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| La Shariah incompatible avec les droits de l'homme | |
| Auteur | Message |
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Amada .
Date d'inscription : 20/02/2011 Messages : 2240 Pays : France R E L I G I O N : Sans
| Sujet: La Shariah incompatible avec les droits de l'homme Sam 11 Aoû 2012, 2:44 am | |
| La Shariah incompatible avec les droits de l'homme
Cour européenne des droits de l'homme Extraits de l’arrêt du 31 juillet 2001
La Cour européenne des droits de l’homme a estimé que la Charia est incompatible avec la Convention européenne des droits de l’homme de 1950. Il s’agissait à cette occasion pour la Cour de juger si le gouvernement turc avait le droit de dissoudre un parti islamique turc, le Refah, en raison des valeurs prônées par ce parti (la Charia notamment). La Cour a validé la dissolution du Refah. Du jugement final, on citera essentiellement les extraits suivants :
• La Cour constitutionnelle a rappelé qu’un tel système (la charia), qui avait ses origines dans l’histoire de l’Islam en tant que régime politique, s’opposait au sentiment d’appartenance à une nation ayant une unité législative et judiciaire.
• Pour la Cour constitutionnelle, la Charia serait l’antithèse de la démocratie, dans la mesure où elle se fonde sur des valeurs dogmatiques et est le contraire de la suprématie de la raison, des conceptions de la liberté, de l’indépendance, ou de l’idéal de l’humanité développé à la lumière de la science.
• La Cour reconnaît que la Charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
• La Cour relève que (…) les références explicites à l’instauration de la Charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout.
• Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.
• La Cour constitutionnelle (fait également référence) à la notion de djihad, qui se définit, dans son sens premier, comme la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société.
• La Cour constate également que les propos tenus par Xxxxx, le député d’Ankara, (…) traduisaient une haine profonde envers ceux qu’il considérait comme des opposants au régime islamiste. La Cour estime à cet égard que lorsque le comportement incriminé atteint un tel niveau élevé d’insulte et se rapproche d’une négation de la liberté de religion d’autrui, il perd pour lui-même le droit d’être toléré par la société. » Extraits de l’arrêt du 13 février 2003
• La Cour rappelle que la liberté de pensée, de conscience et de religion représente l’une des assises d’une « société démocratique » au sens de la Convention. Cette liberté figure, dans sa dimension religieuse, parmi les éléments les plus essentiels de l’identité des croyants et de leur conception de la vie, mais elle est aussi un bien précieux pour les athées, les agnostiques, les sceptiques ou les indifférents.
• Il y va du pluralisme – chèrement conquis au cours des siècles – qui ne saurait être dissocié de pareille société. Cette liberté implique, notamment, celle d’adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer.
• Par ailleurs, dans une société démocratique, où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté en question de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun.
• Selon la Cour, dans une société démocratique, l’Etat peut limiter la liberté de manifester une religion, par exemple le port du foulard islamique, si l’usage de cette liberté nuit à l’objectif visé de protection des droits et libertés d’autrui, de l’ordre et de la sécurité publique
• La Cour estime (…) qu’un parti politique dont les responsables incitent à recourir à la violence ou proposent un projet politique qui ne respecte pas la démocratie ou qui vise la destruction de celle-ci ainsi que la méconnaissance des droits et libertés qu’elle reconnaît, ne peut se prévaloir de la protection de la Convention contre les sanctions infligées pour ces motifs.
• Nul ne doit être autorisé à se prévaloir des dispositions de la Convention pour affaiblir ou détruire les idéaux et valeurs d’une société démocratique.
• Dans ce contexte, la Cour considère qu’il n’est pas du tout improbable que des mouvements totalitaires, organisés sous la forme de partis politiques, mettent fin à la démocratie, après avoir prospéré sous le régime démocratique. L’histoire européenne contemporaine en connaît des exemples.
• La Cour partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie.
• A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
• La Cour relève que (…) l’instauration de la charia est difficilement compatible avec les principes fondamentaux de la démocratie.
• Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.
• La Cour considère que, quelle que soit l’acception que l’on donne à la notion de djihad (dont le premier sens est la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société), invoquée dans la plupart des discours mentionnés ci-dessus, une ambiguïté régnait dans la terminologie utilisée quant à la méthode à employer pour accéder au pouvoir politique.
http://blog.sami-aldeeb.com/2011/01/18/la-loi-islamique-est-incompatible-avec-la-democratie-et-les-droits-de-lhomme
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| | | ysov .
