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 L'origine du savoir scientifique du Coran

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florence_yvonne
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MessageSujet: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedSam 14 Aoû 2010, 10:03 pm

Le Coran a été écrit pendant la période 610-632 après JC

En l'an 150 de l'Hégire (622), le calife Al Mansur reçoit un homme expert dans le calcul de la position des étoile, provenant de l'Inde.

Le calife ordonna alors de traduire les livres indiens d'astronomie, jusqu'à que l'on s'aperçoive qu'il s'agissait en général d'extraits de la Sintaxis Mathematica de Ptolémée.

L'Almageste (al Majestic) était depuis longtemps dans les bibliothèques du calife, mais personne ou presque s'était donné la peine de l'étudier.

Bientôt, ce furent toutes les œuvres scientifiques grecques à être traduites, sans distinction, avec l'aide des médecins chrétiens appartenant à la secte des Nestoriens.

Voila d'où vient le savoir du Coran
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florence_yvonne
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedSam 14 Aoû 2010, 10:12 pm

Astronomie
Les premiers usages de l'astronomie semblent bien remonter aux poèmes épiques : dès Homère et Hésiode les hommes cherchent à connaître et nommer étoiles et planètes ; un calendrier se met en place, sous une forme voisine de l'almanach avec prévisions météorologiques. Mais la réflexion sur la cosmogonie s'en tient à la pensée mythologique. En Ionie, les premières spéculations philosophiques voient le début d'une réflexion sur la nature dégagée des modèles mythiques.

A partir du 5 e siècle avant J.-C., sans doute sous des influences d'origine Mésopotamienne une réflexion plus profonde commence, marquée par ses aspects plus rationnels et plus scientifiques, dégagée d'une trop grande suggestion religieuse.

Les débuts de cette évolution sont modestes : le premier, Parménide (début du 5 e siècle avant J.-C.) perçoit la Terre comme une sphère et il montre que la Lune reçoit la lumière du Soleil ; à peu près à la même époque, Empédocle comprend ce que sont les éclipses. Mais le premier astronome véritable est Méton (deuxième moitié du 5e siècle avant J.-C.) qui, malgré quelques erreurs, comprend le cycle Lune/Soleil égyptien de 19 ans. Puis Eudoxe, un mathématicien, construit un premier modèle fondé sur la géométrie qui explique le mouvement des corps célestes.

A cette époque, l'image de l'univers est celle d'une sorte d'emboîtement de sphères tournant autour d'une Terre sphérique, immobile et placée au centre ; à l'extérieur, tourne en un jour une autre sphère qui porte les étoiles fixes ; entre les deux se trouvent le Soleil et la Lune, les planètes tournant autour de la Terre. Mais ce système restait insuffisant et les mathématiciens pouvaient aisément le mettre en doute. Aux 4e et 3e siècle avant J.-C., les traités se sont multipliés et de nouveaux modèles furent élaborés ; dans le même temps des savants établissaient les premières mesures à peu près correctes de la circonférence terrestre (Eratosthène, 3 e siècle avant J.-C.) ou de la distance Terre-Lune (Hipparque, 2e siècle avant J.-C.). Cette lente évolution permit finalement à Aristarque de Samos (fin du 3e -début du 2e siècle avant J.-C.) de formuler l'hypothèse d'un système héliocentrique.

Toutefois, signe des temps, l'époque hellénistique vit les astronomes s'orienter un peu plus vers des développements liés à la prédiction, l'astrologie et l'horoscope. Il fallut attendre Claude Ptolémée et son fameux Almageste (2 e siècle après J.-C.) qui, tout en rejetant le système héliocentrique d'Aristarque, offrait une vaste et brillante synthèse des connaissances de l'Antiquité. Traduit en arabe, transmis à l'Occident, cet ouvrage influença tout le moyen âge et fut utilisé jusqu'au 16 e siècle. Ce n'est qu'au 17 e avec Copernic et Kepler que l'astronomie allaient faire des progrès décisifs en changeant radicalement de modèle avec l'adoption de l'héliocentrisme.

