Dans une mise en « cène », orchestrée avec justesse, ce film documentaire propose une réflexion sur le pain qui devient eucharistie lors du dernier repas de JESUS, quelques instants avant d’être crucifié, juste avant la célébration de la Pâque juive.
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Dans une cave voûtée d’un restaurant parisien, quatre exégètes de renom, catholiques et protestant, prennent part à un repas, savamment préparé par le maître des lieux : Thierry Breton. Au menu, les mets d’un repas typiquement chrétien, décrit par l’évangéliste Jean.
Des herbes amères, du poisson, des pains, du pain et du vin que ces experts en histoire et en théologie mettent en perspective avec l’histoire du peuple d’Israël dans sa relation à Dieu jusqu’au dernier repas de JESUS. Au cœur de cette relation : le pain qui, à l’époque s’entend comme la nourriture et dont le Christ élargit le sens, lorsqu’il se dit être le « pain de vie » et qu’il convie ses disciples à un pain-repas.
Encore faut-il ressentir la faim pour répondre à l’invitation.
C’est la question que pose ce film documentaire et que sous-tend la première image : une moissonneuse batteuse en activité dans un champ de blé. De quoi les hommes ont-ils faim ? : de pain ? de consommation en tous genres ? Ou ont-ils faim de relations, de vie, de Dieu ?



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Homélie du père Jean-Louis Souletie, frère missionnaire de Sainte-Thérèse, en l'église du Sacré-Coeur à Lille.



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C'est pour David le Messie et pour la première fois dans la Bible que le pain de Dieu est partagé et qu'il devient le pain des hommes. Un programme que JESUS réalise par sa vie.



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Texte intégral : " La liturgie orientale nous permet de mieux comprendre l'importance de la fraction du pain : l'Eucharistie y est célébrée avec des petits pains que les prêtres partagent longuement pour les fidèles. Le signe d'un seul pain, d'un seul corps, partagé pour la multitude, y est plus évident. Au rite romain, l'utilisation d'une grande hostie pour les célébrants et de petites hosties prédécoupées pour les fidèles rend le signe plus discret. Il n'en demeure pas moins important : il rappelle à ceux qui vont partager le Corps du Christ qu'ils en deviennent membres et témoins puisqu'ils reçoivent une parcelle du Corps livré pour la multitude en rémission des péchés. Pendant des siècles, l'expression « fraction du pain » désignait l'Eucharistie elle-même, le signe par lequel le Christ toujours présent nous nourrit de sa vie jour après jour et jusqu'à la fin du monde. Comme les disciples d'Emmaüs, sachons reconnaître la présence du Ressuscité à la fraction du pain."



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A Ars, le père Joël Pralong, curé d'une paroisse suisse, a été témoin des bienfaits de la présence réelle du Christ lors de l'adoration du Saint-Sacrement.



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La quadruple présence de JESUS





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Paroissiens parisiens et membres de la communauté suisse Eucharistein témoignent de leurs sentiments à se nourrir du pain de vie.