- Frenchy a écrit:
- En ce qui me concerne, j'estime que pour une pléïade de raisons factuelles, tant pratiques qu'historiques (raisons que j'énumérerai ultérieurement si vous êtes sages), il serait bien plus judicieux de qualifier l'islam d'idéologie théocratique, et, quitte à jouer la carte de la franchise jusqu'au bout:
d'idéologie théocratique sectaire .
voici la definition d'une secte Selon la Commission parlementaire française d'enquête sur les sectes :
"Groupe visant par des manoeuvres de déstabilisation psychologique à obtenir de leurs adeptes une allégeance inconditionnelle, une diminution de l'esprit critique, une rupture avec les références communément admises (éthiques, scientifiques, civiques, éducatives), et entraînant des dangers pour les libertés individuelles, la santé, l'éducation, les institutions démocratiques."
et ces principales caracteristiques:
-la déstabilisation mentale ;
-le caractère exorbitant des exigences financières ;
-la rupture induite avec l'environnement d'origine ;
-les atteintes à l'intégrité physique ;
-l'embrigadement des enfants ;
-le discours plus ou moins anti-social;
-les troubles à l'ordre public ;
-l'importance des démêlés judiciaires ;
-l'éventuel détournement des circuits économiques traditionnels ;
-les tentatives d'infiltration des pouvoirs publics.
Examinons maintenant ces indices en relation avec l'Islam:
1. Déstabilisation mentale
Des milliers de Musulmans – de naissance ou convertis – sont aujourd'hui endoctrinés, et beaucoup avec succès, comme les actualités nous le rappellent quasiment quotidiennement, au nom de leur foi, grâce aux textes et à l'exemple de leur foi, à se suicider en tuant des innocents pris au hasard. Il s'agit là sans aucun doute de cas de déstabilisation grave.
2. Exigences financières exorbitantes
L'Islam riche finance la diffusion de l'Islam à coups de milliards de pétrodollars. Le prince Alwaleed, un riche Saoudien, fit récemment don de 40 millions de dollars à deux universités américaines pour qu'elles promeuvent les «études islamiques».
3. Rupture induite avec l'environnement d'origine
Les convertis à l'Islam sont confrontés à des myriades de devoirs et d'interdits concernant les moindres des actes de la vie quotidienne. Le fait également de devoir changer de prenom et d'adopter un prenom arabe oblige les convertis a renier les origines culturels de leur ancetres
4. Atteintes à l'intégrité physique
Il est interdit de quitter la foi musulmane sous peine de mort. :
D'après Ikrima:
Le prophète a dit: "celui qui quitte sa religion, tuez le!". Sahîh Bukhari : 6411
D'après `Abd-Allah ibn Mas`ûd (qu'Allah soit satisfait de lui),
l'Envoyé d'Allah (pbAsl) a dit: "Il n'est pas permis de verser le sang d'un musulman qui témoigne qu'il n'y a d'autre divinité qu'Allah et que je suis l'Envoyé d'Allah, sauf dans ces trois cas: l'époux adultère, le coupable d’un meurtre et l'apostat qui abandonne la communauté musulmane". Sahîh de Muslim: 3175
5. Embrigadement des enfants
certain enfants musulmans doivent entendre réciter le Coran dès qu'ils sont capables d'écouter à peu près attentivement. À cet âge, leur discernement est encore totalement émoussé et, dans la mesure où ils comprennent ce qu'ils entendent, ils en gardent des idées semi-conscientes extrêmement dangereuses, car le Coran est surchargé de mentions excessivement agressives envers les non-croyants. En outre, rappelons l'ignominie maintenant coutumière commise contre les enfants au nom de l'Islam dans les territoires palestiniens.
ainsi que la légalisation de la pé********* svp utiliser un synonyme soft, Le staff.:
"Le mufti d’Arabie saoudite, Abdelaziz Al-Sheïkh, vient de lancer une nouvelle fatwa (décret religieux), autorisant le mariage des jeunes filles âgées de dix ans (révolus).
Al-Sheïkh ne s’en tient pas à émettre son décret religieux, mais dénonce aussi ceux qui luttent contre le mariage des mineures, considéré comme un mariage forcé.