Médecine
Il y a toujours eu des médecins : soigner les maux du corps était un souci obsédant, en particulier dans des sociétés où la guerre était une réalité courante. Dès «l'Iliade» et l'«Odyssée» on voit, en effet, les blessés être soignés et pansés avec soin. Malgré tout, dès les temps archaïques il est possible de distinguer (selon nos critères), à côté de cette médecine "technique" des pratiques liées à ce que l'on peut nommer une " médecine coutumière " pratiquée par les rebouteux ou les charlatans ou, au contraire, une " médecine magico-religieuse " liée, elle, aux grands sanctuaires.

Asclépios
On le sait, ces sanctuaires, comme le fameux Asclépiéion (temple d'Asclépios) d'Epidaure, conservent tout au long de l'histoire de la Grèce un rôle de premier plan. On connaît approximativement leur fonctionnement : purification, offrandes, sacrifices, mais aussi " incubation " dans un abaton ("lieu sacré"), errance dans l'enceinte sacrée, puis le malade, dans son sommeil, est " investi " par le dieu et guéri. Les nombreuses inscriptions trouvées sur place nous racontent ces espèces de miracles antiques. Mais c'est aussi ce que raconte, dans les «Discours sacrés», cet extraordinaire malade permanent que fut Aelius Aristide (2 e siècle après J.-C.).

Le sanctuaire d'Epidaure fonctionna du 6 e siècle avant J.-C. au 5 e siècle après J.-C., lorsque Théodose II l'interdit. Il existait bien d'autres sanctuaires d'Asclépios en Grèce (Cos, Cnide, Athènes) et les prêtres de ces lieux sacrés ont certainement rassemblé une documentation de tout premier ordre sur les malades et leurs maladies.

Une médecine scientifique
Dès le 6 e siècle avant J.-C., il existait des centres médicaux où était pratiquée une médecine qui, soucieuse d'efficacité, pratiquait une observation attentive des malades pour mieux comprendre les causes des maladies et surtout choisir les remèdes les plus appropriés. Cette volonté de comprendre et de s'éloigner des pratiques magiques, il n'est pas étonnant de la voir éclore dans cette Grèce d'Asie, déjà terre d'élection de la philosophie. C'est à Cos en effet que s'est développée la plus importante " école " de médecine de l'Antiquité à laquelle reste attaché le nom d'Hippocrate. De l'homme on sait peu de chose, sinon que son père était prêtre. Mais il voyagea beaucoup : dans l'Athènes de Périclès et même en Egypte.

Très rapidement il exista des écoles rivales : à Cos (qui recourait surtout aux régimes alimentaires) s'opposait Cnide (qui voyait dans les médicaments la thérapeutique principale). Si Hérophile, élève d'Hippocrate et médecin à Alexandrie, poursuivit l'œuvre du maître, l'école de Cos sombra dans un véritable dogmatisme, avec en réaction la naissance d'une école empirique dont Asclépiade fut un représentant : il dénonçait (déjà) l'abus de médicaments et préconisait l'hygiène, les cures, les massages et les promenades. Puis fut fondée une école " méthodique " qui voyait dans les maladies un résultat de l'état général du corps et qui préconisait des thérapeutiques fondées sur des régimes et des bains.

Devenir médecin était long, l'apprentissage comprenait des cours, des études cliniques, une formation pratique : en tout plusieurs années. Déjà les médecins étaient spécialisés : chirurgiens, dentistes, gynécologues. La profession n'était d'ailleurs pas fermée aux femmes qui occupaient cependant essentiellement les domaines de la gynécologie et de la pédiatrie. En outre, la grande majorité des sages-femmes n'étaient pas médecins : il s'agissait souvent de femmes âgées, ayant elles-même enfanté plusieurs fois. La pharmacie ne constituait pas une discipline à part et avait développé une puissante pharmacopée composée de nombreux médicaments, les pharmaka (mot qui signifie à la fois "remède" et "poison"). Dans les grandes cités comme Athènes, on recrutait des médecins publics, après un long examen portant non seulement sur la doctrine mais aussi et surtout sur les procédés thérapeutiques qui étaient les leurs.

