- une musulmane a écrit:
Même dans la section islam on te retrouve...Ce que tu dis est faux!
Le prophète n'a jamais insulté quelqu'un, même quand il a été victime des pires injustices, il se contentait de dire "toi même" aux insultes.
Il était contre les injures:
Abû Hurayrah, rapporte qu'un homme insulta Abû Bakr, en présence du Prophète Salla'Allahu alayhi wa sallam, qui était assis.Celui-ci se mit à sourire et à se réjouir.Mais lorsque l'homme excéda Abû Bakr, par ses propos injurieux, ce dernier répondit à certaines de ses insultes.Le Prophète Salla'Allahu alayhi wa sallam, se leva.
Abû Bakr, ra, s'empressa de le rejoindre et lui dit :« Ô Messager d'Allah ! Cet homme m'insultait alors que tu étais assis. Lorsque j'ai répondu à certains de ses propos, tu t'es courroucé et tu t'es levé ! »
Le Prophète Salla'Allahu alayhi wa sallam, répondit :« Il y avait un ange qui répondait à ta place, mais lorsque tu t'es mis à répondre à certaines injures, Satan fit son apparition. Or il ne me convient pas d'être assis avec Satan. »
La morale : lorsqu'on insulte un musulman, c'est un ange qui répond.
Ce que tu dis sur les juifs et chrétiens c'est aussi faux...
L’emploi de grossièretés dans le CoranAuteur: Mumin Salih - 23 mai 2007
Nous ne devrions jamais sous-estimer la capacité des croyances religieuses à affaiblir l’esprit critique de leurs adeptes.
L’esprit de la personne est modelé pour se couler dans le moule de ses croyances religieuses. Sous l'effet d'un tel “opium”, la personne devient aveugle et sourde à la perception de ce qui est moralement juste ou mauvais.
Je me demande depuis des années comment je pouvais avaler si facilement de telles âneries islamiques quand j’étais musulman. Maintenant que je suis libéré de l'Islam, je ne trouve vraiment aucune raison valable à avoir accepté tant d’absurdités coraniques, qu’elles soient éthiques ou logiques, alors que j’ai lu le Coran pendant des années.
A la lecture du Coran, il est évident que, comme un vulgaire arabe mal embouché,
Allah Se met souvent en colère et emploie des mots obscènes et vulgaires envers Ses créatures! Allah prend parti pour Mahomet contre ses adversaires et les considère comme ses ennemis personnels. Il les injurie par des mots blessants, les menace de terribles tortures et promet que Lui et Son prophète régneront.
Pour prouver l’inconduite d’Allah, je vais évoquer le cas de deux arabes qui, à cause de leur rejet des prétentions de Mahomet, firent sortir Allah de Ses gonds et se référer à eux dans le Coran par des termes grossiers :
Abul Uzza Ibn Abdulmuttalib
Abul Uzza Ibn Abdul Muttalib était l’oncle de Mahomet. C’était un homme riche et influent mais il ne croyait pas son neveu quand il prétendait être un prophète. Pourtant, cela ne l'empêchait pas d'assurer une certaine protection à son neveu au nom de la solidarité tribale. Or il apprit un jour que Mahomet disait que feu Abdul Muttalib (qui était le père d’Abul Uzza) serait brûlé dans le feu d'enfer parce qu'il était mort non musulman (et ce alors qu’il n’y avait pas d’Islam à l’époque d’Abdul Muttalib qui était mort alors que Mahomet n’était qu’un enfant). C'est risible mais c’est pourtant ainsi que Mahomet raisonnait. Apprenant donc cela, Abul Uzza fut dégoutté par le total manque de respect de Mahomet envers son propre grand-père qui s'était pourtant occupé de lui quand il n’était qu’un enfant. A partir de ce jour, Abul Uzza devint ouvertement hostile envers Mahomet et lui refusa toute protection ou aide financière.
La sourate Al Masad est un court chapitre uniquement consacré à maudire Abdul Uzza (surnommé Abu Lahab) et son épouse.
Lisons cette sourate :
coran, sourate 111
1. Que périssent les deux mains d'Abu-Lahab et que lui-même périsse.
2. Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu'il a acquis.
3. Il sera brûlé dans un Feu plein de flammes.
4. de même sa femme, la porteuse de bois,
5. à son cou, une corde de fibres
Dans n’importe quelle rue de n’importe quelle ville arabe moyenne, il n’est pas rare d’entendre certaines personnes jurer et s’insulter en employant des termes comme yukassir ideek. C’est généralement considéré comme très grossier et n’est lancé que par les gens mal élevés quand ils sont en colère. Pourtant c'est très précisément l'équivalent moderne du « Que périssent les deux mains … » utilisé dans le Coran il y a mille quatre cent années. Ce qui est encore plus troublant est que chacun de ces versets est en fait une promesse !
Cette sourate est l’une des sourates les plus fréquemment récitée du Coran. Presque tous les musulmans la connaissent par cœur bien qu’elle n’ait aucune fonction religieuse. On se demande bien pourquoi Allah, du haut de sa grandeur, est si mécontent d’un seul homme et consacre un chapitre entier de Son livre à le maudire lui et son épouse. Pourquoi Allah n'a-t-il pas essayé de les punir de leur vivant ? Dans les sources islamiques, rien n’indique qu’Abu Lahab ou sa femme aient jamais souffert de quoi que se soit quand ils vivaient à La Mecque.
