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 VIRUS ?

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astvadz
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MessageSujet: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedJeu 24 Déc 2020, 10:22 pm

Rappel du premier message :

SIMPLES INFORMATIONS

Commanditaire principal: Ministry of Health, Saudi Arabia
La source Ministry of Health, Saudi Arabia
Bref résumé

Il n'existe actuellement aucun médicament antiviral à efficacité prouvée ni de vaccin pour la prévention. Malheureusement, la communauté scientifique a peu de connaissances sur la molécule détails de l'infection par le SRAS-CoV-2. Les médicaments que nous avons choisis sont utilisés comme essais cliniques pour antiviral et il n'y a pas de guide éprouvé pour la spécificité et l'efficacité contre le virus, donc les résultats sont différents Maintenant, les essais cliniques et les autorités de recherche travaillent rapidement pour cibler le traitement le plus éprouvé pour le virus afin que tout soit infantile jusqu'à présent. les covid-19 avec le temps être plus expliqué par les scientifiques, c'est une maladie de réponse stéroïde et cause thromosis et cytokine storm, le but de l'étude est d'inhiber la réplication virale et de diminuer la gravité de la maladie comme tempête antivirale et anticytokine, antithrombose Le zinc est un élément minéral nécessaire pour réguler les fonctions adaptatives des cellules immunitaires. Niveau supérieur de le zinc intracellulaire a montré une augmentation du pH intracellulaire; qui affectent l'ARN dépendant de l'ARN polymérase et diminuer le mécanisme de réplication des virus à ARN. Par conséquent, les médicaments qui décrivent car les ionophores de zinc pourraient être utilisés avec un supplément de zinc pour agir comme antiviral contre de nombreux ARN virus, y compris SARS-CoV-2 La quercétine est un composé naturel agissant comme un ionophore de zinc pour provoquer afflux de zinc intracellulaire.

La quercétine est un composé polyphénolique anti-oxydant et anti-inflammatoire naturel qui trouvés dans diverses sources naturelles comprennent l'oignon, les raisins rouges, le miel et les agrumes. C'était ont montré que la quercétine a la capacité de chélater les ions zinc et d'agir comme ionophore de zinc. Par conséquent, la quercétine pourrait avoir une activité antivirale contre de nombreux virus à ARN. Quercétine, un flavonoïde présent dans les fruits et légumes, possède des propriétés biologiques uniques qui peuvent améliorer les performances mentales / physiques et réduire le risque d'infection; Ces propriétés constituent la base de avantages potentiels pour la santé globale et la résistance aux maladies, y compris anti-cancérigène, les activités anti-inflammatoires, antivirales, antioxydantes et psychostimulantes, ainsi que capacité à inhiber la peroxydation lipidique, l'agrégation plaquettaire et la perméabilité capillaire, et pour stimuler la biogenèse mitochondriale .Diverses études rapportent la effet immunomodulateur de la bromélaïne. La bromélaïne active les cellules tueuses naturelles et augmente la production de facteur de stimulation des colonies de granulocytes-macrophages, IL-2, IL-6 et diminue l'activation des cellules Thelper. Ainsi, la bromélaïne diminue la majorité des inflammations médiateurs et a démontré un rôle significatif en tant qu'agent anti-inflammatoire dans divers conditions La vitamine C est connue comme un anti-oxydant essentiel., et un cofacteur enzymatique pour réactions physiologiques telles que la production d'hormones, la synthèse du collagène et le système immunitaire potentialisation. Naturellement, une carence en vitamine C entraîne de graves blessures à plusieurs organes, en particulier au cœur et au cerveau, car ce sont tous deux des organes hautement aérobies produisent plus de radicaux oxygène. En fait, les études d'effet in vivo sur la vitamine C sont difficiles car la plupart des animaux, à l'exception des humains et de certains primates, sont capables de synthétiser de la vitamine C de manière endogène

J'ai d'autres éléments à vous proposer comme l'aéro-ionisation négative , le resvératrol  .... ( publications médicales sur PUBMED ) doc. que j'accumule et synthétise depuis plus de 30 ans )
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astvadz
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMar 13 Juil 2021, 4:27 am

Du nouveau à propos des sprays
Maintenant , c'est ISRAËL qui s'en mêle :
Nos dirigeants oseront ils diaboliser Israël ? Alors :
Un spray nasal antiviral fabriqué en Israël s’avère efficace contre le COVID .

dans Bioéthique, Santé et Science — par Francesca de Villasmundo — 12 juillet 2021

