SPIRITANGEL Co-Admin
Date d'inscription : 10/01/2010 Messages : 10765 Pays : MONTREAL QUEBEC CANADA R E L I G I O N : CROYANT DI
| Sujet: LE PORC DANS L`ISLAM Ven 01 Nov 2013, 5:41 pm | |
| ---- Il était une fois le porc Alors que d’anciennes cultures lui reconnurent un caractère sacré, le porc (en arabe : khinzîr), est une créature répugnante pour plus d’un milliards d’individus sur Terre, l’animal est aussi aimé que détesté, la cause factuelle étant le fondement de toute civilisation, à savoir la religion. L’islam considère que le porc est impur, et le Coran semble fournir une explication métaphysique à laquelle les imams se dérobent du fait des insurmontables difficultés théologiques qu’elle pose. L’énigme triture les méninges des clercs musulmans depuis déjà près de quinze siècles, et son élucidation repose en réalité - non pas sur les textes fondateurs de la religion musulmane – mais sur les observations d’un grand historien chrétien de l’Antiquité, un certain Sozomène (m. ~450). Selon les sources islamiques les plus authentiques, c’est dans l’arche de Noé que naquit le porc. Des dizaines d’œuvres ont rapporté le récit de sa création tels que Târîkh ar-Rousoul wa-l-Moulouk et Al-Mousamma Jâmi’ al-Bayân fi Ta’wîl al-Qor’ân dont l’auteur n’est autre que le grand érudit Ibn Jarîr at-Tabari (m. 923), al-Qortobi (m. 1273) dans son exégèse appelée Al-Jâmi’ li-Ahkâm al-Qor’ân, l’éminent Ibn ‘Asâkir (m. 1175) l’a consigné dans Târîkh Dimachiq, ainsi qu’Ibn Kathîr (m. 1373) en rédigeant Al-Bidâya wa-n-Nihâya et son commentaire du Coran, pour ne citer que les plus célèbres. Ibn Abi Hatim (m. 938), ath-Tha’labi (m. 1036), Ibn al-Jawzy (m. 1201), et as-Souyouti (m. 1505) l’ont également retranscrit dans leurs travaux. On vit sortir de l’arche deux espèces d’animaux qui n’y étaient point entrés : c’étaient le porc et le chat. Ces animaux n’existaient point sur la terre avant le déluge, et Dieu les créa dans l’arche, parce qu’elle était remplie d’ordures et d’excréments humains qui répandaient une grande puanteur. Les personnes qui étaient dans l’arche, n’ayant pas la force de supporter cette puanteur, se plaignirent à Noé : alors Noé passa sa main sur le dos de l’éléphant, et le porc sortit de l’anus de cet animal. Le porc mangea toutes les ordures qui étaient dans l’arche, et la puanteur disparut.1 D’autres traditions présentent de légères modifications suivant leur chaine de transmission. On dit aussi qu’un mâle et une femelle sortirent du rectum ou de la trompe de l’éléphant, car c’est en couple que Dieu les créa de manière à ce qu’ils puissent se reproduire, comme il est mentionné dans le Coran : « de toute chose, Nous avons créé un couple. Puissiez-vous vous souvenir ! » (51.49). La main des traditionnalistes n’est pas étrangère à ces changements puisque le hadith se doit de corroborer la parole de Dieu, d’éliminer les contradictions, et d’éclaircir les passages obscures du texte coranique. Les sources chiites, plus tardives encore que les corpus de traditions sunnites, ne présentent quant à elles guère de différences notables, étant donné que la théologie chiite se focalise principalement sur la succession du Prophète et la légitimité du califat d’Ali usurpé par Abou Bakr, ‘Omar ibn al-Khattâb et ‘Othmân ibn ‘Affân. - Spoiler:
