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Shariatpur, Bangladesh (CNN) - les derniers mots Hena Akhter à sa mère a proclamé son innocence. Mais il était trop tard pour sauver la jeune fille de 14 ans.

Ses autres villageois dans le district du Bangladesh Shariatpur avait déjà passé jugement sévère sur elle. Coupable, disaient-ils, d'avoir une liaison avec un homme marié. L'imam de la mosquée locale a ordonné la fatwa, ou décret religieux, et la punition: 101 coups de fouet livré rapidement, délibérément en public.

Hena abandonné après 70 ans.

Ensanglantés et meurtris, elle a été emmenée à l'hôpital, où elle est décédée une semaine plus tard.

Étonnamment, un rapport d'autopsie initiale cité aucun blessé, et sa mort considéré comme un suicide. Hena la famille a insisté pour son corps soit exhumé. Ils voulaient que le monde sache ce qui est vraiment arrivé à leur fille.

Charia: illégale mais toujours pratiquée

Hena la famille était originaire de régions rurales Shariatpur, sillonné de rivières troubles qui prêtent eaux des rizières et champs de légumes luxuriants.

Hena était le plus jeune de cinq enfants nés de Darbesh Khan, un journalier, et sa femme, Aklima Begum. Ils ont partagé une hutte faite de tôle ondulée et de bois en décomposition et menait une vie simple qui a été soudainement troublé il ya un an avec le retour de Khan Hena le cousin de Mahbub.

Mahbub Khan revint à Shariatpur après un séjour de travail en Malaisie. Son fils était âgé de Hena et les deux étaient en septième année ensemble.

Khan yeux Hena et a commencé à la harceler sur son chemin de l'école et le dos, dit le père de Hena. Il s'est plaint aux anciens qui dirigent le village de son neveu, soit trois fois l'âge de Hena.

Les anciens admonesté Mahbub Khan et lui a ordonné de payer 1000 $ d'amendes à la famille de Hena. Mais Mahbub était Darbesh du frère aîné, le fils et Darbesh a été invité à laisser l'affaire se fanent.

Plusieurs mois plus tard par une nuit d'hiver, comme la sœur de Hena Alya dit que, Hena a été à pied de sa chambre pour une toilette extérieure où Mahbub Khan l'a bâillonnée avec un chiffon, l'a forcée derrière des arbustes à proximité et battue et violée.

Hena se débattaient pour s'échapper, Alya a déclaré à CNN. femme Mahbub Khan a entendu Hena de sourd des cris et quand elle a trouvé Hena avec son mari, elle a traîné l'adolescente de retour à sa cabane, battue et piétinée sur le sol.

Le lendemain, les anciens du village se sont réunis pour discuter de l'affaire à la maison de Mahbub Khan, a déclaré Alya. L'imam a prononcé ses fatwa. Khan et Hena ont été reconnus coupables d'une relation illicite. Sa peine en vertu de la charia islamique ou était de 101 coups de fouet, son 201.

Mahbub Khan a réussi à s'enfuir après les coups de fouet des premières années.

Darbesh Khan et Aklima Begum n'avait pas le choix, mais à l'esprit afin de l'imam. Ils ont observé que le whip a éclaté la peau de leur enfant le plus jeune et elle est tombée inconsciente sur le sol.

"Qu'est-il arrivé à Hena est regrettable et nous devons tous avoir honte que nous ne pouvions pas lui sauver la vie», a déclaré Sultana Kamal, qui dirige l'organisation des droits de l'Ain o Shalish Kendro.

Le Bangladesh est considéré comme un pays démocratique et musulman modéré, et la législation nationale interdit la pratique de la charia. Mais activiste et journaliste Salah Uddin Shoaib Choudhury, qui documente ce cas, dit la charia est encore très en usage dans les villes et villages aidés par le manque d'éducation et de solides systèmes judiciaires.

La Cour suprême a également interdit fatwas il ya une décennie, mais des droits humains ont documenté plus de 500 cas de femmes dans les 10 années qui ont été sanctionnés par un décret religieux. Et quelques-uns qui ont émis de telles décisions ont été inculpés.

Le mois dernier, le tribunal a demandé au gouvernement d'expliquer ce qu'elle avait fait pour arrêter les exécutions extrajudiciaires peine sur la base fatwa. Il a ordonné la diffusion de l'information à toutes les mosquées et les madrassas, ou écoles religieuses, que la charia est illégale au Bangladesh.

"Le gouvernement doit adopter une loi spécifique pour faire face à ces auteurs responsables de la sanction extrajudiciaire au nom de l'islam", Kamal a déclaré à CNN.

Les Nations Unies estiment que près de la moitié des femmes du Bangladesh souffrent de violence domestique et beaucoup aussi souvent supporter le viol, les coups, attaques à l'acide et même la mort en raison de retranchés du pays système patriarcal.

Hena aurait pu tranquillement devenir un autre de ces statistiques si elle n'avait pas été pour la levée de boucliers et de l'attention médiatique qui a suivi sa mort, le 31 Janvier.

«Pas même assez vieux pour se marier»

Lundi, les médecins chargés des poursuites Hena la première autopsie face à ce qu'un tribunal appelé un «faux reportage post-mortem de cacher la cause réelle du décès de Hena."

L'indignation publique suscitée par ce rapport d'autopsie a incité le tribunal de grande instance d'ordonner l'exhumation du corps de Hena en Février. Une seconde autopsie réalisée à Dhaka Medical College Hospital a révélé Hena était mort d'une hémorragie interne et son corps portait des traces de blessures graves.

La police est actuellement à une enquête et ont arrêté plusieurs personnes, y compris Mahbub Khan, dans le cadre de la mort de Hena.

"Je n'ai rien à la demande, mais la justice», a déclaré Darbesh Khan, leader d'un journaliste à l'endroit où sa fille a été enlevée la nuit, elle a été violée.

Il se tenait dans le silence et prit une profonde inspiration. Elle n'était même pas assez vieux pour se marier, dit-il, témoigne de la tendresse Hena dans une partie du monde où de nombreuses jeunes filles sont mariées avant l'âge adulte. "Elle était si petite."

la mère de Hena, Aklima, regardait vaguement comme elle parlait de dernières heures de sa fille. Elle pouvait à peine sortir ses mots. "Elle était innocente", a déclaré Aklima, rappelant les derniers mots de Hena.

Police gardaient famille Hena plus tôt ce mois-ci. Darbesh et Aklima craignaient des représailles pour avoir parlé contre l'imam et les anciens du village.

Ils avaient infligé la peine la plus sévère de leur fille cadette. Ils pourraient ne rien mettre devant eux.

Journaliste Farid Ahmed signalé Shariatpur, le Bangladesh, et CNN Moni Basu rapporté d'Atlanta.

http://religion.blogs.cnn.com/2011/03/30/only-14-bangladeshi-girl-charged-with-adultery-was-lashed-to-death/

tu aurais du mettre les photos qui accompagnait le message ..... pour leurs montrer les horreurs en pleine face!






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