Toutefois il faut bien garder à l'esprit que si cette médecine scientifique prenait son essor et obtenait des résultats tangibles, les succès restaient limités, surtout du fait de la méconnaissance de la réalité du corps humain comme en témoigne, entre autres, ce passage tiré d' Aristote (Des rêves, 459b) et parlant des règles des femmes :

«Sur les miroirs tout à fait nets, lorsque les femmes au moment de leurs règles regardent vers leur miroir, il se produit sur la surface du miroir comme un nuage sanglant. Et si le miroir est neuf, il n'est pas facile d'enlever en frottant cette tache. S'il est ancien, c'est plus facile» .

Mathématiques
On doit tout aux Grecs dans ce domaine. En premier lieu, notre manière de concevoir la réflexion mathématique, l'idée des mathématiques conçues comme une forme de savoir théorique. C'est aux Grecs en effet que l'on doit cette transformation essentielle qui fait passer les mathématiques du statut de praxis ("ensemble d'exercices pratiques") à celui de théoria ("réflexion théorique générale") On passe alors d'une technê ("art") à finalité pratique (commerce, arpentage, etc) à une épistêmê ("science"), une gnôsis (un "savoir pur"). Et cette constitution des mathématiques comme science est un fait ancien : dès l'époque de Platon, en effet, ce savoir repose sur le raisonnement déductif.

La notation des nombres
Les Grecs utilisaient deux systèmes de notation des nombres :
a) Le système attique ou acrophonique, utilisait la première lettre du nom des nombres, système à base 10 ; il est comparable aux systèmes hiéroglyphique égyptien ou romain ; il permettait d'écrire tous les nombres jusqu'à 100'000 mais, mal adapté, il ne permettait pas des calculs complexes.
a) Le système dit "hérodien" (également en base 10), mis en place à la fin de l'époque classique utilise les lettres de l'alphabet. Système moins puissant certes que notre système indo-arabe, il offre toutefois de véritables capacités de calculs en ce qui concerne les formes élémentaires de l'arithmétique.

Théon d'Alexandrie, par exemple, peut ainsi mesurer le volume de la Terre en unités de longueur cubiques. Parmi tous les mathématiciens grecs qui se sont illustrés, quatre noms émergent : Pythagore, Thalès, Euclide, Archimède.

Pythagore et les pythagoriciens
On ne sait finalement que peu de chose sur Pythagore. Ce philosophe mystique est né à Samos vers 580 avant J.-C., il voyage beaucoup et s'installe à Crotone en Italie du Sud vers 530 avant J.-C. où il fonde une école. Cette espèce de secte était comme un couvent où l'on devait respecter, outre un strict régime végétarien, tout un ensemble de tabous sévères. Les pythagoriciens vouaient aux nombres une valeur quasi mystique : « tout est nombre ». Leur importance semble toutefois avoir été largement reconstruite par les néoplatoniciens, en particulier Proclus (5 e siècle après J.-C.) et leur contribution aux mathématiques reste en fait assez modeste. Leur attrait des nombres leur fait atteindre quelques résultats tangibles en arithmétique et en géométrie : les nombres figurés, les configurations géométriques, les rapports, les intervalles harmoniques. Proclus leur attribue le célèbre théorème sur l'hypoténuse et celui sur la somme des angles du triangle. Les pythagoriciens auraient aussi bien progressé dans la construction des polygones réguliers et ils auraient même découvert les nombres irrationnels.

Thalès et les Ioniens
Thalès de Milet (première moitié du 6 e siècle avant J.-C.) est le plus célèbre des Milésiens. Philosophe "physicien", il faisait de l'eau le principe fondamental, il a beaucoup voyagé et s'est enrichi en spéculant sur les récoltes d'olives. Son apport aux mathématiques est célèbre quoique modeste. Selon Proclus, il aurait été le premier à comprendre le diamètre du cercle, les angles égaux du triangle isocèle ainsi que l'égalité des angles opposés par le sommet. Ces travaux lui ont permis d'élaborer son fameux théorème sur la proportionnalité.

