Capucine MODERATION
Date d'inscription : 12/12/2011 Messages : 7539 Pays : France R E L I G I O N : catholique
| Sujet: Le séparatisme islamique d'E. Macron Mer 19 Fév 2020, 9:55 am | |
| Le premier acte d’Emmanuel Macron contre le « séparatisme islamiste »À Mulhouse (Haut-Rhin), mardi 18 février, le chef de l’État a affiché sa fermeté face au « séparatisme islamiste » et aux « influences étrangères » sur l’islam en France. D’autres annonces suivront dans les prochaines semaines, avant et après les municipales.
- Mélinée Le Priol,
- le 19/02/2020 à 17:54
Prière de l'Aïd dans la salle des fêtes de la Mairie d'Aubervilliers [size=12]Lahcène Abib/Divergence [/size] Avec sa visite à Mulhouse, en particulier dans le quartier populaire de Bourtzwiller, Emmanuel Macron a ouvert, mardi 18 février, l’un des volets de la lutte contre le « séparatisme islamiste ». Un prochain déplacement est d’ores et déjà prévu pour le début de semaine prochaine, vraisemblablement dans les Hauts-de-France. D’autres suivront après les municipales. Autant d’occasions de préciser, face aux acteurs de terrain, les contours du programme que le chef de l’État a déroulé, à Mulhouse, dans un discours d’une demi-heure.Du « communautarisme » au « séparatisme islamiste », le glissement sémantique n’a échappé à personne. Il a réjoui plusieurs responsables musulmans, mal à l’aise avec le « fléau du communautarisme » souvent brandi par l’extrême droite. « Ces appartenances (à des cultures étrangères, NDLR) s’ajoutent à la République, elles sont compatibles avec elle », a pour sa part affirmé le chef de l’État. Il voit en revanche dans le « séparatisme » un « mouvement de repli qui vise à sortir du champ républicain » : par exemple, le fait de refuser de serrer la main à une femme ou de déscolariser ses enfants pour des raisons religieuses. « Je ne céderai rien »Didier Leschi, président de l’Institut européen en sciences des religions, juge cette analyse « fine » et sans doute étayée par les avancées de la réflexion politique et universitaire depuis les attentats de 2015. « On a longtemps cru qu’il suffirait de répondre à la question sociale pour que l’islamisme s’estompe, rappelle-t-il. Le président de la République a, je crois, la conviction que cela ne suffit pas : l’aspect sécuritaire ne doit pas être négligé. »→ EXPLICATION. Pourquoi Emmanuel Macron parle désormais de « séparatisme » islamisteDe fait, à Mulhouse, le président s’est longuement attardé sur le déploiement d’effectifs policiers dans les quartiers concernés par le séparatisme, avant de rappeler sa détermination à « ne rien céder ». Une manière, également, de répondre à ses opposants mais aussi à une partie de son camp qui le pressent depuis le début du quinquennat d’affirmer sa politique sur ce sujet sensible.
C’est sur la première des quatre « lignes force » énumérées dans son discours, « la lutte contre les influences étrangères », qu’Emmanuel Macron a annoncé des mesures concrètes mardi soir. Sa prochaine prise de parole pourrait être consacrée à la « reconquête républicaine » de certains territoires, notamment par le biais du tissu associatif et sportif.----------------------------- Quatre axes de lutte contre le séparatisme - Le premier axe, présenté mardi, concerne des mesures contre « les influences étrangères » sur l’islam en France. Emmanuel Macron a annoncé la fin des « imams détachés » envoyés par d’autres pays, comme la Turquie et l’Algérie. - Favoriser une meilleure intégration du culte musulman en France. - Combattre « avec détermination » toutes les manifestations du séparatisme islamiste. - Ramener « la République » dans les territoires où elle a « démissionné », dans les domaines « social, sanitaire, périscolaire ». Le président prévoit des mesures en matière de sport, d’éducation, et d’accompagnement des familles dans les quartiers.
La Croix |
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yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : france R E L I G I O N : agnostique
| Sujet: Re: Le séparatisme islamique d'E. Macron Jeu 20 Fév 2020, 3:13 am | |
| C'est grotesque.
L'islam veut coloniser la France, en faire une terre d'islam, il n'a nul intention de se franciser.
On ne peut changer sa nature. Il faut plutôt encourager l'apostasie des musulmans vivant en France et bouter hors de France les réfractaires à l'apostasie de la RATP.
Il y a 57 pays musulmans où le non-musulman est persécuté. |
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