Date d'inscription : 19/07/2012 Messages : 143 Pays : Canada R E L I G I O N : Catholique romain
| Sujet: Re: La Shariah incompatible avec les droits de l'homme Sam 11 Aoû 2012, 3:50 am | |
| Un autre exemple éloquent sur ce que beaucoup savent, que la religion islamique est incompatible avec la démocratie, les droits de l'homme qui ces deux choses là sont compatibles avec le christianisme. D'ailleurs, les droits de l'homme est une forme d'héritage des enseignements du Christ, qui enseigna par ses paroles et ses actes que le respect envers le prochain ne s'applique pas qu'aux chrétiens, mais doit s'appliquer à tout être humain, car seul DIEU peut disposer de chaque être et non l'humain, alors que la religion musulmane, qui en ayant la même notion, est cependant exclusive qu'aux musulmans, alors que les autres méritent soit le statut de dhimmi, ou bien l'esclavage et la mort pour les autres humains non issus d'une des deux autres religions monothéistes. Cela est une preuve de plus, que cette religion est issu de l'homme moyen-oriental et non de DIEU. |
| | | abdemem MODERATION
Date d'inscription : 11/08/2011 Messages : 5521 Pays : Tunisie R E L I G I O N : Musulman
| Sujet: Re: La Shariah incompatible avec les droits de l'homme Mer 15 Aoû 2012, 12:14 am | |
| Voilà le vrai point de vue islamique sur les Droits de l'homme: Mohammed SWS défendit les droits des hommes et des femmes, des jeunes et des personnes âgées, quels que soient leur condition sociale et leurs niveaux de vie. Il établit dans ce domaine un ensemble de principes éminents. Il insista, par exemple, lors de son sermon d'adieu, moins de trois mois avant son décès, sur l'interdiction la plus formelle de verser le sang des gens, de transgresser leurs biens et leur honneur, et ceci, avant que le monde ne connaisse la Grande Charte de 1215G, la Pétition des Droits de 1628G, la Loi d'Habeas Corpus (libertés individuelles) de 1679G, la Déclaration d'indépendance américaine de 1776G, la Charte des droits de l'homme et du citoyen de 1789 et la Déclaration universelle des droits de l'homme en 1948G. Les principes de protection des droits, que la législation islamique a établis pour les hommes, précédèrent de plusieurs siècles toutes les autres déclarations sur les droits de l'homme, et ils ne furent pas restreints aux droits des hommes, mais embrassèrent les droits des animaux, des plantes et de l'environnement, dont la protection fut considérée comme étant une branche de la foi. Le Prophète Mohammed SWS affirma ainsi que : « La foi comporte un peu plus de soixante-dix branches. La plus noble en est l'affirmation qu'il n'y a de divinité digne d'être adorée qu'Allah et la plus infime est l'action de retirer de la route ce qui peut nuire aux passants. » Tout comme il interdit de faire ses besoins dans les lieux ombragés, où les gens sont susceptibles de s'arrêter pour s'y reposer ! Parmi les principes généraux à ce sujet, on trouve : La protection de la vie humaine – l'Islam vint avec plusieurs lois, décrets et interdits, tels que : L'interdiction de prendre une vie sans droit légal, et le fait de considérer l'assassinat d'une seule âme comme équivalent à l’assassinat de l'humanité toute entière. Allah dit : ( […] celui qui tue une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. ) L'interdiction du suicide – Le Prophète dit : « Quiconque se précipite du haut d’une montagne et se tue sera jeté dans le feu de la géhenne, où il ne cessera de chuter éternellement, et quiconque a ingurgité un poison et s'est tué avec, aura ce poison dans sa main et l'ingurgitera pour l'éternité dans le feu de la géhenne » . L'interdiction de tout moyen pouvant conduire au crime. Le Prophète dit : « Celui qui pointe son épée vers nous ne fait pas partie de nous » . L'interdiction de faire peur aux autres et de les effrayer, même en plaisantant. L'interdiction de blesser, même si ce n'est qu'une probabilité, comme l'injonction faite à celui qui passe par un marché avec des flèches de protéger leurs têtes pour ne blesser personne. Le Prophète dit : « Que celui qui passe par une de nos mosquées ou un de nos marchés avec des flèches les tiennent par leurs têtes, de façon à ce qu'il ne blesse aucun musulman. » Les textes prophétiques qui interdisent de faire du mal sont très nombreux, on peut citer cette parole du prophète : « Celui qui pointe une arme vers son frère, les anges le maudissent, et ce, même s'ils sont frères du même père et de la même mère. » Et il plaça le fait d'empêcher de blesser quelqu'un parmi les droits des passants, que le musulman se doit de respecter.
La protection de la raison – l'interdiction de tout ce qui peut nuire à l'esprit : Les choses nuisibles, organiquement parlant, comme le fait de boire des boissons alcoolisées ou de prendre des drogues. Le Prophète dit : « Toute boisson enivrante est du vin et tout vin est interdit. » Les choses nuisibles, spirituellement parlant, comme les croyances superstitieuses, l'utilisation de la magie, l'imitation aveugle des autres et le fait de refuser de raisonner avec logique.
