Parmi d'autres: Schubert






Il existe une "Île des Cygnes" dans les "Hauteurs Lumineuses" ( comme il en est de "Patmos"): est-ce de là que l'inspiration lui est venue ...!?

Je crois que Georges Chelon s'en est inspiré pour l'une de ses chansons.



.

Une autre œuvre de Schubert :

Il est difficile pour moi de mettre une musique lorsque je veux me recueillir et méditer, car la musique aurait tendance à distraire et emmener les pensées vagabonder, or, j'ai besoin de silence lorsque je travaille chez moi. J'aurais du mal à me concentrer sur un sujet si j'avais un bruit de fond. Il me suffit simplement de respirer profondément, de m'assoir confortablement et de fermer les yeux. Les seules fois où je "subis" la musique, c'est lors d'activités collectives, où il faut bien faire avec, mais je parviens à passer au dessus quand même. Sinon, il m'est arrivé de vibrer avec la musique de Hildegarde de Bingen.
Ou alors:

et:

Bernard Amyr a écrit:

Il est difficile pour moi de mettre une musique lorsque je veux me recueillir et méditer, car la musique aurait tendance à distraire et emmener les pensées vagabonder, or, j'ai besoin de silence lorsque je travaille chez moi. J'aurais du mal à me concentrer sur un sujet si j'avais un bruit de fond. Il me suffit simplement de respirer profondément, de m'assoir confortablement et de fermer les yeux. Les seules fois où je "subis" la musique, c'est lors d'activités collectives, où il faut bien faire avec, mais je parviens à passer au dessus quand même. Sinon, il m'est arrivé de vibrer avec la musique de Hildegarde de Bingen.
Ou alors:

et:

Bien sûr !

J'ai bien précisé: "pour vous y préparer": un peu "l'antichambre" du recueillement .
Pas le recueillement lui-même, ni au cours du recueillement .


.

gilmig a écrit:

Bernard Amyr a écrit:

Il est difficile pour moi de mettre une musique lorsque je veux me recueillir et méditer, car la musique aurait tendance à distraire et emmener les pensées vagabonder, or, j'ai besoin de silence lorsque je travaille chez moi. J'aurais du mal à me concentrer sur un sujet si j'avais un bruit de fond. Il me suffit simplement de respirer profondément, de m'assoir confortablement et de fermer les yeux. Les seules fois où je "subis" la musique, c'est lors d'activités collectives, où il faut bien faire avec, mais je parviens à passer au dessus quand même. Sinon, il m'est arrivé de vibrer avec la musique de Hildegarde de Bingen.
Ou alors:

et:

Bien sûr !

J'ai bien précisé: "pour vous y préparer": un peu "l'antichambre" du recueillement .
Pas le recueillement lui-même, ni au cours du recueillement .


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Je comprends mieux. A vrai dire, lorsque je décide de me préparer pour une méditation, cela se fait automatiquement, c'est à dire que je suis déjà en condition mentalement pour opérer. Cela dit, avant chaque activité collective, il est d'usage, (mais ce n'est pas une obligation et j'ai déjà assisté à des préparations silencieuses) de mettre une petite musique de fond, douce, et de tamiser les lumières. Cela constitue une sorte de "sas" entre le "temps et l'espace profane" et "le temps et l'espace sacré". Idem lorsque c'est à domicile (sans musique, mais avec l'état d'esprit correspondant). Maintenant, je reconnais qu'une bonne musique bien choisie peut générer des émotions et des pensées positives.

En effet, l'idée étant de " créer un sanctuaire", un peu comme il est dit ici:

"Le temple où DIEU est vénéré est sacré et pur.
Vienne à mourir la religion,
Et le temple peut devenir entrepôt.
C’est la vénération de DIEU
Qui fait du temple un temple.
Les temples et les religions meurent encore,
Mais le nouveau temple, lui, n’a pas de murs –
Il ne peut pas mourir.
Vous êtes les bâtisseurs et les futurs prêtres
Du Temple immortel qui a nom :
Le monde délivré."





.

gilmig a écrit:

En effet, l'idée étant de " créer un sanctuaire", un peu comme il est dit ici:

"Le temple où DIEU est vénéré est sacré et pur.
Vienne à mourir la religion,
Et le temple peut devenir entrepôt.
C’est la vénération de DIEU
Qui fait du temple un temple.
Les temples et les religions meurent encore,
Mais le nouveau temple, lui, n’a pas de murs –
Il ne peut pas mourir.
Vous êtes les bâtisseurs et les futurs prêtres
Du Temple immortel qui a nom :
Le monde délivré."