Il y avait beaucoup de rats sur le bateau. Dieu a inspiré à Noé de donner une tape au lion. Le lion a éternué et deux chats, un mâle et une femelle, sont sortis de son museau. Ils ont attaqué les rats et réduits leur nombre. Ensuite, Noé a donné une tape à l’éléphant avec sa main bénie. Il a éternué et deux cochons, un mâle et une femelle, sont sortis de sa trompe, et grâce à eux les matières fécales ont été éliminées. Une tradition authentique rapportée par l’imam Ja’far as-Siddiq raconte que les proches de Noé se sont plaints à lui du fléau que représentait les rats. Dieu a commandé au tigre d’éternuer. Un chat est tombé de son museau. Quand les gens se sont plaints au sujet des déchets, Dieu a commandé à l’éléphant d’éternuer et deux cochons sont sortis de sa trompe.2 Qualifié « d’étrange » (gharîb) par Ibn Kathîr, le récit de l’apparition du porc, qui ne fut pas pour autant affaibli par les ‘oulemâ’, démontre l’utilité de cet animal dans la création. Cette noble créature fait ce dont pourquoi elle fut conçue et s’incline devant son Seigneur en le glorifiant en chaque instant : « Eh quoi ! N’ont-ils pas vu, avec humilité, que toute chose créée par Allah a son ombre qui s’allonge à droite et à gauche, prosternée devant Allah ? Devant Allah se prosterne tout animal qui est dans les cieux et sur la terre, ainsi que les Anges qui ne montrent pas d’orgueil » (16.48-49), « les sept cieux l’exaltent ainsi que la terre et ceux qui s’y trouvent. Il n’est aucune chose qui n’exalte Sa louange mais vous ne comprenez pas leur exaltation. Il est longanime et absoluteur » (17.44). Dieu apprécie le porc pour l’adoration qu’il lui voue et l’estime bien plus que les infidèles qui sont les « pires des bêtes » (8.55) et les « pires des créatures » (98.6). L’animal, de même que les autres espèces, seront jugés par leur Créateur au Jour de la résurrection, puis ils seront réduits à l’état de poussière, indique la sounna, bien que l’intérêt d’un tel jugement sans récompense ni châtiment ne soit pas précisé. Les prophètes Noé, Abraham, Isaac, Ismaël et Jacob ont probablement mangé du cochon sans aucune restriction puisque la loi divine ne s’y opposait pas. Jacob, également appelé Israël, avait juré par serment de ne plus consommer de la viande et du lait de chameaux : « tout aliment était licite pour les Fils d’Israël, sauf ce qu’Israël s’est déclaré illicite à soi-même avant qu’on fit descendre la Thora » (3.93) ; « Dieu a déclaré dans leur livre, la Torah, analyse le commentateur Ibn Kathîr, que lorsque Noé a quitté l’arche, Dieu l’a autorisé à manger la viande de tout type d’animal. Par la suite, Israël s’est interdit la viande et le lait de chameaux, et ses enfants ont imité cette pratique après lui. La Torah a ensuite prohibé ce genre de nourriture et ajouté plusieurs autres prohibitions »3. L’interdit alimentaire que Jacob et ses descendants se sont fixés à eux-mêmes n’a pas de fondement biblique ni talmudique, mais est issu d’un vieux mythe antérieur à la tradition auquel croyaient les Arabes, en effet, ceux-ci pensaient que la chair de chameau pouvait causer une sciatique, c’est la raison pour laquelle Jacob se serait abstenu d’en manger4. Un prophète ne pouvant adhérer à de telles superstitions, les traditionalistes imaginèrent par conséquent une fable islamique contée par le prophète, et remontant jusqu’à un rapporteur doté d’une autorité incontestable, dans le dessein d’enrayer cette grotesque croyance populaire : Ibn ‘Abbâs a rapporté : Un groupe de juifs est allé voir le prophète de Dieu et dit : « parles-nous de certaines choses au sujet desquelles nous te questionnerons et que seul un prophète peut connaitre ». Il a répondu : « demandez-moi ce que vous voulez. Cependant, prêtez serment à Dieu comme Jacob a prêté serment à ses enfants, que si je vous réponds et que vous reconnaissez que cela est la vérité, vous me suivrez dans l’islam ». Ils ont répondu : « d’accord ». Le prophète a dit : « demandez-moi ce que vous voulez ». Ils ont dit : « réponds à ces quatre questions : quel type de nourriture Israël s’est interdit à lui-même ? » […] Le prophète a pris leur engagement qu’ils le suivraient s’il répondait à ces questions, et ils ont été d’accord. Il a dit : « je vous demande, par Celui qui a fait descendre la Torah sur Moïse, ne savez-vous pas qu’Israël