Rappel du premier message :

11 mai 2010

vous savez nous avons recu l'alerte climatologique au mois de novembre 2009... ou dans ce coin la..je ne me rappel plus exactement la date..mais nos élus ne pensent que en terme de profits ils ce fiche pas mal de nos ressources...

mais voila le profits devra aussi allez a la décontamination.. ce sont les règlements de comptes entre mamon et la vie..car ce sont eux qui détruisent notre équilibre écologique..pour des pésos..

pour le séisme en Haitie ils ont aussi été prévenu tout comme pour les innondations a venir ...ils savent, mais, ne le disent pas!!! ils nous cachent

bien des choses.. sinon sa serais la panique générale car ce sont les pauvres qui seront les victimes.donc pour éviter la panique ils nous mentent a tour de bras. mais voila toute vérité sortira .


BP a lancé sur internet un appel aux idées, même farfelues, pour boucher le troun d'où s'échappe le pétrole dans golfe du Mexique.

http://www.actu24.be/article/detail.aspx?articleid=DMF20100511_047

alors si nous avons des génits qui sait des fois les lumières vont probablement jallir du fond de l'espagne qui sait! alors je passe le mot.
pour la vie pour les enfants qui viendront après nous.

oui le brut qui coule a mégatonne dans les eaux est un désastre écologique.. qui va couter tres cher. on parle de gros chiffres.voila ou leurs or noir nous conduit a la destruction..
.oui voila moi je conseillerais plus de cargo sur les eaux..mais, on aime pas ma solution : pas payant!!

https://www.youtube.com/watch?v=5qXcrNYQJ8c&NR=1

faire un récapitules de toute l'histoire now!

on va commencer par remémoré





juste cette photo..pour que sa parte du fond de l'eau et que sa remonte a la surface sa donne épais.1500 pieds si je me rappel..profond jamais expérimenté auparavant ., risquer un peu non?..le fond qui a fait de la plonger la? .. je sais pas, mais, sa ressemble a un sacrement de beau merdier. gros procès officiel.tu peut passez a côté de sa? impossible...le fond.... comment avez vous fais pour analyser le fond? des pêcheurs pas des spécialistes..s'entends la que ils ont engagés.. mais bel et bien des pêcheurs... il a engagé! peut être l'avis d'un vrai spécialiste serait apprécié! pas un pêcheur de crevettes.. ils commetent des fautes c'est bien connu 8-) même dans la chrétienneté c'est bien connu aussi!

petit rappel!

Les pétrolières et gazières débarquent au Québec
Sur cette page Actualité - 3 septembre, 2010

Du 12 au 16 septembre, la fine fleur de l’énergie mondiale débarque à Montréal pour le Congrès Mondial de l’Énergie. Shell, Suncor, Total, Areva, Gaz Métro… Toutes les grandes entreprises énergétiques mondiales seront présentes pour multiplier les occasions d’affaires, signer de nouveaux contrats et vendre plus de pétrole, de charbon, de gaz de schistes, de sables bitumineux ou de nucléaire. Mais nous ne voulons pas de leurs énergies sales qui accélèrent les changements climatiques et contaminent notre environnement.


Alors que la marée noire aux États-Unis (uniquement celle du mois d’avril!) a provoqué un désastre environnemental pour des décennies, le gouvernement Charest a une politique énergétique totalement incohérente, déroulant le tapis rouge aux pétrolières, et refusant même un réel débat sur la nécessité ou non d’aller de l’avant avec les gaz de schistes. Ne nous laissons pas faire! Le Québec a besoin d’investir massivement dans les énergies propres et de faire des économies d’énergie, pas de consommer plus de pétrole, de nucléaire, ou de se lancer dans les gaz de schiste.

Rassemblons-nous pour dire : pétrole, gaz, ça suffit!

Les énergies propres ne laissent pas de traces!

Dimanche 12 septembre
14 heures
Place Riopelle
Devant le Palais des Congrès de Montréal
(où se tiendra le Congrès Mondial de L’Énergie)
Organisations participantes :

Greenpeace
Nature Québec
Le Regroupement citoyen "Mobilisation Gaz de Schiste"
Au courant
MCN21
ENJEU
CCMM CSN
AQLPA
Jour de la Terre
CRE-Montréal
RQGE
Chapitre montréalais du Conseil des Canadiens
Fondations Rivières
EAU SECOURS!
Union Paysanne
Equiterre
Syndicat des travailleurs de la raffinerie Shell à Montréal-Est
Association des Médecins Canadiens pour l’environnement
Physicians for Global Survival (Section Québec)
Forest Ethics
Conseil Régional FTQ Montréal Métropolitain
Québec Kyoto
Mouvement Sortons le Québec du Nucléaire
Pour que le Québec ait meilleure mine
Sept-Iles sans uranium
Mouvement Vigilance Énergie
GRAME (Groupe pour la recherche appliquée en macroécologie)
Attention Fragîles
Save Our Seas and Shores Coalition
http://www.greenpeace.org/canada/fr/actualites/Les-petrolieres-et-gazieres-debarquent-au-Quebec-/?sms_ss=facebook

alorsc'était l'arrivé de la dérobé des crosseurs qui sont arrivé en grand nombres en ville. pour nous venté leurs mérites de leurs sales énergies...hé oui il y en a partout sa venait de tout les Pays..le but évidement de cette manifestation est avant tout de faire comprendre a ces grosses têtes de pharaons que leurs gaz de shistes pas vraiment bon..bon rien pour rien.voici la manifestation j'aurais pas passé a côté de sa.


Congrès mondial sur l'énergieLes écologistes manifestent
Mise à jour le dimanche 12 septembre 2010 à 15 h 49



Quelques centaines de manifestants sont rassemblés devant le Palais des congrès pour dénoncer l'exploitation des sables bitumineux et du gaz de schiste au pays.

Ils entendent ainsi interpeller les conférenciers et délégués du 21e Congrès mondial de l'énergie qui s'ouvre ce dimanche à Montréal.

Une dizaine de militants de Greenpeace, couverts d'une matière imitant le pétrole, ont mis en scène ce que le mouvement écologiste qualifie de Beach Party marée noire pour dénoncer la dépendance aux énergies fossiles.

Plusieurs autres mouvements de défense de l'environnement sont aussi de la manifestation, notamment pour dénoncer l'exploitation projetée par Québec des gaz de schiste.

Daniel Breton, de Maîtres chez nous - 21e siècle (MCN21), dénonce à la fois l'aspect écologique et économie du dossier des gaz de schiste. Il déplore notamment que le gouvernement libéral soit « en train de donner pour une bouchée de pain nos ressources ».

Greenpace ne manque pas pour sa part de dénoncer, dans son communiqué, « les incohérences de la politique énergétique du gouvernement Charest [ qui à ] Copenhague se présentait comme '' leader '' dans la lutte aux changements climatiques ».

Le mouvement écologiste international demande à Jean Charest de décréter « immédiatement » un moratoire sur l'exploration et l'exploitation pétrolière et gazière au Québec.

Des représentants du Parti québécois et de Québec Solidaire sont aussi de la manifestation.

La porte-parole de QS, Françoise David, considère que le gouvernement Charest et les entreprises ne tiennent pas compte de l'avis des citoyens. Elle désire que les élus changent de mentalité vis-à-vis les politiques énergétiques en vigueur.

Le Congrès mondial sur l'énergie

Jusqu'au 16 septembre, 200 conférenciers en provenance de 52 pays débattront des questions énergétiques.

En outre, environ 3500 délégués internationaux sont attendus à cet événement, auquel prendra part le ministre canadien des Ressources naturelles, Christian Paradis.

Le congrès de Montréal « s'engage plus que jamais à promouvoir une croissance responsable, alliant développement économique, protection de l'environnement et réduction des inégalités planétaires », lit-on sur le site du Congrès mondial de l'énergie.


http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/09/12/003-congres-energie-montreal.shtml


je vous invite donc a regardez très cher ami(es) a regardez ce que c'est exactement le " Gaz de schiste".pour ne pas dire carrément de la chit...JE a fait enquête.. nous avons droit a une belle démonstration.. de l'eau du robinet qui prends feu a vous de constater les désatres de ce gaz... allez comprendre pourquoi on s'objet a leurs gaz???.dois pas être vraiment pour un pompier ce genre d'eau pour éteindre un feu??? mettons que ..au lieu de l'éteindre ils vont l'alimenter..très intelligent. il change l'eau en gaz..

http://tva.canoe.ca/emissions/je/


Gaz de schiste
Une étude américaine suggère la prudence
Agence QMI
09/09/2010 04h24



MONTRÉAL – Alors que le débat sur les gaz de schiste fait rage au Québec, une équipe de scientifiques américains estime que le développement accéléré de ces gaz pourrait compromettre le bilan des gaz à effet de serre dont se vante la province.
Dans une entrevue au quotidien Le Devoir, le professeur Robert Howart de l’Université Cornell , dans l’État de New York, affirme que la filière du gaz naturel serait aussi polluante et aussi néfaste pour le climat que le charbon, le pire de tous les combustibles fossiles connus jusqu'ici.

M.Howart a réalisé une «évaluation préliminaire» des émissions de GES de la filière des gaz de schiste.

Selon le quotidien, cette évaluation a été consacrée aux émissions cumulatives non seulement de la combustion du méthane extrait des schistes souterrains, mais aussi de toutes les étapes fort complexes et nombreuses, y compris les fuites et les émissions fugitives de gaz, de l'exploration jusqu'aux nombreux forages exigés par cette technique.

L’étude du professeur Howart fera partie du matériel scientifique utilisé par l'Environmental Protection Agency (EPA) dans l'évaluation globale de la filière des gaz de schiste qu'elle a amorcée au cours des derniers mois.

Une étude plus complète sera déposée auprès de l'EPA d'ici deux mois.

Mais, selon le scientifique, ces deux analyses des émissions de GES des gaz de schiste seront toujours basées sur les indices scientifiques actuellement disponibles.

Mise en garde

Selon lui, la décision de Québec d’aller de l'avant dans le cadre de l'audience du BAPE, en se basant strictement sur la documentation disponible sans validation supplémentaire par des études plus approfondies, est «pour le moins une position fragile».

Le professeur Howart estime que l'État de New York a fait preuve de «clairvoyance et de prudence» en décrétant un moratoire sur le développement de cette filière.


http://fr.canoe.ca/infos/environnement/archives/2010/09/20100909-042433.html


après le beach party marrée noire j'ai déguster sur la terrasse une boisson fouetter kiwi et ananas un délice que je vous donne la recette

1 tasse de moreceaux d'ananas congelé
6 oz de yogourt a la lime
1 kiwi pelé et tranché
1/2 tasse de noix de coco en canne..tu peux bien prendre des noix de coco
1 c.a soupe de miel brasser moi toute sa au mélangeur et

MONTRÉAL - Une île de glace de 250 kilomètres carrés dérivant dans l’Arctique, entre le Canada et le Groenland, vient de se briser en deux.
Des images satellites montrent que l’île de glace s’est fracassée après avoir heurté à plusieurs reprises l’Île Joe, un petit affleurement rocheux situé dans le détroit de Nares, entre le Groenland et l’île d’Ellesmere, a rapporté la chaîne d’information CNN, dimanche.

«Avec les images satellites, vous pouvez difficilement voir la formation rocheuse que l’île de glace a frappée, parce qu’elle est plusieurs fois plus petite, mais elle est bel et bien là», a dit le Dr Andreas Muenchow, professeur associé en physique océanique et ingénieur à l’Université du Delaware.

L’île de glace a heurté l’Île Joe la semaine dernière et, depuis, les forces combinées des courants océaniques et des vents ont fragilisé sa structure, de sorte qu’elle s’est finalement scindée en deux parties, constituant une île de 152 kilomètres carrés et une autre de 84 kilomètres carrés.