.

Vous abordez une notion importante: celle du sanctuaire et de l'état d'esprit dans lequel on doit y pénétrer. D'abord le sanctuaire matériel, le temple de pierre, a toute son importance. Le lieu également a toute son importance, d'où la nécessité de l'entretenir et de le préserver. Pour cela, il doit respecter les règles des bâtisseurs et être basé sur l'harmonie et la proportion. Mais le bâtiment n'est rien s'il n'est pas fréquenté régulièrement et si les participants agissent dans le désordre le plus complet. C'est donc l'état d'esprit qui compte également. Un endroit est aussi rendu sacré par notre propre comportement, en dehors des rites qui s'y déroulent. De nos jours,on bâtit n'importe comment et n'importe où, d'où une certaine perte de "qualité vibratoire" et si les participants ne viennent pas y mettre tout leur coeur et toute leur foi, toutes leurs meilleures pensées, alors, le lieu reste un lieu "mort", un entrepôt, comme vous le dites si bien. Au point où nous en sommes, nous avons encore besoin du sanctuaire extérieur, ce qui ne doit pas nous empêcher, bien au contraire, de bâtir notre propre "sanctuaire intérieur".

Bernard Amyr a écrit:

gilmig a écrit:

En effet, l'idée étant de " créer un sanctuaire", un peu comme il est dit ici:

"Le temple où DIEU est vénéré est sacré et pur.
Vienne à mourir la religion,
Et le temple peut devenir entrepôt.
C’est la vénération de DIEU
Qui fait du temple un temple.
Les temples et les religions meurent encore,
Mais le nouveau temple, lui, n’a pas de murs –
Il ne peut pas mourir.
Vous êtes les bâtisseurs et les futurs prêtres
Du Temple immortel qui a nom :
Le monde délivré."


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Vous abordez une notion importante: celle du sanctuaire et de l'état d'esprit dans lequel on doit y pénétrer. D'abord le sanctuaire matériel, le temple de pierre, a toute son importance. Le lieu également a toute son importance, d'où la nécessité de l'entretenir et de le préserver. Pour cela, il doit respecter les règles des bâtisseurs et être basé sur l'harmonie et la proportion. Mais le bâtiment n'est rien s'il n'est pas fréquenté régulièrement et si les participants agissent dans le désordre le plus complet. C'est donc l'état d'esprit qui compte également. Un endroit est aussi rendu sacré par notre propre comportement, en dehors des rites qui s'y déroulent. De nos jours,on bâtit n'importe comment et n'importe où, d'où une certaine perte de "qualité vibratoire" et si les participants ne viennent pas y mettre tout leur coeur et toute leur foi, toutes leurs meilleures pensées, alors, le lieu reste un lieu "mort", un entrepôt, comme vous le dites si bien. Au point où nous en sommes, nous avons encore besoin du sanctuaire extérieur, ce qui ne doit pas nous empêcher, bien au contraire, de bâtir notre propre "sanctuaire intérieur".

Il m'a été donné d'assister à certaines cérémonies et célébrations -- en dehors de toute religion mais acceptant toutes -- dans un tel lieu :

Une Salle Consacrée très épurée, blanche, où aucune parole humaine n'est prononcée .

Il y a un cycle:

- Les cloches sonnent = harmonisation des différents plans spirituels
- Musique propice au recueillement
- Lecture exclusive de La Parole du Seigneur
- Prière
- Musique de nature à prolonger et approfondir l'état qui en résulte.



.

gilmig a écrit:

Bernard Amyr a écrit:

Vous abordez une notion importante: celle du sanctuaire et de l'état d'esprit dans lequel on doit y pénétrer. D'abord le sanctuaire matériel, le temple de pierre, a toute son importance. Le lieu également a toute son importance, d'où la nécessité de l'entretenir et de le préserver. Pour cela, il doit respecter les règles des bâtisseurs et être basé sur l'harmonie et la proportion. Mais le bâtiment n'est rien s'il n'est pas fréquenté régulièrement et si les participants agissent dans le désordre le plus complet. C'est donc l'état d'esprit qui compte également. Un endroit est aussi rendu sacré par notre propre comportement, en dehors des rites qui s'y déroulent. De nos jours,on bâtit n'importe comment et n'importe où, d'où une certaine perte de "qualité vibratoire" et si les participants ne viennent pas y mettre tout leur coeur et toute leur foi, toutes leurs meilleures pensées, alors, le lieu reste un lieu "mort", un entrepôt, comme vous le dites si bien. Au point où nous en sommes, nous avons encore besoin du sanctuaire extérieur, ce qui ne doit pas nous empêcher, bien au contraire, de bâtir notre propre "sanctuaire intérieur".