est un jour tombé très malade ? Alors que sa maladie se prolongeait, il a fait un serment à Dieu que s’il le guérissait de sa maladie, il s’interdirait la meilleure boisson et la meilleure nourriture. La meilleure des nourritures n’était-elle pas pour lui la viande de chameaux et le lait de chamelle la meilleure des boissons ? » Ils ont répondu : « oui, par Dieu ». Le Messager a dit : « Ô Dieu, sois témoin contre eux ».5 La tradition n’a toutefois pas totalement écarté la sciatique, elle l’a simplement « recasée » afin que les arabo-musulmans adhèrent plus facilement à la légende. Ibn ‘Abbâs a rapporté : Des juifs sont venus trouver le prophète et ont dit : « Ô Abou-l-Qâsim ! Parles-nous du tonnerre, qu’est-ce que c’est ? » Il a répondu : « c’est un ange parmi les anges préposé au-dessus des nuages. Il porte une cravache de feu avec laquelle il dirige les nuages où Dieu le veut ». Ils ont demandé : « quel est ce bruit que nous entendons ? » Il a répondu : « c’est son exhortation aux nuages lorsqu’il les dirige, jusqu’à ce qu’ils atteignent l’endroit où on leur a commandé d’aller ». Ils ont dit : « tu as dit la vérité ». Et ils ont demandé : « qu’est-ce qu’Israël s’est interdit à lui-même ? » Il a répondu : « il se plaignait d’une sciatique et rien ne pouvait le soulager sauf de la viande de chameaux et du lait de chamelle. Il s’est donc interdit ces choses ». Ils ont dit : « tu as dit la vérité ». Il (at-Tirmidhi) a dit : c’est un hadîth hassan gharîb.6 Les savants légalisèrent la consommation de viande de chameaux - impure et prohibée dans la Torah – et éradiquèrent en même temps l’ancienne superstition imprégnée dans le subconscient du peuple à l’aide de ahadîth fabriqués qu’ils diffusèrent dans toutes les mosquées, ils firent ainsi d’une pierre deux coups7. Lorsque Dieu révéla la Torah à Moïse, il bannit certains animaux du régime alimentaire des Israélites. Dans la Bible, nous lisons : « vous ne mangerez pas le porc, qui a la corne fendue, mais qui ne rumine pas : vous le regarderez comme impur. Vous ne mangerez pas de leur chair, et vous ne toucherez pas leurs corps morts » (Deutéronome 14.8) ; Dieu imposa toutes sortes d’interdits et de rituels à Israël dans le but de tenir les hébreux éloignés du mode de vie de leurs voisins païens dont certaines coutumes étaient détestables (Ézéchiel 11.5-12). Le Coran avance un tout autre motif concernant la prohibition du porc. D’après celui-ci, les Juifs auraient commis maintes transgressions à l’égard de Dieu et leurs péchés auraient été sanctionnés par une restriction alimentaire, un peu comme des parents qui privent leur enfant de désert après une bêtise, c’est en l’occurrence ce qu’exprime les versets suivants : « Nous avons déclaré illicites, pour ceux qui pratiquent le judaïsme, des [nourritures] excellentes déclarées licites [à l’origine] pour eux, [et cela] en prix d’avoir été iniques, de s’être tant écartés du Chemin d’Allah, d’avoir pratiqué l’usure qui leur a été interdite, d’avoir mangé les biens des gens au nom du Faux » (4.160-161) ; « À ceux qui pratiquent le Judaïsme, Nous leur avons déclaré illicite toute [bête] à ongles. Des bovins et des ovins, Nous avons déclaré pour eux, déclaré illicites les graisses, sauf celles que portent leur dos et leurs entrailles ou ce qui est mêlé aux os. Cette interdiction est la récompense de leur rébellion. En vérité, Nous sommes certes véridiques » (6.146) ; « À ceux qui pratiquent le Judaïsme, Nous leur avons interdit ce que Nous t’avons énuméré tout à l’heure. Nous ne les avons point lésés : ce sont eux qui se sont lésés eux-mêmes » (16.118)8. Un juif attaché à son Seigneur tombe conjointement sous le coup de la loi. La pénitence est collective en dépit du fait que nul n’est censé porter le péché d’autrui (6.164, 17.15, 35.18, 53.38).