La protection de la descendance : L'encouragement au mariage. Le Prophète dit : « Ô jeunes hommes ! Celui parmi vous qui a la capacité de se marier, qu'il se marie donc ! » L'interdiction de tuer ses enfants et de faire avorter les femmes enceintes. Allah dit : (Et ne tuez pas vos enfants [...] ) . L'Islam interdit de tuer le fœtus ou de tenter de le faire tomber, à moins qu'il ne constitue un danger certain pour la survie de la mère. La protection de la chasteté et de l'honneur : L'interdiction de la fornication et de l'adultère, et l'association d'une peine légale pour ceux qui s'en rendraient coupables. Allah dit : ( Et n’approchez pas la fornication. En vérité, c’est une abomination et quel mauvais chemin ! ) Et Il légiféra ceci : ( La fornicatrice et le fornicateur, affligez à chacun d’eux cent coups de fouet […] ) . L'interdiction des fausses accusations et l'association d'une peine légale pour les coupables. Allah dit : (Ceux qui lancent des accusations contre les femmes vertueuses, chastes et croyantes sont maudits ici-bas comme dans l’au-delà. Ils auront un châtiment énorme. ) Il dit aussi : ( Quant à ceux qui lancent des accusations contre les femmes chastes sans amener par la suite quatre témoins, infligez leurs quatre-vingts coups de fouet et n’acceptez plus jamais leur témoignage. Et ce sont eux les pervers. ) Le Prophète dit : « Écartez-vous des sept grands péchés qui mènent à la perdition ! » et il nomma parmi eux le fait d'« accuser de fornication les croyantes chastes et insouciantes. » Le conseil d'éviter les situations embarrassantes et suspicieuses, afin de se prémunir contre les critiques touchant à la conduite et au comportement. La préservation des biens : L'injonction de rester modéré dans les dépenses. Allah – glorifié et exalté soit-Il – dit : (Ne retiens pas ta main par avarice, et ne la tend pas en dilapidant tes biens, tu te trouverais alors blâmé et plein de remords. ) La législation de peines précises pour ceux qui s'accaparent les biens d'autrui en toute injustice. L'ordre de prendre soin des biens des orphelins et des personnes faibles dans la société. L'interdiction de l'usure (les intérêts) et de dévorer illicitement l'argent des gens . Le respect de la femme : L'insistance avec laquelle le Prophète exhorta que l'on prenne soin des femmes. Il fut rapporté de nombreux hadiths à ce propos, parmi ceux-ci : « Comportez-vous bien avec les femmes » et sa parole : « Le meilleur d'entre vous est celui qui se comporte le mieux avec sa famille, et je suis celui parmi vous qui se comporte le mieux avec sa famille. » La femme est la sœur de l'homme comme le Prophète le rappela dans le hadith : « Les femmes sont les sœurs des hommes. » La participation des femmes au même titre que les hommes aux pratiques religieuses et aux travaux sociaux. Allah dit : (Les croyants et les croyantes sont les alliés les uns des autres. Ils ordonnent le bien, interdisent le mal, accomplissent la prière, acquittent la Zakât et obéissent à Allah et à Son messager. Voilà ceux auxquels Allah fera miséricorde, car Allah est Puissant et Sage. ) Le droit des femmes à l'éducation et à l'enseignement : il fut établi par plusieurs chaînes de narration qu'une femme éduquée, parmi les compagnons du Prophète – qu’Allah soit satisfait d’eux -, apprit l'écriture à Hafsah, la fille de 'Umar et la femme du Prophète SWS. Ce dernier montra son approbation, ce qui, en soi, constitue une preuve de sa volonté à donner les moyens à la femme de s'instruire, puisqu'il est l'exemple pratique qu'il convient de suivre dans notre comportement à l'intérieur de nos familles. Le droit des femmes à posséder de l'argent. L'Islam leur donna le droit à l'héritage, au même titre que les hommes, et il compléta cela par l'obligation faite aux hommes de donner une dot de mariage à leur épouse, et de dépenser pour leur femme et leurs enfants, et ce, même si la situation financière de l’épouse est aisée. L'Islam leur donna le droit de vendre, d'acheter, de louer, de faire des dons, de donner leur argent en charités, et d'autres droits encore. |
