entrepris. On nous dit alors de limiter notre budget,mais nous sourions et nous disons :« ce n'est pas nécessaire ! »

C'est le moment de faire confiance à Dieu. Votre potentiel ne dépend pas des circonstances présentes ou passées. Si nous manquons d'argent pour couvrir les dépenses légitimes, faisons de notremieux, puis laissons- Le gérer nos difficultés. Faisons-Lui confiance, certains qu'Il pourvoira à nos besoins, puis regardons au-delà de notre porte-monnaie ! Regardons à la source inépuisable. Demandons-Lui de nous fournir ce dont nous avons besoin, à partir de Ses réserves inépuisables. Jouons notre rôle avec fidélité et intégrité. Agissons avec sagesse acceptant notre responsabilité financière et faisant preuve d'intégrité à la fois dans nos actions et dans nos pensées. Demandons-Lui de nous accorder de la sagesse et suivons Ses directives.

Puis laissons tomber nos craintes et notre besoin de tout contrôler.« De tout ton c½ur, mets ta confiance dans le Seigneur ; ne t'appuie pas sur ta propre intelligence » (Proverbes 3.5).

Nous savons tous que l'argent est nécessaire et Dieu aussi le sait !

Bob Gass

Lundi, le 12 octobre 2009 – Comment contrôler votre colère (1)


« Que chacun dise la vérité à son prochain... » Ephésiens 4.25

Deux fortes personnalités au sein d'une communauté ou d'une relation ressemblent à deux puissantes rivières qui se rejoignent en une seule : un fort courant forcément se développe au confluent ! La colère peut exploser comme un éclair d'orage ou rouler dans les lointains comme un grondement de tonnerre. Parfois nous nous opposons violemment et nous souffrons l'un et l'autre, parfois nous nous éloignons doucement et silencieusement l'un de l'autre. Mais la colère bien gérée n'est pas nécessairement destructive. Voici quelques règles que Dieu nous a données afin de contrôler notre colère.

Règle 1 : Soyez honnête à tout prix. «Rejetez le mensonge et que chacun de vous parle avec vérité à son prochain...Ne péchez pas en laissant la colère contrôler votre esprit... » (Ephésiens 4.25-26 TP). Si vous sentez la colère monter en vous,ne prétendez pas l'ignorer,ne feignez pas le calme et l'indifférence. La colère peut être constructive: nous avons le droit de nous mettre en colère devant l'injustice et l'exploitation d'autres êtres humains. Affirmer « Je suis en colère contre vous et,parce que notre relation est importante à mes yeux, je souhaite vous en parler » est une attitude honnête qui invite la participation de l'autre à résoudre le conflit. Ignorer le différent, le minimiser ou prétendre que cela ne vous touche pas est foncièrement malhonnête.

L'exagérer est une autre forme de mensonge :vous ne devriez jamais dire :« Vous n'écoutez jamais ce que je dis. »ou« Vous ignorez complètement ce que je ressens. »ou encore :« Je suis toujours le seul à essayer de tout arranger ici ! » Ce sont des généralisations sans fondement qui ne font qu'aggraver la situation, empêchant toute résolution du problème initial.

Une autre forme de mensonge consiste à blâmer l'autre :« Si tu arrivais à l'heure, je n'aurais pas à te critiquer sans cesse. » Ou le contraire : « Si tu arrêtais de me critiquer, peut-être pourrais-je faire un effort pour arriver à l'heure ! » Le blâme est un moyen d'éviter votre responsabilité, il ne sert qu'à envenimer les choses et ne produit jamais de résultat positif.La solution divine : « Que chacun dise la vérité à son prochain... », à condition que cela soit fait avec amour !