L’île de glace initiale s’est créée le 4 août, après s’être détachée de la barrière de glace flottante du glacier Petermann, sur la côte nord-ouest du Groenland. Elle s’est ensuite déplacée dans le détroit de Nares au début de septembre.

Au départ, on a estimé que l’île de glace faisait une superficie de 250 kilomètres carrés, soit quatre fois la superficie de l’île de Manhattan, à New York. L’île de glace avait une forme triangulaire, longue d’environ 28 km et haute de 15 km, à son point le plus étendu.

Menace

Andreas Muenchow prédit que les deux îles de glace, notamment la plus grosse des deux, vont poursuivre leur route vers le sud et pourraient atteindre la côte de Terre-Neuve-et-Labrador d’ici deux à trois ans.

Le Service canadien des glaces, une division d’Environnement Canada, entend parachuter d’ici la fin du mois des balises sur les deux îles de glace, histoire de suivre leur progression alors qu’elles amorcent une longue dérive vers les voies maritimes de la côte Est. Les deux îles pourraient un jour menacer les navires et les plates-formes pétrolières canadiennes.

La NASA et l’Agence spatiale européenne surveillent les mouvements des deux îles de glace grâce aux satellites et prêtent ainsi main-forte aux autorités canadiennes.

http://fr.canoe.ca/infos/environnement/archives/2010/09/20100912-181723.html

Le 21e Congrès mondial de l'énergie s'ouvre lundi à Montréal. Plus de 4000 représentants de gouvernements, d'universités et d'industries d'une centaine de pays y discuteront des grands enjeux énergétiques de la planète. Pour la première fois, les organisateurs font une place au grand public, en invitant les citoyens à deux conférences et une table ronde.

c'est le temps de vous prononcer contre cette merde,pour une fois qu,ils vont écouter ce que le peuple a a leur dire profitez en! un momment donner faut bien savoir si tu veux boire du gaz ou de l'eau!si tu veux éteindre le feu ou l'allumé ?? ..le shéite pour ne pas dire la shit on en veux pas! pas compliquer NON A L'ENVERS COMME A L'ENDROIT RESTE NON! je reste sur ma position!


Les participants du Congrès se pencheront notamment sur les façons de répondre aux besoins immenses en énergie de la planète. Mais qui dit production d'énergie dit impact sur l'environnement.

pensez y aussi!


Comment concilier nos besoins énergétiques et la protection de la planète? Le citoyen a-t-il son mot à dire dans ce débat?

Les invités de Pierre Maisonneuve : André Boisclair, porte-parole d'Expo-énergie et consultant en développement stratégique et affaires publiques, Christophe Frei, secrétaire général du Conseil mondial de l'énergie, et Éric Darier, directeur de Greenpeace au Québec.

http://www.radio-canada.ca/emissions/maisonneuve_en_direct/2010-2011/chronique.asp?idChronique=119131

Quelles seront les conséquences de la marée noire ? Exploiter de telles plateformes que celles de BP, n'est-ce pas de la folie ? Pour répondre à ces interrogations, Ecotidien a rencontré Anne Valette, chargée de campagne climat à Greenpeace.
0 | Environnement, greenpeace, marée noire, pétrole

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Et aussi23 août Mes murs sont métissés ! 9 août Un bâtiment à énergie positive 18 juillet Une ruche sur mon balcon

Ecotidien : L’explosion de la plateforme Deepwater Horizon, exploitée par BP, est-elle un simple accident ou était-elle prévisible ?

Anne Valette : Prévisible ou pas, cela démontre que le risque zéro en matière d’extraction offshore n’existe pas. L’incendie d’hier sur la plateforme Vermillion 380 le démontre une nouvelle fois. Combien de temps encore allons-nous jouer avec la vie, l’économie et les écosystèmes ? Il est grand temps d’admettre que nous ne pouvons maîtriser les risques en la matière et que la lutte contre le dérèglement climatique nous impose de sortir des énergies fossiles.

[Pourquoi a-t-il fallu trois mois pour colmater la fuite ?

Ce long délai démontre tout simplement que nous ne savons pas gérer une catastrophe d’une telle ampleur, que nous ne savons pas, notamment, stopper rapidement une fuite à 1500 mètres de profondeur. Et pour autant, nous nous permettons de continuer le business as usual, en octroyant des licences en offshore profond dans des régions jusque-là préservées, telle que l’Arctique.

Pourriez-vous nous donner une estimation des dégâts sur l’environnement ? Combien de temps la nature mettra-t-elle à se remettre ? Le pétrole à se « biodégrader » ?

779 millions de litres de pétrole ont été déversés le long des 700 côtes américaines. Il s’agit du pire déversement de pétrole accidentel de toute l’histoire – juste après celui survenu en Irak en 1991. L’expérience montre que dans le cas d’une marée noire, on peut rarement retirer plus de 15 % du pétrole déversé. Le restant coule au fond de l’océan ou est ingéré par les animaux, qui meurent ou développent des maladies.

[size=200]Le pétrole de BP restera dans l’écosystème pendant plusieurs décennies[/size], avec de graves conséquences sur l’ensemble de la chaîne alimentaire du golfe du Mexique et des bayous de Louisiane, zone de reproduction de nombreux poissons, oiseaux, tortues et animaux marins.

Il faudra attendre plusieurs mois, si ce n’est des années, avant de mesurer l’impact exact des hydrocarbures et des dispersants sur l’écosystème du Golfe.

80 % du pétrole échappé est toujours présent dans l’océan pourtant, les données publiées par les agences officielles américaines sont loin de refléter la réalité ! C’est pourquoi Greenpeace a décidé de mettre en place une expédition de recherche indépendante à grande échelle pour révéler le véritable coût du forage en mer, en envoyant sur place l’un de ses trois bateaux, l’Arctic Sunrise, sur lequel des scientifiques évaluent les premiers impacts de la marée noire.

Risque-t-on de voir disparaître une faune et une flore propre à cette zone ?

Plus de deux décennies après le naufrage de l’Exxon Valdez (déversement quinze fois moindre) en 1989, les effets de la marée noire dans le golfe de l’Alaska se font encore sentir, en mer comme sur le littoral. Des poches de pétrole sont toujours enfouies sous les sédiments et les plages de galets. Les populations de loutres de mer, qui avaient diminué de moitié, ne sont pas encore pleinement reconstituées, et les populations locales de mammifères marins sont au bord de l’extinction, les substances toxiques s’étant infiltrées dans leurs sous-couches graisseuses. Le nombre d’orques épaulards (Orcinus orca) a diminué de 40 %, et leur survie dans la baie du Prince William (au sud de l’Alaska) semble fortement compromise. Il y a malheureusement de très fortes chances pour que l’écosystème du Golfe du Mexique soit lui aussi très fortement touché par la catastrophe Deepwater.

Quelles mesures les gouvernements doivent-ils adopter ? Va-t-il falloir réguler les forages en eaux profondes ?

Nous devons prendre définitivement acte des dangers liés à l’extraction du pétrole offshore. [Ces marées noires sont la conséquence de notre dépendance aux fossiles. Le pétrole, de l’extraction à la consommation, [size=150]est une des premières sources d’émission de CO2 dans le monde.[/size] Selon le Potsdam Institute for Climate Impact Research, si l’on veut garder la hausse des températures en dessous des deux degrés, moins d’un quart des réserves prouvées en fossiles (pétrole, gaz et charbon) peuvent être utilisées d’ici à 2050.

Pour limiter l’augmentation des températures mondiales en deçà de 2°C, il est nécessaire d’inverser d’ici à 2015 la courbe des émissions mondiales de gaz à effet de serre, et réduire de moitié nos émissions de GES à l’échelle mondiale d’ici à 2050.Les gouvernements du monde entier sont aujourd’hui à la croisée des chemins ils doivent choisir entre la recherche de pétrole à tout prix et le développement massif des économies d’énergie et des filières renouvelables, permettant un avenir sûr aux générations futures.

Le dernier scénario énergétique de Greenpeace (juin 2010) prévoit une baisse de 70 % de la demande mondiale en pétrole, une baisse de 80 % des émissions de gaz à effet de serre et une hausse de 80 % des approvisionnements énergétiques issus des renouvelables d’ici à 2050.
Tout d’abord, il faut sortir rapidement des projets à haut risque : offshore profond, sables bitumineux, huiles lourdes… Puis sortir progressivement des fossiles d’ici à 2050 et supprimer leurs subventions, en développant celles allouées aux énergies renouvelables. Enfin, il faut réduire la demande en pétrole, notamment dans le secteur des transports.

Peut-on imposer à chacun des exploitants pétroliers la mise en place d’un plan d’urgence et d’intervention qui permettrait de remédier aux différents types d’incidents susceptibles de se produire ?

C’est bien évidemment un devoir de nos États et le b.a.-ba des décisions à prendre. Mais encore une fois, nous ne pouvons plus nous permettre de rester dans la course effrénée au pétrole, et en pomper jusqu’à la dernière goutte quel que soit le risque humain, environnemental et climatique. Nos États doivent donc prendre une décision bien plus courageuse que celle d’imposer simplement de nouvelles normes de sécurité aux compagnies pétrolières : planifier la sortie du pétrole et son remplacement par les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique.

Propos recueillis par Juliette Speranza
Photo : Greenpeace

http://www.ecotidien.fr/2010/09/anne-valette-%C2%AB-le-petrole-de-bp-restera-dans-lecosysteme-pendant-plusieurs-decennies-%C2%BB/

rejoignez l'équipe du navire virtuel de green peace

Venez naviguer sur le navire de Greenpeace virtuel!

Nous venons de lancer un nouveau navire de Greenpeace, la SV de l'énergie [R] évolution - et sur celui-ci, tout le monde peut être un membre d'équipage:

Joignez-vous à l'équipage!

Avant de commencer à emballer vos imperméables, nous devrions probablement vous dire que ce bateau est un peu différent - il s'agit d'un navire virtuel. Mais, tout comme nos navires physique, il est en mission pour débarrasser le monde de l'énergie sale comme le pétrole, le charbon et l'énergie nucléaire et de définir des orientations pour un grand avenir lumineux alimentés par le soleil, le vent, et les énergies renouvelables.

Comme les bateaux de Greenpeace, qui sont en visitant les lieux les plus touchés par les combustibles fossiles - notre vaisseau virtuel prendra des mesures pour l'énergie propre, alimenté par votre soutien pour une évolution de l'énergie [R].

Une fois que vous avez signé, vous pouvez rejoindre d'autres membres de l'équipage de prendre part à une série d'activités en ligne et hors ligne qui conduisent à une journée mondiale d'action le 10 Octobre: 10.10.10. Vous n'avez pas à vous-même chaîne à tout pour rejoindre la journée d'action - il ya beaucoup de choses que vous pouvez faire pour promouvoir un avenir énergétique propre!

http://www.greenpeace.org/er-ship/Welcome-aboard/?utm_source=SilverpopMailing&utm_medium=email&utm_campaign=GPI%20action%20alert%20-%20virtual%20ship%20(4)&utm

bienvenue a bord!

Mexique




Karl faiblira... pour mieux se renforcer
Mise à jour : 15/09/2010 15h25
Imprimer Envoyer à un ami
La tempête tropicale Karl a frappé la péninsule du Yucatan et poursuivra sa route dans le golfe du Mexique, menaçant des installations pétrolières en haute mer, a prévenu le Centre national des ouragans (NHC).

Selon les prévisions du NHC, après avoir traversé la péninsule du Yucatan, Karl atteindra le statut de dépression tropicale avant de graduellement reprendre des forces pour atteindre le statut d'ouragan dans la baie de Campêche, dans le sud du golfe du Mexique, où la société nationale Petroleos Mexicanos exploite de nombreux puits.