| | | SPIRITANGEL Co-Admin
Date d'inscription : 10/01/2010 Messages : 10765 Pays : MONTREAL QUEBEC CANADA R E L I G I O N : CROYANT DI
| Sujet: Re: La Shariah incompatible avec les droits de l'homme Mer 15 Aoû 2012, 1:23 am | |
| ---- REPLIQUE INTELLIGENTE POUR INTELLIGENTS " SEULEMENT " - abdemem a écrit:
- Voilà le vrai point de vue islamique sur les Droits de l'homme:
Mohammed SWS défendit les droits des hommes et des femmes, des jeunes et des personnes âgées, quels que soient leur condition sociale et leurs niveaux de vie. Il établit dans ce domaine un ensemble de principes éminents. Il insista, par exemple, lors de son sermon d'adieu, moins de trois mois avant son décès, sur l'interdiction la plus formelle de verser le sang des gens, de transgresser leurs biens et leur honneur, et ceci, avant que le monde ne connaisse la Grande Charte de 1215G, la Pétition des Droits de 1628G, la Loi d'Habeas Corpus (libertés individuelles) de 1679G, la Déclaration d'indépendance américaine de 1776G, la Charte des droits de l'homme et du citoyen de 1789 et la Déclaration universelle des droits de l'homme en 1948G. Les principes de protection des droits, que la législation islamique a établis pour les hommes, précédèrent de plusieurs siècles toutes les autres déclarations sur les droits de l'homme, et ils ne furent pas restreints aux droits des hommes, mais embrassèrent les droits des animaux, des plantes et de l'environnement, dont la protection fut considérée comme étant une branche de la foi. Le Prophète Mohammed SWS affirma ainsi que : « La foi comporte un peu plus de soixante-dix branches. La plus noble en est l'affirmation qu'il n'y a de divinité digne d'être adorée qu'Allah et la plus infime est l'action de retirer de la route ce qui peut nuire aux passants. » Tout comme il interdit de faire ses besoins dans les lieux ombragés, où les gens sont susceptibles de s'arrêter pour s'y reposer ! Parmi les principes généraux à ce sujet, on trouve : La protection de la vie humaine – l'Islam vint avec plusieurs lois, décrets et interdits, tels que : L'interdiction de prendre une vie sans droit légal, et le fait de considérer l'assassinat d'une seule âme comme équivalent à l’assassinat de l'humanité toute entière. Allah dit : ( […] celui qui tue une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. ) L'interdiction du suicide – Le Prophète dit : « Quiconque se précipite du haut d’une montagne et se tue sera jeté dans le feu de la géhenne, où il ne cessera de chuter éternellement, et quiconque a ingurgité un poison et s'est tué avec, aura ce poison dans sa main et l'ingurgitera pour l'éternité dans le feu de la géhenne » . L'interdiction de tout moyen pouvant conduire au crime. Le Prophète dit : « Celui qui pointe son épée vers nous ne fait pas partie de nous » . L'interdiction de faire peur aux autres et de les effrayer, même en plaisantant. L'interdiction de blesser, même si ce n'est qu'une probabilité, comme l'injonction faite à celui qui passe par un marché avec des flèches de protéger leurs têtes pour ne blesser personne. Le Prophète dit : « Que celui qui passe par une de nos mosquées ou un de nos marchés avec des flèches les tiennent par leurs têtes, de façon à ce qu'il ne blesse aucun musulman. » Les textes prophétiques qui interdisent de faire du mal sont très nombreux, on peut citer cette parole du prophète : « Celui qui pointe une arme vers son frère, les anges le maudissent, et ce, même s'ils sont frères du même père et de la même mère. » Et il plaça le fait d'empêcher de blesser quelqu'un parmi les droits des passants, que le musulman se doit de respecter.
La protection de la raison – l'interdiction de tout ce qui peut nuire à l'esprit : Les choses nuisibles, organiquement parlant, comme le fait de boire des boissons alcoolisées ou de prendre des drogues. Le Prophète dit : « Toute boisson enivrante est du vin et tout vin est interdit. » Les choses nuisibles, spirituellement parlant, comme les croyances superstitieuses, l'utilisation de la magie, l'imitation aveugle des autres et le fait de refuser de raisonner avec logique.
