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Auteur | Message |
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Gilles Membre_Actif
Date d'inscription : 07/10/2010 Messages : 11153
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 9:11 am | |
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| | | HOSANNA Co-Admin
Date d'inscription : 08/08/2010 Messages : 55310
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 9:40 am | |
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| | | gabriel78 .
Date d'inscription : 20/09/2012 Messages : 230
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 10:08 am | |
| - Gilles a écrit:
- Il n'est point dus a tous de comprendre saintpatic
Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant: "Buvez-en tous;car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés. ! Deutéronome 12:16 Seulement, le sang, vous ne devrez pas le manger. Tu le verseras à terre comme de l’eau. Actes 15:28-29 Car l’esprit saint et nous-mêmes avons jugé bon de ne pas vous ajouter d’autre fardeau, si ce n’est ces choses-ci qui sont nécessaires : 29 vous abstenir des choses qui ont été sacrifiées aux idoles, et du sang, et de ce qui est étouffé, et de la fornication. Si vous vous gardez soigneusement de ces choses, vous prospérerez. Portez-vous bien ! ” ci-dessus, vous voyez que AT reste d'actualiter pour la question du sang |
| | | gabriel78 .
Date d'inscription : 20/09/2012 Messages : 230 Pays : france R E L I G I O N : témoins de Jéhovah
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 10:15 am | |
| - saintpatic a écrit:
- gabriel.
tu ouvres une Bible pas le petit manuscrit des watchies ok!
tu cours en luc 23.46 et jetant un grand cri JESUS dit:
"Père en tes mains je remets mon esprit".Ayant dit cela il expira.
ils ont peu être effacé le passage les ex futurs rois de jérusalem! les golden boys de la tour de garde!
saintpatic
pourquoi ne viens tu pas sur le sujet [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] parce que je cette question que j'ai posé na rien avoir avec le sang |
| | | gabriel78 .
Date d'inscription : 20/09/2012 Messages : 230 Pays : france R E L I G I O N : témoins de Jéhovah
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 10:20 am | |
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| | | gabriel78 .
Date d'inscription : 20/09/2012 Messages : 230 Pays : france R E L I G I O N : témoins de Jéhovah
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 10:44 am | |
| - gabriel78 a écrit:
- Gilles a écrit:
Ils ne participent point a la Nouvelle Alliance (sauf ,un simulacre )parce que pour eux _ils ont le même regard que certains a lequel JESUS s’adressait « Ma chair est vraiment une nourriture et mon sang est vraiment une boisson. Celui qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui ». comment pouvez vous croire qu'il ont vraiment bu son sang? s'il l'auraient fait il seraient en contradictions avec la loi de Dieu 1 Corinthien 10:4 et que tous ont bu la même boisson spirituelle. Ils buvaient, en effet, au rocher spirituel qui les suivait, et ce rocher représentait le Christ.16 La coupe de bénédiction que nous bénissons, n’est-elle pas une participation au sang du Christ ? Le pain que nous rompons, n’est-il pas une participation au corps du Christ ? c deux passages vous montre que le pain et le vin son une représentation. ceux qui prenne le vin et le pain chaque année sont ceux(144000) qui sont appelé a régner avec le christ sur la terre(Révélation 5:10) au dernier jours |
| | | mick MODERATION
Date d'inscription : 10/11/2010 Messages : 7769 Pays : canada R E L I G I O N : chrétienne
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 11:04 am | |
| Quand la mort vient, l'esprit qui est dans le sang, retourne à Dieu, mais après, le sang n'est qu'un élément qui fait partie du corps tout comme le reste des muscles et commence son processus de décomposition, alors il (sang) n'a aucune valeur pour Dieu, il devient comme le filet mignon, bon à consumer. Mick |
| | | mick MODERATION
Date d'inscription : 10/11/2010 Messages : 7769 Pays : canada R E L I G I O N : chrétienne
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 11:08 am | |
| Autre chose Les chiens et chats ont un antibiotique dans leurs salive qui guérit les blessures, c'est pourquoi on voit les animaux lécher leurs plaies. Est-ce interdit pour eux ? Pourquoi est-ce que Jéhovah les a créés ainsi ? Amicalement Mick |
| | | elbib Témoin de Jéhovah
Date d'inscription : 23/11/2011 Messages : 2514 Pays : monaco R E L I G I O N : .
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 11:44 am | |
| - mick a écrit:
- Quand la mort vient, l'esprit qui est dans le sang, retourne à Dieu
Où la Bible dit-elle que l'esprit est dans le sang ? - mick a écrit:
- mais après, le sang n'est qu'un élément qui fait partie du corps tout
comme le reste des muscles et commence son processus de décomposition, alors il (sang) n'a aucune valeur pour Dieu,
il devient comme le filet mignon, bon à consumer. Tu n'as encore pas démontré grand chose. Mais pendant que tu y es, si tu nous disais ce qui détermine que le filet mignon est bon à consumer ? :fourire: :fourire: :fourire: :fourire: :fourire: :fourire: :fourire: |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | elbib Témoin de Jéhovah
Date d'inscription : 23/11/2011 Messages : 2514 Pays : monaco R E L I G I O N : .
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 12:05 pm | |
| - mick a écrit:
- Autre chose
Les chiens et chats ont un antibiotique dans
leurs salive qui guérit les blessures Et ? Mais, ceci-dit, laisse un chat te lécher une plaie et tu m’en diras des nouvelles, antibiotique ou pas ! - mick a écrit:
- Est-ce interdit pour eux ?
Pourquoi est-ce que Jéhovah les a créés ainsi ? Oui, pourquoi ? |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | Gilles Membre_Actif
Date d'inscription : 07/10/2010 Messages : 11153 Pays : canada R E L I G I O N : Catholique
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 12:11 pm | |
| La doctrine de la Nouvelle Alliance est perçut pour l’hérétique anti -Christ comme un non sens /comme si cela serais une simple image ,ou - Citation :
- une représentation
,il ne peut discerne le Corps du Christ .De plus _nous savons comme chrétiens que pour l’hérétique tout ce qui lui déplait et ce que JESUS dis et affirme solennellement ne veux jamais dires ce qu 'IL a dis après avoir écoutés l’hérétique . Il y a bien des passages sur la Nouvelle Alliance mais un en particulier qui démontres très bien que cela n'est point une simple image et encore moins une représentation . De même, après le repas, il prit la coupe, en disant: "Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang; chaque fois que vous en boirez, faites-le en mémoire de moi."Chaque fois en effet que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne.Ainsi donc, quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement aura à répondre du corps et du sang du Seigneur. Que chacun donc s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange de ce pain et boive de cette coupe;car celui qui mange et boit, mange et boit sa propre condamnation, s'il ne discerne le Corps. |
| | | HOSANNA Co-Admin
Date d'inscription : 08/08/2010 Messages : 55310 Pays : france R E L I G I O N : CHRETIEN
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 2:24 pm | |
| - Citation :
- et ce rocher
représentait le Christ Etait Christ,il n'y a que la traduction du monde nouveau pour tordre ainsi l'Ecriture! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]Retour au sujet! |
| | | HOSANNA Co-Admin
Date d'inscription : 08/08/2010 Messages : 55310 Pays : france R E L I G I O N : CHRETIEN
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 2:29 pm | |
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| | | mick MODERATION
Date d'inscription : 10/11/2010 Messages : 7769 Pays : canada R E L I G I O N : chrétienne
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 2:43 pm | |
| Ben c'est ca que la TJ m'a dit :regret:
Que l'esprit de Dieu était dans le sang :regret:
Je croyais que tous les TJ avaient le même enseignement :regret:
Et que c'était pour cette raison qu'il ne fallait pas toucher au sang.
Ils sont pas facile à suivre , ces TJ . |
| | | ved Animateur
Date d'inscription : 13/11/2010 Messages : 4682 Pays : france R E L I G I O N : Chrétien
| Sujet: Re: Le sang Dim 24 Mar 2013, 6:43 pm | |
| - gabriel78 a écrit:
- Deutéronome 12:16 Seulement, le sang, vous ne devrez pas le manger. Tu le verseras à terre comme de l’eau.
Actes 15:28-29 Car l’esprit saint et nous-mêmes avons jugé bon de ne pas vous ajouter d’autre fardeau, si ce n’est ces choses-ci qui sont nécessaires : 29 vous abstenir des choses qui ont été sacrifiées aux idoles, et du sang, et de ce qui est étouffé, et de la fornication. Si vous vous gardez soigneusement de ces choses, vous prospérerez. Portez-vous bien ! ”
ci-dessus, vous voyez que AT reste d'actualiter pour la question du sang gabriel serait-ce une charge trop lourde à porter pour toi aussi de nous expliquer le sens du verset actes 15:21 ??? MERCI |
| | | elbib Témoin de Jéhovah
Date d'inscription : 23/11/2011 Messages : 2514 Pays : monaco R E L I G I O N : .
| Sujet: Re: Le sang Lun 25 Mar 2013, 11:52 pm | |
| - HOSANNA a écrit:
-
- Citation :
- Où la Bible dit-elle que l'esprit est dans le sang ?
C'est sur que pour toi,le Souffle de Dieu dans les narine de l'homme qui retourne à Dieu ne peut ètre ni l'esprit ni l'ame,qui anime le corps, Si, c'est bien l'esprit ( le souffle de vie) qui anime l'âme, du moins selon la Bible ! - HOSANNA a écrit:
- Surement le corps qui retourne à Dieu
Mais non, le corps ( l'âme morte), retourne à la poussière ! |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | mick MODERATION
Date d'inscription : 10/11/2010 Messages : 7769 Pays : canada R E L I G I O N : chrétienne
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 12:22 am | |
| mick a écrit: (Quand la mort vient, l'esprit qui est dans le sang, retourne à Dieu) Elbil : (Où la Bible dit-elle que l'esprit est dans le sang ?) Quand j'étudiais la Bible avec les TJ le verset de la Bible qu'ils utilisait était celui-ci : Lv 17-11 " l'âme de la chair est dans le sang" maintenant est-ce que l'âme et l'esprit sont la même chose, je ne m'en souviens plus, parcontre ils appellent ca la force vitale de Dieu, cette force vitale se trouve dans le sang, et cette force "esprit" retoune à Dieu après la mort, si j'ai bien compris ma lecon Amicalement Mick |
| | | elbib Témoin de Jéhovah
Date d'inscription : 23/11/2011 Messages : 2514 Pays : monaco R E L I G I O N : .
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 2:23 am | |
| - mick a écrit:
- mick a écrit:
(Quand la mort vient, l'esprit qui est dans le sang, retourne à Dieu)
Elbil : (Où la Bible dit-elle que l'esprit est dans le sang ?)
Quand j'étudiais la Bible avec les TJ le verset de la Bible
qu'ils utilisait était celui-ci : Lv 17-11 " l'âme de la chair est dans le sang"
maintenant est-ce que l'âme et l'esprit sont la même chose Non, l'âme et l'esprit ne sont pas du tout la même chose. Dans ta citation du Lévitique le mot âme (nephesh) a le sens de vie, comme c'est parfois le cas dans la Bible (Genèse 35:18 ; Juges 9:17) ! - mick a écrit:
- je ne m'en souviens plus, parcontre ils appellent ca la force vitale de Dieu,
cette force vitale se trouve dans le sang, et cette force "esprit"
retoune à Dieu après la mort, si j'ai bien compris ma lecon Ce qui retourne symboliquement à DIEU à la mort de l'âme c'est le souffle de vie (l'esprit) ! |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | HOSANNA Co-Admin
Date d'inscription : 08/08/2010 Messages : 55310 Pays : france R E L I G I O N : CHRETIEN
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 2:43 am | |
| - Citation :
- Mais non, le corps (l'âme morte), retourne à la poussière !