Bob Gas

L’Évangile: Jésus (paix sur lui) a dit: «Si vous m’aimez, vous garderez mes commandements. Et je prierai le Père et il vous donnera un autre consolateur, pour être avec vous à jamais.» (Jean 14:15, 16). «Pourtant, je vous dis la vérité: il vaut mieux pour vous que je parte; car si je ne pars pas, le consolateur ne viendra pas à vous. Mais si je pars, je vous l’enverrai. Et quand il viendra, il confondra le monde en matière de péché, en matière de justice et en matière de jugement.» (Jean 16 :7,8). «J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant. Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous conduira vers la vérité tout entière; car il ne parlera pas de lui-même; mais tout ce qu’il entendra, il le dira, et il vous annoncera les choses à venir.» (Jean 16:12, 13).

voici il est venu et a laisser ce que ces ecrits decrivent le livre de vie de l'agneau consollateur.emmanuel


http://www.lelivredevie.com/

Bonjour,
Jenesuispasdecemonde !

Mardi, le 13 octobre 2009 – Comment contrôler votre colère (2)


« Que chacun dise la vérité à son prochain... » Ephésiens 4.25

Règle 2 : Evitez à tout prix de blesser l'autre. Paul a écrit : « Ne péchez pas en laissant la colère vous contrôler... » Que voulait-il dire ? Ne permettez pas à votre colère de s'envenimer au point que vous ne pouvez plus éviter de blesser votre interlocuteur. Ne vous servez pas de vos paroles comme des armes tranchantes, ou comme un moyen d'écraser l'autre. Exprimer vos émotions de manière saine et apaisante est tout à fait normal,mais gardez toujours le contrôle de vos paroles. Ne les laissez pas dépasser vos pensées. Votre but doit toujours être de résoudre le problème entre vous et d'affermir les relations qui vous lient, pas de marquer des points et de causer de la souffrance. Cela n'est pas facile certes et nous avons tous besoin d'une bonne dose de grâce et de compassion pour le faire. Souvenez-vous que les paroles prononcées sans réfléchir, les sarcasmes, les moqueries et les critiques méprisantes blessent parfois de manière irrémédiable.

« Une parole méchante brise le c½ur (Proverbes 15.4).« L'esprit abattu, qui le relèvera ? » (Proverbes 18.14). « Les paroles peuvent être source... de mort » (Proverbes 18.21). Des mots violents, une fois prononcés, peuvent « s'insinuer jusqu'au fond de soi-même » (Proverbes 26.22).

Vos paroles peuvent aller au plus profond du coeur et s'ancrer dans la mémoire de la personne contre laquelle vous êtes en colère et l'accompagner jusqu'à la tombe. Nous affirmons souvent que les coups et les gifles peuvent blesser mais que les mots s'envolent facilement,mais c'est absolument faux. Un esprit abattu et démoralisé peut conduire un être humain à lam ort, et celui dont les paroles ont fait naître en l'autre un tel sentiment ne pourra peut-être jamais réparer les dommages qu'il a causés. D'un autre côté la colère bien gérée et contrôlée n'exige aucune repentance. Apprenez donc à faire la différence entre la colère que vous ressentez et les paroles que vous risquez de prononcer sans réfléchir. Si vous réfléchissez à la raison qui a provoqué votre colère, peut-être découvrirez-vous d'importantes informations concernant les changements nécessaires pour résoudre votre conflit. Et priez Dieu qu'Il expose ce qui a besoin de changer dans le c½ur de l'autre... autant que dans votre propre c½ur !

Bob Gass

Mercredi, le 14 octobre 2009 – Comment contrôler votre colère ! (3)


« Que chacun dise la vérité à son prochain... » Ephésiens 4.25

Règle 3 : N'emmagasinez pas votre colère ! Si vous le faites, vous serez le seul à en souffrir ! Télécharger vos vieilles rancunes et vous mettre à les ressasser vous rendront toujours plus amer, rancunier et cruel. « L'homme bon tire le bien du bon trésor de son c½ur, et le mauvais tire le mal de son mauvais trésor, car c'est de l'abondance du coeur que la bouche parle » (Luc 6.45).