La protection de la descendance : L'encouragement au mariage. Le Prophète dit : « Ô jeunes hommes ! Celui parmi vous qui a la capacité de se marier, qu'il se marie donc ! » L'interdiction de tuer ses enfants et de faire avorter les femmes enceintes. Allah dit : (Et ne tuez pas vos enfants [...] ) . L'Islam interdit de tuer le fœtus ou de tenter de le faire tomber, à moins qu'il ne constitue un danger certain pour la survie de la mère. La protection de la chasteté et de l'honneur : L'interdiction de la fornication et de l'adultère, et l'association d'une peine légale pour ceux qui s'en rendraient coupables. Allah dit : ( Et n’approchez pas la fornication. En vérité, c’est une abomination et quel mauvais chemin ! ) Et Il légiféra ceci : ( La fornicatrice et le fornicateur, affligez à chacun d’eux cent coups de fouet […] ) . L'interdiction des fausses accusations et l'association d'une peine légale pour les coupables. Allah dit : (Ceux qui lancent des accusations contre les femmes vertueuses, chastes et croyantes sont maudits ici-bas comme dans l’au-delà. Ils auront un châtiment énorme. ) Il dit aussi : ( Quant à ceux qui lancent des accusations contre les femmes chastes sans amener par la suite quatre témoins, infligez leurs quatre-vingts coups de fouet et n’acceptez plus jamais leur témoignage. Et ce sont eux les pervers. ) Le Prophète dit : « Écartez-vous des sept grands péchés qui mènent à la perdition ! » et il nomma parmi eux le fait d'« accuser de fornication les croyantes chastes et insouciantes. » Le conseil d'éviter les situations embarrassantes et suspicieuses, afin de se prémunir contre les critiques touchant à la conduite et au comportement. La préservation des biens : L'injonction de rester modéré dans les dépenses. Allah – glorifié et exalté soit-Il – dit : (Ne retiens pas ta main par avarice, et ne la tend pas en dilapidant tes biens, tu te trouverais alors blâmé et plein de remords. ) La législation de peines précises pour ceux qui s'accaparent les biens d'autrui en toute injustice. L'ordre de prendre soin des biens des orphelins et des personnes faibles dans la société. L'interdiction de l'usure (les intérêts) et de dévorer illicitement l'argent des gens . Le respect de la femme : L'insistance avec laquelle le Prophète exhorta que l'on prenne soin des femmes. Il fut rapporté de nombreux hadiths à ce propos, parmi ceux-ci : « Comportez-vous bien avec les femmes » et sa parole : « Le meilleur d'entre vous est celui qui se comporte le mieux avec sa famille, et je suis celui parmi vous qui se comporte le mieux avec sa famille. » La femme est la sœur de l'homme comme le Prophète le rappela dans le hadith : « Les femmes sont les sœurs des hommes. » La participation des femmes au même titre que les hommes aux pratiques religieuses et aux travaux sociaux. Allah dit : (Les croyants et les croyantes sont les alliés les uns des autres. Ils ordonnent le bien, interdisent le mal, accomplissent la prière, acquittent la Zakât et obéissent à Allah et à Son messager. Voilà ceux auxquels Allah fera miséricorde, car Allah est Puissant et Sage. ) Le droit des femmes à l'éducation et à l'enseignement : il fut établi par plusieurs chaînes de narration qu'une femme éduquée, parmi les compagnons du Prophète – qu’Allah soit satisfait d’eux -, apprit l'écriture à Hafsah, la fille de 'Umar et la femme du Prophète SWS. Ce dernier montra son approbation, ce qui, en soi, constitue une preuve de sa volonté à donner les moyens à la femme de s'instruire, puisqu'il est l'exemple pratique qu'il convient de suivre dans notre comportement à l'intérieur de nos familles. Le droit des femmes à posséder de l'argent. L'Islam leur donna le droit à l'héritage, au même titre que les hommes, et il compléta cela par l'obligation faite aux hommes de donner une dot de mariage à leur épouse, et de dépenser pour leur femme et leurs enfants, et ce, même si la situation financière de l’épouse est aisée. L'Islam leur donna le droit de vendre, d'acheter, de louer, de faire des dons, de donner leur argent en charités, et d'autres droits encore. 1 - TON TEXTE EST EN COMPLETE CONTRADICTION 2 - D`AVEC LA VIE DE TON PROPHETE 3 - CAR IL A VECU TOUT LE CONTRAIRE 4 - DONC , CE QUE TU AS ECRIS EST FAUX 5 - ET MALHONNETE DE TA PART 6 - DONNER D`UNE MAIN ET TUER DE L`AUTRE 7 - N`EST PAS CE QUE L`ON APPELLE UNE 8 - INTELLIGENCE EQUILIBREE 9 - MAISSSS...... il ne faut pas chercher a comprendre 10 - La logique islamique qui est tres particuliere a elle LOGIQUEMENT : SPIRITANGEL |
| | | abdemem MODERATION
Date d'inscription : 11/08/2011 Messages : 5521 Pays : Tunisie R E L I G I O N : Musulman
| Sujet: Re: La Shariah incompatible avec les droits de l'homme Mer 15 Aoû 2012, 1:32 am | |
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| | | karail38 Membre Actif
Date d'inscription : 19/12/2010 Messages : 2932 Pays : France R E L I G I O N : Ta foi t'a sauvé
| Sujet: Re: La Shariah incompatible avec les droits de l'homme Mer 15 Aoû 2012, 2:11 am | |
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| | | abdemem MODERATION
Date d'inscription : 11/08/2011 Messages : 5521 Pays : Tunisie R E L I G I O N : Musulman
| Sujet: Re: La Shariah incompatible avec les droits de l'homme Mer 15 Aoû 2012, 2:51 am | |
| - karail38 a écrit:
- abdemem a écrit:
Tu ne connais pas notre Prophète, donc tu es loin de pouvoir juger! Les intelligents étudient un personnage avant de pouvoir l'évaluer!
Abdemen, j'ai lu la Sira entiérement de Mahomet. Puis je parler en connaissance du texte ou pas ?
