En Occident, nos petites filles de huit ans se déguisent joyeusement en princesse, en Afghanistan, elles revêtent tristement la longue robe de l’esclavage, le jour de leur mariage… forcé.
Voici l’histoire poignante d’une petite fille afghane, âgée de huit ans, victime d’une tradition barbare justifiée par l’exemple du prophète de l’islam, postée sur FB par Mustafa Kazemi, journaliste afghan, correspondant de guerre.
Le nom de la fillette est inconnu. Le journaliste fut informé par sa source, amie d’un proche du « mari » bourreau, de la tragédie silencieuse, vécue par cette petite mariée de huit ans. Un médecin travaillant dans l’ hôpital principal de la ville de Zaranj, qui souhaitait rester anonyme, confirma avoir été au courant de « l’incident » mais qu’il était trop tard pour intervenir, la région où se produisit ce drame étant trop éloignée de la ville.
Certains passages pourraient heurter la sensibilité, mettre mal à l’aise des lectrices et des lecteurs, car ils décrivent crûment les relations sexuelles infligées à la mariée-enfant par son « mari » bourreau.
En acceptant de publier ce récit, Jean-Patrick a permis de rendre hommage à cette petite inconnue, dont le fragile souffle de vie lui fut enlevé par un homme brutal, un de ces nombreux désaxés du sexe, qui, pour assouvir ses désirs pervers, en toute impunité, à l’abri du coran, a suivi l’exemple de son prophète en épousant une enfant de huit ans. Je remercie Jean-Patrick pour cela, car il fut au début réticent.
Selon la tradition religieuse, en vigueur dans certaines régions afghanes, la fillette, originaire de Khashrood, province de Nimruz, fut vendue en mariage à un mollah âgé de 50 ans, déjà marié et père de nombreux enfants. Son petit corps ne put supporter l’assaut sexuel brutal de son « mari » bourreau et la petite se vida de son sang, sans que ce dernier n’intervienne pour la sauver. Cet enfant n’avait pas plus de valeur à ses yeux qu’un pauvre animal qui succombe sous le poids de sa charge.
Cette petite fille ne fêtera jamais ses neuf ans, car elle ne survécut pas à sa « nuit de noce ». Elle fut brutalement, sauvagement, assassinée par son « mari » dans l’accomplissement de son « devoir » conjugal.
L’enfant était l’une des filles d’un homme dans la trentaine. Pour une raison inconnue, il donna sa fillette en mariage au mollah de son village contre une importante somme d’argent.
Les deux familles s’accordèrent sur le prix de vente de l’enfant, à payer par le futur mari à la famille de la « fiancée » et fixèrent la date du mariage, lors d’une réunion tribale, puis elles organisèrent la fête de mariage, le mariage et le Nekah ( processus religieux au cours duquel une femme est officiellement mariée à un homme) et la fillette devint la deuxième femme du mollah de 50 ans.
La mariée avait seulement 8 ans et ne connaissait rien au sexe, au mariage, à l’amour charnel, à la virginité, elle n’était encore qu’une enfant, et même les adolescentes, dans cette région du pays, ne reçoivent aucune une éducation sur une vie sexuelle saine.
La fête était terminée et le soleil se couchait, il était temps pour le mollah, non pas de faire l’amour, car cela impliquerait d’éprouver un sentiment, mais d’avoir des relations sexuelles avec sa femme-enfant, d’assouvir ses désirs pervers. Il ôta les vêtements de la petite mariée, se déshabilla et s’approcha de sa nouvelle femme, âgée rappelons-le de huit ans, pour accomplir son « devoir » d’époux.
suite http://www.dreuz.info/2013/05/mariee-a-huit-ans-la-petite-musulmane-ne-survivra-pas-a-sa-nuit-de-noce-sur-son-lit-rouge-de-son-sang/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+drzz%2FPxvu+%28Dreuz%29