Ce qui donne qu'Elie après avoir prier 3 fois que l'ame réintègre le corps,comprendre selon les tj que le corps s'est réintégré lui mème....enfin bon,avec la traduction du monde nouveau,plus rien ne m'étonne |
| | | gabriel78 .
Date d'inscription : 20/09/2012 Messages : 230 Pays : france R E L I G I O N : témoins de Jéhovah
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 3:33 am | |
| hosanna , tu fait du hors sujet. en plus tu ne lis même pas elbib, l'âme c la vie.
Mick, quand l'âme meurt notre ésprit retourne a Dieu mais dans le séhol, la tombe des mort ou Dieu ressuscitera ceux qu'il approuve. Révélation 20:13 Et la mer a rendu les morts qui s’y trouvaient, et la mort et l’hadès* ont rendu les morts+ qui s’y trouvaient, et ils ont été jugés chacun individuellement selon leurs actions+.
toi non plus , Mick tu na pas répondu a mes commentaire |
| | | elbib Témoin de Jéhovah
Date d'inscription : 23/11/2011 Messages : 2514 Pays : monaco R E L I G I O N : .
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 4:22 am | |
| - HOSANNA a écrit:
-
- Citation :
- Mais non, le corps (l'âme morte), retourne à la poussière !
Ce qui donne qu'Elie après avoir prier 3 fois que l'ame réintègre le corps,comprendre selon les tj que le corps s'est réintégré lui mème....enfin bon,avec la traduction du monde nouveau,plus rien ne m'étonne C'est la vie qui a réintégré le corps. Comme je l'ai précisé plus haut, le mot nephesh a parfois le sens de vie. A ce propos, voici comment est rendu ce verset que tu évoques sans le citer (1 Rois 17:22) dans les deux traductions suivantes : "L'Eternel exauça la prière d'Elie, et la vie revint au coeur de l'enfant, et il fut sauvé." (Rabbinat Français) ! "Le Seigneur répondit à la prière d'Élie: il rendit la vie à l'enfant, qui se remit à respirer." (Français Courant) ! |
| | | L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message | ved Animateur
Date d'inscription : 13/11/2010 Messages : 4682 Pays : france R E L I G I O N : Chrétien
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 5:13 am | |
| - gabriel78 a écrit:
- hosanna , tu fait du hors sujet. en plus tu ne lis même pas elbib, l'âme c la vie.
Mick, quand l'âme meurt notre ésprit retourne a Dieu mais dans le séhol, la tombe des mort ou Dieu ressuscitera ceux qu'il approuve. Révélation 20:13 Et la mer a rendu les morts qui s’y trouvaient, et la mort et l’hadès* ont rendu les morts+ qui s’y trouvaient, et ils ont été jugés chacun individuellement selon leurs actions+.
toi non plus , Mick tu na pas répondu a mes commentaire Pourquoi te gardes-tu de citer le verset précédent ??? Apocalypse 20 : 12 et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs oeuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres.ou bien le verset qui suit : Apocalypse 6 : 9 Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu.est-ce parce que ces versets indiquent qu'il y a des âmes dans le Ciel ??? PS : Hosanna n'est pas du tout hors-sujet bien au contraire ... |
| | | gabriel78 .
Date d'inscription : 20/09/2012 Messages : 230 Pays : france R E L I G I O N : témoins de Jéhovah
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 5:39 am | |
| - ved a écrit:
- gabriel78 a écrit:
- hosanna , tu fait du hors sujet. en plus tu ne lis même pas elbib, l'âme c la vie.
Mick, quand l'âme meurt notre ésprit retourne a Dieu mais dans le séhol, la tombe des mort ou Dieu ressuscitera ceux qu'il approuve. Révélation 20:13 Et la mer a rendu les morts qui s’y trouvaient, et la mort et l’hadès* ont rendu les morts+ qui s’y trouvaient, et ils ont été jugés chacun individuellement selon leurs actions+.
toi non plus , Mick tu na pas répondu a mes commentaire Pourquoi te gardes-tu de citer le verset précédent ???
Apocalypse 20 : 12 et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs oeuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres. ou bien le verset qui suit :
Apocalypse 6 : 9 Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu.
est-ce parce que ces versets indiquent qu'il y a des âmes dans le Ciel ???
PS : Hosanna n'est pas du tout hors-sujet bien au contraire ... lol Ved, je ne cache rien, c verset que tu cite est une révélation du futur d'aujourd'hui, ceux qui sont devant le trône se sont les oint. il est dit aussi, "Et un autre livre fut ouvert..." pour la vie sur terre.. |
| | | HOSANNA Co-Admin
Date d'inscription : 08/08/2010 Messages : 55310 Pays : france R E L I G I O N : CHRETIEN
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 5:55 am | |
| - elbib a écrit:
- HOSANNA a écrit:
- Ce qui donne qu'Elie après avoir prier 3 fois que l'ame réintègre le corps,comprendre selon les tj que le corps s'est réintégré lui mème....enfin bon,avec la traduction du monde nouveau,plus rien ne m'étonne
C'est la vie qui a réintégré le corps. Comme je l'ai précisé plus haut, le mot nephesh a parfois le sens de vie. A ce propos, voici comment est rendu ce verset que tu évoques sans le citer (1 Rois 17:22) dans les deux traductions suivantes : "L'Eternel exauça la prière d'Elie, et la vie revint au coeur de l'enfant, et il fut sauvé." (Rabbinat Français) !
"Le Seigneur répondit à la prière d'Élie: il rendit la vie à l'enfant, qui se remit à respirer." (Français Courant) ! C'est aussi la vie de Samuel qui à été évoqué sur la demande de Saul,Samuel est revenu à la vie,ah bin non,pour toi,Samuel évoqué est un démon contrairement à ce que dit la Bible |
| | | lynx0726 .
Date d'inscription : 06/12/2011 Messages : 783 Pays : france R E L I G I O N : latitudinaire
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 6:01 am | |
| MICK Je détiens encore quelque éléments aussi voici ce que dit l'enseignement des TJs. Voici une référence tirée de la WT: ÂME Les termes originaux (héb. : nèphèsh [ׁש] ; gr. : psukhê [ψυχή]) employés dans les Écritures montrent qu’une “ âme ” est une personne, un animal, ou la vie dont jouit une personne ou un animal. Les connotations que le mot français “ âme ” évoque ordinairement dans l’esprit de la plupart des gens ne concordent pas avec le sens des mots hébreu et grec tels qu’ils sont employés par les rédacteurs de la Bible divinement inspirés. Avec le temps, ce fait est de plus en plus reconnu. Déjà en 1897, après avoir étudié en détail l’emploi du mot nèphèsh, le professeur C. Briggs écrivit (Journal of Biblical Literature, vol. XVI, p. 30) : “ Tel qu’il est actuellement utilisé [...], le mot âme a habituellement un sens très différent de celui de נפש [nèphèsh] en hébreu, et il est facile pour un lecteur non averti de le comprendre de travers. ” Plus récemment, quand la Société d’édition juive d’Amérique a publié une nouvelle traduction anglaise de la Torah, les cinq premiers livres de la Bible, le rédacteur en chef, H. Orlinsky, du Hebrew Union College, déclara que le terme “ âme ” avait été virtuellement éliminé de cette traduction parce que “ le mot hébreu en question ici est ‘ Nèfèsh ’ ”. Il a ajouté : “ D’autres traducteurs l’ont interprété dans le sens de ‘ âme ’, ce qui est tout à fait inexact. La Bible ne dit pas que nous avons une âme. ‘ Nèfèsh ’ est la personne elle-même, son besoin de nourriture, le sang dans ses veines, son être. ” — The New York Times, 12 octobre 1962. Quelle est l’origine de l’enseignement selon lequel l’âme humaine est invisible et immortelle ? La difficulté réside dans le fait que les sens couramment rattachés au mot “ âme ” proviennent principalement, non pas des Écritures hébraïques ou grecques chrétiennes, mais de la philosophie grecque antique, donc de la pensée religieuse païenne. Par exemple, selon Platon, philosophe grec, Socrate disait : “ Supposons qu’elle soit pure, l’âme qui se sépare de son corps : elle n’entraîne rien avec elle, [...] c’est vers ce qui lui ressemble qu’elle s’en va, vers ce qui est invisible, vers ce qui est divin et immortel et sage, c’est vers le lieu où son arrivée réalise pour elle le bonheur, où divagation, déraison, terreurs [...] tous les autres maux de la condition humaine, cessent de lui être attachés, et [...] c’est véritablement dans la compagnie des Dieux qu’elle passe le reste de son temps ! ” — Phédon, 80, d, e ; 81, a. En opposition directe avec l’enseignement grec selon lequel la psukhê (“ âme ”) est immatérielle, intangible, invisible et immortelle, les Écritures montrent que psukhê comme nèphèsh, utilisés à propos des créatures terrestres, désignent ce qui est matériel, tangible, visible et mortel. La New Catholic Encyclopedia dit : “ Le mot Nepes [nèphèsh] est un terme au sens beaucoup plus étendu que notre mot ‘ âme ’ ; il désigne la vie (Ex 21.23 ; Dt 19.21) et ses diverses manifestations essentielles : la respiration (Gn 35.18 ; Jb 41.13[21]), le sang [Gn 9.4 ; Dt 12.23 ; Ps 140(141).8], le désir (2Sm 3.21 ; Prv 23.2). Dans l’A[ncien] T[estament], l’âme n’est pas une partie de l’homme, mais l’homme tout entier, l’homme en tant qu’être vivant. Pareillement, dans le N[ouveau] T[estament], l’âme désigne la vie humaine : la vie d’un individu, d’un sujet conscient (Mt 2.20 ; 6.25 ; Lc 12.22-23 ; 14.26 ; Jn 10.11, 15, 17 ; 13.37). ” — 1967, vol. XIII, p. 467. Dans son “ Glossaire des termes de théologie biblique ” (p. 27, 28), la New American Bible, traduction catholique, déclare : “ Dans le Nouveau Testament, ‘ sauver son âme ’ (Mc 8:35) ne signifie pas sauver une part ‘ spirituelle ’ de l’homme, par opposition à son ‘ corps ’ (au sens platonicien), mais toute sa personne, l’accent étant