Bonjour,



- il est dit que l'aile des mouches serait l'une est un poison et l'autre serait l'antidote, que dit les scientifiques à ce sujet ?

- Dans cet hadith, il est indiquait que le prophète de l'islam, oublie des versets du coran !

- Il existe des hadiths fort et faible qui a eu ses révélations et qui indique qu'elles sont " fort ou faible " ?

C'est un miracle du grand mohamed tu savais pas ? lol
euh ! en vrai j'en sais rien mais une chose est sur c'est que les ailes de mouche ne tu pas !

---- REPLIQUE :



1 - BOFF , l'islam a beau jeu car ils n'ont

2 - Qu'a dire que ces hadiths ne sont pas

3 - Confirmes par le coran , il faut suivre

4 - Les regles de l'islam pour que ce soit

5 - " Coheran " avec le coran

6 - Parcontre si un hadith va dans le sens

7 - De leur dogme , il vont le classer comme

8 - " AUTHENTIQUE "

9 - Et si apres toutes ces explications-la

10 - Vous ne comprenez pas , c'est parce que vous

11 - Ne connaissez pas l'arabe qui " elle " est tres claire

12 - Toujours d'apres l'islam .

13 - Car la logique de l'islam est UNIQUE au monde .



LOGIQUEMENT : SPIRITANGEL

arnica a écrit:

C'est un miracle du grand mohamed tu savais pas ? lol
euh ! en vrai j'en sais rien mais une chose est sur c'est que les ailes de mouche ne tu pas !

Mais je n'en mangerais pas

c'est super bon en fricasser !

En fricasser ou à la broche

:lol!:

au barbecue :lol!:

arnica a écrit:

C'est un miracle du grand mohamed tu savais pas ? lol
euh ! en vrai j'en sais rien mais une chose est sur c'est que les ailes de mouche ne tu pas !

The surface of flies is the last place you would expect to find antibiotics, yet that is exactly where a team of Australian researchers is concentrating their efforts.

Working on the theory that flies must have remarkable antimicrobial defences to survive rotting dung, meat and fruit, the team at the Department of Biological Sciences, Macquarie University, set out to identify those antibacterial properties manifesting at different stages of a fly's development.

"Our research is a small part of a global research effort for new antibiotics, but we are looking where we believe no-one has looked before," said Ms Joanne Clarke, who presented the group's findings at the Australian Society for Microbiology Conference in Melbourne this week. The project is part of her PhD thesis.

The scientists tested four different species of fly: a house fly, a sheep blowfly, a vinegar fruit fly and the control, a Queensland fruit fly which lays its eggs in fresh fruit. These larvae do not need as much antibacterial compound because they do not come into contact with as much bacteria.

Flies go through the life stages of larvae and pupae before becoming adults. In the pupae stage, the fly is encased in a protective casing and does not feed. "We predicted they would not produce many antibiotics," said Ms Clarke.

They did not. However the larvae all showed antibacterial properties (except that of the Queensland fruit fly control).

As did all the adult fly species, including the Queensland fruit fly (which at this point requires antibacterial protection because it has contact with other flies and is mobile).

Such properties were present on the fly surface in all four species, although antibacterial properties occur in the gut as well. "You find activity in both places," said Ms Clarke.

"The reason we concentrated on the surface is because it is a simpler extraction."

The antibiotic material is extracted by drowning the flies in ethanol, then running the mixture through a filter to obtain the crude extract.

When this was placed in a solution with various bacteria including E.coli, Golden Staph, Candida (a yeast) and a common hospital pathogen, antibiotic action was observed every time.

"We are now trying to identify the specific antibacterial compounds," said Ms Clarke. Ultimately these will be chemically synthesised.

Because the compounds are not from bacteria, any genes conferring resistance to them may not be as easily transferred into pathogens. It is hoped this new form of antibiotics will have a longer effective therapeutic life.

traduction :

La surface des mouches est le dernier endroit où vous vous attendez à trouver des antibiotiques, mais c'est exactement là où une équipe de chercheurs australiens se concentre leurs efforts.

De travail sur la théorie que les mouches doivent être remarquables défenses antimicrobiennes pour survivre pourriture bouse, de la viande et des fruits, l'équipe du Département des sciences biologiques, Université Macquarie, a entrepris d'identifier ces propriétés antibactériennes qui se manifestent à différents stades de développement d'une mouche.

«Notre recherche est une petite partie d'un effort global de recherche de nouveaux antibiotiques, mais nous cherchons où nous croyons que personne n'a regardé avant», a déclaré Mme Joanne Clarke, qui a présenté les conclusions du groupe à l'Australian Society for Microbiology Conférence à Melbourne cette semaine. Le projet s'inscrit dans le cadre de sa thèse de doctorat.

Les chercheurs ont testé quatre espèces de mouches: une mouche maison, un mouton mouches à viande, une mouche des fruits vinaigre et le contrôle, une mouche des fruits du Queensland qui pond ses œufs dans les fruits frais. Ces larves n'ont pas besoin d'un composé antibactérien beaucoup parce qu'ils n'entrent pas en contact avec des bactéries autant.

Les mouches passer par les étapes de la vie des larves et des pupes avant de devenir adultes. Dans l'étape de chrysalides, la mouche est enfermé dans un carter de protection et ne se nourrissent pas. "Nous avons prédit qu'ils ne produisent de nombreux antibiotiques», a déclaré Mme Clarke.

Ils n'ont pas. Cependant, les larves ont tous montré des propriétés antibactériennes (sauf celle du témoin Queensland mouche des fruits).

Comme l'ont fait toutes les espèces de mouches des adultes, comme la mouche des fruits du Queensland (qui, à ce point nécessite une protection antibactérienne, car il est en contact avec d'autres mouches et mobile).

Ces propriétés étaient présents sur la surface de la mouche dans les quatre espèces, bien que des propriétés antibactériennes se produisent dans l'intestin ainsi. "Vous trouvez l'activité dans les deux endroits», a déclaré Mme Clarke.

"La raison pour laquelle nous nous sommes concentrés sur la surface parce qu'il est plus simple d'extraction."

Le matériau est extrait par antibiotique noyer les mouches dans l'éthanol, puis de mélange à travers un filtre pour obtenir l'extrait brut.

Lorsque cela a été placée dans une solution de bactéries diverses, y compris E. coli, staphylocoque doré, Candida (une levure) et un agent pathogène hôpital commun, action antibiotique a été observée à chaque fois.

"Nous essayons maintenant d'identifier les composés antibactériens spécifiques», a déclaré Mme Clarke. En fin de compte ils seront synthétisés chimiquement.

Parce que les composés ne sont pas des bactéries, des gènes conférant une résistance à eux peuvent ne pas être aussi facilement transféré dans pathogènes. On espère que cette nouvelle forme d'antibiotiques aura une longue durée de vie thérapeutique efficace.

Les mouches et les infections :

http://www.3trois3.com/biosecurite_des_elevages/2-les-mouches-vecteurs-de-maladies-modes-de-transmission_816/


http://www.pastpare.com/que-faire-contre-les-mouches-.html#.UD0ZH6BNhxY

ZLITNI a écrit:

Pas de hors sujets merci. Nicodème.

cher nicodeme ce n'est pas un hors sujet c'est une replique bref tu n'a pas repondu a ce travail des australiens qui ont verifiés les dires de notre prophete il y a 1400 ans et l'on trouvé qu'il est veridique et son hadith est fiable

J'y ai répondu à travers les liens que j'ai mis ci-dessus.

Merci à Capucine d'avoir traduit ton texte.