En effet, après l’ouléma marocain Al-Maghraoui qui estimait que certaines jeunes filles de neuf ans sont meilleures au lit que des femmes de vingt ans l’institutionnalisation de la pé********* svp utiliser un synonyme soft, Le staff. » touche désormais l’Arabie saoudite.
Le mufti du royaume tente en effet de bloquer les tentatives des libéraux, soutenus par le Roi à travers sa propre fille, de réglementer l’état civil et d’interdire les mariages des mineures."
(Source : MediArabe.info Traduction et synthèse de Randa Al Fayçal)
6. Discours plus ou moins antisocial
L'Islam a toujours eu deux discours: l'un, mielleusement hypocrite, n'engage jamais à rien, tandis que l'autre, ancré dans le Coran, dans la tradition et dans les lois prononcées par toutes les écoles juridiques de l'Islam, appelle au djihad, soit à une guerre de conquête meurtrière contre les incroyants. Ce djihad, cet ostracisme fondamental vis-à-vis des autres religions, est tout à fait central dans l'Islam et sa réalité, si elle peut sembler douteuse à un esprit occidental enclin à l'objectivité, ne peut pas échapper à un Musulman pratiquant, qui récite plus de quinze fois par jour la première sourate du Coran. Et que penser de la troisième sourate?
7. Troubles à l'ordre public
Les derniers graves débordements musulmans, notamment en France, sont certes largement contestés par les pouvoirs publics (jusqu'à mentir sur le nombre de victimes), rectitude politique ou ignorance de l'Islam oblige. Mais ceux que l'islamisme a provoqués au Liban, en Algérie, ou encore en Asie sont indéniablement intimement liés aux croyances islamiques. Il arrive même que des islamistes notoires reconnaissent que l'Islam est une source de troubles.
8. Importance des démêlés judiciaires
L'Islam a ses propres lois groupées sous la désignation de charia. Il s'agit d'un corps de dispositions juridiques médiévales dépassant largement le cadre d'application des lois occidentales (englobant notamment les sphères religieuse et personnelle) et prévoyant des châtiments intolérables (lapidation, décapitation, mutilations, coups de fouets, etc.), et ce souvent pour ce que la conscience occidentale considère plutôt, le cas échéant, comme des péchés (adultère) que comme des délits. D'importants principes chariatiques contredisent de front les lois occidentales (polygamie, discrimination religieuse), si bien que, dès que les communautés musulmanes s'installent en nombre en Occident, des démêlés judiciaires interminables sont programmés.
9. Détournement des circuits économiques traditionnels
La répression du financement du terrorisme islamique est devenue une tâche essentielle des gouvernements. Il semble que ce financement passe très souvent par des organisations faussement caritatives ou par des ONG. Un rapport danois de janvier 2006 confirme cette situation.
10. Tentatives d'infiltration des pouvoirs publics
L'une des meilleurs exemples est sans doute le CAIR, le Conseil des relations américano-islamiques, la plus grande organisation de lobbying musulman des États-Unis, et ainsi sans doute de l'ensemble du monde occidental. Sa taille et son double discours lui valent d'être invité à la Maison Blanche, et de suggérer aux responsables politiques américains l'attitude «correcte» à adopter envers l'Islam. Mais le CAIR est une organisation islamiste, qui nie la responsabilité de Ben Laden dans les attentats du 11 septembre, taxe d'«incitation à la haine» la condamnation de terroristes déclarés, ou s'offusque de la fermeture d'organisme condamnés pour avoir collecté des fonds en faveur de groupes terroristes reconnus.
Des ouvrages séditieux, expliquant ouvertement comment la charia, et l'Islam tout court, doivent prendre le pouvoir en Occident, sont apparus, notamment aux États-Unis, depuis les années 1990.
D'autres tentatives d'infiltration interviennent par le biais des écoles islamiques, où l'on prépare les dirigeants de demain à donner la priorité aux idées musulmanes et à dénigrer l'héritage des civilisations occidentales. Plus près de chez nous, des organismes «de recherche» s'activent à répandre l'Islam dans les institutions universitaires, mais sans jamais reconnaître ouvertement le message djihadique et donc subversif qu'ils transportent ainsi jusque parmi l'élite future de nos nations.
Enfin, le milieu islamique, même celui considéré comme modéré, favorise un état d'esprit tout à fait opposé au bien-être et à la prospérité des pays occidentaux