D'autres Ioniens se sont illustrés en géométrie : Oenopide (les perpendiculaires), Théon (les polygones), Eudème (les segments) ou Hippocrate (la quadrature du cercle).

Toujours selon Proclus, c'est à Platon et à l'Académie que l'on doit une impulsion décisive dans le développement des mathématiques, principalement par la figure de Théétète, un ami de Platon (dont un des Dialogues porte le nom comme titre). Au cours du 4 e siècle avant J.-C. la réflexion s'approfondit : les nombres irrationnels (Théétète), la méthode d'analyse (Hippocrate), la réflexion par hypothèse (Platon) ou le statut de l'infini sont autant de questions explorées à l'Académie. L'école rivale du Lycée (les disciples d'Aristote) ne reste pas en marge, bien que travaillant sur des bases un peu différentes : la proportionnalité (Eudoxe), les courbes et les cônes (Ménechme). Mais c'est Euclide qui domine.

Euclide
On ne sait pas grand-chose de la vie d'Euclide sinon qu'il est né vers 330 avant J.-C. et qu'il est mort à Alexandrie vers 270 avant J.-C.. Il a accompli un immense travail de compilation et d'édition, rassemblant l'essentiel de ce qui était connu dans les sciences. Il est célèbre pour ses écrits : les Données, les Phénomènes ou surtout les Eléments qui constituent son ouvrage majeur. Cette activité éditrice le conduit à parfois adopter une forme de simplification de l'exposé qui sans renoncer à la démonstration aboutit à la constitution d'une "méthode" particulière. Il procède à partir d'énoncés initiaux, "les postulats", dont la démonstration est remise à plus tard ; les propositions sont ensuite démontrées en se fondant sur ce qui précède, elles sont réparties en théorèmes et problèmes qui s'enchaînent. L'exemple le plus spectaculaire de cette méthode est donné par les considérations sur le parallélisme.

Archimède
Archimède est certainement le plus important de tous les mathématiciens de l'Antiquité, on a pu le comparer à Newton, Gauss ou même Einstein. Il vivait au 3 e siècle avant J.-C. et il est devenu une véritable légende (le célèbre « Eurêka », "j'ai trouvé").

En géométrie, on lui doit le calcul de l'aire du cercle, une définition du nombre ?: il démontre que cette fameuse constante est le rapport de la circonférence et du diamètre, et 1?4 est plus petit que 3 + 1/7 et plus grand que 3 + 10/71. Ses travaux concernent aussi la physique (mise en évidence de la notion de centre de gravité), la mécanique (il invente par exemple la vis sans fin), l'astronomie, l'hydrostatique.

C'est ainsi qu'il est amené par démonstration (et pas seulement par expérience) à l'énoncé de son fameux principe : « Tout corps flottant déplace une quantité de liquide égale à son poids alors que tout corps immergé déplace une quantité de liquide égale à son volume ». Il s'était mis au service du roi de Syracuse pour lequel il avait mis au point des machines de guerre. Il fut tué par un Romain pendant le siège de cette ville en 212 avant J.-C..

Technologie
Le mot technologie est composé à partir du grec "technê". Ce dernier mot désigne l'art, l'habileté à faire, l'habileté pratique, manuelle, le talent, la connaissance des procédés, mais aussi d'une certaine façon la ruse et l'artifice. Dès les époques lointaines, la technê est mise en œuvre par les hommes et l'«Odyssée» en donne un bon exemple avec la construction du fameux cheval de bois : si la ruse est imaginée par Ulysse, la réalisation est confiée à un spécialiste, Epéios. La technê, c'est avant tout la ruse, l'intelligence, en bref le domaine d'Athéna.

Mais le mot technologia, lui, n'apparaît que plus tardivement. De fait, il en va dans ce domaine comme dans bien d'autres : l'apport des Grecs en matière de technologie est beaucoup plus théorique que pratique. Le legs consiste une fois encore en une manière de réfléchir, de poser les problèmes plutôt que de donner des solutions. Les Grecs ont laissé en réalité peu d'innovations en la matière. Et ici aussi nous retrouvons en premier lieu les philosophes qui participent de cette réflexion, en particulier Aristote.