Lorsque vous êtes en colère, dépêchez-vous de gérer le conflit latent. Ne vous contentez pas de laisser le temps arranger les choses ou dicter vos choix, n'attendez pas non plus que l'autre personne comprenne sa faute et décide de venir vous faire des excuses ! « Si ton frère t'a fait du mal, va le voir... » (Matthieu 18.15).

Faites tout pour résoudre le conflit et restaurer les relations entre vous. Sinon vous ne ferez qu'ajouter un autre squelette à votre collection de vieilles rancunes ! A plus ou moins longue échéance, nous disent les médecins, vous commencerez à souffrir de maux d'estomacs, vous résisterez moins bien aux maladies et vous courrez davantage de risques de souffrir d'infarctus ou d'embolies pulmonaires, de cancers ou de troubles psychiques. En attendant vous gaspillerez votre énergie, diminuerez votre potentiel de créativité, endommagerez votre relation avec Dieu, avec vos amis et vos proches, et avec vos frères et s½urs en Christ. Et vous refuserez à celui qui vous a offensé, l'occasion d'apaiser sa conscience, de se repentir et de restaurer sa relation avec Dieu... et vous.

Si vous faites revivre le passé en ressortant vos vieilles rancunes sous le nez de ceux qui vous ont offensé, au moment qui vous paraît opportun, vous ne faites qu'exercer du chantage sur eux. A moins que vous ne préfériez organiser votre revanche ou transmettre vos rancunes à la prochaine génération ! Demandez plutôt à Dieu de vous enseigner l'humilité et de vous donner du courage pour gérer tout de suite vos problèmes du présent.

Lorsque vous vous coucherez ce soir, assurez-vous d'être en règle avec Dieu et avec tout le monde ! Puis faites de beaux rêves !

Bob Gass

Jeudi, le 15 octobre 2009 – Comment contrôler votre colère ! (4)


« Que chacun dise la vérité à son prochain... » Ephésiens 4.25

Règle 4 : Cherchez toujours des solutions. Entretenir une bonne relation avec quelqu'un, c'est un peu comme naviguer dans une barque avec lui : l'un ne peut pas se saborder sans saborder l'autre. Si vous cherchez à dominer l'autre, vous finirez par tout perdre tous les deux. Par contre, si vous cherchez à sauvegarder et affermir votre relation, vous y gagnerez tous les deux. Lorsque vous ouvrez la bouche, « dites seulement des paroles utiles qui aident les autres selon leurs besoins, et qui font du bien à ceux qui vous entendent » (Ephésiens 4.29). Essayez de comprendre quels sont les besoins de l'autre personne.

Ne faites pas resurgir d'anciennes fautes déjà confessées et n'impliquez pas d'autres personnes dans votre conflit, ne vous moquez pas de l'autre en jouant sur son apparence physique, ses émotions, son niveau d'intelligence...etc. Concentrez-vous sur le problème qui vous sépare, à l'exclusion de tout autre sujet. N'essayez jamais d'intimider l'autre ni de le manipuler. Dieu nous a donné à tous la faculté de nous mettre en colère, car, si elle est bien gérée, elle devient souvent le carburant nécessaire pour apporter des changements dans notre monde et guérir bien des injustices.

Recherchez donc toujours une solution plutôt qu'une victoire hypothétique sur les autres. Ne les cataloguez pas sous des étiquettes factices, ne cherchez pas à établir de diagnostic pour expliquer leur comportement, tout cela ne ferait qu'envenimer la situation. Vous devez vous concentrer, non pas sur ce qu'ils ont fait, mais sur ce que vous pouvez faire ensemble pour trouver une solution. Admettez vos propres fautes et osez demander pardon. Puisque tout conflit implique au moins deux personnes, reconnaître vos propres erreurs aidera l'autre à faire de même. Enfin apprenez à trouver un aspect positif à chaque difficulté discutée entre vous. « Que... tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées » (Philippiens 4.8).