Selon un expert au NHC, Karl passera au sud des principales stations balnéaires de la Riviera Maya. Malgré tout, le transporteur américain Continental Airlines a déjà annulé certains vols.





Deux autres tempêtes survolent actuellement l’Atlantique. Sur son site internet, le Centre national des ouragans indique que Igor, de catégorie 4, perd de la vigueur, mais demeure un ouragan important et puissant». Il suit une trajectoire ouest-nord-ouest avec des vents de 230 km/h.

L’autre système, surnommé Julia a gagné en intensité pour devenir un ouragan de catégorie 4 Situé à quelque 800 km des îles du Cap-Vert, l’ouragan se déplace vers le nord-ouest et s’accompagne de vents de 215 km/h.

Pour l’instant ni Igor, ni Julia, ni Karl ne menacent directement les résidants des côtes.

(TVA Nouvelles)


http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2010/09/20100915-072938.html

silence on pollue


5 mois après la marée noire, des voix s’élèvent pour critiquer la communication de BP. L’entreprise a investi 93 millions de dollars pour nettoyer son image. Nous avons suivi Kindra et Linda, ces deux femmes ont décidé de briser le silence.
REPORTERS
Par Jennifer KNOCK Des campus universitaires de Bâton Rouge, au port de pêche de Venice, nous avons essayé de comprendre comment l’argent de BP avait été dépensé après la marée noire. L’entreprise a multiplié par trois ses frais de communication depuis l’explosion de la plateforme. De l’argent qui a servi à nettoyer l’image de l’entreprise. Mais aussi, à acheter le silence.


Pourquoi ce reporter ?

Depuis la rédaction à Paris, cela fait des mois que nous essayons de nous faire une idée précise de la situation en Louisiane : La côte est-elle vraiment propre comme l’a dit BP? Ou la nappe de pétrole a-t-elle coulé en profondeur ?

Au tout début de la catastrophe, lorsque nous nous étions rendus au CEDRE à Brest dans le cadre d’une émission « Environnement » sur le petrole, le directeur nous avait prévenu : « Vous ne saurez rien. L’accès va être bloqué aux médias. C’est toujours comme ça que ça se passe aux Etats-Unis, à chaque fois ». Nous avions du mal à le croire.

Et puis sur Facebook, nous avons rencontré Kindra. Cette « Erin Brokovitch »a travaillé pour BP. Elle dénonce les méthodes de communication du groupe.

Enfin dans la presse anglophone, nous avons alors entendu parler des contrats que BP faisait signer aux pécheurs et aux scientifiques. La ligne directrice de notre reportage commençait à se dessiner.



Les pêcheurs en première ligne.

Nous avons été particulièrement touchés par notre rencontre avec certains pêcheurs dans le port de Venice. Ce sont eux qui vont avoir le plus à souffrir de la marée noire. Pour eux, la saison a été très mauvaise, ils n’ont gagné qu’un dixième de leur salaire habituel.

Ceux qui ont accepté de travailler pour BP dans les opérations de nettoyage ont reçu environ 300 dollars par jour. Mais cet argent n’est qu’une avance, cette somme sera en fait déduite du montant des compensations que BP doit leur verser. C’est donc un dédommagement, pas un vrai salaire.


Les dangers du pétrole et des dispersants.

Voilà une source d’inquiétude terrible pour les habitants du Golfe et un sujet que nous n’avons pas eu le temps d’aborder dans notre reporter.

A Venice, un pêcheur nous a raconté qu’il avait eu de terribles maux de tête, des vomissements quelques semaines après la catastrophe. Depuis, il souffre de troubles respiratoires, il s’inquiète aussi de voir un liquide « brunâtre » sortir de ses oreilles.

Il y a, en effet, de plus en plus de soupçons autour des produits utilisés pour disperser la nappe et particulièrement le « Corexit ». Au sein de l’agence environnementale américaine, une voix commence à se faire entendre, celle de Hugh Kaufman. Au cours de l’interview qu’il nous a accordée, il nous a précisé que le Corexit pouvait provoquer des hémorragies internes et des cancers.

Et voici sa citation qui ne s’oublie pas: « Si vous lisez l'étiquette sur les barils, il est indiqué que c'est toxique pour la vie humaine. Comme l'a déclaré un sénateur américain, BP a tapissé la région du golfe avec le Corexit, tout comme l'armée américaine avait tapissé le Vietnam avec de l'agent orange." En guise de conclusion.


http://www.france24.com/fr/20100916-rep ... que-venice

Karl frappe le Mexique et s'affaiblit
Mise à jour : 17/09/2010 13h19






L’ouragan Karl, rétrogradé en catégorie 2, a touché terre sur la côte orientale du Mexique en début d’après-midi, ce vendredi, rapporte le Centre national des ouragans (NHC) américain.

Observant une trajectoire vers l’ouest avec une vitesse de 13 km/h, le puissant ouragan, alors de catégorie 3, a frappé le nord de Veracruz vers 12h30 (11h30 locales). Il a déversé sur son passage des torrents de pluie et a balayé la région avec des vents soutenus de 195 km/h et des rafales de vent atteignant plus de 200 km/h.

Toute la côte mexicaine était déjà en alerte maximale à l'approche de Karl.

Le Centre national des ouragans (NHC) américain prévoit des vagues qui peuvent dépasser [size=200]4 mètres et des précipitations pouvant atteindre jusqu’à 25 cm de pluie, susceptibles de provoquer des inondations et des glissements de terrain meurtriers. [/size]
[size=200]Les médias mexicains ont d'ailleurs indiqué qu'au moins 3000 maisons ont été endommagées à Mexico. [/size]

Les autorités mexicaines quant à elles pressentent que[size=150] l’ouragan Karl pourrait être le plus violent depuis 30 ans.[/size] «C'est la première fois depuis au moins trente ans que nous sommes exposés à un phénomène d'une telle puissance», a déclaré vendredi matin le chef du service météorologique de Veracruz, Federico Acevedo, à la radio et à la télévision régionales.

Hier, le plus gros producteur pétrolier de l’Amérique latine, la société Petroleos Mexicanos, [size=150]a fermé par mesure de prévention 14 des puits qu’elle opère en mer. [/size]
La centrale nucléaire épargnée

L’ouragan Karl est entré près de Veracruz, à sept kilomètres de la seule centrale nucléaire du pays, a annoncé le Service météorologique national (SMN) à Mexico.

La centrale avait préalablement été désactivée en prévision de l’arrivée de l’ouragan. «Les deux réacteurs de la centrale de Laguna Verde ont été mis à l'arrêt par mesure de précaution, bien que les équipements ne courent aucun risque», avait annoncé à Mexico la directrice nationale de la Protection civile, Laura Gurza, en conférence de presse.

Pour la première fois cette année, l’agence américaine (NHC) surveillant les activités des tempêtes tropicales devait composer avec trois systèmes simultanés, Karl, Igor et Julia, ces deux derniers se trouvant dans l’Atlantique, loin des zones habitées.



http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/archives/2010/09/20100917-070338.html

pas beau la température

http://www.lefigaro.fr/international/2010/09/18/01003-20100918DIMWWW00411-le-mexique-frappe-par-un-ouragan.php

vous savez bien que je laisserais pas le topic coulé dans le fond comme Bp fait avec ses produits chimiques.

alors des nouvelles de BP? je me tiens au courant vous inquiettez pas!




Publié le 19/09/2010 à 19:06 Reuters


Le puits de BP dans le golfe du Mexique condamné

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HOUSTON, Texas (Reuters) - Les ingénieurs de BP ont définitivement condamné le puits endommagé du golfe du Mexique à l'origine de la plus grave marée noire de l'histoire des Etats-Unis.

"Nous pouvons finalement annoncer que le puits Macondo 252 est effectivement condamné", déclare Thad Allen, ancien amiral de la garde-côte chargé de superviser les opérations pour le compte des pouvoirs publics, dans un communiqué.

"Après des mois d'opérations considérables, de préparations et de mises en oeuvre sous la direction des équipes scientifiques et techniques du gouvernement américain, BP a achevé avec succès le puits de dérivation pour l'atteindre et le cimenter à près de 5,5 km sous la surface", explique-t-il.

Barack Obama a salué "une étape importante" et a promis de s'assurer que la côte se remettrait "totalement de cette catastrophe".

"Ce ne sera pas facile mais nous allons continuer à coopérer étroitement avec les riverains du Golfe pour rétablir leurs moyens de subsistance et restaurer l'environnement qui les fait vivre", a déclaré le président des Etats-Unis, dont la cote de popularité a pâti de la marée noire.

Quatre millions de barils de pétrole, soit seize fois plus qu'après le naufrage de l'Exxon Valdez, il y a onze ans en Alaska, se sont répandus en mer après l'explosion, le 20 avril, de la plateforme Deepwater Horizon qui forait le puits pour le compte de BP. Onze personnes ont trouvé la mort dans l'accident.

La compagnie britannique est parvenue à combler la fuite le 15 juillet à l'aide d'un dôme de confinement. De la boue et du ciment ont ensuite été injectés le 5 août dans la tête de puits.

Un puits de dérivation foré par la compagnie a été raccordé jeudi au puits endommagé et du ciment a pu être injecté en profondeur, dernier acte pour clore une catastrophe qui a coûté 70 milliards de dollars à BP en terme de capitalisation boursière.

Son directeur général Tony Hayward a par ailleurs été remplacé par l'Américain Bob Dudley, qui prendra ses fonctions le 1er octobre.

Kristen Hays et Chris Baltimore, Jean-Philippe Lefief pour le service français


donc la facture EST PAS FINI..IL RESTE A NETTOYEZ!

Plateformes pétrolières : Obama veut faire le ménageOn estime que plus de 40 000 puits ont été creusés dans le golfe du Mexique depuis les premiers forages en 1947 Alors que BP vient d’annoncer une « ultime intervention » pour boucher définitivement son puits défectueux dans le Golfe du Mexique, Barack Obama annonce que les pétroliers devront désormais démanteler toutes les plateformes en fin de vie et sceller les conduits inactifs. L’accident de Deepwater Horizon du 20 avril, qui a entraîné la pire catastrophe écologique de l’histoire américaine, pousse aujourd’hui l’administration Obama à mieux encadrer l’exploitation pétrolière dans le Golfe du Mexique. D’autant qu’une deuxième explosion avait eu lieu le 2 septembre à l’ouest du site de BP, sur une plateforme de Mariner Energy, société pétrolière basée à Houston. Barack Obama vient d’annoncer une nouvelle réglementation qui oblige désormais les compagnies pétrolières à obturer définitivement les quelque 3 500 puits de pétrole inactifs depuis plus de 5 ans dans le Golfe du Mexique Selon le ministère de l’intérieur américain, environ 650 plateformes et leurs oléoducs à l’abandon, véritable bombes à retardement potentiels pour l’écologie, devront ainsi être ainsi démantelées. Bras de fer

http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article7000


Les autorités redoutent en particulier que les cyclones, violents et fréquents dans cette partie du monde, endommagent ces plateformes jugées plus fragiles, créant de nouvelles marées noires. Les compagnies ont trois mois pour indiquer leur planning de démantèlement de ces sites inutilisées.
Le président américain avait déjà imposé en mai dernier un moratoire sur les forages en eau profonde, jugé hautement dangereux. Une décision fortement attaquée depuis par le lobby pétrolier qui exerce de fortes pressions pour faire reculer l’administration. Celle-ci a contre-attaqué annonçant le 16 septembre que, selon une étude, le moratoire n’aurait eu que peu d’impact sur l’emploi dans les états bordant le Golfe et n’aura quasiment aucun effet sur la production pétrolière.


bouchez moi sa messire pétrolium... sa presse bonne décision j'approuves on va vous surveillez de près que le boulot ce fasse

Marée noire : fin et suites

Cinq mois après l'explosion de la plateforme pétrolière Deepwater horizon qui a occasionné la pire marée noire jamais enregistrée dans le pays, les autorités américaines ont officiellement déclaré, le 19 septembre, que le puits de BP était définitivement condamné. "Une page est indéniablement tournée, mais les répercussions vont continuer à se faire sentir pendant des années", estime le Wall Street Jounrnal. "L'industrie pétrolière offshore américaine, qui n'était pas préparée à un désastre d'une telle ampleur, va devoir s'adapter à des changements substantiels tant en terme de régulation que de supervision de la part des autorités fédérales. BP n'en a pas fini avec les tribunaux", ajoute-t-il.

et c'est pas fini ce n'est que le début la grande victoire vous l'avez pas encore vue

détruisez le TEMPLE ET EN 3 JOURS IL LE REFERA!

http://www.courrierinternational.com/breve/2010/09/20/maree-noire-fin-et-suites

Les pluies de mousson ont fait 65 morts, 500.000 sans-abri et détruit 30.000 hectares de culture dans le nord de l'Inde

Dans l'Etat de Bihar, pauvre et fortement peuplé, est particulièrement touché par les précipitations qui s'abattent sur la région depuis vendredi, la rivière Gandak est sortie de son lit et a submergé des centaines d'habitations et détruit 30.000 hectares culture.