mis sur le fait que la personne vit, désire et aime, etc., en plus d’être concrète et physique. ” — Par P. Kenedy & Fils, New York, 1970. Nèphèsh vient vraisemblablement d’une racine qui signifie “ respirer ”. Dans un sens littéral, nèphèsh pourrait être rendu par “ un respirant ”. Le Lexicon in Veteris Testamenti Libros (Leyde, 1958, p. 627) de L. Koehler et W. Baumgartner donne cette définition : “ La substance qui respire, faisant de l’homme et de l’animal des êtres vivants Gn 1, 20, l’âme (strictement différente de la notion grecque d’âme) dont le siège est le sang Gn 9, 4sqq Lv 17, 11 Dt 12, 23 : (249 X) [...] âme = être vivant, individu, personne. ” Quant au mot grec psukhê, les dictionnaires grec-français et d’autres le définissent entre autres par “ vie ”, “ le moi conscient ou la personnalité comme siège des émotions, des désirs et des sentiments ”, “ un être vivant ”, et ils montrent que, même dans les écrits grecs non bibliques, ce mot se disait au sujet des “ animaux ”. Évidemment, ces ouvrages, qui étudient surtout les œuvres grecques classiques, mettent aussi tous les sens que les philosophes grecs païens prêtaient à ce mot, notamment “ l’esprit séparé du corps ”, “ l’âme immatérielle et immortelle ”, “ l’esprit de l’univers ” et “ le principe immatériel du mouvement et de la vie ”. Sans doute parce que certains philosophes païens enseignaient que l’âme quittait le corps à la mort, le mot psukhê désignait aussi “ le papillon ou la mite ”, bêtes qui viennent d’une métamorphose, celle de la chenille en créature ailée. — A Greek-English Lexicon, par H. Liddell, R. Scott, H. Jones, 1968, p. 2026, 2027 ; A New Greek and English Lexicon, par J. Donnegan, 1836, p. 1404 ; Dictionnaire grec-français, par A. Bailly, L. Séchan et P. Chantraine, Paris, 1963, p. 2176 ; Dictionnaire grec-français, par V. Magnien et M. Lacroix, Paris, 1969, p. 2140, 2141. Les auteurs grecs de l’Antiquité ne donnaient pas toujours le même sens au mot psukhê, influencés qu’ils étaient par leurs philosophies personnelles et religieuses. À propos de Platon, à la philosophie duquel on doit les idées courantes relatives au mot “ âme ” (ce qui est généralement reconnu), on a dit que “ s’il parle parfois de l’une des trois [prétendues] parties de l’âme, l’‘ intelligible ’, comme étant nécessairement immortelle, alors que les deux autres sont mortelles, il laisse aussi entendre qu’il y a deux âmes dans un même corps, l’une immortelle et divine, l’autre mortelle ”. — The Evangelical Quarterly, Londres, 1931, vol. III, p. 121, “ Pensées sur la théorie tripartite de la nature humaine ”, par A. McCaig. Puisque les écrits non bibliques donnent des sens différents, il est indispensable de laisser les Écritures elles-mêmes parler, et montrer ce que les écrivains divinement inspirés entendaient par les mots psukhê et nèphèsh. Nèphèsh se rencontre 754 fois dans le texte massorétique des Écritures hébraïques, et psukhê 102 fois dans le texte des Écritures grecques chrétiennes établi par B. Westcott et F. Hort, ce qui donne un total de 856 occurrences (voir Appendice MN, p. 1695). La fréquence de ces termes permet de définir clairement le sens qu’ils revêtaient dans l’esprit des rédacteurs de la Bible divinement inspirés et l’idée que les écrits de ces derniers devraient transmettre à notre esprit. Un examen de ces deux termes révèle qu’ils ont une signification étendue, enrichie de bien des nuances ; néanmoins, lorsque les rédacteurs de la Bible parlent de la nature humaine, il n’y a chez eux ni contradiction, ni confusion, ni désaccord, ce qui n’est pas le cas chez les philosophes grecs de la période dite classique. Les premières âmes terrestres. Le mot nèphèsh paraît pour la première fois en Genèse 1:20-23. Le cinquième “ jour ” de création, Dieu dit : “ ‘ Que les eaux pullulent d’un pullulement d’âmes [nèphèsh] vivantes et que des créatures volantes volent au-dessus de la terre [...]. ’ Et Dieu se mit à créer les grands monstres marins et toute âme [nèphèsh] vivante qui se meut, dont les eaux pullulèrent selon leurs espèces, et toute créature volante ailée selon son espèce. ” De même, au sixième “ jour ” de création, nèphèsh est appliqué aux ‘ animaux domestiques, aux animaux qui se meuvent et aux bêtes sauvages de la terre ’, qui sont autant d’“ âmes vivantes ”. — Gn 1:24. Après la création de l’homme, Dieu, qui lui donnait des directives, employa de nouveau le mot nèphèsh pour désigner les animaux, “ tout ce qui se meut sur la terre, qui a en soi vie d’âme [littéralement : “ qui a en soi une âme (nèphèsh) vivante ”] ”. (Gn 1:30.) On a d’autres exemples d’animaux désignés ainsi en Genèse 2:19 ; 9:10-16 ; Lévitique 11:10, 46 ; 24:18 ; Nombres 31:28 ; Ézékiel 47:9. On notera que les Écritures grecques chrétiennes se servent pareillement du mot psukhê pour désigner les animaux, par exemple en Révélation 8:9 et 16:3 où il est question de créatures marines. Ainsi donc, les Écritures montrent clairement que nèphèsh et psukhê s’emploient pour la création animale, qui est inférieure à l’homme. Les mêmes termes s’appliquent à l’homme. L’âme humaine. C’est précisément la même expression hébraïque, celle qui a été employée pour l’espèce animale, à savoir nèphèsh ḥayyah (“ âme vivante ”), qui est utilisée pour désigner Adam lorsque, après que Dieu l’eut formé de la poussière tirée du sol et qu’il eut soufflé dans ses narines le souffle de vie, “ l’homme devint une âme vivante ”. (Gn 2:7.) L’homme était différent des animaux, mais cette différence ne tenait pas au fait que l’homme était une nèphèsh (“ âme ”) et qu’eux ne l’étaient pas. C’était plutôt, comme le montre le récit, parce que lui seul avait été créé “ à l’image de Dieu ”. (Gn 1:26, 27.) Il avait été créé avec des qualités morales comparables à celles de Dieu, avec une puissance et une sagesse bien supérieures à celles des animaux. Il pouvait donc tenir dans la soumission toutes les formes inférieures de vie créée (Gn 1:26, 28). L’organisme humain était plus complexe et doué de plus de capacités que celui des animaux (voir 1Co 15:39). En outre, Adam avait, mais il la perdit, la perspective de vivre éternellement ; cela n’est jamais dit à propos des créatures inférieures à l’homme. — Gn 2:15-17 ; 3:22-24. Certes, le récit précise que Dieu ‘ souffla dans les narines de l’homme le souffle [forme de neshamah] de vie ’, mais il ne mentionne pas ce fait dans la relation de la création des animaux. Cependant, le récit de la création de l’homme est manifestement beaucoup plus détaillé que celui de la création des animaux. D’autre part, Genèse 7:21-23, qui décrit la destruction par le déluge de “ toute chair ” qui n’était pas dans l’arche, met les animaux dans la même liste que les humains, puis ajoute : “ Tout ce en quoi le souffle [forme de neshamah] de la force de vie était en action dans les narines, c’est-à-dire tout ce qui était sur le sol ferme, tout mourut. ” Il est évident que le souffle de vie des créatures animales provenait aussi, à l’origine, de Jéhovah Dieu, le Créateur. De même, l’“ esprit ” (héb. : rouaḥ ; gr. : pneuma) ou force vitale de l’homme n’est pas différent de la force vitale que possèdent les animaux. C’est ce que montre Ecclésiaste 3:19-21 où il est dit qu’“ ils ont tous un même esprit [werouaḥ] ”. L’âme : une créature vivante. Comme il est dit, l’homme “ devint une âme vivante ”. Il était donc une âme, mais n’avait pas une âme comme quelque chose d’immatériel, d’invisible et d’intangible habitant en lui. Montrant que l’enseignement chrétien ne diffère pas de l’enseignement hébreu antérieur, l’apôtre Paul cite Genèse 2:7, disant : “ C’est même écrit ainsi : ‘ Le premier homme Adam devint une âme vivante [psukhên zôsan]. ’ [...] Le premier homme est de la terre et fait de poussière. ” — 1Co 15:45-47. Le récit de la Genèse révèle qu’une âme vivante est le résultat de la combinaison du corps terrestre avec le souffle de vie. L’expression “ souffle de la force de vie [littéralement : “ souffle de l’esprit (ou : force agissante [rouaḥ]), de vie ”] ” (Gn 7:22) indique que c’est la respiration de l’air (et de l’oxygène qu’il contient) qui entretient la force vitale, ou “ esprit ”, qui est dans toutes les créatures, humains et animaux. Cette force vitale est présente dans chaque cellule du corps d’une créature, comme le montrent les articles ESPRIT et VIE. Puisque le mot nèphèsh désigne la créature elle-même, il faut s’attendre à ce que les fonctions ou caractéristiques physiques propres aux créatures de chair lui soient attribuées. C’est précisément le cas. Il est question de nèphèsh (“ âme ”) qui mange de la viande, de la graisse, du sang ou d’autres choses matérielles (Lv 7:18, 20, 25, 27 ; 17:10, 12, 15 ; Dt 23:24) ; qui est affamée ou qui a envie de manger et de boire (Dt 12:15, 20, 21 ; Ps 107:9 ; Pr 19:15 ; 27:7 ; Is 29:8 ; 32:6 ; Mi 7:1) ; qui s’engraisse (Pr 11:25) ; qui jeûne (Ps 35:13) ; qui touche des choses impures, telles qu’un cadavre (Lv 5:2 ; 7:21 ; 17:15 ; 22:6 ; Nb 19:13) ; qui est ‘ saisie comme gage ’ ou “ enlevée ” (Dt 24:6, 7) ; qui travaille (Lv 23:30) ; qui est réconfortée par de l’eau fraîche quand elle est fatiguée (Pr 25:25) ; qui est achetée (Lv 22:11 ; Éz 27:13) ; qui est offerte comme offrande votive (Lv 27:2) ; qui est mise aux fers (Ps 105:18) ; qui perd le sommeil (Ps 119:28) ; enfin, qui est haletante. — Jr 15:9. Il est également à noter que dans de nombreux versets il est question de “ mon âme ”, “ son âme ”, “ ton âme ”, etc. C’est parce que nèphèsh et psukhê peuvent signifier soi-même en tant qu’âme. En français, par conséquent, le sens de ces expressions peut souvent être rendu par des pronoms personnels. L’ouvrage Lexicon in Veteris Testamenti Libros (p. 627) dit que “ ma nèphèsh ” signifie “ je ” (Gn 27:4, 25 ; Is 1:14) ; “ ta nèphèsh ” signifie “ tu ” (Gn 27:19, 31 ; Is 43:4 ; 51:23) ; “ la nèphèsh de lui ” signifie “ il, lui-même ” (Nb 30:2 ; Is 53:10) ; “ la nèphèsh d’elle ” signifie “ elle, elle-même ” (Nb 30:5-12), etc. Le mot grec psukhê est employé de la même manière. W. Vine écrit (Vine’s Expository Dictionary of Old and New Testament Words, 1981, vol. 4, p. 54) qu’il peut servir d’“ équivalent du pronom personnel, dans le but d’accentuer ou de créer un effet : 1re personne, Jean 10:24 (‘ nous ’) ; Héb. 10:38 ; cp. [comparer avec] Gen. 12:13 ; Nomb. 23:10 ; Jug. 16:30 ; Ps. 120:2 (‘ moi ’) ; 2e personne, 2 Cor. 12:15 ; Héb. 13:17 ”, etc. La vie en tant que créature. Nèphèsh et psukhê désignent également la vie, non pas simplement la vie dans son sens de force ou de principe abstrait, mais la vie en tant que créature, humaine ou animale. Ainsi, quand Rachel donna naissance à Benjamin, sa nèphèsh (“ âme ” ou vie en tant que créature) sortit d’elle et elle mourut (Gn 35:16-19). Elle cessa d’être une créature vivante. De même, quand le prophète Éliya ressuscita miraculeusement le fils de la veuve de Tsarphath, la nèphèsh (“ âme ” ou vie en tant que créature) de l’enfant revint en lui et “ il prit vie ” ; il redevint une créature vivante. — 1R 17:17-23. Étant donné que la vie d’une créature est inséparablement liée au sang et qu’elle en dépend (le sang versé représentant la vie de la personne ou de la créature [Gn 4:10 ; 2R 9:26 ; Ps 9:12 ; Is 26:21]), les Écritures disent que la nèphèsh (âme) est “ dans le sang ”. (Gn 9:4 ; Lv 17:11, 14 ; Dt 12:23.) Évidemment, cela ne s’entend pas au sens littéral, car les Écritures ont aussi l’expression “ sang de vos âmes ” (Gn 9:5 ; voir aussi Jr 2:34), et les nombreux textes déjà considérés ne peuvent raisonnablement pas s’appliquer uniquement au sang ou à ses qualités vitales. Le mot nèphèsh (âme) n’est pas employé en rapport avec la création de la vie végétale lors du troisième “ jour ” de création (Gn 1:11-13) ou après, car il n’y a pas de sang dans les végétaux. Le mot grec psukhê est lui aussi employé pour désigner la “ vie en tant que créature ” en Matthieu 6:25 ; 10:39 ; 16:25, 26 ; Luc 12:20 ; Jean 10:11, 15 ; 13:37, 38 ; 15:13 ; Actes 20:10. Puisque les serviteurs de Dieu ont l’espoir de ressusciter s’ils meurent, ils espèrent vivre de nouveau en tant qu’“ âmes ” ou créatures vivantes. C’est pourquoi JESUS put dire : “ Celui qui perd son âme [sa vie de créature] à cause de moi et de la bonne nouvelle la sauvera. Quel profit, en effet, y a-t-il pour un homme à gagner le monde entier et à le payer de son âme ? Que donnerait, en effet, un homme en échange de son âme ? ” (Mc 8:35-37). Il dit encore : “ Qui est attaché à son âme la détruit, mais qui a de la haine pour son âme dans ce monde la préservera pour la vie éternelle. ” (Jn 12:25). Ces textes, et d’autres du même genre, permettent d’avoir une bonne intelligence des paroles de JESUS consignées en Matthieu 10:28 : “ Ne craignez pas ceux qui tuent le corps, mais ne peuvent tuer l’âme ; mais craignez plutôt celui qui peut détruire et l’âme et le corps dans la géhenne. ” S’ils peuvent tuer le corps, les hommes sont incapables de tuer la personne pour toujours, vu que celle-ci est vivante dans le dessein de Dieu (voir Lc 20:37, 38), et Jéhovah peut et veut ramener un tel fidèle à la vie en tant que créature grâce à la résurrection. Pour les serviteurs de Dieu, la perte de leur “ âme ”, ou vie en tant que créature, n’est que temporaire et non définitive. — Voir Ré 12:11. Mortelle et destructible. En revanche, Matthieu 10:28 affirme que Dieu “ peut détruire et l’âme [psukhên] et le corps dans la géhenne ”. Cela prouve que psukhê ne désigne pas quelque chose d’immortel et d’indestructible. En fait, pas une seule fois dans toutes les Écritures, hébraïques et grecques, les mots nèphèsh ou psukhê ne sont accompagnés d’adjectifs comme immortel, indestructible, impérissable ou d’autres du même genre (voir IMMORTALITÉ ; INCORRUPTIBILITÉ). Par contre, de très nombreux textes des Écritures hébraïques et grecques indiquent que la nèphèsh ou la psukhê (l’âme) est mortelle et sujette à la mort (Gn 19:19, 20 ; Nb 23:10 ; Jos 2:13, 14 ; Jg 5:18 ; 16:16, 30 ; 1R 20:31, 32 ; Ps 22:29 ; Éz 18:4, 20 ; Mt 2:20 ; 26:38 ; Mc 3:4 ; Hé 10:39 ; Jc 5:20) ; qu’elle meurt, “ retranchée ” ou détruite (Gn 17:14 ; Ex 12:15 ; Lv 7:20 ; 23:29 ; Jos 10:28-39 ; Ps 78:50 ; Éz 13:19 ; 22:27 ; Ac 3:23 ; Ré 8:9 ; 16:3), soit par l’épée (Jos 10:37 ; Éz 33:6), soit étouffée (Jb 7:15) ; qu’elle est en danger de périr par noyade (Yon 2:5) ; qu’elle descend dans la fosse ou dans le shéol (Jb 33:22 ; Ps 89:48) ou qu’elle en est délivrée. — Ps 16:10 ; 30:3 ; 49:15 ; Pr 23:14. L’âme morte. L’expression ‘ âme décédée ou morte ’ est employée à plusieurs reprises ; elle désigne simplement “ une personne morte ”. — Lv 19:28 ; 21:1, 11 ; 22:4 ; Nb 5:2 ; 6:6 ; Hag 2:13 ; voir aussi Nb 19:11, 13. Le désir. Parfois le mot nèphèsh est employé pour parler du désir d’une personne, désir qui la remplit puis la tient jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Par exemple, Proverbes 13:2 dit de ceux qui agissent avec traîtrise que ‘ leur âme est violence ’, c’est-à-dire qu’ils veulent ‘ à tout prix ’ la violence, qu’ils deviennent en quelque sorte la violence personnifiée (voir Gn 34:3, note ; Ps 27:12 ; 35:25 ; 41:2). Les faux bergers d’Israël sont appelés des “ chiens forts par [le désir de] l’âme ”, qui ne connaissent pas la satiété. — Is 56:11, 12 ; voir aussi Pr 23:1-3 ; Hab 2:5. Servir de toute son âme. Comme on l’a montré, l’“ âme ” désigne fondamentalement la personne tout entière. Pourtant, certains textes exhortent à rechercher, à aimer et à servir Dieu ‘ de tout son cœur et de toute son âme ’. (Dt 4:29 ; 11:13, 18.) Il est dit en Deutéronome 6:5 : “ Tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta force vitale. ” JESUS déclara qu’il faut servir de toute son âme, de toute sa force et aussi de ‘ toute sa pensée ’. (Mc 12:30 ; Lc 10:27.) On peut se demander pourquoi d’autres choses sont mentionnées en plus de l’âme si celle-ci les englobe toutes. Illustrons le sens probable de ces paroles : quelqu’un peut se vendre (vendre son âme) comme esclave et devenir ainsi la possession de son propriétaire et maître. Cependant, il ne servira pas forcément celui-ci de tout son cœur, uniquement motivé par le désir de lui plaire, et par conséquent il ne mettra pas forcément toute sa force ni toutes ses facultés mentales à servir les intérêts de son maître (voir Ép 6:5 ; Col 3:22). Ainsi, ces parties de l’âme sont sans doute mentionnées pour être mises en évidence, de sorte que le chrétien ne les oublie pas, mais les prenne en compte dans son service pour Dieu, à qui il appartient, et pour son Fils, dont la vie fut le prix de son rachat. Pour servir Dieu ‘ de toute son âme ’, il faut donc engager toute sa personne, sans oublier aucune partie de son corps, aucune de ses fonctions, aucune de ses capacités ni aucun de ses désirs. — Voir Mt 5:28-30 ; Lc 21:34-36 ; Ép 6:6-9 ; Ph 3:19 ; Col 3:23, 24. Âme et esprit sont distincts. Il ne faut pas confondre l’“ esprit ” (héb. : rouaḥ ; gr. : pneuma) et l’“ âme ” (héb. : nèphèsh ; gr. : psukhê), car ils désignent deux choses différentes. Ainsi, Hébreux 4:12 dit que la Parole de Dieu “ pénètre jusqu’à la division de l’âme et de l’esprit, des jointures et de leur moelle ”. (Voir aussi Ph 1:27 ; 1Th 5:23.) Comme on l’a montré, l’âme (nèphèsh ; psukhê) est la créature elle-même. L’esprit (rouaḥ ; pneuma) désigne généralement la force vitale de la créature ou âme vivante, bien que les termes originaux puissent également avoir d’autres sens. Afin d’illustrer la différence entre les deux mots grecs psukhê et pneuma, on peut considérer ce que Paul écrit dans sa première lettre aux Corinthiens à propos de la résurrection des chrétiens pour la vie spirituelle. Il oppose “ ce qui est physique [psukhikon, littéralement : “ qui est âme ”] ” à “ ce qui est spirituel [pneumatikon] ”. Il montre ainsi que jusqu’à leur mort les chrétiens oints ont un corps “ qui est âme ”, tout comme le premier homme Adam, et qu’en revanche à leur résurrection ils recevront un corps spirituel, comme celui de JESUS Christ glorifié (1Co 15:42-49). Jude fait une comparaison du même genre en parlant d’“ hommes animaux [psukhikoï, littéralement : “ (hommes) qui sont âmes ”], qui n’ont pas de spiritualité [littéralement : “ qui n’ont pas d’esprit (pneuma) ”] ”. — Jude 19. En quel sens Dieu a-t-il l’âme ? Compte tenu de ce qui précède, les textes dans lesquels Dieu dit “ mon âme ” (Lv 26:11, 30 ; Ps 24:4 ; Is 42:1) sont sans doute autant d’exemples d’anthropomorphismes, procédé qui consiste à attribuer à Dieu des qualités physiques et humaines dans le but de faciliter la compréhension, comme lorsqu’on dit de Dieu qu’il a des yeux, des mains, etc. En disant ‘ ma nèphèsh ’, Jéhovah entend manifestement “ moi-même ” ou “ ma personne ”. “ Dieu est un Esprit [Pneuma]. ” — Jn 4:24 ; voir JÉHOVAH (Descriptions de sa présence).
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| | | lynx0726 .
