Témoignage du Fils d'un Imam connaisseur du Coran
Moussa Koné
À Dieu tout seul soit la gloire pour avoir rendu l'édition de ce livre possible.
Traduit de l'anglais: I Was a Muslim
1995 copyright, Moussa Koné,
Mon enfance
Je vous salue frères et soeurs, je m'appelle Moussa Koné. Je suis dernier et le troisième fils de la famille Koné. Je veux vous parler aujourd'hui de mon témoignage qui est du vécu. En même temps je vous donne un conseil. Frères et soeur ne vous laissez jamais tromper sur le salut de votre âme. On peut vous tromper par un cheque sans provision, votre femme, votre père, votre soeur peut vous tromper mais sur le salut de votre âme. Quand je suis né en 1953, mon père, Ibrahim Koné, était déjà Imam. Mon père qui était très affectueux envers moi, m'a conduit très tôt à la lecture du Coran à l'âge de trois ans. À l'âge de six, j'ai étais inscrit à école primaire, en première classe. Cependant, seulement trois semaines après que j'ai fus inscrit, j'ai perdu ma vue et subi une opération. Cela m'a forcé à rester à la maison, ce qui a très bien convenu à mon père parce que le désir de son coeur pour moi était que je devienne étudiant sérieux du Coran et ne préférait pas m'envoyer à l'école comme mes deux frères aînés. Son propre père avait 40 enfants et aucun d'eux n'a été envoyé à école. Donc, à la maison, je n'avais pas d'autre activité que la lecture du Coran que j'ai aimé grandement.
Je dois dire que l'étude du Coran a interrompu mes études fondamentales que je suivais seulement de temps en temps à la maison avec mes grands frères. À l'âge de 13, je suis comme candidat libre au (C.E.P.E.). À l'âge de 14, je pouvais lire si bien le Coran que j'ai appris aux autres enfants dans mon voisinage. Par suite de ceci, les enfants de groupes tribaux différents sont venus à Islam, même les baoulés.
Cependant, un jour en lisant le Coran avec mon père, je lui ai posé une question qui est m'est venue à l'esprit: "Si ce soir, vous et moi devriez mourir, est-ce que nous irions à Paradis?" Il me répondit sincèrement: "Mon fils, je ne sais pas. Et, je ne peux pas savoir parce que le Coran ne dit pas clairement si nous pouvons entrer au Paradis."
J'ai été touché profondément, mais mon père était sincère avec son Dieu, avec moi, et avec lui-même. Il savait que mentir ne résoudrait rien parce que je pourrais fouiller le Coran moi-même et découvrir la vérité. La réponse m'a dérangé, mais n'a pas changé mon attitude envers l'étude du livre sacré d'Islam.
Et je voudrais toucher un passage, du faite que nous avions le pouvoir d'utiliser les versets Coraniques pour faire d'autres choses.
À l'âge de 18, je pouvais récité le sourate et faire beaucoup de choses. Je mentionnerai juste deux expériences que j'avais du Coran. Ce n'est ni me glorifier ni glorifier Satan, mais montrer combien j'avais maîtrisé le Coran.
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