Rappel du premier message :Pedophilia 1
Au Moyen-Orient, lorsque de jeunes filles, comme la yéménite Nada al-Ahdal,
onze ans, se révoltent et refusent le mariage forcé, les médias s’emparent de
l’affaire et la nouvelle fait le tour du monde en seulement quelques heures.
On a coutume de dire que cela est une tradition en omettant de préciser que
les véritables causes du problème sont religieuses.
L’exemple de Mahomet et d’Aïcha
‘Aïcha est la plus connue des épouses du Prophète, d’abord parce qu’elle était
sa femme préférée, ensuite parce qu’elle a rapporté un grand nombre de hadiths.
Mahomet raconte que Dieu lui envoya un rêve dans lequel on lui annonça de
prendre pour femme ‘Aïcha1. La fille d’Abou Bakr était à l’époque extrêmement
jeune et son père, en dépit de quelques réticences, accepta de la marier.
Le mariage fut célébré à La Mecque et consommé deux ou trois ans plus tard
à Médine : « le Messager de Dieu m’a épousé à l’âge de six ans, dit-elle,
et il a consommé le mariage avec moi quand j’eus neuf ans »2.
Certaines sources donnent sept ans à la fillette au moment de la cérémonie.
Dans les chroniques de Tabari (m. 923), une tradition relate que le Prophète
n’a vu sa femme que deux fois : la première fois pendant leurs épousailles
et la deuxième fois lors de leur union charnel3. Ceci montre à quel point Mahomet
avait une profonde attirance sexuelle pour l’enfant, aucun lien d’amitié ou
d’amour n’existait entre eux deux avant que les draps ne fussent souillés de sang,
en d’autres termes, c’était un pédophile. Avec l’avènement d’Internet, de nombreux
occidentaux découvrent avec stupeur que leurs voisins ou amis de confession
musulmane vénèrent un homme coupable de viol sur mineure. Certains ne se gênent
pas pour le dénoncer, et les imams ont recours à quelques artifices dans le but de
couvrir le crime. On entend dire le plus souvent que le mariage avec des enfants
était une pratique tout à fait courante en ce temps-là, or, ceci est totalement faux,
puisqu’il s’agit d’une nouvelle norme instituée par l’islam. Les Arabes, à l’instar
des autres cultures et civilisations, considéraient que la puberté était l’âge minimum
requis pour le mariage. Le savant du hadith Abou Dâwoud (m. 888) en apporte
la preuve en incorporant dans son corpus de hadiths un épisode qui se déroula
durant la période préislamique :
Il (Mahomet) s’est arrêté et l’a écouté (le père de Maymouna bint Kardam),
il a dit : « j’étais présent dans l’armée d’Athrân » - Ibn al-Mouthanna a dit :
l’armée de Ghathrân – Târiq bin al-Mouraqqa’ a demandé : « qui me donnera
une lance pour son prix ? » J’ai dit : « quel est son prix ? » Il a répondu :
« je lui donnerai en mariage ma première fille ». Je lui ai donc donné ma lance.
Je le voyais de temps en temps, jusqu’à ce que je susse qu’il eut une jeune fille
et qu’elle était pubère. Ensuite, je suis allé le voir et je lui ai dit : « prépare ma
femme pour moi ! », mais il a juré qu’il ne me la donnerait pas tant que je ne lui
aurais pas donné une nouvelle dot, autre que celle que je lui avais déjà donné.
J’ai juré que je ne lui donnerai rien d’autre que ce que je lui avais déjà donné ».
Le Messager de Dieu a demandé : « quel âge a-t-elle maintenant ? » Il a répondu
: « on peut voir des cheveux blanc ». Il a dit : « je pense que tu devrais t’en séparer ».
Il a dit : « cela m’a surpris et j’ai regardé vers le Messager de Dieu. Quand il a
vu l’expression sur mon visage, il a dit : « pas de péché pour toi, ni pour ton compagnon ».4
Cette tradition sous-entend qu’il est toléré de promettre sa fille en mariage bien avant
qu’elle ne vienne au monde. Certains mahométans prétendent en plus qu’Aïcha
était précoce, c’est-à-dire qu’elle avait déjà ses menstrues à l’âge neuf ans.
Ils insinuent de cette manière que c’était « une femme » prête à avoir un
premier rapport sexuel, seulement, cette allégation n’est pas fondée.