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| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 6:03 am | |
| Selon la version des TJ : SANG Liquide proprement extraordinaire qui circule dans le système vasculaire des humains et de la plupart des animaux multicellulaires ; en hébreu, dam, et en grec, haïma. Le sang apporte à toutes les parties du corps la nourriture et l’oxygène, emporte les déchets et joue un rôle essentiel dans la défense de l’organisme contre l’infection. La composition chimique du sang est d’une telle complexité que les scientifiques ont encore beaucoup à découvrir à son sujet. On lit dans la Bible que l’âme est dans le sang, parce que le sang est très intimement lié aux processus vitaux. La Parole de Dieu dit : “ Car l’âme de la chair est dans le sang, et moi je l’ai mis pour vous sur l’autel, pour faire propitiation pour vos âmes, car c’est le sang qui fait propitiation par l’âme qui est en lui. ” (Lv 17:11). C’est pour la même raison, mais en faisant un lien encore plus direct, que la Bible dit : “ L’âme de toute sorte de chair est son sang. ” (Lv 17:14). Il est donc établi que, pour la Parole de Dieu, tant la vie que le sang sont sacrés. Ôter la vie. Auprès de Jéhovah est la source de la vie (Ps 36:9). L’homme qui prend une vie ne peut la rendre. “ Toutes les âmes — c’est à moi qu’elles appartiennent ”, dit Jéhovah (Éz 18:4). Par conséquent, ôter la vie revient à prendre un bien qui appartient à Jéhovah. Toute chose vivante a une raison d’être et une place dans la création de Dieu. Aucun humain n’a le droit d’ôter la vie, si ce n’est avec la permission de Dieu et de la façon qu’il indique. Après le déluge, Noé et ses fils, les ancêtres de tout humain vivant aujourd’hui, reçurent l’ordre de respecter la vie, le sang, de leur prochain (Gn 9:1, 5, 6). Par ailleurs, dans sa bonté, Dieu leur permit d’ajouter la viande animale à leur alimentation. Toutefois, ils devaient reconnaître que la vie de tout animal tué pour servir de nourriture appartenait à Dieu, ce qu’ils feraient en versant son sang à terre comme de l’eau. C’était comme le rendre à Dieu, plutôt que de l’employer à un usage personnel. — Dt 12:15, 16. L’homme a reçu le droit de profiter de la vie que Dieu lui a accordée, et quiconque la lui ôte a des comptes à rendre à Dieu. C’est ce qui fut montré lorsque Dieu dit au meurtrier Caïn : “ Le sang de ton frère crie du sol vers moi. ” (Gn 4:10). Même quelqu’un qui hait son frère et qui souhaite sa mort, ou bien le calomnie ou porte un faux témoignage contre lui afin de mettre sa vie en danger, se rend coupable en ce qui concerne le sang de son prochain. — Lv 19:16 ; Dt 19:18-21 ; 1Jn 3:15. En raison de la valeur que Dieu attache à la vie, il est dit que le sang d’une personne assassinée souille la terre, et cette souillure ne peut être effacée qu’en répandant le sang du meurtrier. Selon ce principe, la Bible autorise les autorités dûment constituées à infliger la peine capitale pour un meurtre (Nb 35:33 ; Gn 9:5, 6). Dans l’Israël antique, on ne pouvait accepter aucune rançon pour soustraire le meurtrier volontaire à la peine de mort. — Nb 35:19-21, 31. Dans le cas extrême où l’enquête ne permettait pas d’identifier l’homicide, c’était la ville la plus proche du lieu où on avait trouvé le cadavre qui était regardée comme coupable du sang versé. Pour dégager la ville de cette culpabilité, les anciens de cette ville, responsables, devaient suivre la procédure requise par Dieu, nier toute culpabilité ou connaissance du meurtrier, et implorer la miséricorde divine (Dt 21:1-9). Si un homicide involontaire se souciait peu d’avoir ôté une vie et ne se conformait pas aux dispositions prévues par Dieu pour sa protection, à savoir s’enfuir dans la ville de refuge et y rester, le parent le plus proche de la victime avait le droit et l’obligation, en tant que vengeur, de le tuer pour dégager le pays de la responsabilité du sang versé. — Nb 35:26, 27 ; voir VENGEUR DU SANG. L’utilisation convenable du sang. Dieu n’approuva en tout qu’une seule utilisation du sang, à savoir pour le sacrifice. Il imposa à ceux qui se trouvaient sous la Loi mosaïque d’offrir des sacrifices d’animaux afin de faire propitiation pour le péché (Lv 17:10, 11). Ce fut également conformément à Sa volonté que Son Fils, JESUS Christ, offrit sa vie humaine parfaite comme sacrifice pour les péchés. — Hé 10:5, 10. L’application salvatrice du sang de Christ fut préfigurée de multiples manières dans les Écritures hébraïques. Au moment de la première Pâque, en Égypte, le sang mis sur les hauts et les montants des portes des maisons des Israélites protégea les premiers-nés qui s’y trouvaient de la mort provoquée par l’ange de Dieu (Ex 12:7, 22, 23 ; 1Co 5:7). L’alliance de la Loi, qui sous un certain aspect enlevait les péchés de manière typique, fut validée par le sang d’animaux (Ex 24:5-8). Les nombreux sacrifices sanglants, particulièrement ceux qu’on offrait le jour des Propitiations, servaient à faire propitiation pour les péchés de manière typique, car ils annonçaient l’enlèvement réel du péché par le sacrifice de Christ. — Lv 16:11, 15-18. Le pouvoir légal que Dieu attache au sang lorsqu’il l’agrée à des fins propitiatoires fut illustré par le fait que le sang était versé à la base, ou au fondement, de l’autel et qu’il était mis sur les cornes de l’autel. La disposition de la propitiation avait sa base ou son fondement dans le sang, et le pouvoir (représenté par les cornes) des sacrifices résidait dans le sang. — Lv 9:9 ; Hé 9:22 ; 1Co 1:18. Dans le christianisme, le caractère sacré du sang fut souligné encore plus fortement. Il n’y avait plus à offrir du sang d’animaux, car ces sacrifices d’animaux n’étaient qu’une ombre de la réalité, JESUS Christ (Col 2:17 ; Hé 10:1-4, 8-10). En Israël, le grand prêtre apportait une part symbolique du sang dans le Très-Saint du sanctuaire terrestre (Lv 16:14). JESUS Christ, le vrai Grand Prêtre, entra dans le ciel même, non avec son sang, qui fut versé à terre (Jn 19:34), mais avec la valeur de sa vie humaine parfaite représentée par le sang. Il ne perdit jamais ce droit à la vie par le péché, mais le conserva afin qu’il puisse servir à la propitiation pour le péché (Hé 7:26 ; 8:3 ; 9:11, 12). C’est pour ces raisons que le sang de Christ crie pour réclamer des choses meilleures que ne le fit le sang du juste Abel. Seul le sang du sacrifice parfait du Fils de Dieu peut réclamer la miséricorde, tandis que le sang d’Abel et celui des disciples de Christ morts en martyrs crient pour réclamer vengeance. — Hé 12:24 ; Ré 6:9-11. À qui l’interdiction de manger le sang s’applique-t-elle ? Après le déluge, Jéhovah autorisa Noé et ses fils à ajouter la viande animale à leur alimentation, mais avec l’ordre impérieux de ne pas manger de sang (Gn 9:1, 3, 4). Dieu formulait là une prescription qui ne s’appliquait pas seulement à Noé et à sa famille proche, mais à tous les humains désormais, puisque tous ceux qui vécurent depuis le déluge descendent de la famille de Noé. À propos de la permanence de cette interdiction, Joseph Benson a fait ce commentaire : “ Il convient de noter que cette défense de manger le sang, qui fut faite à Noé et à toute sa postérité et réitérée avec grande solennité aux Israélites sous le régime mosaïque, n’a jamais été levée ; au contraire, cette interdiction a été confirmée dans le Nouveau Testament, en Actes xv., devenant ainsi une obligation perpétuelle. ” — Notes, 1839, vol. I, p. 43. Sous la Loi mosaïque. Dans l’alliance de la Loi passée entre Jéhovah et la nation d’Israël, Dieu inclut la loi donnée à Noé. Il montra clairement que le “ sang ” serait compté à quiconque transgresserait volontairement la procédure stipulée par la loi de Dieu, ne fût-ce que pour tuer un animal (Lv 17:3, 4). Le sang d’un animal destiné à la consommation devait être versé à terre et couvert de poussière (Lv 17:13, 14). Quiconque mangeait le sang de quelque sorte de chair que ce soit devait être ‘ retranché du milieu de son peuple ’. Toute violation délibérée de la loi relative au caractère sacré du sang entraînait le ‘ retranchement ’ par mise à mort. — Lv 17:10 ; 7:26, 27 ; Nb 15:30, 31. L’ouvrage Cyclopædia par J. M’Clintock et J. Strong (1882, vol. I, p. 834) fait ce commentaire sur Lévitique 17:11, 12 : “ Cette injonction stricte s’appliquait non seulement aux Israélites, mais même aux étrangers qui résidaient parmi eux. Le châtiment qui frappait sa transgression était ‘ le retranchement du milieu du peuple ’, expression qui semble bien désigner la peine de mort (cf. Héb. x, 28), quoiqu’il soit difficile de déterminer si elle était infligée par l’épée ou par lapidation. ” En Deutéronome 14:21, il fut permis de vendre à un résident étranger ou à un étranger un animal mort de lui-même ou qui avait été déchiré par une bête sauvage. Ainsi, une distinction était faite entre le sang de ces animaux et celui d’animaux qu’on abattait pour les consommer (voir Lv 17:14-16). Les Israélites, tout comme les résidents étrangers qui adhéraient au vrai culte et se plaçaient sous l’alliance de la Loi, étaient obligés de suivre les exigences élevées de cette Loi. Les hommes de toutes les nations étaient liés par l’exigence de Genèse 9:3, 4, mais, à ceux qui étaient sous la Loi, Dieu imposait, par le respect de cette exigence, une norme plus élevée qu’aux étrangers et résidents étrangers qui n’étaient pas devenus ses adorateurs. Dans le christianisme. Sous la direction de l’esprit saint, le collège central de la congrégation chrétienne du Ier siècle statua sur la question du sang. Son décret stipule : “ Car l’esprit saint et nous-mêmes avons jugé bon de ne pas vous ajouter d’autre fardeau, si ce n’est ces choses-ci qui sont nécessaires : vous abstenir des choses qui ont été sacrifiées aux idoles, et du sang, et de ce qui est étouffé, et de la fornication. Si vous vous gardez soigneusement de ces choses, vous prospérerez. Portez-vous bien ! ” (Ac 15:22, 28, 29). L’interdiction touchait aussi la chair non saignée (“ ce qui est étouffé ”). Fondamentalement, ce décret repose sur l’ordre de ne pas manger de sang, tel que Dieu le donna à Noé et à ses fils, et, partant, à toute l’humanité. À ce propos, Sir Isaac Newton a écrit ce qui suit dans Chronologie des anciens royaumes corrigée (Paris, 1728) : “ Cette Loi [sur l’interdiction du sang] est plus ancienne que Moïse, ayant été donnée à Noé et à ses enfants longtemps avant Abraham. C’est pourquoi, quand les Apôtres et les Anciens déclarèrent dans le Concile de Jérusalem que les Gentils étaient affranchis de la Circoncision et de l’observation de la Loi de Moïse, ‘ ils en exceptèrent le précepte de s’abstenir du sang et des chairs étouffées ’, comme étant une loi antérieure, imposée non seulement aux enfants d’Abraham, mais à toutes les Nations, pendant qu’elles vivaient ensemble dans le pays de Sennaar [Shinéar], sous la domination de Noé. La Loi qui défend les viandes offertes aux Idoles et la fornication passe pour être de même date. ” — Cité dans Écrits sur la religion, par Isaac Newton, traduit par Jean-François Baillon, Paris, 1996, p. 77. Observée depuis les temps apostoliques. Le concile de Jérusalem envoya sa décision aux congrégations chrétiennes pour qu’elles l’observent (Ac 16:4). Quelque sept ans après la promulgation de ce décret lors du concile de Jérusalem, les chrétiens continuaient à respecter cette “ décision ” de “ se garder de ce qui est sacrifié aux idoles ainsi que du sang, et de ce qui est étouffé, et de la fornication ”. (Ac 21:25.) Et plus d’un siècle après, en 177 de n. è., alors que les chrétiens étaient accusés faussement par leurs ennemis religieux de manger des enfants, à Lyon, une femme nommée Biblis déclara : “ Comment [...] ces gens-là mangeraient-ils de petits enfants, alors qu’il ne leur est même pas permis de manger le sang des animaux sans raison [c’est-à-dire non doués de raison] ? ” — Histoire ecclésiastique, par Eusèbe, traduction par G. Bardy, Paris, 1955, V, I, 26. Les premiers chrétiens s’abstenaient de manger du sang, de n’importe quelle sorte. C’est ce que met en évidence Tertullien (env. 155-apr. 220) dans son ouvrage Apologétique (IX, 13, 14) : “ Rougissez de votre aveuglement devant nous autres chrétiens, qui ne regardons pas même le sang des animaux comme un des mets qu’il est permis de manger, et qui, pour cette raison, nous abstenons de bêtes étouffées et de bêtes mortes d’elles-mêmes, pour n’être souillés en aucune manière de sang, même de celui qui est comme enseveli dans les chairs. Aussi, pour mettre les chrétiens à l’épreuve, vous leur présentez des boudins gonflés de sang, bien convaincus que ce mets est défendu chez eux et que c’est un moyen de les faire sortir du droit chemin. ” Minucius Félix, homme de loi romain qui vécut jusque vers 250 de n. è., insista sur la même idée lorsqu’il écrivit : “ Pour nous, il ne nous est pas permis d’être les spectateurs du meurtre des hommes ; le récit même nous en est interdit : nous sommes si éloignés de verser le sang humain, que nous nous abstenons même du sang des animaux dont la chair nous sert d’aliment. ” — L’Octavius, XXX, traduit par A. Péricaud, Lyon, 1873, p. 161. Une question de fidélité. Depuis l’époque où fut inaugurée la nouvelle alliance sur le sang de JESUS Christ, les chrétiens comprennent que ce sang a une valeur salvatrice par le moyen de la disposition prise par Jéhovah, et par le moyen de JESUS en sa qualité de Grand Prêtre souverain qui “ est entré — non pas avec le sang de boucs et de jeunes taureaux, mais avec son propre sang — une fois pour toutes dans le lieu saint et a obtenu pour nous une délivrance éternelle ”. Par la foi dans le sang de Christ, les chrétiens ont leur conscience purifiée des œuvres mortes, de sorte qu’ils peuvent offrir un service sacré au Dieu vivant. Ils se soucient de leur santé physique, mais ils se soucient avant tout et bien plus de leur santé spirituelle et de leur position devant Dieu. Ils veulent rester fidèles au Dieu vivant, ne veulent pas nier le sacrifice de JESUS, ne pas le considérer comme une chose sans valeur ou le piétiner. En effet, ce qu’ils poursuivent, ce n’est pas la vie qui est éphémère, mais la vie éternelle. — Hé 9:12, 14, 15 ; 10:28, 29.
