QUI SUIS-JE

Je ne suis ni mon corps ni ma nationalité, ni mon genre, ni mon âge, ni ma religion.
Alors qui suis-je? Je suis l’être pensant, qui est entrain de réfléchir à cet exposé, cet être avec un esprit et un intellect qui a pour tâche de raisonner sur les situations, les choses. Cet être possède aussi de la volonté et des désirs et d'autres capacités mentales abstraites. C'est ce que je suis.

Il y a eu des milliers de vrais cas de mort temporaire, où certains sont devenus inconscients après avoir été heurté par une voiture ou lorsqu’ils sont sur la table d'opération entrain de subir une opération, quand leur cerveau s’arrête de fonctionner pendant une courte période, de quelques dizaines de minutes. Par la suite, les patients racontent qu'ils ont flotté au-dessus de leurs corps et ont été capables de décrire précisément la scène entière en détail. Pendant cette expérience en dehors du corps ils ont la sensation d’être des minuscules êtres de lumière.
Tout cela est corroboré par les nombreuses expériences spirituelles des pratiquants de la méditation qui, eux-mêmes, ont fait l’expérience d’être un point de lumière infinitésimal.

Conclusion: Qui suis-je? Je ne suis pas le corps. Je ne suis ni le nom, ni le rôle, ni la nationalité, ni le genre, ni l'âge, ni la religion; ceux-ci sont les attributs du corps. Je suis la conscience, l'être de lumière qui réside au centre du front, derrière les yeux.

Aimé a écrit:

QUI SUIS-JE

Je ne suis ni mon corps ni ma nationalité, ni mon genre, ni mon âge, ni ma religion.
Alors qui suis-je? Je suis l’être pensant, qui est entrain de réfléchir à cet exposé, cet être avec un esprit et un intellect qui a pour tâche de raisonner sur les situations, les choses. Cet être possède aussi de la volonté et des désirs et d'autres capacités mentales abstraites. C'est ce que je suis.

Il y a eu des milliers de vrais cas de mort temporaire, où certains sont devenus inconscients après avoir été heurté par une voiture ou lorsqu’ils sont sur la table d'opération entrain de subir une opération, quand leur cerveau s’arrête de fonctionner pendant une courte période, de quelques dizaines de minutes. Par la suite, les patients racontent qu'ils ont flotté au-dessus de leurs corps et ont été capables de décrire précisément la scène entière en détail. Pendant cette expérience en dehors du corps ils ont la sensation d’être des minuscules êtres de lumière.
Tout cela est corroboré par les nombreuses expériences spirituelles des pratiquants de la méditation qui, eux-mêmes, ont fait l’expérience d’être un point de lumière infinitésimal.

Conclusion: Qui suis-je? Je ne suis pas le corps. Je ne suis ni le nom, ni le rôle, ni la nationalité, ni le genre, ni l'âge, ni la religion; ceux-ci sont les attributs du corps. Je suis la conscience, l'être de lumière qui réside au centre du front, derrière les yeux.

D'accord avec le reste, mais pas avec ça: " Je suis l’être pensant, qui est entrain de réfléchir à cet exposé, cet être avec un esprit et un intellect qui a pour tâche de raisonner sur les situations, les choses. Cet être possède aussi de la volonté et des désirs et d'autres capacités mentales abstraites. C'est ce que je suis."

Nous ne sommes pas, non plus, notre intellect, car nous ne sommes pas notre cerveau... qui est juste un instrument terrestre, lui aussi !

La meilleure "dimension" de qui nous sommes, est exposé par ceux qui narrent leurs vies antérieures: seules les vraies références spirituelles subsistent d'une vie à l'autre ou dans "l'au-delà" .



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Pour illustrer:


Dr Raymond Moody - La vie après la vie -1 de 5
envoyé par Introcrate. - L'info video en direct.

Et pour illustrer mon propos:



Tom Harpur Théologien_La Réincarnation
envoyé par Introcrate. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

Pour les brahma kumaris, l'âme, l'être spirituel différent du corps, a plusieurs facultés mentales parmi lesquelles trois facultés principales sont identifiées. En utilisant leurs noms Sanscrits, elles sont appelées:"Mann", "Bouddhi" et "Sanskars" - définies comme suit :


A) Mann (Esprit)
Mann est la faculté qui me sert à créer des pensées. Il est aussi appelé "l'esprit".
Des pensées sont continuellement créées parce que je suis stimulé par ce que les sens perçoivent ou par les autres activités mentales conscientes ou inconscientes qui se produisent à l'intérieur de moi.

B) Bouddhi (Intellect)
Bouddhi est la faculté qui me sert à discerner et décider. Je perçois les conséquences des pensées qui ont été créées par l’esprit et je prends une décision, s'il faut les mettre en action ou non.
Bouddhi peut être appelé "un récipient pour la Sagesse", puisque c'est la sagesse qui permet de faire des évaluations avantageuses et des décisions. Parfois l'expression, "donnez moi un bouddhi" est utilisée. Cela signifie, "Donnez-moi la sagesse", la sagesse pour prendre la décision juste.
Le bouddhi utilise plusieurs outils qui lui permettent de faire une évaluation. Principalement, il utilise la connaissance, mais aussi la conscience.
C) Sanskars (les Marques ou les empreintes produites par mes Actions) - les Traits de Personnalité, les Habitudes.
Quand une action est exécutée, l'esprit subconscient est marqué par un sanskar. Il y a beaucoup de sanskars, aussi bien négatifs que positifs, qui apparaissent ensemble dans la vie comme étant les différents aspects de ma personnalité.
Quand l'action est répétée, la marque devient une habitude et même une dépendance.
Ce sont ces marques ou sanskars qui influencent l'esprit dans la création des pensées. Les pensées sont créées sur la base des sanskars et des perceptions venant des organes des sens.
Quand je vois un lac calme, mon sanskar de paix surgit à la surface de mon esprit sous forme de pensées. Mais il est aussi possible que j'aie une phobie pour l'eau (un sanskar de crainte) et en voyant le lac, ce sont les pensées de peur qui surgissent. A l’extérieur c'est la même circonstance, mais mon sanskar interne agit différemment dans les deux cas.
J'entends une voix rauque appelant mon nom et mon sanskar ou l'habitude d'irritation ou de la crainte fait apparaître des pensées et des sentiments d'irritation ou de crainte. Le même sanskar peut être déclenché par une voix douce, si mon bouddhi évalue la voix douce en train d’essayer de me tromper. Si je n'ai pas de sanskar d'irritation, donc, en entendant la voix rauque, ce serait peut-être un sanskar de compassion, de pitié ou de la charité qui créerait des pensées correspondantes.