Si je te dis que Mahomet a tué de ses mains et fait tuer des poêtes, des opposants politiques, des Juifs, c'est vrai ou la Sira n'est qu'un tissu de mensonge ? . Apporte nous cas par cas ce que tu nous avance, avec tes preuves, et la source de tes renseignements! |
| | | karail38 Membre Actif
Date d'inscription : 19/12/2010 Messages : 2932 Pays : France R E L I G I O N : Ta foi t'a sauvé
| Sujet: Re: La Shariah incompatible avec les droits de l'homme Mer 15 Aoû 2012, 3:58 am | |
| - abdemem a écrit:
- karail38 a écrit:
Abdemen, j'ai lu la Sira entiérement de Mahomet. Puis je parler en connaissance du texte ou pas ?
Si je te dis que Mahomet a tué de ses mains et fait tuer des poêtes, des opposants politiques, des Juifs, c'est vrai ou la Sira n'est qu'un tissu de mensonge ? . Apporte nous cas par cas ce que tu nous avance, avec tes preuves, et la source de tes renseignements! (Récit de Jabir Abdullah, Muslim XVII 4216). « L’apôtre d’Allah a lapidé à mort une personne de la tribu des Banû Aslam, un Juif et sa femme. »
Ibn Ishâq dans la Sira du prophéte : Plusieurs hommes de la tribu de Aws s'étaient associés pour tuer Ka'b ibn al-Ashraf. La nuit ils se promenèrent avec le poète près d’une cascade, aprés l'avoir traitreusement attiré hors de sa forteresse. Abû Nâ'ilah se montrait fort gentil avec Ka'b ibn al-Ashraf. Il introduisait sa main dans ses cheveux en disant : "Je n'ai jamais senti un meilleur parfum." Ils marchaient pendant plusieurs heures, ceci pour mettre en confiance le poète juif. Puis soudain Abu Nâ'ilah saisit les cheveux de la tête de Ka'b ibn al-Ashraf en disant : "Frappez cet ennemi de DIEU !" (Il était pourtant son frère adoptif). Ils le frappèrent et leurs épées qui se croisaient sur Ka'b ibn al-Ashraf ne pouvaient cependant l'achever. Muhammad b. Masiamah dit : "Quand je vis que nos épées ne serviraient à rien, je me suis souvenu d'un couteau attaché à mon épée. Je le pris et l'enfonçai dans son bas-ventre et je me pressai sur lui jusqu'à ce que j'atteigne le pubis. Alors Kaab tomba par terre." Quand Abû Nâ'ilah jeta la tête coupée de Ka'b ibn al-Ashraf aux pieds de Mahomet, celui-ci s’écria : «Cela m’est plus agréable que le plus beau chameau de toute l’Arabie.» Puis il le félicita et lui fit don d'un bâton sur quoi s'appuyer dans le paradis.
Sunan Abu-Dawud Book 38, Number 4349 Raconté par Ali ibn Abu Talib: "Une Juive avait l'habitude d'injurier le Prophète (la paix soit sur lui) et de le dénigrer. Un homme l'étrangla jusqu'à ce qu'elle meure. L'Apôtre d'Allah (la paix soit sur lui) déclara qu'aucune compensation n'était payable pour son sang".
(récit d’Ibn Abbas, Dawud XXXVIII 4348) "Un aveugle avait pour femme une esclave, enceinte, qui insultait et dénigrait le Prophète. Il le lui avait interdit mais elle ne cessait pas. Il la réprimandait mais elle n’abandonnait pas cette habitude. Une nuit, elle commença à calomnier et injurier le Prophète. Alors il prit un poignard, le plaça sur son ventre, appuya et la tua. Un enfant qui sortit d’entre ses jambes fut sali par le sang qui était là. Quand vint le matin, le Prophète apprit cela. [...] Le Prophète dit : - Ô sois mon témoin, il n’y aura pas de représailles pour le sang de cette femme. ”
(récit de Zaid ibn Khalid et Abu Huraira, Bukhari XXXVIII 508) “ L’apôtre d’Allah a dit : - Ô Unais ! Va voir la femme de cet homme et si elle confesse l’adultère, alors lapide-la à mort. ”
(Récit de Ka’b ibn Malik, Bukhari LII 197) « Quand l’apôtre d’Allah avait l’intention de conduire une expédition de pillage, il employait une formule équivoque pour faire croire qu’il allait dans une autre direction. »
hadith: récit d'Abdullah ibn Masud: “l'envoyé d'Allah... dit: si tu trouves untel ou untel, brûle-le... Il me rappela ensuite “tue le mais ne le brûle pas...”
hadith: récit d'Ibn Umar: “alors le prophète exila les Bani an Nadir... et il tua les hommes (des Bani Quraiza) et distribua leurs femmes, enfants et biens parmi les musulmans...”