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| | | lynx0726 .
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| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 6:05 am | |
| Selon la version des Tj ÂME Les termes originaux (héb. : nèphèsh [ׁש] ; gr. : psukhê [ψυχή]) employés dans les Écritures montrent qu’une “ âme ” est une personne, un animal, ou la vie dont jouit une personne ou un animal. Les connotations que le mot français “ âme ” évoque ordinairement dans l’esprit de la plupart des gens ne concordent pas avec le sens des mots hébreu et grec tels qu’ils sont employés par les rédacteurs de la Bible divinement inspirés. Avec le temps, ce fait est de plus en plus reconnu. Déjà en 1897, après avoir étudié en détail l’emploi du mot nèphèsh, le professeur C. Briggs écrivit (Journal of Biblical Literature, vol. XVI, p. 30) : “ Tel qu’il est actuellement utilisé [...], le mot âme a habituellement un sens très différent de celui de נפש [nèphèsh] en hébreu, et il est facile pour un lecteur non averti de le comprendre de travers. ” Plus récemment, quand la Société d’édition juive d’Amérique a publié une nouvelle traduction anglaise de la Torah, les cinq premiers livres de la Bible, le rédacteur en chef, H. Orlinsky, du Hebrew Union College, déclara que le terme “ âme ” avait été virtuellement éliminé de cette traduction parce que “ le mot hébreu en question ici est ‘ Nèfèsh ’ ”. Il a ajouté : “ D’autres traducteurs l’ont interprété dans le sens de ‘ âme ’, ce qui est tout à fait inexact. La Bible ne dit pas que nous avons une âme. ‘ Nèfèsh ’ est la personne elle-même, son besoin de nourriture, le sang dans ses veines, son être. ” — The New York Times, 12 octobre 1962. Quelle est l’origine de l’enseignement selon lequel l’âme humaine est invisible et immortelle ? La difficulté réside dans le fait que les sens couramment rattachés au mot “ âme ” proviennent principalement, non pas des Écritures hébraïques ou grecques chrétiennes, mais de la philosophie grecque antique, donc de la pensée religieuse païenne. Par exemple, selon Platon, philosophe grec, Socrate disait : “ Supposons qu’elle soit pure, l’âme qui se sépare de son corps : elle n’entraîne rien avec elle, [...] c’est vers ce qui lui ressemble qu’elle s’en va, vers ce qui est invisible, vers ce qui est divin et immortel et sage, c’est vers le lieu où son arrivée réalise pour elle le bonheur, où divagation, déraison, terreurs [...] tous les autres maux de la condition humaine, cessent de lui être attachés, et [...] c’est véritablement dans la compagnie des Dieux qu’elle passe le reste de son temps ! ” — Phédon, 80, d, e ; 81, a. En opposition directe avec l’enseignement grec selon lequel la psukhê (“ âme ”) est immatérielle, intangible, invisible et immortelle, les Écritures montrent que psukhê comme nèphèsh, utilisés à propos des créatures terrestres, désignent ce qui est matériel, tangible, visible et mortel. La New Catholic Encyclopedia dit : “ Le mot Nepes [nèphèsh] est un terme au sens beaucoup plus étendu que notre mot ‘ âme ’ ; il désigne la vie (Ex 21.23 ; Dt 19.21) et ses diverses manifestations essentielles : la respiration (Gn 35.18 ; Jb 41.13[21]), le sang [Gn 9.4 ; Dt 12.23 ; Ps 140(141).8], le désir (2Sm 3.21 ; Prv 23.2). Dans l’A[ncien] T[estament], l’âme n’est pas une partie de l’homme, mais l’homme tout entier, l’homme en tant qu’être vivant. Pareillement, dans le N[ouveau] T[estament], l’âme désigne la vie humaine : la vie d’un individu, d’un sujet conscient (Mt 2.20 ; 6.25 ; Lc 12.22-23 ; 14.26 ; Jn 10.11, 15, 17 ; 13.37). ” — 1967, vol. XIII, p. 467. Dans son “ Glossaire des termes de théologie biblique ” (p. 27, 28), la New American Bible, traduction catholique, déclare : “ Dans le Nouveau Testament, ‘ sauver son âme ’ (Mc 8:35) ne signifie pas sauver une part ‘ spirituelle ’ de l’homme, par opposition à son ‘ corps ’ (au sens platonicien), mais toute sa personne, l’accent étant mis sur le fait que la personne vit, désire et aime, etc., en plus d’être concrète et physique. ” — Par P. Kenedy & Fils, New York, 1970. Nèphèsh vient vraisemblablement d’une racine qui signifie “ respirer ”. Dans un sens littéral, nèphèsh pourrait être rendu par “ un respirant ”. Le Lexicon in Veteris Testamenti Libros (Leyde, 1958, p. 627) de L. Koehler et W. Baumgartner donne cette définition : “ La substance qui respire, faisant de l’homme et de l’animal des êtres vivants Gn 1, 20, l’âme (strictement différente de la notion grecque d’âme) dont le siège est le sang Gn 9, 4sqq Lv 17, 11 Dt 12, 23 : (249 X) [...] âme = être vivant, individu, personne. ” Quant au mot grec psukhê, les dictionnaires grec-français et d’autres le définissent entre autres par “ vie ”, “ le moi conscient ou la personnalité comme siège des émotions, des désirs et des sentiments ”, “ un être vivant ”, et ils montrent que, même dans les écrits grecs non bibliques, ce mot se disait au sujet des “ animaux ”. Évidemment, ces ouvrages, qui étudient surtout les œuvres grecques classiques, mettent aussi tous les sens que les philosophes grecs païens prêtaient à ce mot, notamment “ l’esprit séparé du corps ”, “ l’âme immatérielle et immortelle ”, “ l’esprit de l’univers ” et “ le principe immatériel du mouvement et de la vie ”. Sans doute parce que certains philosophes païens enseignaient que l’âme quittait le corps à la mort, le mot psukhê désignait aussi “ le papillon ou la mite ”, bêtes qui viennent d’une métamorphose, celle de la chenille en créature ailée. — A Greek-English Lexicon, par H. Liddell, R. Scott, H. Jones, 1968, p. 2026, 2027 ; A New Greek and English Lexicon, par J. Donnegan, 1836, p. 1404 ; Dictionnaire grec-français, par A. Bailly, L. Séchan et P. Chantraine, Paris, 1963, p. 2176 ; Dictionnaire grec-français, par V. Magnien et M. Lacroix, Paris, 1969, p. 2140, 2141. Les auteurs grecs de l’Antiquité ne donnaient pas toujours le même sens au mot psukhê, influencés qu’ils étaient par leurs philosophies personnelles et religieuses. À propos de Platon, à la philosophie duquel on doit les idées courantes relatives au mot “ âme ” (ce qui est généralement reconnu), on a dit que “ s’il parle parfois de l’une des trois [prétendues] parties de l’âme, l’‘ intelligible ’, comme étant nécessairement immortelle, alors que les deux autres sont mortelles, il laisse aussi entendre qu’il y a deux âmes dans un même corps, l’une immortelle et divine, l’autre mortelle ”. — The Evangelical Quarterly, Londres, 1931, vol. III, p. 121, “ Pensées sur la théorie tripartite de la nature humaine ”, par A. McCaig. Puisque les écrits non bibliques donnent des sens différents, il est indispensable de laisser les Écritures elles-mêmes parler, et montrer ce que les écrivains divinement inspirés entendaient par les mots psukhê et nèphèsh. Nèphèsh se rencontre 754 fois dans le texte massorétique des Écritures hébraïques, et psukhê 102 fois dans le texte des Écritures grecques chrétiennes établi par B. Westcott et F. Hort, ce qui donne un total de 856 occurrences (voir Appendice MN, p. 1695). La fréquence de ces termes permet de définir clairement le sens qu’ils revêtaient dans l’esprit des rédacteurs de la Bible divinement inspirés et l’idée que les écrits de ces derniers devraient transmettre à notre esprit. Un examen de ces deux termes révèle qu’ils ont une signification étendue, enrichie de bien des nuances ; néanmoins, lorsque les rédacteurs de la Bible parlent de la nature humaine, il n’y a chez eux ni contradiction, ni confusion, ni désaccord, ce qui n’est pas le cas chez les philosophes grecs de la période dite classique. Les premières âmes terrestres. Le mot nèphèsh paraît pour la première fois en Genèse 1:20-23. Le cinquième “ jour ” de création, Dieu dit : “ ‘ Que les eaux pullulent d’un pullulement d’âmes [nèphèsh] vivantes et que des créatures volantes volent au-dessus de la terre [...]