Puis la venue du Messie vint bouleverser l’ordre des choses et changer la loi. Le Nouveau Testament rend caduque les tabous alimentaires (Matthieu 15.11, Actes 11.5-10), tandis que le texte coranique traitant de la vie de JESUS est ambigu et embarrasse les commentateurs : « [je vous suis envoyé] déclarant véridique ce qui a été donné avant moi, de la Thora, afin de déclarer pour vous licite une partie de ce qui avait été pour vous déclaré illicite » (3.50). ‘Isa faisait-il seulement allusion aux aliments ou également à d’autres pratiques à nouveau légales ? Les avis divergent, on dit qu’il a autorisé la consommation de certaines espèces de poissons et d’oiseaux, la viande de chameaux, la graisse de bovins et de moutons, mais aussi qu’il a abrogé le Sabbat, donnant ainsi la possibilité de travailler le samedi. Les exégètes ne mentionnent pas explicitement le porc - quoiqu’ils n’ignorent pas que les populations chrétiennes en savourent régulièrement la chair comme le permet leur religion - et ne peuvent admettre ouvertement que JESUS a permis cette viande, car cela serait trop déroutant pour un simple croyant, cependant, quelques-uns l’ont tout de même avoué à demi-mots : « on dit aussi qu’il leur a rendu licite toute chose, de sorte que ba’d, ‘une partie’, signifie koull, ‘tout’ »9. Cette lecture du verset, basée sur la Bible, est conforme aux précédentes révélations divines et se présente en français sous cette forme : « afin de déclarer pour vous licite tout de ce qui avait été pour vous déclaré illicite ». Cette frange de théologiens exposait une interprétation juridiquement recevable mais ô combien troublante pour les masses islamisées. Les traditionalistes furent sollicités et marquèrent le dégoût de JESUS envers le porc en attribuant au Prophète une métaphore plutôt maladroite : « par celui qui détient mon âme dans sa main ! Le fils de Marie descendra bientôt parmi vous en tant que juge juste. Il brisera la croix, tuera le porc et abolira la jizya »10. Le hadith s’emploie à duper les disciples de Mahomet sur la crucifixion du Christ11 et la légalisation du porc, qui seraient des hérésies de la Chrétienté. Les ‘oulemâ’ savent, en connaissance de cause, que les musulmans privilégieront la tradition prophétique aux témoignages de gens ayant réellement côtoyés JESUS. Ceux-ci ne sont pas réticents à l’idée de manipuler leurs ouailles, à l’image du Cheikh Yousouf al-Qaradâwi qui dissimule l’illogisme de sa religion par une habile sélection du texte du Nouveau Testament concordant avec le hadith : Ces prohibitions s’appliquaient aux Juifs, et il peut être admis que les Chrétiens étaient aussi supposés les observer puisque l’Évangile affirme que le prophète ‘Isa (que la paix soit sur lui) n’est pas venu abolir la Loi du prophète Moïse mais pour l’accomplir. Néanmoins, les Chrétiens ont rendu des choses licites qui ont été prohibées dans la Torah, bien que non abrogées dans l’Évangile. Les Chrétiens ont suivi les enseignements de Paul, qui déclare que toutes nourritures et boissons sont licites avec pour seule exception la chair des animaux sacrifiés aux idoles, depuis que « tout est pur pour ceux qui sont purs ». Par conséquent, les Chrétiens se sont permis de manger du porc, malgré le fait que le texte de la Torah l’interdit jusqu’à aujourd’hui.12 Les instances religieuses en terre d’islam censurent la Bible sur leur territoire et en condamnent la possession, le croyant se laisse donc facilement prendre dans les filets de ses maîtres à penser et ne peut vérifier leurs allégations. Le raisonnement d’al-Qaradâwi s’effondre si l’on prend l’exemple du chameau dont la viande est proscrite dans la Torah, mais licite aussi bien