Une liste des domaines techniques est fournie par le poète tragique Sophocle (dans sa pièce «Antigone») : la navigation, la construction, l'agriculture, la chasse, la domestication, la vie sociale, le langage. Mais l'art des Grecs en matière technique se développe dans trois directions principales : la guerre, la mécanique et la conception de machines.

La guerre
C'est bien ce domaine qui fut le plus prolixe. Des innovations certes, mais surtout une réflexion continue ont modifié la manière de faire la guerre. En particulier à partir de Philippe de Macédoine et d' Alexandre le Grand : perfectionnement de machines (catapulte, tour d'assaut, armes de jet, etc). Mais c'est surtout l'émergence d'un nouveau groupe d'hommes, de spécialistes (architectes, ingénieurs militaires, mécaniciens) auprès des chefs militaires qui accompagnent les nouvelles stratégies et leurs innovations tactiques (attaque, siège, camps retranchés, fortifications etc. ) et qui caractérise l'époque. La poliorcétique - l'art de prendre les villes - forme le cœur de la réflexion d'auteurs comme Enée le Tacticien (4 e siècle avant J.-C. ?) ou Philon de Byzance (2 e siècle avant J.-C.). Ces auteurs exposent des conceptions sur la tactique des sièges, l'importance des préparatifs militaires, les questions d'intendance et décrivent des procédés techniques sur les armes incendiaires les échelles et autres machines.

La mécanique
Ces réflexions ont mené à s'interroger sur les questions plus vastes des procédés mécaniques. Cela concerne les leviers, les catapultes, le pneumatique, la fabrication d'automates, de jouets. On le voit, les préoccupations sont fort variées. Dans ces traités la place consacrée aux mathématiques est de plus en plus importante : en effet, les penseurs se situent le plus souvent sur un terrain théorique et s'efforcent de donner à leurs propositions de machines des fondements rationnels solides et incontestables ; ces traités de mécanique sont les premiers traités de mathématiques appliquées.

Le principal auteur reste Héron d'Alexandrie. Ce mathématicien, vivant au 1 er siècle après J.-C., poursuivit l'œuvre de Philon et rédigea un commentaire d'Euclide. Il proposa de nombreux perfectionnements applicables à l'architecture (construction des voûtes), qui furent utiles, plus tard, aux constructeurs de Sainte-Sophie, il étudia le pneumatique (pression de l'air). Il conçut même une machine à eau, sorte de fontaine qui utilisait les propriétés de la vapeur : il avait compris le principe de la pression de la vapeur. Mais il ne fut pas trouvé d'applications concrètes productives, la machine à vapeur devait encore attendre. La contribution de Héron se révéla aussi dans la conception et l'amélioration de machines diverses comme les grues, les leviers, les poulies, la vis etc.


Mais d'où ces gens détenaient-il tout ce savoir ? de Dieu ?
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedSam 14 Aoû 2010, 10:42 pm

florence a écrit:

Mais d'où ces gens détenaient-il tout ce savoir ? de Dieu ?
Tout d'abord bravo , pour ce travail de recherche historique !
Florence, je vais te répondre indirectement ! crois-tu qu'un jour les animaux parviendront à créer des labo . de recherches ?
entre les animaux et nous il y a le fameux chaînon manquant ! un chaînon impossible à trouver dans les gènes et pourtant !
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedSam 14 Aoû 2010, 10:49 pm

mort de rire ahhahahahah ,je le savais Florence ,quel objectivité !
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedSam 14 Aoû 2010, 11:05 pm

Goldenlegend a écrit:
mort de rire ahhahahahah ,je le savais Florence ,quel objectivité !

Tu ne trouve rien d'autre à dire ?