. ’ Et Dieu se mit à créer les grands monstres marins et toute âme [nèphèsh] vivante qui se meut, dont les eaux pullulèrent selon leurs espèces, et toute créature volante ailée selon son espèce. ” De même, au sixième “ jour ” de création, nèphèsh est appliqué aux ‘ animaux domestiques, aux animaux qui se meuvent et aux bêtes sauvages de la terre ’, qui sont autant d’“ âmes vivantes ”. — Gn 1:24. Après la création de l’homme, Dieu, qui lui donnait des directives, employa de nouveau le mot nèphèsh pour désigner les animaux, “ tout ce qui se meut sur la terre, qui a en soi vie d’âme [littéralement : “ qui a en soi une âme (nèphèsh) vivante ”] ”. (Gn 1:30.) On a d’autres exemples d’animaux désignés ainsi en Genèse 2:19 ; 9:10-16 ; Lévitique 11:10, 46 ; 24:18 ; Nombres 31:28 ; Ézékiel 47:9. On notera que les Écritures grecques chrétiennes se servent pareillement du mot psukhê pour désigner les animaux, par exemple en Révélation 8:9 et 16:3 où il est question de créatures marines. Ainsi donc, les Écritures montrent clairement que nèphèsh et psukhê s’emploient pour la création animale, qui est inférieure à l’homme. Les mêmes termes s’appliquent à l’homme. L’âme humaine. C’est précisément la même expression hébraïque, celle qui a été employée pour l’espèce animale, à savoir nèphèsh ḥayyah (“ âme vivante ”), qui est utilisée pour désigner Adam lorsque, après que Dieu l’eut formé de la poussière tirée du sol et qu’il eut soufflé dans ses narines le souffle de vie, “ l’homme devint une âme vivante ”. (Gn 2:7.) L’homme était différent des animaux, mais cette différence ne tenait pas au fait que l’homme était une nèphèsh (“ âme ”) et qu’eux ne l’étaient pas. C’était plutôt, comme le montre le récit, parce que lui seul avait été créé “ à l’image de Dieu ”. (Gn 1:26, 27.) Il avait été créé avec des qualités morales comparables à celles de Dieu, avec une puissance et une sagesse bien supérieures à celles des animaux. Il pouvait donc tenir dans la soumission toutes les formes inférieures de vie créée (Gn 1:26, 28). L’organisme humain était plus complexe et doué de plus de capacités que celui des animaux (voir 1Co 15:39). En outre, Adam avait, mais il la perdit, la perspective de vivre éternellement ; cela n’est jamais dit à propos des créatures inférieures à l’homme. — Gn 2:15-17 ; 3:22-24. Certes, le récit précise que Dieu ‘ souffla dans les narines de l’homme le souffle [forme de neshamah] de vie ’, mais il ne mentionne pas ce fait dans la relation de la création des animaux. Cependant, le récit de la création de l’homme est manifestement beaucoup plus détaillé que celui de la création des animaux. D’autre part, Genèse 7:21-23, qui décrit la destruction par le déluge de “ toute chair ” qui n’était pas dans l’arche, met les animaux dans la même liste que les humains, puis ajoute : “ Tout ce en quoi le souffle [forme de neshamah] de la force de vie était en action dans les narines, c’est-à-dire tout ce qui était sur le sol ferme, tout mourut. ” Il est évident que le souffle de vie des créatures animales provenait aussi, à l’origine, de Jéhovah Dieu, le Créateur. De même, l’“ esprit ” (héb. : rouaḥ ; gr. : pneuma) ou force vitale de l’homme n’est pas différent de la force vitale que possèdent les animaux. C’est ce que montre Ecclésiaste 3:19-21 où il est dit qu’“ ils ont tous un même esprit [werouaḥ] ”. L’âme : une créature vivante. Comme il est dit, l’homme “ devint une âme vivante ”. Il était donc une âme, mais n’avait pas une âme comme quelque chose d’immatériel, d’invisible et d’intangible habitant en lui. Montrant que l’enseignement chrétien ne diffère pas de l’enseignement hébreu antérieur, l’apôtre Paul cite Genèse 2:7, disant : “ C’est même écrit ainsi : ‘ Le premier homme Adam devint une âme vivante [psukhên zôsan]. ’ [...] Le premier homme est de la terre et fait de poussière. ” — 1Co 15:45-47. Le récit de la Genèse révèle qu’une âme vivante est le résultat de la combinaison du corps terrestre avec le souffle de vie. L’expression “ souffle de la force de vie [littéralement : “ souffle de l’esprit (ou : force agissante [rouaḥ]), de vie ”] ” (Gn 7:22) indique que c’est la respiration de l’air (et de l’oxygène qu’il contient) qui entretient la force vitale, ou “ esprit ”, qui est dans toutes les créatures, humains et animaux. Cette force vitale est présente dans chaque cellule du corps d’une créature, comme le montrent les articles ESPRIT et VIE. Puisque le mot nèphèsh désigne la créature elle-même, il faut s’attendre à ce que les fonctions ou caractéristiques physiques propres aux créatures de chair lui soient attribuées. C’est précisément le cas. Il est question de nèphèsh (“ âme ”) qui mange de la viande, de la graisse, du sang ou d’autres choses matérielles (Lv 7:18, 20, 25, 27 ; 17:10, 12, 15 ; Dt 23:24) ; qui est affamée ou qui a envie de manger et de boire (Dt 12:15, 20, 21 ; Ps 107:9 ; Pr 19:15 ; 27:7 ; Is 29:8 ; 32:6 ; Mi 7:1) ; qui s’engraisse (Pr 11:25) ; qui jeûne (Ps 35:13) ; qui touche des choses impures, telles qu’un cadavre (Lv 5:2 ; 7:21 ; 17:15 ; 22:6 ; Nb 19:13) ; qui est ‘ saisie comme gage ’ ou “ enlevée ” (Dt 24:6, 7) ; qui travaille (Lv 23:30) ; qui est réconfortée par de l’eau fraîche quand elle est fatiguée (Pr 25:25) ; qui est achetée (Lv 22:11 ; Éz 27:13) ; qui est offerte comme offrande votive (Lv 27:2) ; qui est mise aux fers (Ps 105:18) ; qui perd le sommeil (Ps 119:28) ; enfin, qui est haletante. — Jr 15:9. Il est également à noter que dans de nombreux versets il est question de “ mon âme ”, “ son âme ”, “ ton âme ”, etc. C’est parce que nèphèsh et psukhê peuvent signifier soi-même en tant qu’âme. En français, par conséquent, le sens de ces expressions peut souvent être rendu par des pronoms personnels. L’ouvrage Lexicon in Veteris Testamenti Libros (p. 627) dit que “ ma nèphèsh ” signifie “ je ” (Gn 27:4, 25 ; Is 1:14) ; “ ta nèphèsh ” signifie “ tu ” (Gn 27:19, 31 ; Is 43:4 ; 51:23) ; “ la nèphèsh de lui ” signifie “ il, lui-même ” (Nb 30:2 ; Is 53:10) ; “ la nèphèsh d’elle ” signifie “ elle, elle-même ” (Nb 30:5-12), etc. Le mot grec psukhê est employé de la même manière. W. Vine écrit (Vine’s Expository Dictionary of Old and New Testament Words, 1981, vol. 4, p. 54) qu’il peut servir d’“ équivalent du pronom personnel, dans le but d’accentuer ou de créer un effet : 1re personne, Jean 10:24 (‘ nous ’) ; Héb. 10:38 ; cp. [comparer avec] Gen. 12:13 ; Nomb. 23:10 ; Jug. 16:30 ; Ps. 120:2 (‘ moi ’) ; 2e personne, 2 Cor. 12:15 ; Héb. 13:17 ”, etc. La vie en tant que créature. Nèphèsh et psukhê désignent également la vie, non pas simplement la vie dans son sens de force ou de principe abstrait, mais la vie en tant que créature, humaine ou animale. Ainsi, quand Rachel donna naissance à Benjamin, sa nèphèsh (“ âme ” ou vie en tant que créature) sortit d’elle et elle mourut (Gn 35:16-19). Elle cessa d’être une créature vivante. De même, quand le prophète Éliya ressuscita miraculeusement le fils de la veuve de Tsarphath, la nèphèsh (“ âme ” ou vie en tant que créature) de l’enfant revint en lui et “ il prit vie ” ; il redevint une créature vivante. — 1R 17:17-23. Étant donné que la vie d’une créature est inséparablement liée au sang et qu’elle en dépend (le sang versé représentant la vie de la personne ou de la créature [Gn 4:10 ; 2R 9:26 ; Ps 9:12 ; Is 26:21]), les Écritures disent que la nèphèsh (âme) est “ dans le sang ”. (Gn 9:4 ; Lv 17:11, 14 ; Dt 12:23.) Évidemment, cela ne s’entend pas au sens littéral, car les Écritures ont aussi l’expression “ sang de vos âmes ” (Gn 9:5 ; voir aussi Jr 2:34), et les nombreux textes déjà considérés ne peuvent raisonnablement pas s’appliquer uniquement au sang ou à ses qualités vitales. Le mot nèphèsh (âme) n’est pas employé en rapport avec la création de la vie végétale lors du troisième “ jour ” de création (Gn 1:11-13) ou après, car il n’y a pas de sang dans les végétaux. Le mot grec psukhê est lui aussi employé pour désigner la “ vie en tant que créature ” en Matthieu 6:25 ; 10:39 ; 16:25, 26 ; Luc 12:20 ; Jean 10:11, 15 ; 13:37, 38 ; 15:13 ; Actes 20:10. Puisque les serviteurs de Dieu ont l’espoir de ressusciter s’ils meurent, ils espèrent vivre de nouveau en tant qu’“ âmes ” ou créatures vivantes. C’est pourquoi JESUS put dire : “ Celui qui perd son âme [sa vie de créature] à cause de moi et de la bonne nouvelle la sauvera. Quel profit, en effet, y a-t-il pour un homme à gagner le monde entier et à le payer de son âme ? Que donnerait, en effet, un homme en échange de son âme ? ” (Mc 8:35-37). Il dit encore : “ Qui est attaché à son âme la détruit, mais qui a de la haine pour son âme dans ce monde la préservera pour la vie éternelle. ” (Jn 12:25). Ces textes, et d’autres du même genre, permettent d’avoir une bonne intelligence des paroles de JESUS consignées en Matthieu 10:28 : “ Ne craignez pas ceux qui tuent le corps, mais ne peuvent tuer l’âme ; mais craignez plutôt celui qui peut détruire et l’âme et le corps dans la géhenne. ” S’ils peuvent tuer le corps, les hommes sont incapables de tuer la personne pour toujours, vu que celle-ci est vivante dans le dessein de Dieu (voir Lc 20:37, 38), et Jéhovah peut et veut ramener un tel fidèle à la vie en tant que créature grâce à la résurrection. Pour les serviteurs de Dieu, la perte de leur “ âme ”, ou vie en tant que créature, n’est que temporaire et non définitive. — Voir Ré 12:11. Mortelle et destructible. En revanche, Matthieu 10:28 affirme que Dieu “ peut détruire et l’âme [psukhên] et le corps dans la géhenne ”. Cela prouve que psukhê ne désigne pas quelque chose d’immortel et d’indestructible. En fait, pas une seule fois dans toutes les Écritures, hébraïques et grecques, les mots nèphèsh ou psukhê ne sont accompagnés d’adjectifs comme immortel, indestructible, impérissable ou d’autres du même genre (voir IMMORTALITÉ ; INCORRUPTIBILITÉ). Par contre, de très nombreux textes des Écritures hébraïques et grecques indiquent que la nèphèsh ou la psukhê (l’âme) est mortelle et sujette à la mort (Gn 19:19, 20 ; Nb 23:10 ; Jos 2:13, 14 ; Jg 5:18 ; 16:16, 30 ; 1R 20:31, 32 ; Ps 22:29 ; Éz 18:4, 20 ; Mt 2:20 ; 26:38 ; Mc 3:4 ; Hé 10:39 ; Jc 5:20) ; qu’elle meurt, “ retranchée ” ou détruite (Gn 17:14 ; Ex 12:15 ; Lv 7:20 ; 23:29 ; Jos 10:28-39 ; Ps 78:50 ; Éz 13:19 ; 22:27 ; Ac 3:23 ; Ré 8:9 ; 16:3), soit par l’épée (Jos 10:37 ; Éz 33:6), soit étouffée (Jb 7:15) ; qu’elle est en danger de périr par noyade (Yon 2:5) ; qu’elle descend dans la fosse ou dans le shéol (Jb 33:22 ; Ps 89:48) ou qu’elle en est délivrée. — Ps 16:10 ; 30:3 ; 49:15 ; Pr 23:14. L’âme morte. L’expression ‘ âme décédée ou morte ’ est employée à plusieurs reprises ; elle désigne simplement “ une personne morte ”. — Lv 19:28 ; 21:1, 11 ; 22:4 ; Nb 5:2 ; 6:6 ; Hag 2:13 ; voir aussi Nb 19:11, 13. Le désir. Parfois le mot nèphèsh est employé pour parler du désir d’une personne, désir qui la remplit puis la tient jusqu’à ce qu’il soit satisfait. Par exemple, Proverbes 13:2 dit de ceux qui agissent avec traîtrise que ‘ leur âme est violence ’, c’est-à-dire qu’ils veulent ‘ à tout prix ’ la violence, qu’ils deviennent en quelque sorte la violence personnifiée (voir Gn 34:3, note ; Ps 27:12 ; 35:25 ; 41:2). Les faux bergers d’Israël sont appelés des “ chiens forts par [le désir de] l’âme ”, qui ne connaissent pas la satiété. — Is 56:11, 12 ; voir aussi Pr 23:1-3 ; Hab 2:5. Servir de toute son âme. Comme on l’a montré, l’“ âme ” désigne fondamentalement la personne tout entière. Pourtant, certains textes exhortent à rechercher, à aimer et à servir Dieu ‘ de tout son cœur et de toute son âme ’. (Dt 4:29 ; 11:13, 18.) Il est dit en Deutéronome 6:5 : “ Tu dois aimer Jéhovah ton Dieu de tout ton cœur, et de toute ton âme, et de toute ta force vitale. ” JESUS déclara qu’il faut servir de toute son âme, de toute sa force et aussi de ‘ toute sa pensée ’. (Mc 12:30 ; Lc 10:27.) On peut se demander pourquoi d’autres choses sont mentionnées en plus de l’âme si celle-ci les englobe toutes. Illustrons le sens probable de ces paroles : quelqu’un peut se vendre (vendre son âme) comme esclave et devenir ainsi la possession de son propriétaire et maître. Cependant, il ne servira pas forcément celui-ci de tout son cœur, uniquement motivé par le désir de lui plaire, et par conséquent il ne mettra pas forcément toute sa force ni toutes ses facultés mentales à servir les intérêts de son maître (voir Ép 6:5 ; Col 3:22). Ainsi, ces parties de l’âme sont sans doute mentionnées pour être mises en évidence, de sorte que le chrétien ne les oublie pas, mais les prenne en compte dans son service pour Dieu, à qui il appartient, et pour son Fils, dont la vie fut le prix de son rachat. Pour servir Dieu ‘ de toute son âme ’, il faut donc engager toute sa personne, sans oublier aucune partie de son corps, aucune de ses fonctions, aucune de ses capacités ni aucun de ses désirs. — Voir Mt 5:28-30 ; Lc 21:34-36 ; Ép 6:6-9 ; Ph 3:19 ; Col 3:23, 24. Âme et esprit sont distincts. Il ne faut pas confondre l’“ esprit ” (héb. : rouaḥ ; gr. : pneuma) et l’“ âme ” (héb. : nèphèsh ; gr. : psukhê), car ils désignent deux choses différentes. Ainsi, Hébreux 4:12 dit que la Parole de Dieu “ pénètre jusqu’à la division de l’âme et de l’esprit, des jointures et de leur moelle ”. (Voir aussi Ph 1:27 ; 1Th 5:23.) Comme on l’a montré, l’âme (nèphèsh ; psukhê) est la créature elle-même. L’esprit (rouaḥ ; pneuma) désigne généralement la force vitale de la créature ou âme vivante, bien que les termes originaux puissent également avoir d’autres sens. Afin d’illustrer la différence entre les deux mots grecs psukhê et pneuma, on peut considérer ce que Paul écrit dans sa première lettre aux Corinthiens à propos de la résurrection des chrétiens pour la vie spirituelle. Il oppose “ ce qui est physique [psukhikon, littéralement : “ qui est âme ”] ” à “ ce qui est spirituel [pneumatikon] ”. Il montre ainsi que jusqu’à leur mort les chrétiens oints ont un corps “ qui est âme ”, tout comme le premier homme Adam, et qu’en revanche à leur résurrection ils recevront un corps spirituel, comme celui de JESUS Christ glorifié (1Co 15:42-49). Jude fait une comparaison du même genre en parlant d’“ hommes animaux [psukhikoï, littéralement : “ (hommes) qui sont âmes ”], qui n’ont pas de spiritualité [littéralement : “ qui n’ont pas d’esprit (pneuma) ”] ”. — Jude 19. En quel sens Dieu a-t-il l’âme ? Compte tenu de ce qui précède, les textes dans lesquels Dieu dit “ mon âme ” (Lv 26:11, 30 ; Ps 24:4 ; Is 42:1) sont sans doute autant d’exemples d’anthropomorphismes, procédé qui consiste à attribuer à Dieu des qualités physiques et humaines dans le but de faciliter la compréhension, comme lorsqu’on dit de Dieu qu’il a des yeux, des mains, etc. En disant ‘ ma nèphèsh ’, Jéhovah entend manifestement “ moi-même ” ou “ ma personne ”. “ Dieu est un Esprit [Pneuma]. ” — Jn 4:24 ; voir JÉHOVAH (Descriptions de sa présence).
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| | | ved Animateur
Date d'inscription : 13/11/2010 Messages : 4682 Pays : france R E L I G I O N : Chrétien
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 6:17 am | |
| - gabriel78 a écrit:
- ved a écrit:
- Pourquoi te gardes-tu de citer le verset précédent ???
Apocalypse 20 : 12 et je vis les morts, les grands et les petits, qui se tenaient devant le trône. Des livres furent ouverts. Et un autre livre fut ouvert, celui qui est le livre de vie. Et les morts furent jugés selon leurs oeuvres, d'après ce qui était écrit dans ces livres. ou bien le verset qui suit :
Apocalypse 6 : 9 Quand il ouvrit le cinquième sceau, je vis sous l'autel les âmes de ceux qui avaient été immolés à cause de la parole de Dieu et à cause du témoignage qu'ils avaient rendu.
est-ce parce que ces versets indiquent qu'il y a des âmes dans le Ciel ???
PS : Hosanna n'est pas du tout hors-sujet bien au contraire ... lol Ved, je ne cache rien, c verset que tu cite est une révélation du futur d'aujourd'hui, ceux qui sont devant le trône se sont les oint. il est dit aussi, "Et un autre livre fut ouvert..." pour la vie sur terre..
laisses-moi rire à mon tour oint ou pas ... comment se sont-ils retrouvé au Ciel si leur être se résume à de la chair qui une fois mort redevient poussière ... les 144000 seront ressuscité pour régner avec le Christ durant 1000 ans ... alors que dans le verset Apocalypse 20 : 12 qui se situe après les 1000 ans ont parle des morts qui sont devant le trône, au même titre que d'autres morts qui se trouvent eux ailleurs (dans la mer, dans le séjour des morts, dans la mort) |
| | | gabriel78 .
Date d'inscription : 20/09/2012 Messages : 230 Pays : france R E L I G I O N : témoins de Jéhovah
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 6:27 am | |
| ved ne c tu pas que la terre est le marche pieds de Dieu ? alors quand il est dit devant le trone sa peut être aussi sur le marche pieds
lynx est devenu le troll numero 1 lol sa sert a rien , je voudrais bien savoir qui va lire tout sa.
pour toi Hosanna, je cherche des passage de Saül qui crois parlé a Samuel. ne c tu pas qu'il est interdit par Dieu de faire appel au médiums et les gens qui font métier de prédire les événements? pourquoi a t'on avis? |
| | | lynx0726 .
Date d'inscription : 06/12/2011 Messages : 783 Pays : france R E L I G I O N : latitudinaire
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 6:38 am | |
| Gabriel78 et l'autre tachon elbib
Le lynx, il vous emmerde avec sa pute aumonier des armées.
Il a mis ces références Misters, pour démontrer que MICK disait vrai.
Tu es témoins de Jéhovah, mythomane de première, affabulateur et manipulateur.
Les textes de la Bible tu ne sais pas les comprendre.
Je me casse, les connards, avec ma conscience pour moi.
Et oui ! Je suis un psychologue, théologien qui souffre d'une instabilité psychique affectant désagréablement mon humeur.
C’est dans mes gênes.
Dernière édition par lynx0726 le Mar 26 Mar 2013, 6:40 am, édité 1 fois |
| | | mick MODERATION
Date d'inscription : 10/11/2010 Messages : 7769 Pays : canada R E L I G I O N : chrétienne
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 6:39 am | |
| La Bible dit que l'homme "est devenu " une âme vivante. Lorsqu'il fut crée, une fois faconné, ce corps n'était pas encore une âme, il a fallut à Dieu de souffler en lui la vie, afin que ce corps devienne un corps vivant. Ce qui viendrait à dire que le corps n'est pas l'âme. L'âme c'est l'esprit de Dieu. Alors, à la mort, l'esprit retourne à Dieu, et le sang devient rien, mort, décomposable, retourne à la poussière. Ou on peut en faire du boudin |
| | | lynx0726 .
Date d'inscription : 06/12/2011 Messages : 783 Pays : france R E L I G I O N : latitudinaire
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 6:42 am | |
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| | | mick MODERATION
Date d'inscription : 10/11/2010 Messages : 7769 Pays : canada R E L I G I O N : chrétienne
| Sujet: Re: Le sang Mar 26 Mar 2013, 6:46 am | |
| - lynx0726 a écrit:
- Gabriel78 et l'autre tachon elbib
Le lynx, il vous emmerde avec sa pute aumonier des armées.
Il a mis ces références Misters, pour démontrer que MICK disait vrai.
Tu es témoins de Jéhovah, mythomane de première, affabulateur et manipulateur.
Les textes de la Bible tu ne sais pas les comprendre.
Je me casse, les connards, avec ma conscience pour moi.
Et oui ! Je suis un psychologue, théologien qui souffre d'une instabilité psychique affectant désagréablement mon humeur.
C’est dans mes gênes. :fourire: :fourire: :fourire: tu es drôle Lynx, Nous sommes tous un peu comme ca, et cela prend une grande maitrise de soi pour controler tout ca, mon truc est: je ne me prend pas trop au sérieux, alors cela ne me fâche pas trop, A propos j'ai tout lue ton texte, Amicalement Mick |
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| Sujet: Re: Le sang | |
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