Chaque année, les inondations font en moyenne près de 1.800 morts en Inde.

Les inondations provoquent aussi des dégâts évalués à 575 millions de dollars, endommageant 3,7 millions d'hectares de cultures (maïs, riz, sucre de canne).
Le nord de l'Inde enregistre cette année des pluies de mousson (juin-septembre) particulièrement abondantes, une aubaine pour l'agriculture qui en dépend presque essentiellement en raison de l'absence de systèmes d'irrigation.

Selon la presse, la capitale fédérale New Delhi connaît cette année la mousson la plus pluvieuse depuis trois décennies.

http://info.france2.fr/monde/inondations-en-inde--65-morts-500000-sans-abri-64947144.html

le pire dans tout cela c'est qu'ils le savaient réelement que nous étions pour entrer dans ce que les spécialistes appelent.la news génération...sinistrés climatiques .

LONDRES - Deux militants de Greenpeace sont parvenus mardi à monter sur un navire de forage de la société américain Chevron au large des îles britanniques Shetland, pour protester contre la prospection pétrolière dans cette zone sensible, selon un communiqué de l'association écologique.

Les militants ont réussi à aborder le "Stena Carron" grâce à des hors-bord et ont suspendu des tentes avec des cordages, à cinq mètres au-dessus de l'eau, empêchant son départ pour des opérations de forage prévues à 200 km au nord de îles Shetland, et à 500 mètres de profondeur.

Les militants disent avoir des vivres "au moins jusqu'à mercredi", selon le communiqué.

Ils avaient opéré de la même façon fin août sur une plateforme de forage britannique à l'ouest du Groenland, opérée par la compagnie pétrolière britannique Cairn Energy, pour protester contre la prospection pétrolière dans l'environnement fragile de l'Arctique.
Cairn a fait état jeudi de résultats initiaux "extrêmement encourageants" pour sa campagne de forages en Arctique.

Greenpeace milite pour l'interdiction par les gouvernements des forages sous-marins, afin de "protéger les océans d'un désastre du type BP dans le golfe du Mexique".

Selon l'association, BP opère déjà trois champs pétroliers et gaziers sous-marins à l'ouest des îles Shetland et a annoncé en juillet son intention de forer à grande profondeur à quelques km au sud du site de Chevron.

CHEVRON


http://www.romandie.com/ats/news/100921124854.qflus18r.asp

let's go allez leur porter de la nouriture lâcher pas.

Publié le 24/09/2010 à 20:03 Le Point.fr

INTEMPÉRIES

La tempête tropicale Matthew menace l'Amérique centrale déjà sous les eaux après mathyas viendra la tempête de ti jean

attendez quand la tempête de Jésus Christ menacera votre cour sa tempête sera sans pardon!donnez lui en des noms
Source AFP


La tempête tropicale Matthew s'apprêtait, vendredi, à déferler sur l'Amérique centrale, région déjà frappée par d'importantes inondations qui ont fait 300 morts et de lourds dégâts depuis le début de la saison des pluies en mai. À 17 heures (heure de Paris), la dépression se trouvait à environ 125 kilomètres de la frontière entre le Honduras et le Nicaragua, selon le Centre national des ouragans (NHC) de Miami, aux États-Unis. L'oeil de la tempête, qui pourrait se transformer en ouragan, devait passer entre Puerto Cabezas, dans le nord-est du Nicaragua, et el Cabo de Gracias a Dios, dans l'est du Honduras vers 20 heures, selon Francisco Argenal, du service météorologique national du Honduras.

Les premières pluies provoquées par Matthew ont déjà touché les côtes du Honduras et du Nicaragua vendredi matin. La tempête n'était encore accompagnée que de vents soufflant à 85 km/h, mais le principal danger réside dans la quantité d'eau qu'elle pourrait déverser, évaluée entre 250 et 400 millilitres par mètre carré par les prévisionnistes. Or, les sols de la région sont saturés d'eau, à l'issue d'une des pires saisons des pluies (mai-novembre) depuis 60 ans, qui a fait 300 morts, des milliers de sinistrés et des milliards de dollars de dégâts.


Évacuations


Les autorités des pays d'Amérique centrale - Costa Rica, Honduras, Guatemala, Nicaragua, Panama, Salvador et Belize - ont appelé la population à prendre des mesures de précaution dans cette région de 40 millions d'habitants particulièrement vulnérable aux intempéries, en raison de son relief abrupt et de la faiblesse de ses infrastructures. L'institut météorologique du Costa Rica a appelé à faire preuve d'une "vigilance extrême dans les zones propices aux glissements de terrain, éboulements et inondations". Le Nicaragua a procédé, vendredi, à l'évacuation d'habitants des zones insulaires de la région caraïbe à l'aide de six embarcations de la marine.

Après avoir touché le Nicaragua et le Honduras, Matthew devait frapper samedi soir le sud du Belize, puis le Guatemala dimanche et la péninsule du Yucatan, dans le sud-est du Mexique, pays où l'ouragan Karl a fait 22 morts et des milliards de dollars de dégâts la semaine dernière


http://www.lepoint.fr/monde/la-tempete-tropicale-matthew-menace-l-amerique-centrale-deja-sous-les-eaux-24-09-2010-1240993_24.php

ECOLOGIE | Greenpeace en action contre un risque majeur de type BP en Louisianne

Depuis ce matin, Greenpeace mène une action d’immobilisation d’un énorme bateau de forage en eaux profondes. Un navire dont la mission est de forer à 500 mètres de profondeur, et donc similaire à ce que faisait BP à l’époque de la catastrophe écologique mondiale qu’ont subi et subissent encore la Louisianne et tout le Golfe du Mexique.


Des activistes de Greenpeace occupent un bateau de forage géant ancré à environ 1,5 km des Shetlands, au Royaume-Uni, afin d’empêcher le lancement d’un forage en eaux profondes dans cette zone écologique sensible, frontière avec l’océan Atlantic. A l’aide de zodiacs pour atteindre le bateau de forage Stena Carron, long de 228 mètres, et après avoir escaladé la chaîne de l’ancre, Victor Rask, suédois, et Anais Schneider, Allemande, sont désormais suspendus 5 mètres au dessus des vagues dans une tente attachée par des cordes, ce qui rend tout mouvement du bateau impossible.


L’opérateur de cette plateforme mobile géante, le Stena Carron, est le

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photo Will Rose / Greenpeace




géant américain de l’énergie Chevron. Ce navire est censé se rendre sur un site dans les champs pétroliers du Lavavulin où il doit forer un puits exploratoire à 500 mètres de profondeur. Depuis la catastrophe provoquée par BP dans le golfe du Mexique, de nombreuses voix demandant une interdiction des forages en eaux profondes se font entendre partout dans le monde.Les deux activistes qui bloquent actuellement ce projet de Chevron, étaient déjà sur le navire Esperanza lorsque 4 activistes de Greenpeace avaient bloqué pendant 48 ans le très controversé forage exploratoire de la compagnie écossaise Cairn Energy dans la région Arctique, plus précisément dans la mer de Baffin, à l’ouest du Groenland.

de la bouffe de la bouffe manqué pas de bouffe fournissez les en bouffe en eau!

Anais, activiste de 29 ans, déclarait sur un téléphone satellite ce matin alors qu’elle était déjà accrochée cinq mètres au dessus des eaux : " C’est incroyable d’être suspendue comme ça, à une chaîne d’ancrage, l’anneau auquel je suis suspendu fait ma taille, cette plateforme de forage de Chevron est la chose la plus immense que j’ai jamais vue en mer.

on est avec vous

Nous allons tenter d’empêcher ce forage le plus longtemps possible. Les îles Shetlands sont un endroit magnifique. Une marée noire comparable à celle du Golfe du Mexique dévasterait la mer du Nord "

En Norvège cette semaine, les pays bordant la mer du Nord, dont la France, discutent de l’interdiction des forages profonds. Cette occupation arrive deux jours avant la réunion des ministres de l’Environnement des pays bordant la mer du nord, à Bergen, en Norvège sous l’égide de la convention OSPAR (Convention Oslo-Paris ou Convention pour la protection du milieu marin de l’Atlantique du Nord-Est). Ils doivent y discuter de la proposition allemande d’interdire de nouveaux forages en eaux profondes. Le gouvernement anglais a prévu d’envoyer deux ministres pour bloquer cette proposition.

apporter leurs de la nouriture lâchez pas! let's go on va leurs tenir tête je vous aimes! que Dieu vous bénisses!

http://www.bordeauxactu.com/ECOLOGIE-Greenpeace-en-action.html

OAXACA - Un glissement de terrain a enseveli de 100 à 300 maisons mardi à l'aube dans la région de Oaxaca, dans le sud-est du Mexique, faisant craindre pour la vie d'un millier de personnes, a annoncé le gouverneur régional.

«Un pan de colline s'est effondré sur une largeur de 200 mètres sur 100 à 300 habitations», a déclaré à la télévision le gouverneur de l'Etat de Oaxaca, Ulises Ruiz.

On craint pour la vie «de 500 à 600 personnes, on parle même de jusqu'à 1000», a-t-il ajouté.

Vers 09h00 heure locale (14h00 GMT), les équipes de secours n'avaient pas encore atteint le site du glissement de terrain, dans une zone montagneuse détrempée par les pluies torrentielles qui se sont abattues ces dernières semaines sur cette partie du pays, a-t-il encore indiqué.

plus de sinistrés s'ajoutent a la liste!

http://www.canoe.com/infos/international/archives/2010/09/20100928-102457.html

LONDRES - La compagnie pétrolière britannique BP a lancé mardi un emprunt de plusieurs milliards de dollars sur le marché obligataire, son premier du genre depuis août 2009, une opération qui démontre la confiance des investisseurs envers le groupe, après la marée noire du Golfe du Mexique.

Interrogé par l'AFP, un porte-parole du groupe a précisé que la taille de cet emprunt, à 5 et 10 ans, devrait être similaire au précédent emprunt effectué par le groupe, qui remontait à 2009, et qui s'élevait à 2 milliards de dollars.

