gilmig a écrit:

gilmig a écrit:

Mais qui s’interroge lui-même et se demande s'il n'en fait pas partie !?

Les remises en question sont indispensables afin d'éviter cet écueil !

C'est pourquoi un examen de conscience régulier est nécessaire. Ce qui nous manque le plus, c'est le courage de voir nos côtés "obscurs", c'est la peur en fait qui nous paralyse. Pourtant, à bien y regarder, reconnaître leur présence en nous sans s'y morfondre peut nous permettre de nous réformer si nous en prenons l'engagement sincère. C'est le "connais-toi toi même" qui peut devenir notre "feuille de route", non seulement pour ces choses là, mais aussi pour le potentiel qui sommeille encore en nous. Nous ne sommes pas nos défauts, bien heureusement. Et si nous nous référons au sens de "manque de " d'"absence de", nous comprenons que l'hypocrisie est un manque de sincérité, que l'avarice est un manque de générosité, etc... Il nous reste donc non pas à combattre nos défauts, mais combler ces "manques de" par leur vertu correspondante, ce qui peut prendre toute une vie.
L'avantage, une fois qu'on a pris conscience de ce travail à faire, une fois que nous avons pris conscience de nos propres imperfections, c'est qu'on ne peut plus juger négativement ni condamner autrui sans se renier soi-même.

Bernard Amyr a écrit:

gilmig a écrit:

gilmig a écrit:

Mais qui s’interroge lui-même et se demande s'il n'en fait pas partie !?

Les remises en question sont indispensables afin d'éviter cet écueil !

C'est pourquoi un examen de conscience régulier est nécessaire. Ce qui nous manque le plus, c'est le courage de voir nos côtés "obscurs", c'est la peur en fait qui nous paralyse. Pourtant, à bien y regarder, reconnaître leur présence en nous sans s'y morfondre peut nous permettre de nous réformer si nous en prenons l'engagement sincère. C'est le "connais-toi toi même" qui peut devenir notre "feuille de route", non seulement pour ces choses là, mais aussi pour le potentiel qui sommeille encore en nous. Nous ne sommes pas nos défauts, bien heureusement. Et si nous nous référons au sens de "manque de " d'"absence de", nous comprenons que l'hypocrisie est un manque de sincérité, que l'avarice est un manque de générosité, etc... Il nous reste donc non pas à combattre nos défauts, mais combler ces "manques de" par leur vertu correspondante, ce qui peut prendre toute une vie.
L'avantage, une fois qu'on a pris conscience de ce travail à faire, une fois que nous avons pris conscience de nos propres imperfections, c'est qu'on ne peut plus juger négativement ni condamner autrui sans se renier soi-même.

Bonjour,

Voilà bien des Paroles (oui, ce "P" majuscule est justifié !) qui témoignent !

Puisse chacun s'en saisir, comme dans un relai, où le témoin qui vient du passé, de derrière, n'est donné , entre les mains du prochain, que pour mieux repartir vers l'avenir, vers l'avant, sans plus se retourner ...

Et c'est la démonstration de l'écueil pour beaucoup: ce relai entre leurs mains, placé par Ceux que Dieu a choisi pour Instruire les Hommes, au lieu de s'en saisir et d'aller de l'avant, ils se retournent sans cesse, entravant leur progression, ou , pour d'autres encore, ils courent même en direction de Celui Qui leur a posé le témoin dans la main, compromettant ainsi toutes leurs chances ...
Car Celui qui "a témoigné" , a "terminé sa course", là où la notre commence !

Ces témoins, ces relais, enfin, ces instructeurs, sont comme des bornes posées sur notre chemin pour nous remettre en mémoire ce que nous avons plus ou moins oublié, ou pour éclairer quelques points obscurs, à condition que nous nous mettions en résonnance avec eux. Pour cela, la pratique est essentielle (prière ou méditation entre autre). Si nous cherchons à approfondir ce qui nous a été confié, si nous pratiquons régulièrement, surtout si nous laissons ces "graines" germer en nous, nous finirons nous aussi, par notre oeuvre, par devenir aussi des relais pour les autres, du moins à notre modeste niveau (sans pour autant en tirer vanité car il y a tellement encore à apprendre).
Exprimé autrement, c'est à nous de rendre ces paroles vivantes, parce que nous les aurons réellement intégrées, afin d'aider notre prochain à progresser sur son propre sentier.

Non, je ne l'ai pas encore lu mais l'ouvrage doit se trouver dans la bibliothèque de la loge que je fréquente. Je l'emprunterai bientôt, à moins que je réussisse à le trouver dans une librairie.
Sinon, dans le même ordre d'idée, est-ce qu'il n'y a pas aussi un ouvrage qui s'appelle "les 7 dialogues avec l'ange"? Et de qui est-il?

http://www.lesamisdegittamallasz.org/index.php?option=com_content&view=article&id=63&Itemid=52&lang=fr