hadith: récit de Al Bara ben Azib: “l'apôtre d'Allah envoya un groupe de gens à Abu Rafi. Abdullah ben Atik entra dans sa maison la nuit, quand il dormait et le tua”
hadith: récit d'Abdulah ibn Umar: “des gens avaient pris les chameaux du prophète... et avaient apostasié. Il leur fit couper les mains et les pieds, et enlever les yeux”
hadith: récit d'Anas : “le prophète donna des ordres à leur sujet (des apostats de la tribu d'Ukl); alors leurs yeux furent brulés par des pointes en fer et leur mains et leurs jambes furent coupées”
Sira Mahomet (Ibn Hicham)
624 : razzia sur la Mecque, pillage et prise de captifs 624 : après la victoire de Badr, début de l'élimination des juifs 624 : décapitation du poète Kab been Al Ashraf à Médine, opposant à Mahomet 624 : bataille de Badr: Mahomet à Oqba: "je fais à DIEU le voeur que si je te saisis en dehors de la Mecque, je te ferai couper la tête". 624 : bataille de Badr; Mahomet à ses hommes: "quiconque d'entre vous rencontrera Djahl, tranchez lui la tête et apportez la moi". 624 : décapitation de Kab ben Asraf, poête critique 624 : après la bataille de Badr, Mahomet à oqba: "ta place et celle des tes enfants est en enfer. s'ils ne deviennent pas croyants, je les ferai tuer..." 624 : décapitation du poèteAbu Afak en Arabie pour avoir critiqué l'islam 624 : exécution d'Asma Bint Marwan femme ayant critiqué Mahomet
626 : massacre des juifs Beni Khazradj et partage des familles et du butin 626 : massacre des 700 juifs Beni Qoraïzha,liés pendant trois jours, puis égorgés au dessus d'un fossé, avec les jeunes garçons
Je préfére m'arréter là, mais il y en a encore beaucoup d'autres. Je n'invente rien, tout ce que je viens d'écrire vient de la Souna ou de la Sira de Mahomet. Le mieux serait que tu vérifies par toi même. .
Dernière édition par karail38 le Mer 15 Aoû 2012, 4:14 am, édité 2 fois |
| | | ysov .
Date d'inscription : 19/07/2012 Messages : 143 Pays : Canada R E L I G I O N : Catholique romain
| Sujet: Re: La Shariah incompatible avec les droits de l'homme Mer 15 Aoû 2012, 4:06 am | |
| - abdemem a écrit:
- Voilà le vrai point de vue islamique sur les Droits de l'homme:
Mohammed SWS défendit les droits des hommes et des femmes, des jeunes et des personnes âgées, quels que soient leur condition sociale et leurs niveaux de vie. Il établit dans ce domaine un ensemble de principes éminents. Il insista, par exemple, lors de son sermon d'adieu, moins de trois mois avant son décès, sur l'interdiction la plus formelle de verser le sang des gens, de transgresser leurs biens et leur honneur Et pourtant le jour qu'il fut sur son lit de mort ses dernières paroles furent du venin contre les juifs et les chrétiens. Tu veux le texte? - Citation :
- Les principes de protection des droits, que la législation islamique a établis pour les hommes, précédèrent de plusieurs siècles toutes les autres déclarations sur les droits de l'homme, et ils ne furent pas restreints aux droits des hommes, mais embrassèrent les droits des animaux, des plantes et de l'environnement, dont la protection fut considérée comme étant une branche de la foi.
Oui pour les musulmans seulement. - Citation :
- Tout comme il interdit de faire ses besoins dans les lieux ombragés, où les gens sont susceptibles de s'arrêter pour s'y reposer !