Ce porte-parole a expliqué que cette levée de fonds n'était pas liée au coût de la marée noire du golfe du Mexique, mais s'inscrivait dans la gestion de "routine" des finances de la compagnie, rappelant que BP avait procédé à quatre emprunts de même type au cours des dernières années.

"Cela montre que les marchés ont toujours confiance dans le groupe", a-t-il ajouté.

L'agence d'information financière Dow Jones Newswires a rapporté de son côté que la taille de cet emprunt avait été portée à 3,5 milliards de dollars, contre 2 à 3 milliards envisagés initialement, en raison d'une forte demande des investisseurs, tournant autour de 12 milliards de dollars.

BP

(AFP / 28 septembre 2010 19h35)

http://www.romandie.com/ats/news/100928173556.12kiyc1t.asp


va surement allez a sweet home alabama

Pour plusieurs intervenants, André Caillé est passé du héros de la crise du verglas au zéro de l’industrie du gaz de schiste. Photo Pascal Ratthé






Et dès qu’il s’est pointé à l’avant, André Caillé s’est fait huer très bruyamment. Ses acolytes et lui ont été chahutés, traités de menteurs, ridiculisés. «Prenez-nous pas pour des valises?» clamaient les citoyens. La foule très, très nombreuse – au point qu’il a fallu deux salles de plusieurs centaines de places chacune – était survoltée. Au point culminant de la soirée, il devait y avoir un peu plus de 700 personnes. Et la foule semblait unanime sur une chose : elle voulait un moratoire.

Des menaces contre Caillé

«Vous dites que vous êtes à l’écoute des citoyens, et bien il me semble que les citoyens vous le disent clairement : On veut un moratoire!», a soutenu un citoyen au micro pendant que la foule se levait d’emblée pour réclamer elle aussi un moratoire. «On veut un moratoire, on veut un moratoire!»

La disparition d’André Caillé n’a fait que mettre de l’huile sur le feu. Avant de disparaître, il avait quand même réussi, dans les quelques minutes au cours desquelles il a pris la parole en guise de présentation, à citer le Bon Dieu.

«Pendant dix ans chez Gaz Métro, j’ai fait des chèques avec votre argent, j’ai fait des chèques de deux milliards de dollars envoyés dans l’Ouest canadien. Et chaque fois je me disais: Mon dieu qu’on n’est pas chanceux, nous autres au Québec. Le Bon Dieu n’a pas distribué les richesses également. Eux autres en ont, pis nous autres, on n’en a pas.»

Le retour de l’émissaire

La figure publique de l’Association pétrolière et gazière est revenue en milieu de soirée.

Invité à s’expliquer par les citoyens en colère qui avaient pris son départ comme un manque de respect, André Caillé a affirmé avoir été fortement conseillé de quitter les lieux.

«J’ai été informé, ou plutôt mis en garde, que la tension était très élevée par des gens très compétents qui m’ont suggéré de ne pas revenir. Et je suis revenu quand même.»






Les citoyens ont exprimé un réel ras-le-bol lors de cette séance de défoulement collectif. Photo Pascal Ratthé

Il faut dire qu’un peu partout, des agents de la Sûreté du Québec surveillaient les lieux. «Nous avons eu la demande parce que ça s’est bousculé un peu à l’entrée», a affirmé un policier qui a refusé de préciser le nombre d’agents présents sur place.

André Caillé est revenu, mais la confiance n’a pas été restaurée, loin de là. Et la salle était en feu. Plusieurs lui en ont voulu pour les propos qu’il a tenus le week-end dernier sur les «méchants environnementalistes» qui ont monopolisé les micros lors des rencontres précédentes. Pourtant, tant cette semaine que la semaine dernière, ce n’étaient pas des gens de Greenpeace ou d’autres grands groupes environnementaux qui prenaient la parole.

C’étaient, pour la très grande majorité, des citoyens, des pères de famille inquiets pour l’avenir de leurs enfants ou de leurs petits-enfants, des jeunes qui réclamaient un développement plus vert pour l’avenir, des agriculteurs qui ont besoin d’eau pour leurs récoltes et qui s’inquiètent. Des citoyens qui se présentaient comme des Monsieur et Madame Tout-le-monde.

«Je ne suis pas surprise de voir la quantité de gens et l’atmosphère qui règne ici, a soutenu Françoise David, de Québec solidaire, en marge de l’assemblée. Les gens ne font confiance ni aux industries, ni au gouvernement libéral. André Caillé a joué les victimes en fin de semaine, mais les gens ici sont des gens de la région, des gens d’ici qui ne se seraient jamais mobilisés comme ça s’ils n’étaient pas si inquiets de la pollution, de l’eau, du bruit.»

Bélugas, moratoire et nationalisation

Le Zapartiste et élu municipal de Saint-Jude, Christian Vanasse, a eu droit à une ovation debout lors de son intervention sentie. «Le gouvernement a annoncé en début de semaine un moratoire sur l’exploration des hydrocarbures dans l’estuaire du Saint-Laurent parce qu’après des études, il a constaté que c’était un environnement fragile et complexe. Je vis moi aussi dans un environnement fragile et complexe. Je sais que vous êtes opposé à toute forme de moratoire, alors considérez-vous que la vie et la santé des gens d’ici valent moins que celles des bélugas?»

La question a été posée à quelques reprises, et André Caillé s’est fait rassurant. «La vie d’un être humain est irremplaçable, ça vaut plus que la vie de tous les bélugas dans l’estuaire.»

Mais il est catégorique : il ne veut pas de moratoire. Ce serait trop néfaste pour l’industrie, qui perdrait trop d’argent si on arrêtait les opérations d’exploration en ce moment.






Sur la question de la nationalisation, qui est revenue à plusieurs reprises, André Caillé s’est dit prêt à collaborer avec le gouvernement s’il souhaitait aller dans cette voix, à condition qu’on dédommage l’industrie afin que ce soit équitable pour tout le monde, y compris pour les actionnaires.

Quant aux panels d’experts de l’industrie, certains ont témoigné en toute sincérité, ce qui amenait un vent de fraîcheur par rapport aux réponses parfois un peu trop empesées de la part de l’industrie. Ainsi, l’un d’entre eux a avoué qu’il ne boirait «jamais de la vie» de l’eau issue d’un procédé de fracturation.

Ce même Jacques Perron, de la compagnie Gastem, a également répondu à une dame qui a une maison à 100 mètres d’un puits que cette distance, même si elle était légale en vertu de la loi, n’était pas suffisante. «C’est vrai que c’est la loi, mais ce n’est pas assez. J’ai moi-même suggéré que la distance minimale soit plutôt de 200 ou 250 mètres et je vais faire cette recommandation personnelle au BAPE.»

Gaz à effet de serre

La représentante de l’Union paysanne et citoyenne de Saint-Jude, Véronique Côté, a raconté qu’elle avait téléphoné à ses assurances et qu’on lui avait répondu qu’on n’assurait pas quelqu’un avec un tel puits dans sa cour parce que c’était bien trop dangereux. Sous une salve d’applaudissements, elle a donc demandé à la seule femme du panel, géologue pour la compagnie Canadian Forest Oil, si elle pouvait lui assurer qu’il n’y avait aucun risque afin qu’elle puisse rendre cette réponse enregistrée à sa compagnie d’assurance.

La réponse de Virginie Lavoie a médusé toute la salle : «Moi, je suis ici en tant que géologue pour informer les gens sur les roches, je ne peux pas répondre à votre question.»

La réponse a laissé pantois même ses acolytes du panel qui semblaient découragés et qui ont dû prendre au vol la question pour repartir avec une réponse sur l’absence de lien entre le forage d’un puits et l’assurabilité d’une maison.

On a également demandé à André Caillé s’il pourrait dormir sur ses deux oreilles avec un puits dans son jardin. «Oui, ce serait un bon endroit parce que... je ne sais pas... ce n’est pas seulement parce que je travaille là-dedans, mais oui, par curiosité... je voudrais suivre toutes les opérations du début jusqu’à la fin...»

Quant à l’épineuse question des gaz à effet de serre, le président de l’APGQ répète que le développement de la filière du gaz de schiste permettra de réduire les émissions de GES, alors que plusieurs groupes écologistes ont affirmé le contraire dans les médias ces dernières semaines. Il s’est dit prêt à collaborer avec un groupe écolo qui le voudrait bien afin de mener une étude conjointe. Une militante de l’Association québécoise de lutte contre la pollution atmosphérique (AQLPA) et citoyenne de Saint-Marc, Kim Cornellissen, l’a pris au mot et est allée lui présenter une offre en ce sens. Mais la réponse de M. Caillé a été plutôt fade : «On va en discuter et voir si on peut s’entendre...»

La soirée a été mouvementée, mais le temps a fait son effet et petit à petit, la salle s’est vidée. Vers 23 h, il restait encore quelques personnes en ligne pour poser une question. Il avait beau être tard, André Caillé avait promis que chacun pourrait poser sa question. Et il a tenu parole.



http://www.ruefrontenac.com/nouvelles-generales/environnement/28258-andre-caille-gaz-de-schiste


non non non non





navire de la rédemption embarquer!

http://www.greenpeace.org/er-ship/Welcome-aboard/?utm_source=SilverpopMailing&utm_medium=email&utm_campaign=GPI%20action%20alert%20-%20virtual%20ship%20(4

après le pétrole vient les déchets nucléaires?




OTTAWA) Le projet de la société Bruce Power d'expédier par bateaux, sur les Grands Lacs et le Saint-Laurent, des déchets radioactifs a soulevé un tollé chez les environnementalistes et l'opposition, alors que se sont amorcées hier des audiences publiques devant la Commission canadienne de sûreté nucléaire.Bruce Power prévoit transporter par voie maritime 16 générateurs de vapeur de 100 tonnes chacun, contaminés par des matières radioactives, d'Owen Sound, dans la baie Géorgienne, jusqu'en Suède pour qu'ils puissent être recyclés. La société se tourne actuellement vers la Commission de sûreté nucléaire (CCSN) pour obtenir un permis de transport.

«Cela est un précédent qui nous inquiète beaucoup, d'expédier des déchets nucléaires par la Voie maritime du Saint-Laurent», a souligné en conférence de presse Marc Chénier, du Regroupement pour la surveillance du nucléaire.

Le personnel de la CCSN a déjà recommandé l'attribution du permis, car il considère qu'il n'y a pas de danger pour la population. À la Chambre des communes, la requête pour une évaluation environnementale a été reprise par le chef du NPD, Jack Layton.


«La Commission canadienne de sûreté nucléaire a un dossier sans tache. Elle a toujours pris des décisions fondées sur la science. C'est un organisme indépendant du gouvernement. Ils sont les experts. Ils sont les chiens de garde, a dit le ministre des Ressources naturelles, Christian Paradis. Nous avons confiance en ce régulateur.»

Les audiences devant la Commission doivent se terminer aujourd'hui.



http://www.cyberpresse.ca/environnement/201009/29/01-4327592-des-dechets-nucleaires-sur-le-fleuve.php

un beau tiroir que tu étaleras demain??? on verra on verra!

ongrie - Article publié le : jeudi 07 octobre 2010 - Dernière modification le : jeudi 07 octobre 2010

En Hongrie, la boue toxique a atteint le Danube
Les boues toxiques ontt atteint ce jeudi 7 octobre le Mosoni-Danube, un bras secondaire du Danube.
Reuters/Bernadett SzaboPar RFI
C'était la crainte des autorités hongroises et des associations de défense de l'environnement. Le flux toxique provoqué par des boues rouges et dû à un accident industriel en Hongrie a atteint jeudi matin, 7 octobre 2010, le Danube. La pollution menace donc l'écosystème du fleuve qui traverse également la Serbie, la Croatie, la Roumanie et la Moldavie. La rupture d'une cuve de boue toxique et corrosive a tué quatre personnes et en a blessé 120 autres. Trois autres sont toujours portées disparues. A Kolontar, l’un des villages sinistrés déserté par la population, l’inquiétude est palpable.
Avec notre envoyée spéciale à Kolontar, Heike Schmidt

05/10/2010 - Hongrie
Hongrie : état d'urgence après une inondation de boue toxique

La bourgade est bouclée. Des policiers sont postés à l’entrée du village mitraillette au bras, masque de protection à portée de main et chaussés de bottes en caoutchouc. Kolontar, un village d’environ 800 habitants est devenu ville fantôme, depuis que la coulée de boue toxique l’a envahi.