Quand on ne peut pas s'attaquer au message on s'en prend au messager Laughing
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedSam 14 Aoû 2010, 11:06 pm

Wé tu a tous réfuté Very Happy !Des hommes de science se sont convertis a l'islam en découvrons ces miracles scientifiques ,et toi tu l'ai réfuté bravo Very Happy .
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedSam 14 Aoû 2010, 11:07 pm

Goldenlegend a écrit:
Wé tu a tous réfuté Very Happy !Des hommes de science se sont convertis a l'islam en découvrons ces miracles scientifiques ,et toi tu l'ai réfuté bravo Very Happy .

Il n'y a pire aveugle que celui qui refuse de voir.
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedSam 14 Aoû 2010, 11:07 pm

Tu l'a dit L'origine du savoir scientifique du Coran 307887 .
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedSam 14 Aoû 2010, 11:09 pm

Goldenlegend a écrit:
Tu l'a dit L'origine du savoir scientifique du Coran 307887 .

Parce que toi quand tu te gargarises des soit disant miracles scientifiques du Coran tu es objectif ? Shocked
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedSam 14 Aoû 2010, 11:12 pm

Moi quand je cite un miracle scientifique ,je donne mes preuves ,je passe des heures a etudié ,je vous facilite la tache a comprendre,je vous traduit les mots ,je vosu explique tous en détaill ,mais vous, (surtous toi ) ,tu me copier/coller ton lien de wikipedia sur les connaissances scientfiiques de l'antiquité que tu ne lit meme pas ,et tu prétend que le coran a copier ces connaissances .


COMMENT JE FAIT POUR NE PAS MENERVER ?
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedDim 15 Aoû 2010, 12:35 am

Goldenlegend a écrit:
Moi quand je cite un miracle scientifique ,je donne mes preuves ,je passe des heures a etudié ,je vous facilite la tache a comprendre,je vous traduit les mots ,je vosu explique tous en détaill ,mais vous, (surtous toi ) ,tu me copier/coller ton lien de wikipedia sur les connaissances scientfiiques de l'antiquité que tu ne lit meme pas ,et tu prétend que le coran a copier ces connaissances .


COMMENT JE FAIT POUR NE PAS MENERVER ?

Expliques moi pourquoi les découvertes musulmanes seraient d'origines divines et pourquoi les découvertes grecques ne le seraient pas.
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedDim 15 Aoû 2010, 12:41 am

1-Découvertes grecs=Possibilité d'etre découvert que par notre intelligent .

2-Découvertes coranique=Possibilité d'etre découvertes SEULEMENT AVEC LA TECHNOLOGIE MODERNE bon sang !!!!!
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedDim 15 Aoû 2010, 12:51 am

Goldenlegend a écrit:
1-Découvertes grecs=Possibilité d'etre découvert que par notre intelligent .

2-Découvertes coranique=Possibilité d'etre découvertes SEULEMENT AVEC LA TECHNOLOGIE MODERNE bon sang !!!!!

Peux tu préciser ?
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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedDim 15 Aoû 2010, 12:56 am

Je le préciseré pour la derniere fois madame einschtein


Les pulsars,les deux mers séparé,la formation du tonnerre,les nuages lourdes,lembryologie moderne,l'orbite de la lune comme un palmier vieilli truc du genre,lexpansion de l'univers,le big bong,la formation du lait,le big cunch

tous ca on l'ai a découvert qu'avec nos moyens technologiques modernes

Donc meme les grecs ne savaient pas ca parcequ'ils n'avaient pas les moyens

Jpeut pas expliqué mieux dsl bonne continuation tous le monde .
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yacoub

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MessageSujet: Re: L'origine du savoir scientifique du Coran   L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_minipostedDim 15 Aoû 2010, 3:02 am

La bicyclette est dans le coran ainsi que le vaisseau spatial
tout est dans le Saint Coran
internet est dans le Saint Coran
Einstein a découvert la relativité et la formule E=Mc2 dans le Saint Coran
Il est mort musulman comme Jean-Paul II

Ah les Bucailleries L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_lol L'origine du savoir scientifique du Coran Icon_lol
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L'origine du savoir scientifique du Coran

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