La sourate Al masad est une autre preuve que le Coran n’est que le reflet des pensées d'un malade. Cette sourate devrait mettre la puce à l’oreille du lecteur sur la fausseté de ce livre. Mais les musulmans la voient-ils de cette façon ? Pas du tout !! Les musulmans ne peuvent voir que des miracles dans le Coran et cette sourate ne fait pas exception. La stratégie des oulémas est toujours d'attaquer en convertissant les erreurs du Coran en miracles ! Dans ce cas-ci, ils disent qu'Abu Lahab est mort en incroyant alors que s’il s’était converti à l’islam il aurait prouvé que ce verset est faux. Mais il ne l’a pas fait. En prétendant cela, les oulémas ignorent délibérément le principe de l'abrogation dans le Coran, principe selon lequel les versets coraniques les plus récents abrogent les plus anciens. S’il l’avait voulu, Mahomet aurait facilement pu « révéler » d’autres versets louant son oncle ou même dire qu’Allah lui avait ordonné de supprimer complètement cette sourate.
Al waleed Ibn Almugheera, le fils de p*** !
Al waleed Ibn Almugheera était l’un des chefs de Quraysh. On prétend qu’il était l’un des plus éloquents arabes de son temps. Les musulmans citent fréquemment l’éloge qu’il aurait fait du Coran en une occasion. Cette prétendue remarque faite par cet homme est fréquemment citée comme une preuve de ce que les musulmans prétendent être le miracle littéraire du Coran. La réalité cependant, est qu'il n'y a aucune preuve historique valide qu’Al waleed ait jamais vraiment loué le Coran. En réalité c’est le contraire car Al waleed n’a jamais cru en Mahomet ni accepté le Coran. Mahomet devait nourrir une profonde haine pour Al waleed. Les versets obscènes de la sourate Alqalam (également connue sous le nom de sourate Nun) trahissent l’ampleur du ressentiment de Mahomet envers Al Waleed pour son rejet du Coran.
Lisons ces versets de la sourate Al qalam:
Coran, sourate 68, versets 10-13 :
Et n'obéis à aucun grand jureur, méprisable,
grand diffamateur, grand colporteur de médisance,
grand empêcheur du bien, transgresseur, grand pécheur,
au cœur dur, et en plus de cela bâtard .
Tous les ces versets sont gravement insultants. Par exemple, examinons le verset 13 où le mot arabe zaneem a été édulcoré en « bâtard ». Le sens exact de ce mot est fils d’une femme qui s’adonne au zina (sexe en dehors du mariage). Pour ceux qui connaissent l’arabe cela veut dire « fils de manyuka », ce qui est bien le terme le plus grossier et le plus insultant de la langue arabe. La traduction française la plus appropriée serait « fils de p*** ! »
Le Coran, particulièrement les versets Mecquois, comme ceux cités ci-avant, est rédigé dans une langue archaïque. Son style et une partie de son vocabulaire ne sont plus en usage de nos jours. Ce manque de clarté assure une protection à un livre qui autrement n’est rien d’autre qu'une collection d’anciens mythes. Le Coran devient encore plus aseptisé quand il est traduit en français à cause du politiquement correct et de l’approche apologétique des traducteurs. Ces traducteurs adoucissent la grossièreté des obscénités coraniques en ajoutant une pincée de décence à des expressions vulgaires.
Supposons néanmoins que la mère d'Al waleed avait effectivement commis la zina et qu’Al waleed était le produit de cette zina. Etait-ce la faute d’Al waleed ? Pourquoi Allah le reproche-t-il à Al waleed qui n’existait même pas quand l’acte fut commis ? Après tout, si Al waleed était né ainsi c’est parce qu’Allah l’avait voulu.
Comment les musulmans peuvent-ils prendre la défense d’un langage aussi grossier ? Une fois encore, les musulmans n’y voient qu’un miracle ! Les musulmans prétendent qu'Al waleed aurait interrogé sa mère et qu’elle aurait avoué qu'il était en effet le fruit du zina, ce doit donc être un miracle ! Autrement comment le Coran aurait-il pu le savoir ?
C'est une absurdité typiquement islamique car il est impossible de croire qu'une femme arabe avouera à son fils qu'elle a commis l'adultère. C'est parfaitement impensable. Qui plus est, Al waleed n’a pas changé de comportement à l’égard de sa mère et ne s’est pas converti à l’Islam mais a continué à le rejeter et à réfuter les allégations de Mahomet. L’Allah de Mahomet dut encore s'en mêler pour rassurer son cher prophète et lui promettre qu'Il torturerait Al waleed. Allah demande aux lecteurs du Coran de le laisser s’occuper Lui-même d’Al waleed et que l’on va voir ce qu’on va voir ! Voici comment Allah décrit ses projets pour Al waleed:
Coran.74
11. Laisse-Moi avec celui que J'ai créé seul,
12. et à qui J'ai donné des biens étendus,
13. et des enfants qui lui tiennent toujours compagnie,
14. pour qui aussi J'ai aplani toutes difficultés.
Puis :
26. Je vais le brûler dans le Feu intense (Saqar).
27 Et qui te dira ce qu'est Saqar?
28. Il ne laisse rien et n'épargne rien;
Chaque fois que je relis ces versets, l’image qui me vient à l’esprit est celle de deux arabes mal élevés qui commencent à se quereller en rue mais sont retenus par la foule et chacun des protagonistes crie « Laissez-Moi avec lui ».
Le Coran utilise systématiquement des termes offensants chaque fois qu’il mentionne les non musulmans. Il décrit les non musulmans comme des animaux en général (C.7: 179, C.25: 44, C.47: 12). Il décrit les Juifs comme des ânes (C. 62:5) puis comme des singes et des porcs (C.2: 65, C. 5:60, C. 7:166). Être traité d’animal est une grave insulte dans la culture arabe mais cochons, singes et ânes sont particulièrement insultants.
L’usage intensif d’insultes dans le Coran échappe à toute critique depuis des années, alors que l’emploi d’un pareil langage dans tout autre livre ou article le rendrait impubliable.[u]