Il m'a été donné d'assister à certaines cérémonies et célébrations -- en dehors de toute religion mais acceptant toutes -- dans un tel lieu :

Une Salle Consacrée très épurée, blanche, où aucune parole humaine n'est prononcée .

Il y a un cycle:

- Les cloches sonnent = harmonisation des différents plans spirituels
- Musique propice au recueillement
- Lecture exclusive de La Parole du Seigneur
- Prière
- Musique de nature à prolonger et approfondir l'état qui en résulte.

.

Je vois dans une première phase une montée crescendo jusqu'au plus haut point, celui de la prière, , puis la seconde phase, celle de la réceptivité où la conscience est "ouverte" au maximum afin de recevoir l'influx spirituel, avant le retour dans le monde. Bien sûr, le rôle de l'officiant est capital. Simple, mais efficace.

Bernard Amyr a écrit:

gilmig a écrit:

Il m'a été donné d'assister à certaines cérémonies et célébrations -- en dehors de toute religion mais acceptant toutes -- dans un tel lieu :

Une Salle Consacrée très épurée, blanche, où aucune parole humaine n'est prononcée .

Il y a un cycle:

- Les cloches sonnent = harmonisation des différents plans spirituels
- Musique propice au recueillement
- Lecture exclusive de La Parole du Seigneur
- Prière
- Musique de nature à prolonger et approfondir l'état qui en résulte.

.

Je vois dans une première phase une montée crescendo jusqu'au plus haut point, celui de la prière, , puis la seconde phase, celle de la réceptivité où la conscience est "ouverte" au maximum afin de recevoir l'influx spirituel, avant le retour dans le monde. Bien sûr, le rôle de l'officiant est capital. Simple, mais efficace.

Paradoxalement , vous noterez que nous évoquons un Sanctuaire dans une rubrique qui s'intitule ..." Bistrot" !

C'est assez bien à l'image de nos sociétés modernes ...



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gilmig a écrit:

Bernard Amyr a écrit:

Je vois dans une première phase une montée crescendo jusqu'au plus haut point, celui de la prière, , puis la seconde phase, celle de la réceptivité où la conscience est "ouverte" au maximum afin de recevoir l'influx spirituel, avant le retour dans le monde. Bien sûr, le rôle de l'officiant est capital. Simple, mais efficace.

Paradoxalement , vous noterez que nous évoquons un Sanctuaire dans une rubrique qui s'intitule ..." Bistrot" !

C'est assez bien à l'image de nos sociétés modernes ...

.

Je ne pense pas que Nicodème y ait vu malice, mais c'est vrai que le terme peut porter à confusion. Peut-être une appellation plus neutre, comme "discutons" ou "discussions"? L"essentiel étant de continuer à ne pas y tenir des propos d'ivrogne, ou de faire de cet espace un défouloir (mais le staff veille, rassurez-vous). Cela dit, notre lumière intérieure peut briller partout, même dans un bistrot. A preuve: il y a quelques années, alors que j'y prenais un repas, autour des fêtes de Noël, en voyant toutes les guirlandes et les illuminations de la ville, je me suis mis à réfléchir et méditer sur le symbolisme de la lumière, et je suis retourné chez moi le coeur léger, léger... On peut être surpris partout, même là où on ne l'attend pas. Dans notre société aussi, malgré tout, de belles lumières brillent.

Bernard Amyr a écrit:

gilmig a écrit:

Paradoxalement , vous noterez que nous évoquons un Sanctuaire dans une rubrique qui s'intitule ..." Bistrot" !

C'est assez bien à l'image de nos sociétés modernes ...

.

Je ne pense pas que Nicodème y ait vu malice, mais c'est vrai que le terme peut porter à confusion. Peut-être une appellation plus neutre, comme "discutons" ou "discussions"? L"essentiel étant de continuer à ne pas y tenir des propos d'ivrogne, ou de faire de cet espace un défouloir (mais le staff veille, rassurez-vous). Cela dit, notre lumière intérieure peut briller partout, même dans un bistrot. A preuve: il y a quelques années, alors que j'y prenais un repas, autour des fêtes de Noël, en voyant toutes les guirlandes et les illuminations de la ville, je me suis mis à réfléchir et méditer sur le symbolisme de la lumière, et je suis retourné chez moi le coeur léger, léger... On peut être surpris partout, même là où on ne l'attend pas. Dans notre société aussi, malgré tout, de belles lumières brillent.

