Khristodoulos Catholique
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| Sujet: Stupéfiante nouvelle découverte numérique dans le Coran Lun 22 Fév 2010, 1:57 am | |
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- Stupéfiante nouvelle découverte numérique dans le Coran
Auteur: Mumin Salih
Vendredi 4 avril 2008
Chez les musulmans la nouvelle mode est de discourir sur les incroyables miracles numériques du Coran. Prenez la peine de lire la vérité et vous serez stupéfait par plusieurs nouveaux miracles!
Il existe un mythe largement accepté par les musulmans selon lequel le coran contiendrait des douzaines de ce qu'ils appellent des « miracles numériques ». Selon ce mythe, le nombre de fois où le coran mentionne certains mots aurait une signification particulière. Les musulmans croient que la fréquence de telles distributions remarquables dans le Coran ne peut pas être le fait du hasard et doit être un miracle. Ce mythe est assez récent ; en fait c’est un mythe lié à l’informatique car il n’est apparu qu’après que les ordinateurs ont commencé à se répandre parmi les musulmans. Il est remarquable que toutes les fois que les musulmans sont confrontés à une nouvelle technologie, leur priorité soit de l’adapter à des fins islamiques. Il y a une longue liste d’exemples à l’appui de cette piquante observation. En voici quelques uns:
Quand les musulmans eurent accès, il y a quelques siècle, aux imprimantes, leur première priorité fut d’imprimer le Coran.
Quand les musulmans eurent accès aux horloges, leur première priorité fut de demander aux fabricants de les adapter à un usage islamique en ajoutant l’azan (appel à la prière).
Quand les musulmans eurent accès aux haut-parleurs, leur première priorité fut de s’en servir jour et nuit pour hurler l’azan, les prières et les récitations du Coran.
Quand les musulmans eurent accès aux boussoles modernes, ils demandèrent aux fabricants de les modifier pour qu’elles indiquent la qibla (direction de La Mecque).
Quand les musulmans eurent accès aux téléphones mobiles, leur première priorité fut de demander aux fabricants de les adapter pour qu’ils jouent l’azan (appel à la prière).
Quand les musulmans eurent accès aux équipements de radio et de télévision, ils s’en servirent pour émettre le Coran et la propagande islamique.
Quand les musulmans eurent accès à la recherche pour essayer de démontrer l’efficacité de la soi-disant médecine prophétique qui préconise la guérison par la lecture des versets du coran et de boire un verre d’urine de chameau.
Quand les musulmans entendirent parler de la science de la géologie, ils s’en servirent pour essayer de démontrer que La Mecque est au centre du monde.
Quand les musulmans eurent accès à l’Internet, leur première priorité fut de s’en servir en créant des milliers de websites pour propager l’Islam et la culture islamique (décapitation et destruction des sites des autres).
Il était donc bien naturel que quand les musulmans eurent accès aux ordinateurs et aux traitements de texte, leur première priorité fut de l’appliquer au Coran pour y dénicher quelques nouveaux miracles.
Le contexte
Il y a quelques décennies, Rashad Khalifa, qui était un musulman américain et le fondateur de la secte de la Soumission, allégua que le Coran est basé sur le nombre 19. Khalifa employait des méthodes de calcul alambiquées pour affirmer que les versets, les sourates et les lettres du Coran avaient de près ou de loin un lien avec le nombre 19. Malgré les méthodes de calcul aussi loufoques que fumeuses que Khalifa employait dans son fallacieux travail, les chiffres ne tombaient pas juste. Dans ses tentatives effrénées pour prouver sa théorie, il en vint même à décider de supprimer certains versets du Coran. Sans considération pour la sensibilité et la fureur de l’Oumma, Rashad Khalifa supprima les versets 9:128 et 9:129 du Coran. Khalifa était devenu si obsédé par sa théorie qu’il finit par se convaincre que son propre nom était encodé dans le Coran et qu’il était un messager d’Allah. Il fut naturellement assassiné peu après par d’autres musulmans.
[25:56] . Or, Nous ne t'avons envoyé (Rashad) que comme annonciateur et avertisseur.
[36:3] Tu (Rashad ) est certes du nombre des messagers.
[42:24] Ou bien ils disent : « il (Rashad) a inventé un mensonge contre Allah ». Or, si Allah voulait, Il scellerait ton coeur. Par Ses Paroles cependant, Allah efface le faux et confirme le vrai. Il connaît parfaitement le contenu des poitrines.
[81:22] Votre compagnon (Rashad) n'est nullement fou.