Offrez un compliment pour chaque solution trouvée : « Je suis sûr qu'il vous a fallu beaucoup de courage pour dire cela... » ou « Merci d'avoir eu autant de patience pour m'écouter. » Faites partie de la brigade des gens fournisseurs de solutions et d'autres voudront se joindre à vous !

Bob Gass

Vendredi, le 16 octobre 2009 – Comment contrôler votre colère ! (5)


« Que chacun dise la vérité à son prochain.. » Ephésiens 4.25

Règle 5 : Lavez votre linge sale en privé ! « Que toute... clameur, calomnie... soient ôtées du milieu de vous » (Ephésiens 4.31). Lorsque vous êtes en colère il est tentant de colporter des ragots, mais la calomnie ressemble à un feu de forêt qui s'étend rapidement sous l'influence du vent et qui brûle tout sur son passage, y compris celui qui l'a commencé ! N'étalez jamais votre linge sale aux yeux de tous. Gardez-le dans votre buanderie. N'oubliez pas qu'il y a deux manières de l'étaler : en cherchant tout simplement à embarrasser les autres en dévoilant en public certaines choses qui seront vite colportées à droite et à gauche. Ou, de manière plus subtile, en faisant des plaisanteries sur leur apparence physique, leur famille ou leurs amis, afin de les humilier. Avec pour résultat, un fossé de plus en plus grand entre vous, et tout espoir de réconciliation évanoui. Salomon a écrit : « Celui qui parle à tort et à travers trahit aussi les secrets. Un homme digne de confiance garde tout pour lui » (Proverbes 11.13) et « L'amour couvre toutes les fautes » (Proverbes 10.12). Et Paul d'ajouter : « Pour faire le mal, oui, soyez des bébés, mais pour réfléchir, soyez des adultes » (1 Corinthiens 14.20).

Règle 6 : Faites partie de l'équipe de nettoyage ! Ne dites pas : « C'est lui le responsable, qu'il se débrouille ! » Peut-être qu'il mérite de souffrir un peu, mais nous n'avons pas le droit de nous éloigner sans tenter de panser les blessures encore ouvertes. Vous devez pardonner « comme Dieu vous a pardonné en Christ » (Ephésiens 4.32). Comment Christ nous a t-Il pardonné ? Après avoir entendu la confession de nos péchés et vu l'évidence de notre repentance ? Non ! « Lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de Son fils » (Romains 5.10). Dieu a pris l'initiative de nous pardonner. Pardonnez donc avant qu'on vous demande pardon. Et même si certains veulent rester votre ennemi le reste de leur vie, pardonnez-leur quand même. C'est ainsi que l'on doit nettoyer le champ de bataille ! Alors vous serez vous-même pardonné de toute offense, les blessures dont vous étiez responsables, guéries et cicatrisées et votre ardoise de péchés devant Dieu, effacée !

Bob Gass

Samedi, le 17 octobre 2009 – Lui faire confiance, envers et contre tout !


« Les choses cachées appartiennent au Seigneur, notre Dieu... » Deutéronome 29.28

Les coups durs de la vie nous laissent perdus, blessés et la tête remplie de questions sans réponses. Le cancer emporte une jeune maman ou un jeune papa, le divorce brise une famille heureuse et unie, la crise financière réduit à néant les plans que vous aviez élaborés pour votre retraite, l'un de vos enfants est condamné à une peine de prison, ou meurt dans un accident tragique ou se suicide sur un coup de déprime.

Soudain une foule de questions se bousculent dans votre cerveau, des questions difficiles, auxquelles il vous est impossibles de répondre. Vous vous mettez à examiner les circonstances qui ont provoqué ce coup dur, essayant de trouver le fil conducteur, décortiquant chaque détail du passé récent à la recherche du moindre indice susceptible de vous aider à comprendre ce qui vient de se passer et à supporter un peu mieux la douleur qui vous accable. Vous analysez votre propre comportement ou celui de vos proches, vous demandant sans cesse si les événements se seraient déroulés de manière différente si vous aviez fait d'autres choix ou si les autres s'étaient conduits différemment. Vous allez même jusqu'à chercher à blâmer Dieu pour votre souffrance.