dans l’Évangile que dans le Coran. Lors de la descente du Coran sur le Prophète arabe, Dieu bannit le cochon de l’assiette des mahométans par la réinstauration de la prohibition toraïque martelée à quatre reprises : « Allah a seulement déclaré illicites pour vous la [chair d’une bête] morte, le sang, la chair du porc et ce qui a été consacré à un autre qu’Allah. [Mais] quiconque est contraint [à en manger] sans [intention d’être] rebelle ou transgresseur, nul péché ne sera sur lui. Allah est absoluteur et miséricordieux » (2.173), « illicites ont été déclarés pour vous [la chair de] la bête morte, le sang, la chair de porc et de ce qui a été consacré à un autre qu’Allah, [la chair de] la bête étouffée, [de] la bête tombée sous les coups, [de] la bête morte d’une chute [ou] d’un coups de corne, [la chair de] ce que les fauves ont dévorés – sauf si vous l’avez purifiée – [la chair de] ce qui est égorgé devant les pierres dressées » (5.3), « dis : dans ce qui m’est révélé, je ne trouve rien d’illicite pour qui se nourrit d’une nourriture, à moins que cette [nourriture] soit une [bête] morte, ou un sang répandu, ou de la viande de porc, car elle est souillure, ou ce qui a été consacré à un autre qu’à Allah. [Mais] quiconque est contraint [à en manger] sans [intention d’être] rebelle ou transgresseur, ton Seigneur est seul absoluteur [envers lui] et miséricordieux » (6.145), « Allah a seulement déclaré illicite pour vous la [chair d’une bête] morte, le sang, la chair du porc et ce qui a été consacré à un autre qu’Allah. [Mais] quiconque est contraint [à en manger] sans [intention d’être] rebelle ou transgresseur, Allah sera absoluteur [envers lui] et miséricordieux » (16.115). Dieu autorise toutefois aux croyants à consommer du porc si la famine les y pousse. Par analogie aux versets 4.160-161, 6.146 et 16.118, le tabou vise à sanctionner les Arabes qui pèchent par idolâtrie et tuent leurs filles (6.137, 6.140, 6.151, 16.59, 17.31, 81.8). L’interdit religieux s’applique tant à Mahomet qu’aux peuples non arabes convertis de force à l’islam. Ces derniers portent le poids de la faute des Arabes païens comme les Juifs pieux supportent le fardeau de leurs ancêtres. L’unique justification possible offerte par le Coran est sciemment éludée par les juristes qui penchent plutôt en faveur d’autres thèses extravagantes que résume al-Qaradâwi :
1 Histoires des prophètes et des rois, Mohammed ibn Jarir at-Tabari, p.62, traduction d’Hermann Zotemberg, Éditions de la Ruche, 2006
2 Hayat al-Qulub, volume 1, p.154, Allamah Muhammad Baqir al-Majlisi, translator Sayyid Athar Husain S. H. Rizvi, Ansariyan Publications, 2003
3 Tafsîr Ibn Kathîr 3.93
4 The Jewish Encyclopedia, vol. III, p.520, Funk and Wagnalls, 1901-1906
5 Mosnad Ahmad 2510
6 Sunan at-Tirmidhi 3117
7 Sahih al-Boukhâri 2353
8 Régis Blachère considère que ces deux derniers versets sont des ajouts tardifs.
9 Tafsîr al-Jalalayn 3.50
10 Sahih Moslim 155. Les chrétiens eux aussi tuent des porcs !
11 Le Coran dans sa forme primitive ne niait pas la crucifixion du Christ (3.55), « il est clair, écrit Blachère, que ce verset (4.156) et les suivants sont une addition ultérieure ». L’antithèse de la crucifixion fut importée tardivement et tire son origine du gnosticisme. Les penseurs de la nouvelle secte émergeante n’acceptaient pas que Dieu ait « permis la mort de son prophète de façon ignominieuse », commente Raymond Le Coz dans Écrits sur l’islam, éditions du Cerf, p.117, 1992.
12 The lawful and the prohibited in islam, Sheikh Yusuf al-Qaradawi, p.38, Al-Falah Foundation for translation, publication & distribution, 1997
13 Ibid. p.42
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