Le Cheikh al-islam de rite malékite et d’origine algérienne, Ahmad bin Nasr
ad-Dâwoudi al-‘Asadi (m. 1011), a déclaré « qu’Aïcha avait la sensation d’être
une adolescente »5. Ce qui ne signifie pas qu’elle était pubère. Ad-Dâwoudi
n’émet ici qu’une hypothèse permettant d’expliquer pourquoi le Prophète a
retardé la consommation du mariage : il a attendu qu’Aïcha soit assez mature
physiquement pour le coït sans que sa santé n’en pâtisse. C’est apparement
l’avis de Tabari : « c’était une enfant le jour de son mariage et elle ne pouvait
pas supporter le rapport sexuel »6. Nous ne savons pas à quel âge ‘Aïcha eut
ses premières menstrues, n’empêche qu’al-Kattâbi (m. 998) était persuadé
qu’elle ne les avait toujours pas à l’âge de quatorze ans, car elle jouait encore
avec ses jouets. Sans rejeter cette possibilité, Ibn Hajar al-‘Asqalâni (m. 1448)
n’est pas aussi affirmatif que lui :
Abou Dâwoud, ainsi qu’an-Nasâ’i, ont rapporté dans un autre rapport qu’Aïcha
a dit : « le Messager de Dieu est revenu de l’expédition de Tabouk ou de Khaybar »,
et il a mentionné le hadith au sujet du rideau qui s’est soulevé et qui était accroché
à sa porte, elle a dit : un coin du rideau s’est soulevé et a montré ‘Aïcha en train
de jouer avec ses poupées. Il a demandé : « qu’est-ce que c’est, Ô ‘Aïcha ? »
Elle a répondu : « mes poupées ». Il a vu deux ailes attachées à un cheval.
Il a demandé : « qu’est-ce que c’est ? » Elle a répondu : « un cheval ». Il a dit :
« un cheval avec deux ailes ? » Elle a répondu : « n’as-tu pas entendu que
Salomon avait des chevaux avec des ailes ? », et il a ri.
Ceci montre clairement que le sens du divertissement n’est pas avec des formes humaines.
Al-Khattâbi a dit : dans ce hadith, le divertissement avec des poupées n’est pas
comme la distraction avec d’autres images à propos de laquelle est mentionnée la menace ;
quant à l’autorisation donnée à ‘Aïcha, c’est parce qu’elle n’était pas pubère.
Je dis : concernant cette affirmation, cela est discutable mais c’est possible,
car ‘Aïcha, lors de l’expédition de Khaybar, était une fille de quatorze ans,
ou elle avait exactement cet âge, ou l’avait dépassé, ou s’en approchait.
Mais au moment de l’expédition de Tabouk, il est certain qu’elle était pubère.
Le récit le plus fort est ceux qui disent que la scène se déroula au temps de Khaybar.7
L’opinion d’al-Khattâbi est scientifiquement la plus probable, étant donné que
plus nous remontons dans le temps, plus les filles sont pubères tardivement,
y compris dans la péninsule arabique. Saffiya bint Houyayy, notamment,
qui était une autre femme du Prophète, n’avait pas encore commencé sa puberté
à l’âge de treize ans8, par conséquent, nous pouvons affirmer qu’Aïcha n’était pas
pubère à la consommation de son mariage. Outre cela, des musulmans hypocrites,
ou vivant dans le déni, avancent, en contredisant toutes les traditions jugées
authentiques par les mouhaddithin, que la jeune épouse du Prophète avait entre
12 et 15 ans à ce moment-là. Le Cheikh Jibril Fouad Haddad s’est employé à réfuter
chacun de leurs mensonges dans une fatwa qui fera date9.
1 Sahih al-Boukhâri 3682
2 Sahih Moslim 1422
3 Târîkh ar-Rousoul wa-l-Moulouk, Mohammed Ibn Jarîr at-Tabari, volume 3,
p.163-164, Dâr at-Tourâth, 1387
4 Sunan Abi Dâwoud 2103. Bien qu’Abou Dâwoud n’y trouve rien à redire, al-Albâni
l’a affaibli, cf Sahih wa-Da’îf Sunan Abi Dâwoud 5/103.
5 Al-Minhâj Charh Sahih Moslim bin al-Hajjâj, Yahya bin Charaf an-Nawawi, volume 9,
p.206, Dâr Ihyâ’ at-Tourâth al-‘Arabi, 1392
6 Târîkh ar-Rousoul wa-l-Moulouk, volume 3, p.161
7 Fath al-Bâri Charh Sahih al-Boukhâri, Ibn Hajar al-‘Asqalâni, volume 10, p.527,
Dâr al-Ma’rifa, 1379
8 Al-Bidâya wa-n-Nihâya, Ismâ’îl Ibn Kathir, volume 6, p.290,
Dâr ‘Âlam al-Kotob, 2003
9 Our Mother A’isha’s Age at The Time of Her Marriage to The Prophet,
answered by Shaykh Gibril F. Haddad, Fatwa n°4604, http://qa.sunnipath.com
( a suivre .... 1 de 4 )
1 - DITES-MOI Est-ce possible que ces ecrits soient VRAI ?
2 - CAR SI OUI .... L`ISLAM EST UN PARADIS SEXUEL
3 - Pour des obsedes de tous genres .
LOGIQUEMENT : SPIRITANGEL