Peut-être vous tournez-vous vers vos frères et s½urs en Christ, vers un pasteur ou un prêtre, sans recevoir d'eux autre chose que des platitudes religieuses ou de maladroites réponses qui sont loin d'apaiser votre douleur. Lorsqu'il s'avère impossible de trouver des réponses à vos questions et que le ciel demeure désespérément silencieux, que vous reste-t-il à faire ?

Voici deux versets des Ecritures susceptibles de vous aider à faire face à de telles crises :

1- « Les choses cachées appartiennent au Seigneur notre Dieu, mais les choses révélées nous appartiennent... » (Deutéronome 29.28). Quand il s'agit de comprendre certaines choses, nous devons accepter que nous avons notre propre territoire tandis que Dieu a le sien, et le nôtre est limité aux révélations qu'Il nous fait ! Au delà, nous devons obéir au commandement suivant : « Ne te fie pas à ta propre intelligence, mais place toute ta confiance dans le Seigneur » (Proverbes 3.5).

2- « Nous savons que toutes choses contribuent au bien de ceux qui aiment Dieu... » (Romains 8.28). Que Dieu réponde ou non à vos interrogations, souvenez-vous qu'Il est « l'Alpha et l'Oméga... le commencement et la fin » (Apocalypse 22.13), ce qui signifie qu'Il a un plan et qu'Il l'exécute, sans faillir, pour votre bien et pour démontrer sa gloire.

Alors, faites-lui confiance !

Bob Gass

Dimanche, le 18 octobre 2009 – Allez de l'avant !


« La gloire du Seigneur apparut... devant tous les Israélites » Nombres 14.10

Les hommes pensaient jadis que la terre était plate comme une assiette et qu'arrivés au bord, c'était la chute ! Ils étaient persuadés qu'il était impossible d'aller sur la lune. En 1899, aux Etats-Unis, le bureau des inventions faillit fermer car son directeur venait d'affirmer que plus rien désormais ne pouvait être inventé !

Avec le recul du temps, bien sûr, de telles affirmations paraissent ridicules et insensées. Mais beaucoup de nos contemporains ont adopté la même attitude au sujet de leur propre vie : ils refusent un jour d'apprendre quoi que ce soit de nouveau, s'estimant trop vieux pour un tel effort, ils craignent tout changement de carrière au cas où ils perdraient certains de leurs droits à la retraite, ils cessent de poursuivre leurs rêves de peur d'échouer ou de paraître ridicules aux yeux des autres.

Trop habitués à s'imposer des limites, ils se répètent à longueur de journée : « Non, je ne peux pas le faire, je ne peux plus me lancer dans de telles aventures... » Ils se sont construit une petite boîte, s'y sont installés tant bien que mal et passent leur temps désormais à chercher quelqu'un à blâmer pour leur manque de foi ! En fin de compte les êtres humains diffèrent très peu les uns des autres ! Mais une toute petite différence peut avoir de grandes conséquences et cette toute petite différence concerne votre attitude devant la vie ! Celle-ci dévoile si vous envisagez la vie avec les yeux de la foi ou à travers le prisme déformant de la peur.

Alors que d'autres ne voyaient que des géants autour d'eux et voulaient fuir, Caleb s'écria : « Si le Seigneur nous est favorable, Il nous conduira dans ce pays et nous le donnera... » (Nombres 14.8). A ce moment-là deux événements contradictoires eurent lieu. D'abord « toute la communauté parlait de les lapider... » (v.10), puis « la glorieuse présence du Seigneur se manifesta aux yeux des Israélites, au dessus du Tabernacle. » Les esprits critiques dirent« non » à Caleb, mais Dieu dit « oui » !

Vous n'avez besoin que de l'approbation divine pour aller de l'avant ! Si vous l'avez reçue, ignorez les rabat-joie et foncez !

Bob Gass