Le 6 octobre 2010, les villageois ont pu revenir pour quelques heures, le temps de sauver ce qui n’a pas été emporté par la vague de boue rouge, sans avoir toutefois le droit de dormir dans leurs maisons. Du coup, la commune a aménagé une salle municipale servant à leur accueil. Mais tous ont trouvé refuge chez les proches ou chez des amis.



Une habitante de Kolontar témoigne
Je me trouvais dans la porcherie quand cette eau boueuse est arrivée. Je suis montée sur une caisse pour me protéger mais l’eau a continué à monter...
Écouter (01:00)


07/10/2010 par Heike Schmidt


Jour et nuit, les pompiers et la protection civile travaillent pour dégager cette boue malodorante qui couvre encore les rues et dont les traces sont visibles partout sur les façades, comme si tout était peint couleur rouille.

Depuis Budapest, des voitures balais sont arrivées en nombre, pour s’attaquer au nettoyage au jet d’eau du goudron des rues. On s’interroge sur l’efficacité de ce nettoyage. Car tout le monde s’accorde à dire qu’il s’agit de résidus industriels très toxiques, provoquant des brûlures de la peau et irritant les yeux.

Une boue qui fait peur à tout le monde


Plusieurs dizaines de blessés qui étaient en contact avec cette boue sont encore à l’hôpital. Une boue qui fait peur à tout le monde, même aux policiers chargés de la garde de ces lieux. « J’ai choisi ce métier, dit l’un deux. Je dois faire mon travail, mais, confesse-t-il on n’est vraiment pas tranquille ».

L’inquiétude est telle que la majorité de la population de Kolontar ne veut pas rentrer au village. Car personne ne connaît la composition de ce produit nocif. Au cours de la nuit dernière, la protection civile prélevait des échantillons de boue pour les examiner. Du plomb et des éléments corrosifs sont déjà détectés. Et les autorités ont confirmé une légère radioactivité.

La grande inquiétude de ce jour concerne l’eau des rivières où des centaines de poissons morts flottent dans la Marsala, non loin de la rivière Raab, un affluent du Danube. Le Danube est lui-même atteint par ces boues rouges ce jeudi 7 octobre. Mais les autorités hongroises affirment que le Danube ne sera pas contaminé. Ils estiment que les particules vont être dissoutes notamment grâce à du plâtre déversé en grande quantité dans le fleuve.


Une catastrophe écologique qui menace la faune et la flore

Le flux toxique dont on connaît mal la composition a atteint ce jeudi 7 octobre le Danube et immédiatement, les responsables des services des eaux ont mesuré un taux alcalin supérieur à la normale. Cette observation du PH de l’eau, son équilibre chimique en quelque sorte, est cruciale, comme l’explique Eric Thybaud, écotoxicologue à l’Ineris, l’Institut national de l’environnement industriel et des Risques : « C’est vrai que c’est le premier phénomène que l’on va mesurer, puisque ce PH basique se traduit par des phénomènes de toxicité cutanée, de brûlures, d’irritations sur les personnes exposées. Et bien entendu, au-delà des humains exposés, il y a un impact sur la faune et la flore. On imagine bien que lorsque l’on met des poissons ou des organismes aquatiques ou des végétaux aquatiques dans une solution qui ressemble par exemple à de la soude, cela entraîne des phénomènes toxiques qui sont liés à ce PH ».

Après le taux alcalin, les scientifiques vont ensuite mesurer la concentration en particules métalliques dans les eaux du Danube. En effet, ce sont ces particules qui vont s’accumuler dans les organismes vivants, les sédiments et les milieux aquatiques.







http://www.rfi.fr/europe/20101007-hongrie-boue-toxique-atteint-le-danube





a part de cela l'homme est tout un phénomêne c'est le déclin de l'empire du malin!

De la mousse à la surface de la rivière Raba, un affluent du Danube
La marée de boue toxique causée par un accident industriel a atteint le Danube, le deuxième fleuve d'Europe après la Volga.
Les dernières mesures effectuées par les Services des eaux révèlent que le taux alcalin au confluent de la rivière Raab avec le Danube a augmenté à 9,4. S'il reste sous 10, estiment les experts, la catastrophe écologique pourrait épargner le Danube.
Quant à la rivière Marcal, située à proximité de l'usine où s'est produit l'accident, tout son écosystème a été détruit. « Le taux alcalin très élevé a tout tué », a déclaré le chef régional des services anticatastrophes à l'agence de presse nationale MTI. Tibor Dobson a ajouté que « la Marcal a reçu sa ''peine de mort'' quand la boue rouge y a déferlé par le ruisseau Torna ».
Le Danube traverse la Croatie, la Serbie, la Roumanie, la Bulgarie, l'Ukraine et la Moldavie avant de se jeter dans la mer Noire. S'il est pollué par la marée de boue, cela pourrait avoir des conséquences écologiques étendues.
Le porte-parole de l'Union européenne, qui craint que la boue toxique ne provoque une catastrophe écologique dans d'autres pays d'Europe, a indiqué que les membres de l'union étaient prêts à aider la Hongrie à contenir la catastrophe.
Mardi, un responsable de la gestion des eaux, Sandor Toth, évaluait que la pollution pourrait atteindre le Danube au courant de la semaine. Le ruisseau Torna, qui se jette dans la rivière Marcal, est déjà atteint. La Marcal se déverse dans la Raab, qui est un affluent direct du Danube.
Les autorités hongroises tentent toujours de circonscrire l'inondation
« Les travaux d'assainissement se poursuivent avec 500 personnes aujourd'hui, nous nettoyons les rues et les maisons avec des jets d'eau à haute pression sous la direction du Service de santé national », a expliqué la porte-parole des services anticatastrophes, Timea Petroczi. Le nettoyage des rivières est également toujours en cours. Mardi, les autorités ont déversé des tonnes de plâtre dans le fleuve Marcal afin de réduire la toxicité de la boue.
Le réservoir d'où la boue s'est déversée ne fuit désormais plus. Un triple mur de protection est tout de même en cours de construction autour de la section endommagée du réservoir.

Le dernier bilan est de quatre morts, trois personnes disparues, 123 blessés, dont 61 hospitalisées, surtout pour des brûlures causées par la boue toxique.


— Timea Petroczi, porte-parole des services anticatastrophes

Je n'ai survécu que grâce à une poutre de la porcherie, où je me suis cramponnée quand la marée est arrivée », a expliqué Janosné Stumppe, une Hongroise de 76 ans qui a dû être traitée pour des brûlures aux jambes et au dos.
L'accident industriel est survenu lundi, après la rupture d'une digue entourant un bassin de rétention d'eaux usées appartenant à la société MAL, une usine d'aluminium à Ajka, à environ 165 kilomètres à l'ouest de Budapest.
Au total, environ 1,1 million de mètres cubes de boue se sont répandus dans sept villages des environs. Les dommages sont évalués à plus de 5 millions d'euros.


L'accident, qualifié de pire catastrophe écologique en Hongrie par le secrétaire d'État à l'Environnement, Zoltan Illès, menace sérieusement la faune et la flore autour du Danube.
Greenpeace dit avoir prélevé des échantillons mardi qui révélent la présence de plomb, de chrome et d'arsenic dans l'eau, a signalé le porte-parole Marton Vay. L'organisation écologiste attend des résultats supplémentaires dans l'après-midi pour définir son plan d'action.
Selon Mme Petroczi, les canalisations d'eau ne sont pas menacées par la pollution, mais par mesure de précautions, il est interdit d'utiliser les puits, a-t-elle précisé.
Quelque 400 personnes ont été évacuées mardi. L'armée hongroise a reconstruit un pont à Kolontar, qui avait été détruit par le déferlement de la boue. Ce pont temporaire permettra aux villageois de retourner dans leurs maisons détruites et d'essayer de sauver ce qui leur reste.
Mercredi soir, la population est conviée à une réunion du village pour discuter des dédommagements et des garanties de sécurité. Beaucoup de personnes vivent désormais dans la crainte d'une seconde inondation.
L'origine exacte de l'accident reste encore à déterminer. La société MAL dit avoir respecté toutes les règles de sécurité et évoque un problème technique, mais le secrétaire Illès croit que l'usine pourrait avoir entreposé trop de boue rouge dans son réservoir.
Une enquête de la police fédérale hongroise pour déterminer l'origine de la catastrophe est en cours.

Radio-Canada.ca avecAgence France PresseetAssociated Press

http://www.radio-canada.ca/nouvelles/International/2010/10/07/001-hongrie-boue-danube.shtml


ce battre contre les moulins de vents mauvais!!!

Des nez électroniques dans le Golfe du Mexique

Après les millions de barils de pétrole qui se sont déversés dans l'océan, suite au naufrage de la plateforme pétrolière de BP, et le "Tout est quasiment redevenu normal" du président américain Barack Obama, les autorités sanitaires des Etats les plus concernés (Floride, Alabama, Mississipi, Louisiane et Texas) ont décidé de contrôler l'éventuelle contamination des produits de la mer proposés aux consommateurs.

Pour cela, l'agence américaine en charge des aliments et des médicaments (la Food and Drug Administration - FDA) a acquis plusieurs nez électroniques afin d'analyser rapidement, mais d'une manière scientifique et non subjective, une éventuelle contamination par les hydrocarbures des poissons, huîtres, crabes et autres écrevisses.

Première société à introduire des nez électroniques sur le marché, le français Alpha M.O.S vient ainsi d'annoncer la vente de plusieurs nez électroniques à la FDA pour un montant de 500 000 $. Au regard de la somme, on pourrait imaginer un nombre d'équipements important, or, joint par téléphone, Alpha M.O.S avance seulement 4 nez électroniques pour cette somme. Il est vrai que ces appareils qui équipent désormais la Georgie et la Floride sont des produits de haute technologie. Equipant des laboratoires mobiles, ces nez électroniques sont capables d’analyser plusieurs centaines d’échantillons par jour en détectant, à de très faibles concentrations, une contamination, sa nature (pétrole ou bactérie, par exemple), tout en déterminant la fraîcheur et l'origine des produits évalués. Par ailleurs, ils permettent de remonter à la source de la pollution pour identifier l'agent polluant, en comparant ses "empreintes" à celles résultantes de la pollution.

http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=4416

pas que les produits de la mer! les produit de la terre aussi..car cela vas vers les rives ou il y a aussi culture animal et végétal, voir même parmit les gens qui vont tombé malade probablement.....oui tout un désastre écologique et dévastateur !!!!durant de long mois nous avons eu l'équivalent d'un pétrolier qui ce déversa dans le golf chaque jour.c-a-d des milliers di litres et dire que, ils ont même voulut trafiquer la vérité sur ce sujet, car, ils nous ont menties dès le début de la catastrophe.

BIRMINGHAM, États-Unis - À environ 1300 kilomètres du golfe du Mexique, Dave Edmonds peine à rappeler aux gens l'existence de la marée noire de BP.

Il n'y a plus beaucoup de magazines qui publient des photos d'oiseaux couverts de brut en une, depuis que BP a scellé le puits fautif au fond de l'océan. Les gens ne recherchent plus d'information sur ce déversement historique tel qu'ils le faisaient quelques semaines auparavant.