Israël n’est pas si uni que les médias au collier voudraient nous le faire croire dans la lutte contre le coronavirus. Depuis que la campagne de vaccination a débuté fin 2020, la proportion de population vaccinée est stabilisée autour des 60%, les autres 40% d’Israéliens étant toujours réfractaires à l’injection expérimentale contre le covid.
Le Jerusalem Post dans son édition d‘hier, 11 juillet 202, relate une information concernant la découverte d’un traitement contre le covid : « Enovid » est « un spray développé au Canada par SaNOtize », « testé au Royaume-Uni » et « fabriqué en Israël ». Il s’avère « réduire les charges virales dans les cas confirmés de COVID-19 de 95 % en 24 heures et de 99 % en 72 heures ».
Le spray fabriqué en Israël peut être utilisé jusqu’à cinq fois par jour après avoir été en contact avec des virus, selon le communiqué. Il convient aux enfants dès l’âge de 12 ans et le ministère de la Santé l’a approuvé en janvier de cette année. Il sera mis en vente dans la semaine à venir.
« Le spray que nous avons développé a été prouvé non seulement comme un bloqueur de virus qui cause Covid-19, mais aussi comme un tueur », a déclaré le Dr Gili Regev, PDG et fondateur de Snotize (la société qui a développé le spray).
Le Jerusalem Post ajoute qu’ « étant donné que la plupart des infections à COVID-19 sont nasales, SaNOtize pense qu’il s’agit d’un moyen efficace de réduire la propagation et l’infection de COVID-19. Il a été capable de supprimer le virus SARS-CoV-2 en deux minutes, y compris les variantes Alpha et Gamma, selon le communiqué. Il est actuellement testé contre la variante Delta. »
« Le spray utilise de l’oxyde nitrique comme barrière mécanique et chimique contre les infections virales dans le nez, où les maladies respiratoires comme le COVID-19 s’infiltrent dans le corps. Il est également efficace contre d’autres virus respiratoires tels que ceux qui causent la grippe » précise l’article du journal israélien.
Opinion international, en mars 2021, relatait déjà le succès des tests, passé sous silence par nos médecins de plateaux télé :
« Les résultats d’un essai clinique effectué au Royaume-Uni sont très encourageants. D’après ses conclusions, le spray « empêche la transmission de la Covid-19, raccourcit son évolution et réduit la gravité des symptômes et des dommages chez les personnes déjà infectées ». Par ailleurs, la Nouvelle Zélande a d’ores et déjà approuvé sa mise sur le marché, son processus d’approbation est en cours au Royaume-Uni et l’Agence israélienne du médicament lui a accordé une autorisation provisoire. Enfin, parce qu’il y a urgence, une usine implantée à Ness Ziona, près de Tel-Aviv, en a lancé la fabrication. Selon les prévisions, 200 000 à 500 000 bouteilles devraient être disponibles d’ici le mois de mai. Ensuite la production passera à un million par mois.»
Tandis que le gouvernement de l’Etat hébreu souhaite injecter une troisième dose du vaccin Pfizer à sa population-cobaye, ce spray nasal, en vente dès la semaine prochaine, pourrait s’avérer un traitement efficace contre le covid-19 et ainsi damer le pion à la vaccination ‘obligatoire’ que de nombreux pays veulent imposer. Ce serait, par ailleurs, une victoire pour les 40% d’Israéliens qui refusent de se faire vacciner et une défaite pour les laboratoires pharmaceutiques qui ne misent que sur les vaccins à répétition pour s’en mettre plein les poches.
Francesca de Villasmundo
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astvadz
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMar 13 Juil 2021, 7:13 pm

La suite concernant le Spray et Israël .
Incroyable , rien ne filtre !

Autorisation de vente du spray nasal anti-covid SaNOtize en Israël et en Nouvelle-Zélande
Dr Gilly Regev