On dit aussi que l'or reste de l'or, dans la main d'un prince ou d'un la main d'un gueux .

Que les mains calleuses d'un travailleur sont plus agréables à DIEU que les mains immaculées du paresseux !


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Merci en tout cas d'avoir enrichi ce forum de ces deux titres !

J'aime bien écouter tout en parcourant le forum (en ouvrant deux sessions afin d'écouter d'un coté et de lire ou répondre de l'autre) voici encore l'un de mes morceaux préféré:




En souhaitant que d'autres viennent partager avec nous leurs "émotions musicales" mais, orientées exclusivement vers la Noble Musique - classique ou sacrée - !

Je ne suis pas trop "friand" de ces musiques que d'aucun voudrait assimiler à de la spiritualité pour le contenu de leurs paroles mais "vacarmeuses" coté harmonique et mélodique !


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gilmig a écrit:

Merci en tout cas d'avoir enrichi ce forum de ces deux titres !

J'aime bien écouter tout en parcourant le forum (en ouvrant deux sessions afin d'écouter d'un coté et de lire ou répondre de l'autre) voici encore l'un de mes morceaux préféré:




En souhaitant que d'autres viennent partager avec nous leurs "émotions musicales" mais, orientées exclusivement vers la Noble Musique - classique ou sacrée - !

Je ne suis pas trop "friand" de ces musiques que d'aucun voudrait assimiler à de la spiritualité pour le contenu de leurs paroles mais "vacarmeuses" coté harmonique et mélodique !

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Pour avoir une idée de l'influence de la musique sur l'homme, je vous recommande l'ouvrage de Cyril Scott :"La musique, son influence secrète à travers les âges" (Cyril Scott est l'auteur du roman "L'inité" et de ses suites). Il explique notamment la nécessité à un moment donné d'introduire la dissonance dans la musique, mais je n'en dit pas plus et je vous laisse prendre connaissance de cet ouvrage.

Bernard Amyr a écrit:

gilmig a écrit:

Merci en tout cas d'avoir enrichi ce forum de ces deux titres !


En souhaitant que d'autres viennent partager avec nous leurs "émotions musicales" mais, orientées exclusivement vers la Noble Musique - classique ou sacrée - !

Je ne suis pas trop "friand" de ces musiques que d'aucun voudrait assimiler à de la spiritualité pour le contenu de leurs paroles mais "vacarmeuses" coté harmonique et mélodique !

.

Pour avoir une idée de l'influence de la musique sur l'homme, je vous recommande l'ouvrage de Cyril Scott :"La musique, son influence secrète à travers les âges" (Cyril Scott est l'auteur du roman "L'inité" et de ses suites). Il explique notamment la nécessité à un moment donné d'introduire la dissonance dans la musique, mais je n'en dit pas plus et je vous laisse prendre connaissance de cet ouvrage.

Je prends note merci !

Mais pour préciser, voici de quoi je voulais parler , encore que j'aime beaucoup ce titre, qui me met même les larmes aux yeux(!) à chaque écoute ( d'autres morceaux sont "pires"), mais pas dans le cadre d'une préparation au recueillement :

Une autre perle trouvée sur le net:

Nicole Rieu Je suis par gerald_w-a
Vous en souvenez-vous?

En effet, je me souviens mais ...que c'est loin dans ma mémoire !


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gilmig a écrit:

Parmi d'autres: Schubert






Il existe une "Île des Cygnes" dans les "Hauteurs Lumineuses" ( comme il en est de "Patmos"): est-ce de là que l'inspiration lui est venue ...!?

Je crois que Georges Chelon s'en est inspiré pour l'une de ses chansons.



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Je ne sais, mais je sais que Nana Mouskouri chante cette très belle mélodie en allemand !

Voici un autre "trésor" !

Sublime !! j'espère que vous apprécierez !

Oui, c'est vrai , j'apprécie beaucoup les chœurs comme ceux-ci !

Merci gilmig ! cette musique me transporte !
La musique , langage universel , comme disait l'un de nos poètes chansonnier francais:
"De n'importe quel pays , de n'importe quelle couleur , la musique est un cri qui vient de l'intérieur".
J'ajouterai , de n'importe quelle croyance ! au moins , voilà un art ou les hommes sont en paix et unis !

amicalement.