Dave Edmonds, qui vit sur la côte de l'État américain du Delaware, a donc décidé de fonder un organisme sans but lucratif pour rappeler aux gens l'existence de ce désastre écologique avec un site web et une campagne de réseautage social.

Selon lui, les individus ne s'intéressent plus aux gens dont la vie a été affectée par cette catastrophe environnementale, pas plus qu'ils ne s'intéressent à la faune aquatique, explique le fondateur de Taking Back the Gulf.

Pour les habitants du golfe se battant pour leur survie économique, la courte durée d'attention du pays est profondément troublante, d'autant plus que le pétrole s'échoue toujours sur les plages. Il est toutefois nébuleux de savoir si les Américains s'intéressent à autre chose, ou s'il s'agit des médias.

En Louisiane, le pétrole apparaît toujours sur les plages, bien que cela soit en moindre quantité qu'au cours de l'été. Les prévisions d'un Armageddon environnemental ne se sont toujours pas réalisées, mais il n'y a pas non plus de consensus sur jusqu'à quel point l'environnement a souffert.

Au début, personne ne pouvait s'entendre sur la quantité de pétrole déversé dans le golfe; il y a maintenant mésentente sur la quantité restante. Une commission a blâmé cette semaine l'administration Obama pour plusieurs faux pas, incluant une tentative pour empêcher les scientifiques d'informer le public sur la gravité du déversement dès le départ.

De récentes recherches soulèvent également la question du désintérêt envers l'événement en dehors du golfe, ou si les informations sur les nouveaux développements sont simplement plus difficiles à obtenir. Une étude du Pew Research Center a découvert que seulement un pour cent de la couverture médiatique était consacrée au déversement le mois passé, en baisse par rapport à 22 pour cent au plus fort de la crise.


http://www.journalmetro.com/monde/article/658395--le-golfe-du-mexique-fait-moins-parler-de-lui

coup donc après la marée noir voila la marée de boue toxique.


Les 800 habitants du village de Kolontar, proche de l'usine de bauxite-aluminium à l'origine le 4 octobre de la plus grande catastrophe écologique de l'histoire de la Hongrie, ont été évacués samedi à la suite d'une nouvelle fissure sur la digue d'un réservoir.

Un homme nettoie une cour inondée par la boue rouge, le 8 octobre 2010 à Devecser, en Hongrie Les 800 habitants du village de Kolontar, proche de l'usine de bauxite-aluminium à l'origine le 4 octobre de la plus grande catastrophe écologique de l'histoire de la Hongrie, ont été évacués samedi à la suite d'une nouvelle fissure sur la digue d'un réservoir.


Vue aérienne de du village de Kolontar, touché par la boue rouge toxique, le 8 octobre 2010 en Hongrie Cette fissure fait craindre une "probable" deuxième inondation de boue rouge toxique après celle meurtrière de lundi, selon le Premier ministre hongrois, Viktor Orban.
AFP -
Les 800 habitants du village de Kolontar, proche de l'usine de bauxite-aluminium à l'origine le 4 octobre de la plus grande catastrophe écologique de l'histoire de la Hongrie, ont été évacués samedi à la suite d'une nouvelle fissure sur la digue d'un réservoir.
Cette fissure fait craindre une "probable" deuxième inondation de boue rouge toxique après celle meurtrière de lundi, selon le Premier ministre hongrois, Viktor Orban.
Les autorités hongroises ont donc ordonné l'évacuation complète du village de Kolontar et préparent, si nécessaire, celle de la petite ville voisine de Devecser (5.400 habitants), a déclaré à l'AFP le chef des services anticatastrophe, Tibor Dobson.
"Nous sommes prêts à éviter le pire et nous pouvons sauver les habitants de Devecser en cas de nouvelle coulée de boue", a déclaré Viktor Orban, à Ajka, où les habitants de Kolontar ont été évacués. "L'évacuation de Kolontar a été nécessaire, car une nouvelle inondation pourrait déverser quelque 500.000 m3 de boue rouge supplémentaires sur le village", a-t-il ajouté.
Le chef du gouvernement a indiqué qu'un fonds d'aide aux victimes allait être mis en place et qu'il allait pour cela faire appel à l'homme politique américain d'origine hongroise George Pataki.
Les habitants de Kolontar sinistrés auront le choix, selon M. Orban, entre être relogés dans une autre ville ou bien dans une autre partie de Kolontar, prochainement construite.
Alors que cette catastrophe a déjà fait au moins sept morts et 150 blessés, une personnne étant encore portée disparue, le réservoir numéro 10 de l'usine de bauxite-aluminium située à Ajka, à 160 km à l'ouest de Budapest, risque de s'effondrer complètement en raison d'une nouvelle fissure de sa digue.
"L'évacuation de Kolontar a été entamée à six heures du matin (O4HOO GMT), après que nous avons constaté l'affaiblissement de la digue du réservoir numéro 10", a précisé Tibor Dobson.
Dans l'éventualité d'une évacuation des 5.400 habitants de Devecser, des policiers parcouraient les rues de la cité pour prévenir les habitants et des dizaines de camions et de cars de l'armée étaient sur place pour mener à bien l'opération.
Pour protéger les maisons restées intactes d'une éventuelle deuxième coulée de boue rouge toxique, les experts ont décidé la construction à Kolontar d'une nouvelle digue qui coupera le village en deux. Elle fera de quatre à cinq mètres de haut et 400 m de long (BIEN 400 m et NON 40 m, comme l'avait annoncé par erreur l'agence de presse hongroise MTI), sa largeur sera de 20 m à sa base et de 6 m à son sommet.
La construction de cette digue a débuté samedi et elle devrait être terminée en 48 heures.
Les échantillons d'eau prélevés vendredi dans le Danube, en amont de Budapest, avaient révélé une nette diminution de la pollution avec des taux alcalins proches de la normale.
Samedi après-midi, le Service des Eaux a confirmé cette tendance avec un niveau de pH inférieur à 8,3 dans la Marcal, l'une des rivières polluées, contre 8,5 précédemment, sur une échelle allant jusqu'à 14, la normale étant à 8.
Cependant, pour les organisations écologistes Greenpeace et le Fonds mondial pour la protection de la nature (WWF), l'écosystème du Danube, deuxième plus long fleuve d'Europe après la Volga, reste menacé, notamment à plus long terme, tant en ce qui concerne la faune que la flore.
Les pays riverains du Danube en aval de l'accident, notamment la Slovaquie, la Croatie, la Serbie et la Roumanie, procèdent depuis mardi à des contrôles réguliers des eaux du fleuve.
Le 4 octobre, une marée de bouge rouge hautement toxique issue d'un réservoir fissuré de l'usine, exploitée par le groupe hongrois MAL, s'est déversée sur 40 km2, détruisant l'écosystème des rivières Torna et Marcal et atteignant, sous une forme diluée, la Raab, affluent direct du Danube, puis le grand fleuve lui-même.
Selon les dernières estimations des experts, ce sont de 600.000 à 700.000 m3 de boue toxique qui se sont répandus, un peu moins que la marée noire survenue fin avril dernier dans le Golfe du Mexique à la suite d'un accident de plate-forme pétrolière du groupe British Petroleum (BP).

http://www.foexgood.com/2010/10/boues-toxiques-en-hongrie-les-autorites.html

Croyances et société


De la fiction à la réalité




Apporter la démocratie par la guerre et la destruction, autrement dit apporter la stabilité par le chaos voilà le credo utilisé par les dirigeants occidentaux. Ils prétendent détruire pour mieux reconstruire ! Comme si on reconstruisait une vie détruite comme on rebâtit une maison. Les maisons sont faites de matière morte donc c’est assez facile, mais là on parle d’êtres d’une complexité telle qu’on n’en a pas encore fini de faire le tour. Mais j’imagine une maison rebâtie sur une terre souillée par de l’uranium appauvri ! Comme je l’ai déjà dit j’avais du mal à comprendre comment dans les pays occidentaux il y a eu autant de va-t’en guerre qui souhaitaient qu’on attaque l’Afghanistan et l’Iraq mais à vrai dire maintenant j’ai compris et je me dis que les forces des ténèbres ont probablement déjà gagné à moins qu’elles soient d’une stupidité telle qu’elles gâchent tous les efforts qu’elles ont entrepris et qu’un vrai miracle se produise.




Tous ces va-t’en guerre ont accepté l’idée que leur armée aurait à tuer
des innocents que l’on désigne sous le terme infâme de « dommages
collatéraux ». Si tant est que c’est une guerre et que l’on considère
qu’Al Quaïda (pour peu que cette organisation existe ou soit ce que les
médias disent qu’elle est) est en guerre contre l’occident alors on dira
que les morts du 11 septembre 2001 (pour peu que l’on sache vraiment qui a
commis cette infamie) sont des « dommages collatéraux ». Mais en vérité
comme beaucoup l’ont compris le monde n’est pas en guerre contre les
Etats-Unis mais les Etats-Unis sont en guerre contre le monde. Mais dire ceci
est prendre un raccourci douteux car en vérité de mon point de vue cela est
plus complexe que cela. Je pense qu’une poignée de psychopathes utilise les
Etats-Unis comme « un outil qui sera jeté après usage »



(comme cela est mentionné dans l’œuvre de fiction « predator ») et la destruction de cet
outil est programmée. La dette énorme de ce pays par exemple en est à mon
avis la preuve de même que les actes de sauvetages insensés de la FED. Je sais
que certains sont surpris qu’une telle élite soit aussi maléfique et
pourtant ils acceptent (ou ont accepté) presque sans sourciller qu’un homme,
Ben Laden est le diable en personne qui envoie ses « démons » commettre des
attentats suicides en occident par pure méchanceté ou par jalousie. Un film
que j’avais vu dans le temps et que j’ai revu récemment est je le pense,
assez intéressant. Ce film s’intitule « couvre-feu »
(http://www.cinemovies.fr/fiche_film.php?IDfilm=3782) et je pense que beaucoup
de personnes gagneraient à le voir



Dans ce film il est indiqué que les
terroristes (bien sûr arabes, il ne faut pas rêver quant à la capacité
d’élévation des metteurs en scène et scénaristes hollywoodiens quoique…)
qui mettent à feu à sang New York sont des personnes qui ont été formées
par la CIA dans le but de créer des problèmes à Saddam Hussein (c’est fou
comme ça rappelle l’histoire des talibans). Dans ce monde et je l’ai appris
à mes dépens la vérité n’est pas loin de la fiction. Dans ce film aussi il
est dit que les terroristes veulent transformer les USA en tout sauf une
démocratie et j’ai trouvé cette idée très intéressante. Une élite qui
aurait tout intérêt à détruire les libertés verrait dans ces « attentats
» des opportunités et nous savons que l’opportunisme est une des «
qualités » des dirigeants occidentaux. Maintenant affirmer qu’ils aient
commandité ces « attentats » c’est franchir un pas que je franchis
aisément et je ne suis vraisemblablement pas le seul (à me méfier de la
version officielle sûrement lire cet article que j’ai trouvé intéressant :
http://www.legrandsoir.info/Le-Mouvement-pour-la-verite-sur-le-11-septembre-a-t-il-ete-neutralise.html
et ici un autre article tout aussi intéressant du même auteur :
http://www.legrandsoir.info/Reflexions-a-froid-sur-le-11-septembre-2001.html),
de plus certains films semblaient prémonitoires voir ci :
http://www.herodote.net/articles/article.php?ID=225.
Les élites et je l’ai déjà dit croient servir un « intérêt supérieur
» (ils parlent de liberté et de démocratie) et ils sont donc des fanatiques.
Je suis de ceux qui croient qu’en décrivant les « terroristes » qui en
veulent au mode de vie des citoyens occidentaux, ils (les membres de l’élite)
parlent d’eux-mêmes. Il n’y a qu’à voir l’aplomb avec lequel Madeleine
Albright ou Tony Blair disent des choses horribles et leur manque terrifiant de
remords face aux horreurs commises au nom de cet « intérêt supérieur ». Et
ils disent cela sans véritablement être inquiétés. Il est clair dans mon
esprit que nous sommes dans un monde divisé en deux, un monde terrifiant à
vrai dire. Un monde où on désigne par crime un meurtre commis par un citoyen
lambda et par acte préventif un même meurtre commis par les membres de
l’élite. Qu’on ne vienne pas me dire que les élites ne sont pas des
criminels ! Car ils le sont bien et ne pas le voir c’est soit être leurs
complices soit être d’un aveuglément sidérant. Oui ce sont des criminels et
chaque dommage collatéral ou chaque jeune soldat qui revient mort, mutilé,
détruit mentalement est une de leurs victimes. Si on doit compter leurs
victimes alors le nombre deviendra rapidement effroyable. Et ils continuent
encore et encore.


lire la suite



http://www.alterinfo.net/De-la-fiction-a-la-realite_a50638.html

Les États-Unis lèvent le moratoire sur le forage pétrolier dans le Golfe du Mexique


Le gouvernement américain a levé mardi son moratoire sur le forage pétrolier dans le Golfe du Mexique, imposé après la marée noire de BP.

