Jean 5.30
Je ne puis rien faire de moi-même selon que j'entends, je juge; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé.

JESUS, après avoir repoussé l'accusation portée contre lui par ses adversaires, en s'élevant à une hauteur divine


Jean 5.18 A cause de cela donc les Juifs cherchaient encore plus à le faire mourir, non seulement parce qu'il violait le sabbat, mais encore parce qu'il disait que Dieu était son propre Père, se faisant lui-même égal à Dieu.

où l'accusé est devenu le juge des accusateurs revient ici à son point de départ, c'est-à-dire à cette unité parfaite avec Dieu hors de laquelle il lui est moralement impossible de rien faire car JESUS avait une divine mission et donc JESUS ne voulait pas prendre des initiatives autres que celle qu'IL avait prévus avant de venir dans notre monde. Dans le verset 19 ci-dessous, il est clair qu'il est dit ( que JESUS ne peut rien faire, mais là il faut le prendre dans le sens que JESUS ne prend pas des décisions qu'IL va l'écarter de son but divin. Ensuite dans ce même verset 19, il est clair que JESUS dit, s'Il le voulait il pourrait faire ce qu'Il veut et faire les mêmes actes que le PÈRE mais JESUS préfère poursuivre sa mission et rester fidèle au cap qu'IL est prévu.

Jean 5.19 JESUS répondit donc, et il leur disait : En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, à moins qu'il ne le voie faire au Père ; car les choses que Celui-ci fait, le Fils aussi les fait pareillement.

Il l'affirme de nouveau en s'attribuant plus directement cette prérogative : il ne dit plus seulement : "Le Fils ne peut rien faire," mais : "Moi je ne puis rien faire." Tout ce qu'il fait a donc pour sanction l'autorité de Dieu même ; quand il juge (le verbe au présent ne peut s'entendre du seul jugement à venir, verset 29, mais de toute son œuvre au sein de l'humanité, Jean 5.22,27 ; 3.18), son jugement est juste, parce qu'il ne fait qu'accomplir la volonté de celui qui l'a envoyé. JESUS avant de venir dans notre monde était l'égal du PERE, mais lorsqu'Il a accepté cette divine mission, JESUS c'est dépouillé de sa divinité et de son égalité avec DIEU en devant un envoyé, mais pas un envoyé comme ceux crédible de la Sainte Bible, mais un envoyé ayant par essence la divinité d’où l'adoration des anges et de la création.

Cette pleine et constante harmonie de sa volonté avec la volonté de Dieu, (Matthieu 26.39) c'est la sainteté, la victoire constante remportée sur tous les efforts de l'ennemi ; or la sainteté parfaite de JESUS-Christ sera toujours sa meilleure apologie.

- Jusqu'ici, dans ce discours, le Sauveur a affirmé ce qu'il est, maintenant, il va en appeler au témoignage que Dieu lui rend et, à son tour, accuser l'incrédulité de ses adversaires en présence de ce témoignage. (Jean 31-47)

titine10 a écrit:

répond a ses paroles de JESUS (psl) est ce l'état d'esprit d'un dieu? tout ce que JESUS (psl) avait comme pouvoir ne venait pas de sa personne mais de dieu

Jean 5.30 Je ne puis rien faire de moi-même: selon que j'entends, je juge; et mon jugement est juste, parce que je ne cherche pas ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé.

Citation :

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Une autre façon de comprendre l'expression "je ne peux rien faire" consiste tout simplement à dire qu'il était le représentant de Dieu qui lui avait expliqué ce qu'il devait dire et que JESUS n'était pas Dieu..
pas bien compliqué..

Très simplicite ton explication !

Nicodème a écrit:

Très simplicite ton explication !

Très simple, tu veux dire !
Mais pourquoi compliquer. JESUS parle à des gens simples, qui n'avaient pas passé des années dans des séminaires.
Il leur dit: je ne peux rien faire de moi-même, je fais ce que j'ai vu faire par le Père..
Comment penses tu que les apôtres ont compris ce texte ?
Ils se sont jetés par terre pour adorer JESUS ??? ou il en ont conclu que JESUS avait un chef, une autorité qu'il respectait.
Paul, bien plus tard, sera du même avis quand il dira : le chef du Christ, c'est Dieu. I Cor 11:3.

Nicodème, lis la Bible pour ce qu'elle dit, JESUS ne voulait pas embrouiller ses apôtres, il les aimait et voulait être compris.
Et là, soit il n'y est pas parvenu, ce qui serait curieux de la part du fils de Dieu, soit il ne disait pas ce que tu crois.
Mais les apôtres ne le prennent pas pour Dieu après cette explication en tout cas.
Ils n'étaient pas plus bêtes que la moyenne et au contact de JESUS ils apprenaient vite. Mais lis bien Marc et Mathieu, aucun texte qui donnerait à penser qu'ils imaginaient que JESUS était Dieu. Révélateur, non ??
Luc écrira au contact des apôtres et de témoins des évènements. Et chez lui non plus, JESUS n'est pas Dieu.

Pourquoi essayez de faire dire au texte le contraire de ce que JESUS voulait dire. Si je dis à des ouvriers : attention, tout ce que je vous dis, ce n'est pas de moi mais du patron. Comment penses-tu qu'ils comprendront ?? Que je suis le patron déguisé ??

Les petites gens, les humbles comprendront..

Voilà, je peux comprendre.. C'est simple.. Dieu écrit aux créatures complexe, ceux ne sachant rien de la logique de la mort sur la terre. Le père nous écrit: Vous ne saviez rien de vous-mêmes, vous restiez sans connaissance de la nature.

Pourquoi savez-vous comment les enfants seront sans vous?
Parce que vous apprenez de l'erreur des autres? Peut-être Dieu crée le misérable, les faiblesses que l'humain ignoraient.

La foi parle de l'enfantement de l'amour, le père ne croyait pas connaître la jeunesse, il patientait et croyait connaître l'amour. Sans cela, croyez moi, nous étions incapable de connaître JESUS, nous rêvions de vivre libre. Jamais la jeunesse ne comprendrait la vie sans le père. Jamais d'erreur humaine, savoir comment tout fonctionne quand vous vivez avec le Dieu de JESUS. En une fraction de seconde, tout est fait. Je crois que la vie mérite d'être équilibré. Et sans unité non plus, Dieu n'a pas JESUS. Parce qu'il faut ressentir le besoin des interprétations simples comme Dieu est unique. Comme vous écrivez au prophète: Bravo, rien n'est écrit, maintenant oui. En reflétant vous-même votre réalité, vous avez une partie unique.

Le grand peuple, le savoir caché.

David