Oublies pas le hadith qui parle de ne pas utiliser ta main droite au cabinet d'aisance. - Citation :
- Parmi les principes généraux à ce sujet, on trouve :
La protection de la vie humaine – l'Islam vint avec plusieurs lois, décrets et interdits, tels que : L'interdiction de prendre une vie sans droit légal, et le fait de considérer l'assassinat d'une seule âme comme équivalent à l’assassinat de l'humanité toute entière. Allah dit : ( […] celui qui tue une personne non coupable d’un meurtre ou d’une corruption sur terre, c’est comme s’il avait tué tous les hommes. ) L'interdiction du suicide – Le Prophète dit : « Quiconque se précipite du haut d’une montagne et se tue sera jeté dans le feu de la géhenne, où il ne cessera de chuter éternellement, et quiconque a ingurgité un poison et s'est tué avec, aura ce poison dans sa main et l'ingurgitera pour l'éternité dans le feu de la géhenne » . L'interdiction de tout moyen pouvant conduire au crime. Le Prophète dit : « Celui qui pointe son épée vers nous ne fait pas partie de nous » . L'interdiction de faire peur aux autres et de les effrayer, même en plaisantant. L'interdiction de blesser, même si ce n'est qu'une probabilité, comme l'injonction faite à celui qui passe par un marché avec des flèches de protéger leurs têtes pour ne blesser personne. Le Prophète dit : « Que celui qui passe par une de nos mosquées ou un de nos marchés avec des flèches les tiennent par leurs têtes, de façon à ce qu'il ne blesse aucun musulman. » Les textes prophétiques qui interdisent de faire du mal sont très nombreux, on peut citer cette parole du prophète : « Celui qui pointe une arme vers son frère, les anges le maudissent, et ce, même s'ils sont frères du même père et de la même mère. » Et il plaça le fait d'empêcher de blesser quelqu'un parmi les droits des passants, que le musulman se doit de respecter. Plein de trucs existèrent avant ton faux prophète, que ce soit au sujet du suicide, de tuer sans motifs légaux. L'affirmation comme quoi que celui qui pointe son arme vers son frère doit être maudit, le sera pas si par exemple, le frère se convertissait à une autre religion. Là l'autre frère pourrait utiliser son arme, car l'apostasie mérite la mort. - Citation :
- La protection de la descendance :
L'encouragement au mariage. Le Prophète dit : « Ô jeunes hommes ! Celui parmi vous qui a la capacité de se marier, qu'il se marie donc ! » Oh que oui il encourage le mariage, jusqu'à 4 épouses (seul lui-même pouvait se permettre au-delà de ce nombre), mais que s'ils craignent de ne pas pouvoir user d'équitabilité, qu'il se limite qu'à une, ou bien qu'il épouse des femmes non musulmanes, ce qui lui permettra de les traiter comme bon lui semble, car les actes répréhensibles ne sont pas retenu par allah quand il s'agit de non musulmanes. - Citation :
- L'interdiction de tuer ses enfants et de faire avorter les femmes enceintes. Allah dit : (Et ne tuez pas vos enfants [...] ) . L'Islam interdit de tuer le fœtus ou de tenter de le faire tomber, à moins qu'il ne constitue un danger certain pour la survie de la mère.
Bien avant ton faux prophète ces choses existèrent, et même qu'il fut interdit de tuer le foetus même si la vie de la mère en péril. - Citation :
- La protection de la chasteté et de l'honneur :
L'interdiction de la fornication et de l'adultère, et l'association d'une peine légale pour ceux qui s'en rendraient coupables. Allah dit : ( Et n’approchez pas la fornication. En vérité, c’est une abomination et quel mauvais chemin ! ) Et Il légiféra ceci : ( La fornicatrice et le fornicateur, affligez à chacun d’eux cent coups de fouet […] ) . Encore une fois, ces trucs s'appliquent uniquement parmi les musulmans, alors que les femmes non musulmanes entrent pas dans ces prescriptions. - Citation :
- Le respect de la femme :
L'insistance avec laquelle le Prophète exhorta que l'on prenne soin des femmes. Il fut rapporté de nombreux hadiths à ce propos, parmi ceux-ci : « Comportez-vous bien avec les femmes » et sa parole : « Le meilleur d'entre vous est celui qui se comporte le mieux avec sa famille, et je suis celui parmi vous qui se comporte le mieux avec sa famille. » Les frapper ne serais-ce que sous le soupçon de la désobéissance de l'épouse, fait partie de la manière de bien prendre soins de la femme? - Citation :
- La femme est la sœur de l'homme comme le Prophète le rappela dans le hadith : « Les femmes sont les sœurs des hommes. »
La participation des femmes au même titre que les hommes aux pratiques religieuses et aux travaux sociaux. Allah dit : (Les croyants et les croyantes sont les alliés les uns des autres. Ils ordonnent le bien, interdisent le mal, accomplissent la prière, acquittent la Zakât et obéissent à Allah et à Son messager. Voilà ceux auxquels Allah fera miséricorde, car Allah est Puissant et Sage. ) Pourtant selon ton faux prophète, les femmes doivent faire d'avantage le zakat, car elles occuperaient la majorité de l'enfer. Ce qui démontre bien en comparant plusieurs textes qu'ultimement entre ce qu'il dit et ce qu'il défèque est deux choses opposées! :lol!: De plus, il aurait pas affirmé que les femmes sont de moindres intelligence même en religion, du fait de leur mentrues qui les rendent si impures qu'elles ne doivent en aucun cas mettre les pieds dans une mosquée... - Citation :
- Le droit des femmes à posséder de l'argent. L'Islam leur donna le droit à l'héritage, au même titre que les hommes, et il compléta cela par l'obligation faite aux hommes de donner une dot de mariage à leur épouse, et de dépenser pour leur femme et leurs enfants, et ce, même si la situation financière de l’épouse est aisée. L'Islam leur donna le droit de vendre, d'acheter, de louer, de faire des dons, de donner leur argent en charités, et d'autres droits encore.
Mouais bon! C'est pas étonnant, il a bien été entretenu par une chrétienne riche et plus instruite que lui durant bien des années. Il devait bien lui faire plaisir en ayant adopté de telles affirmations. |
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