Au fur et à mesure que les ordinateurs devenaient largement disponibles, de plus en plus de musulmans s’adonnaient à une frénésie de passionnantes découvertes numériques dans le Coran. L’argent arabe du pétrole encourageait toute recherche suggérant de près ou de loin un miracle scientifique dans le Coran et ce genre de travail était toujours très bien accueilli par les éditeurs islamiques, sans le moindre examen critique par des spécialistes. En ce moment circulent des douzaines d’allégations de ce genre et elles sont considérées par les musulmans comme des signaux codés d’Allah pour les aider à croire en la divinité du Coran.
Le mécanisme de la tromperie
La stratégie musulmane pour revendiquer un miracle dans le coran est d'accabler et d’embrouiller le lecteur. Quand les savants musulmans écrivent sur un miracle scientifique dans le Coran, ils commencent par submerger le lecteur de détails scientifiques que ni les lecteurs ni les auteurs d’ailleurs ne comprennent mais qui donnent l’impression que de la science sérieuse est impliquée dans ce machin islamique. Une longue introduction scientifique prépare le cerveau islamique à accepter tout ce qu’ils prétendront ensuite. Dans le cas des miracles numériques, les “savants” musulmans ne publient pas une allégation à la fois mais par douzaines dans de longues listes :
Le mot yum (jour) est mentionné 365 fois
Le mot shahar (mois) est mentionné 12 fois
Le mot malayka (anges) est mentionné 88 fois alors que d’un autre côté le mot Shaytan (Satan) est mentionné 88 fois.
Le mot hayat (vie) est mentionné 145 fois alors que d’un autre côté le mot mawt (mort) est mentionné 145 fois
Le mot bihar (mer) est mentionné 32 fois tandis que barr (terre) est mentionné 13 fois. Ce ratio de 32/13 est le ratio de la surface des mers par rapport aux terres.
Etc, etc…
La liste peut continuer sur des pages et des pages et est conçue pour assommer le lecteur. La longueur de la liste décourage le lecteur accablé de vérifier l’une ou l’autre de ces allégations parce qu’il se dit que même si certaines d’entre elles sont incorrectes, il en reste un trop grand nombre pour que cela s’explique par une simple coïncidence. Il ne viendra jamais à l’esprit des lecteurs que la plupart, si pas la totalité, de ces chiffres sont faux. Les erreurs ne sont pas le résultat d’innocentes inadvertances lors du comptage mais des faux délibérés de ces musulmans qui forgent ou propagent ces allégations pour tromper leurs lecteurs. Chaque fois que l’on signale à ces musulmans que leurs chiffres sont faux, ils ne présentent jamais d’excuse mais essaient par tous les moyens de justifier leurs décomptes.
La vérification de la moindre de ces allégations peut se transformer en chausse-trappe. La langue arabe est probablement la plus difficile quand il s’agit de rechercher un mot. En arabe, un même mot peut prendre différentes formes qui dépendent de la grammaire arabe. Par exemple, le mot yum (jour en arabe), le premier dans la liste d’exemple ci-avant, peut apparaître sous plusieurs autres formes sans que son sens change. Le mot yum peut figurer sous les formes alyum, yamun, yawman, yawmin, yawmikum, yawmihum, biyawmin, biyawmihim, et bien d’autres!
On le voit, effectuer une recherche sur un mot et en faire un décompte nécessite une bonne maîtrise de la langue. Il existe quelques logiciels capables de faciliter cette tâche mais ils ne donnent pas toujours les mêmes résultats. La meilleure façon de compter est encore de relire le coran en entier chaque fois que vous voulez compter un mot ; mais aucun musulman ne s’embête à le faire puisque les ordinateurs sont là pour ça. Cependant, dans la langue arabe, la difficulté principale, quand on veut compter le nombre de fois où un mot apparaît, est de choisir les formes du mot que vous allez inclure dans votre décompte. Dans le cas du mot yum de l’exemple précédent, omettre une ou deux de ses formes peut faire toute la différence sans qu’on le remarque.
En tout cas, toutes les allégations de la liste ci-avant sont fausses. Selon les formes du mot yum que vous incluez dans votre décompte, vous obtenez des résultats allant de 3 à 385, dans le cas du mot shahar (mois) vous obtenez des résultats allant de 8 à 18. quant aux décomptes du mot malayka (anges) et du mot shaytan (Satan), ils sont tous deux faux, le mot shaytan est mentionné 77 fois alors que le mot malayka n’apparaît que 44 fois. Les affirmations islamiques sur les mentions des mots bihar (mers) et barr (terre) qui viendraient dans un ratio de 32/13, qui est le ratio de la surface des mers par rapport à celle des terres, est, elle aussi, archi-fausse. Le mot bihar est en réalité mentionné 41 fois dans le Coran et non 32 fois.