Le 23 mars 2021 par Israël Science Info desk
La société israélienne de biotechnologie SaNOtize R&D Corp. (SaNOtize) a reçu l’évaluation provisoire pour vendre son spray nasal d’oxyde nitrique (NONS), qui protège les utilisateurs contre les virus qui pénètrent dans le corps par les voies nasales supérieures, au public en pharmacies en Israël, et a été enregistré pour commencer les ventes du NONS en Nouvelle-Zélande.
«Notre nouvelle formulation d’oxyde nitrique à usage humain est conçue pour tuer les virus dans les voies respiratoires supérieures, les empêchant d’incuber et de se propager aux poumons. Les données de pharmacologie, de toxicité et de sécurité d’utilisation chez l’homme sont bien établies depuis des décennies ». La fabrication de NONS, sous le nom de marque Enovid, a commencé en Israël avec Nextar Chempharma Solutions, partenaire de fabrication de SaNOtize, basé à Ness Ziona. Enovid devrait apparaître sur les étagères des pharmacies en Israël d’ici l’été. En Nouvelle-Zélande, SaNOtiser un son spray nasal enregistré auprès de l’Autorité néo-zélandaise de sécurité des médicaments et des dispositifs médicaux, qui permet à l’entreprise de distribuer et de vendre des NONS en vente libre immédiatement.
«Le produit que nous avons développé, qui tue les virus dans les voies nasales supérieures, sera administré via un vaporisateur nasal contenant un approvisionnement d’un mois pour un individu. Nous sommes impatients de mettre à jour le public en Israël et en Nouvelle-Zélande avec des détails sur le moment où Enovid arrivera dans les rayons des magasins», a déclaré le Dr Gilly Regev, PDG israélien et cofondatrice de SaNOtize. La semaine dernière, SaNOtize et Ashford and St Peter’s Hospitals NHS Foundation Trust à Surrey, au Royaume-Uni, ont annoncé les résultats d’essais cliniques signalés que NONS représente un traitement antiviral sûr et efficace qui pourrait empêcher la transmission du COVID-19, raccourcir son évolution et réduire la gravité. des symptômes et des dommages chez les personnes déjà infectées.
L’étude a été soumise à une revue médicale de premier plan pour examen et publication. «Notre nouvelle formulation d’oxyde nitrique à usage humain est conçue pour tuer les virus dans les voies respiratoires supérieures, les empêchant d’incuber et de se propager aux poumons. Les données de pharmacologie, de toxicité et de sécurité d’utilisation chez l’homme sont bien établies depuis des décennies », a déclaré le Dr Chris Miller, directeur scientifique et cofondateur de SaNOtize.
«Notre conception de produit innovante permet également au traitement d’être auto-administré de manière efficace et abordable», SaNOtize R&D Corp. est une société de biotechnologie basée à Vancouver, en Colombie-Britannique, qui travaille à la commercialisation des propriétés antimicrobiennes à multiples facettes d’un liquide produisant de l’oxyde nitrique. La société a développé et breveté une technologie de plateforme de solution de libération d’oxyde nitrique (NORS) pour traiter et prévenir les infections microbiennes.

Covid-19 : Un essai clinique au Royaume-Uni confirme l’efficacité du spray nasal révolutionnaire SaNOtize (Israël)

Le 12 avril 2021 par Israël Science Info desk
La société de biotechnologie israélienne SaNOtize R&D, le Ashford and St Peter’s Hospitals NHS Foundation Trust à Surrey (Royaume-Uni) et le Berkshire et Surrey Pathology Services (Royaume-Uni),
ont annoncé les résultats d’essais cliniques indiquant que le spray nasal SaNOtize à base d’oxyde nitrique (NONS) représente un traitement antiviral sûr et efficace qui pourrait empêcher la transmission du Covid-19, raccourcir son évolution et réduire la gravité des symptômes et des dommages chez les personnes déjà infectées, aux tous premiers stades de la maladie.
Il existe actuellement un manque de thérapie antivirale efficace contre le Covid-19 et ses variants, pour prévenir ou raccourcir l’évolution de la maladie, réduire les séquelles, réduire la gravité du Covid-19 et être largement accessible au public. « C’est ce qui rend NONS unique et lui permet de se démarquer de toute autre application thérapeutique novatrice« .
Les patients ayant reçu une pulvérisation nasale auto-administrée ont réduit la charge virale logarithmique du SRAS-CoV-2 de plus de 95% chez les participants infectés dans les 24 heures suivant le traitement, et de plus de 99% en 72 heures. L’essai a conclu que le traitement accélérait la disparition du SRAS-CoV-2 d’un facteur 16 par rapport à un placebo. Un essai randomisé, en double aveugle et contrôlé par placebo a évalué 79 cas confirmés de Covid-19, la majorité fortement infectés par le variant britannique. Aucun effet indésirable n’a été enregistré dans le groupe.
La demande pour une utilisation d’urgence au Royaume-Uni et au Canada pour le traitement et la prévention du Covid-19 est prévue immédiatement. «Nous sommes heureux d’avoir mené cet essai crucial avec le NHS (National health service) et nous espérons maintenant que les régulateurs joueront leur rôle pour armer le public dans la bataille contre cette maladie dévastatrice.»
Dans un essai de phase 2 randomisé, en double aveugle et contrôlé par placebo qui a évalué 79 cas confirmés de Covid-19, le traitement précoce de SaNOtize pour Covid-19 a réduit de manière significative le niveau de SRAS-CoV-2, y compris chez les patients ayant une charge virale élevée.
La réduction moyenne du log viral au cours des 24 premières heures était de 1,362 soit une baisse d’environ 95%. En 72 heures, la charge virale a chuté de plus de 99%. La majorité de ces patients avaient été infectés par le variant britannique, considéré comme très préoccupant. Aucun effet indésirable pour la santé n’a été enregistré lors de l’essai au Royaume-Uni ou suite à plus de 7000 traitements auto-administrés lors d’essais cliniques canadiens antérieurs.

