Sukyo Mahikari
Il s'agit d'une association fondée au Japon en 1960 par Kotama OKADA, ancien officier de la garde impériale de l'Empereur du Japon, tout dévoué à la suprématie de celui-ci.
Des révélations successives (22 !) donnent à OKADA la mission et le pouvoir (transmissible) de purifier tout homme et l'univers en " transmettant la Lumière divine par la paume de la main - c'est l'Okyome ".
À la mort du fondateur, une scission oppose le successeur désigné, Sekigutchi dont la secte prospère au Japon, à la fille adoptive d'Okada, Keiju Okada. Déclarée par ses soins à Paris en 1973 sous le nouveau vocable de " Sukyo Mahikari ", Lumière de vérité, la secte active et discrète multiplie ses implantations en France, en Europe, en Afrique francophone.
Les initiations se font au Dojo ; en France, les deux premiers degrés ; au Japon, le troisième. Les promesses de guérisons attirent de nombreux adeptes... et leurs dons, que ce soit pour demander, pour réitérer la demande en cas d'échec, pour remercier en cas de succès ! Les ressources de la secte deviennent ainsi considérables et l'endoctrinement assuré.
• Historique Clicanoo, 9 juillet 2004
Créée en 1959 par un ancien officier japonais, Yoshikazu Okada, persuadé d’avoir reçu pour mission de sauver l’humanité en transmettant la Lumière Divine. Le mouvement s’est ensuite scindé en au moins deux réseaux à la mort de son fondateur en 1974. La fille adoptive d’Okada, Keiju (ou Keishu), est alors entrée en lutte contre l’héritier désigné. Quelques années plus tard, les deux protagonistes fondèrent chacun leur propre mouvement, au terme d’un procès. En France, c’est le réseau de Keiju qui est le plus implanté, baptisé Sukyo Mahikari France. La secte, qui préfère bien sûr le terme d’association, est implantée à la Réunion depuis une quinzaine d’années. Le siège mondial est au Japon. L’antenne réunionnaise dépend pour sa part d’un siège parisien.
• Le Dieu Su
Chaque adepte doit porter un petit médaillon, Omitama, qui le relie au Dieu Su, par l’intermédiaire d’un esprit divin. Ce pendentif, dont l’existence est niée par le responsable actuel de l’antenne réunionnaise, concentre toute l’attention des pratiquants qui doivent sans cesse veiller à sa pureté.