J'ai bien peur que les allégations islamiques sur un message codé dans le Coran pour prouver sa divinité ne soit rien d’autre que la démonstration par l’absurde du tempérament tricheur des musulmans. Il est également assez risible d’imaginer qu’au jour du jugement dernier Allah s’adressera aux incroyants pour leur dire : “N’aviez-vous pas remarqué que j’avais mentionné les mots mer et terre dans un ratio de 32/13?” .
La plupart des musulmans qui propagent ce genre d’allégation, ne vérifient jamais les chiffres par eux-mêmes ; ils se contentent simplement de faire un copier/coller du texte de quelqu'un d'autre. Ils sont probablement éblouis quand ils lisent ces chiffres pour la première fois et ils s'attendent à ce que les autres le soient également. Ils pensent naïvement qu'ils ont déniché un trésor scientifique et mathématique. Rien ne les déçoit plus que d’apprendre que tout est truqué !
Les modèles numériques dans le Coran ne sont ni plus fréquents ni plus significatifs que ceux que l’on trouvera dans n’importe quel autre livre de taille similaire. Il est inutile d’argumenter sur un tel sujet avec des musulmans et c’est perdre son temps que d’étudier leurs allégations. Cependant, puisque j’étais occupé à effectuer les précédents décomptes pour étayer cet article, je suis tombé sur plusieurs découvertes numériques inédites que les musulmans peuvent ajouter à leur collection de miracles.
La première découverte est que le nom Mohamed est mentionné quatre fois dans le Coran. Ce n’est pas le résultat du décompte d’un ordinateur mais un fait bien connu depuis des siècles par les musulmans. Il y a également un autre nom qui n’est mentionné qu’à quatre reprises dans le Coran et il se trouve qu’il s’agit du nom de l’animal le plus haï dans l’Islam. Oui, vous l’aviez deviné, c’est khanzeer, le mot arabe pour cochons ! Intéressant non ? Et comment ! Une autre recherche a mis en évidence un mot qui est aussi mentionné quatre fois dans le Coran et c’est le mot arabe kazzab (menteur). Mohammed, porc, menteur ? Est-ce le hasard ou cela veut-il dire que Mohammed est un cochon de menteur ? Subhan allah !
La seconde découverte intéressante apparaît à l’examen du nombre de fois ou les titres de Mahomet (Mohammed), à savoir Rasul et Nabi, sont mentionnés dans le Coran. Le mot rasul (messager) est mentionné deux fois et l’autre forme de ce mot, al rasul (le messager) est mentionnée 45 fois. Le mot nabi (prophète) est mentionné sept fois et l’autre forme de ce mot, al nabi, (le prophète) est mentionnée trente fois. Au total, les titres de Mahomet sont mentionnés 84 fois. D’un autre côté, les mots suivants sont également mentionnés à 84 reprises dans le Coran: kazzaba (25 fois), iftarahu (7 fois), iftara (14 fois)( ces mots signifient : inventer), kazzab (4 fois), affak (2 fois) ( ces mots signifient : menteur), majnun (6 fois)( qui signifie fou), saher (7 fois), asharr (2 fois), atheem (5 fois), muatadi (3 fois), mureeb (7 fois), zalim (2 fois)(ces mots sont tous des termes péjoratifs insultants). Subhana allah !
Voici les détails du miracle numérique d’Allah :
Mohammed(4): 3:144, 3:40, 47:2, 48:29 Porcs(4): 2:173, 5:3, 16: 115, 5:60 pluriel Kazzab(4): 38:4, 40:24, 40:28, 54:25
Kazzba (25): 3:184, 6:21, 6:148, 6:157, 7:37, 10:17, 10:39, 12:18, 15:80, 17:59, 20: 48, 25:11, 26:176, 29:18, 29:68, 35:25, 38:14, 39:25, 39:32, 50: 14, 53:11, 67:18, 75:32, 92:16, 96:13.
Iftarahu (7): 10: 38, 11:13, 11:35, 21:5, 25:4, 32:3, 46:8
Iftara (14): 3:94, 4:48, 6:21, 6:93, 6:144, 7:37, 10:17, 11:18, 18:15, 20:61, 23:38, 29:68, 42:24, 61:7.
Affak (2): 26:222, 45:7
Majnun (6): 37:36, 44:14, 51:39, 51:52, 52:29, 54:9.
Saher (7): 7:112, 10:79, 20:69, 38:4, 40:24, 51:39, 51:52.
Asharr(2): 54:25, 72:10.
Atheem(5): 2:276, 26:222, 45:7, 68:12, 83:12.
Mutadi(3): 50:25, 68:12, 83:12.
Mureeb (7): 11:68, 11:110, 14:9, 34:54, 41:45, 42:14, 50:25.
Zalim(2): 18:35, 35:32. Priant pour la conversion des mahometans. |
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