Le secrétaire de l'Intérieur Ken Salazar a déclaré lors d'une conférence de presse par téléconférence que les nouvelles réglementations mises en place après la marée noire de BP avaient permis de renforcer les mesures de sécurité et de réduire le risque d'une nouvelle explosion catastrophique, et le gouvernement a décidé qu'il était approprié de lever la suspension sur les forages en haute mer pour les opérateurs capables de répondre aux critères stricts posés par le gouvernement pour garantir la sécurité.

"L'industrie pétrolière et gazière fonctionnera selon des règles plus strictes, avec une supervision renforcée et dans un environnement réglementaire qui restera dynamique au fur et à mesure que nous développons les réformes que nous avons mises en oeuvre", a-t-il dit.

Ce moratoire de six mois a été mis en place à la suite de l' explosion qui a détruit une plateforme pétrolière de BP en avril et entraîné la pire marée noire de l'histoire des États-Unis. Il devait être maintenu jusqu'au 30 novembre. À l'approche des élections du Congrès, cependant, le président américain Barack Obama a subi une pression intense de cette industrie ainsi que des Démocrates et Républicains de la Côte du Golfe lui demandant de mettre fin à cette suspension, qui coûte selon eux des milliers d' emplois à la région.

Un rapport fédéral a indiqué que ce moratoire causait probablement une perte temporaire de 8 000 à 12 000 emplois dans la région du Golfe.

"Des progrès significatifs ont été réalisés au cours des derniers mois pour renforcer la sécurité des opérations de forage à l'avenir, et pour répondre à certaines faiblesses dans les efforts de confinement et d'intervention face à la marée noire", a déclaré le directeur du Bureau of Ocean Energy Management, Regulation, and Enforcement Director Michael Bromwich. "Nous pensons que les risques causés par le forage en haute-mer ont été suffisamment réduits pour autoriser le forage dans le respect des réglementations actuelles et à venir".
http://french.peopledaily.com.cn/International/7164926.html


oui sa ne penses pas en terme de profit??? ouain, ont ce fou bien des ressources et de la vie..les dégats ne sont même pas fini.on ajoute du sable par dessus la merde et les enfants sur la plage jouent avec le pétrole. .les oiseaux migrateurs vont revenir dans un trou garnit de fuel... ils vont aussi crever assuréement...ils ont surement pas penser a cela..gang de moribonds.leurs prix n'a pas été calculer pour ces oiseaux migrateurs qui reviennent au bercail. la facture devrait donc s'accumuler
et on va te tenir tête sir pétrolium. tout cela pour nourir ta carrière.

Hongrie: conseil des ministres dans la région dévastée par la boue rouge


(AFP) – il y a 1 heure
VESZPREM — Les membres du gouvernement hongrois sont arrivés mercredi à Veszprem (ouest), non loin de la région dévastée par la coulée de boue rouge toxique le 4 octobre, pour tenir un conseil des ministres.
Le bilan de l'accident chimique s'est alourdi à neuf morts, une personne âgée étant décédée à l'hôpital suite à ses blessures, ont annoncé mercredi les services de lutte contre les catastrophes.
Les membres du gouvernement sont arrivés par cars de l'armée hongroise, escortés par la police.
Ils ont prévu dans un premier temps d'examiner les travaux de rénovation et de protection en cours à Kolontar, village le plus touché par la pollution de boue rouge. Puis ils tiendront un conseil des ministres à Veszprém, ville qui se situe à une vingtaine de km de la commune sinistrée, a précisé un porte-parole du Premier ministre Viktor Orban.
Le chef du gouvernement doit tenir une conférence de presse dans la foulée à 12H00 GMT. Il devrait annoncer la date du redémarrage de l'usine de bauxite-aluminium MAL, jugée responsable de la catastrophe qui a fait 8 morts et plus de 150 blessés, selon la même source. Plus de quarante personnes restent hospitalisées, dont deux dans un état critique, selon le gouvernement.
A 11H00 GMT, le Tribunal municipal de Veszprém doit de son côté annoncer si le directeur général de la société MAL Zoltan Bakonyi, interpellé par la police lundi, sera placé ou non en détention préventive.
L'Etat hongrois a pris mardi formellement le contrôle de la société MAL en décidant sa nationalisation.
La société était propriétaire de l'usine de bauxite-aluminium d'Ajka, à l'origine de l'accident du 4 octobre qui a provoqué une catastrophe écologique sans précédent. Quelque 700.000 mètres cubes de boue rouge toxique provenant d'un réservoir fissuré s'étaient déversés comme un raz-de-marée sur les villages alentours.
A Kolontar, la construction de la digue principale, de 670 mètres de long, visant à protéger le village d'une éventuelle nouvelle coulée de boue est terminée, a également indiqué le gouvernement dans un communiqué.
Deux digues supplémentaires, plus proches du réservoir fissuré, étaient toujours en cours de travaux.
Les habitants du village avaient été évacués d'urgence samedi face au risque de nouvelle inondation.
"La fissure dans le réservoir numéro 10 n'a pas bougé, et les contrôles sont réguliers. L'eau potable est sûre, mais la concentration de poussière dans l'air nécessite le port de masques-filtres dans la région polluée", affirme ce communiqué.Un examen de la terre végétale et le nettoyage des champs ont commencé, selon cette même source.


http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hdVfjauDaaiXkNQD-KD4xxDNUpkw?docId=CNG.5a79088cbfed319bc916f57a81a36fc6.801


peut -être que demain ils trouveront de l'air en magasin! sa doit ce vendre comme du bonbon en magasin sa non?





tout le monde a vos combinaisons.

surveillons la magouille

Forages pétroliers: Bruxelles renonce à un moratoire dans l'UE


BRUXELLES - La Commission européenne a renoncé mercredi à l'idée d'un moratoire sur les forages pétroliers en eau profonde dans l'UE, sous pression de Londres notamment, mais veut conditionner les nouvelles autorisations à des normes très strictes de sécurité et à des contrôles.

L'annonce coïncide avec la décision de l'administration américaine de lever le moratoire imposé après la marée noire dans le golfe du Mexique.
Partisan de cette mesure pour les forages dans les eaux européennes en attendant que les causes de la catastrophe aux Etats-Unis soient clairement établies, le commissaire à l'Energie Günther Oettinger a admis que sa proposition initiale avait été remaniée sous la pression de certains de ses collègues.
"C'est vrai, le mot moratoire n'apparaît pas" dans le texte présenté mercredi, a-t-il reconnu lors d'une conférence de presse.
La vice-présidente de la Commission, la Britannique Catherine Ashton (également chef de la diplomatie de l'UE), dont le pays exploite de nombreuses plate-formes pétrolières en mer du Nord, a joué un rôle décisif dans la modification de la proposition du commissaire allemand, a confié une source européenne proche des discussions.
La proposition remaniée préconise seulement de "prévoir la possibilité de suspendre la délivrance des autorisations pour les nouveaux forages".
Les permis de forages relèvent des compétences des Etats de l'UE et la Commission n'était pas en mesure d'imposer un moratoire, a expliqué la source.
Les adversaires du moratoire, en Grande-Bretagne notamment qui compte de nombreuses plate-formes pétrolières, se sont immédiatement félicités de la "reculade de la Commission".
"Je suis très satisfait que le bon sens l'ait emporté",




a ainsi déclaré l'eurodéputé écossais Ian Hudghton. "Il aurait été stupide de mettre en danger des emplois pour réagir au désastre du Golfe du Mexique", a-t-il soutenu.

"L'Ecosse doit continuer a exercer un plein contrôle de ses ressources naturelles", a-t-il conclu.

Greenpeace a en revanche déploré ce revirement et a réclamé l'arrêt de tout nouveau forage en eau profonde en Europe.
sa s'appel sa être censé!

M. Oettinger, réaliste, a compris que les principaux pays concernés comme la Grande-Bretagne, dont un des fleurons industriels est le groupe British Petroleum qui compte de nombreuses plate formes notamment au large de l'Ecosse, bloqueraient cette proposition.Les députés européens ont également rejeté la semaine dernière un moratoire.
Bruxelles veut en revanche introduire des normes très strictes à respecter et des contrôles indépendants. Une manière pour M. Oettinger de contourner l'obstacle britannique sans se désavouer, souligne son entourage.
"J'aimerais que la Grande Bretagne soutienne le principe de contrôles des normes de sécurité", a dit le commissaire.
"Pour lancer une nouvelle plate-forme, il faudra garantir un niveau de sécurité élevé et démontrer la capacité financière de réparer les conséquences d'un accident", a-t-il ajouté.
M. Oettinger a cité pour exemple le cas de BP, "qui va être condamné à payer des milliards de dollars de dommages et intérêts pour la catastrophe dans le Golfe du Mexique".
Le géant pétrolier britannique "à les reins solides", mais il "doit accepter des contrôles plus stricts" sur ses mesures de sécurité "pour bénéficier de notre confiance", a-t-il averti.
Un millier de plate-formes opèrent sur des forages dans les eaux européennes. 486 sont situées au Royaume Uni, 181 aux Pays-Bas, 123 en Italie, 61 au Danemark, 2 en Allemagne, 2 en Irlande, 4 en Espagne, 2 en Grèce, 7 en Roumanie, 1 en Bulgarie et 3 en Pologne. Chypre et Malte prévoient de commencer des forages dans un avenir proche.
(AFP / 13 octobre 2010 16h03)

http://www.romandie.com/ats/news/101013140338.wbol88mo.asp

merci pour ce petit reportage oui en effet il y a pas un pouce carré sur la planette qui n'est pas atteint..il y a trop de destructions inutile..il existe des solutions pourtant.il sagit de le vouloir..c'est une question qui nous concernes tous aussi..chaque petit geste est important.

ils ne font pas le compostage en Europe? recycle t-ils les déchets? un bon commencement le recyclage..veillez sur LES EAUX HEIN!! UN DÉSATRES ÉCOLOGIQUES DE L'EMPLEUR DE BP TERRIBLE A SURMONTER , et ce n'est pas fini pour Bp..non les migrateurs ne sont pas encore arrivés.ensuite la boue toxique ..ont est bien servie côté destruction!comment peuvent-ils nous parler de bilan final?