NONS est le seul traitement thérapeutique novateur à ce jour qui a prouvé la réduction de la charge virale chez l’homme et n’est pas un traitement par anticorps monoclonaux, très spécifiques, coûteux et devant être administrés par voie intraveineuse dans un cadre clinique.
«C’est une avancée majeure dans la bataille mondiale contre les impacts humains dévastateurs de la pandémie Covid-19», a déclaré le Dr Stephen Winchester, consultant en virologie médicale et chercheur en chef de cet essai clinique au NHS. «Ce simple spray nasal portable pourrait être très efficace dans le traitement du Covid-19 et réduire sa transmission. Notre essai a inclus des patients présentant une variante préoccupante et des charges virales élevées, mais qui ont néanmoins démontré des réductions significatives des niveaux de SRAS-CoV-2, ce qui pourrait être essentiel pour soutenir les vaccins, prévenir de futures épidémies et rouvrir les économies en toute sécurité. En termes simples, je pense que cela pourrait être révolutionnaire ».
Le traitement SaNOtize est conçu pour tuer le virus dans les voies respiratoires supérieures, l’empêchant d’incuber et de se propager aux poumons. Il est basé sur l’oxyde nitrique (NO), une nanomolécule naturelle produite par le corps humain avec des propriétés antimicrobiennes prouvées qui ont un effet direct sur le SRAS-CoV-2, le virus qui cause le Covid-19. Les données de pharmacologie, de toxicité et de sécurité de l’utilisation de NO chez l’homme sont bien établies depuis des décennies.
Syndrome du bébé bleu
La molécule NO libérée par les NONS est identique à celle délivrée sous sa forme gazeuse pour traiter l’hypertension pulmonaire persistante, ou syndrome du bébé bleu, chez les nouveau-nés. SaNOtize demande une autorisation d’utilisation d’urgence au Royaume-Uni et au Canada. Une approbation rapide et une montée en puissance de la fabrication pourraient faciliter un retour presque immédiat au travail, à l’école et à la société, et stimuler une reprise économique qui a des mois, voire des années, avant la vaccination mondiale complète.
Une mise à disposition mondiale équitable à grande échelle de NONS pourrait constituer une alternative pendant la production et la distribution mondiales de vaccins pour aider à garder les individus en bonne santé. La facilité de fabrication, de stockage et d’utilisation de NONS fait de NONS un candidat au traitement qui pourrait bientôt être largement disponible à faible coût pour les établissements de soins de longue durée, les agents de santé et de première ligne, ainsi que la population en général.
En plus de fournir un traitement antiviral aux premiers stades de l’infection et pour ceux qui n’ont pas encore été vaccinés, NONS a également démontré qu’il pouvait réduire le taux de transmission d’une personne infectée à une personne non infectée. Les résultats de l’essai au Royaume-Uni corroborent les informations recueillies lors des essais de phase 2 antérieurs de SaNOtize au Canada et des tests de laboratoire indépendants de l’Institut de recherche antivirale de l’Utah State University.

Mise à disposition d’urgence du public


Dr Gilly Regev, israeli-canadian, cofounder and CEO of SaNOtize
«Maintenant qu’il a été démontré que NONS est sûr et efficace lors des essais cliniques, nous devons agir d’urgence pour le mettre entre les mains du public où il peut aider à mettre fin à la pandémie, accélérer le retour à la normale et empêcher l’avenir. épidémies de Covid-19 et de ses variantes », a déclaré le Dr Gilly Regev, PDG et cofondateur de SaNOtize. «Le bilan humain de cette maladie ne peut être exprimé simplement en chiffres, et chaque jour aggrave la frustration, la peur et les pertes subies par des m
illions de personnes dans le monde. Combiné avec le déploiement de vaccins, NONS peut aider à remettre le monde sur pied. »

Essai clinique de phase 2 en double aveugle, contrôlé par placebo 
Cette étude, menée par le Dr Stephen Winchester et le Dr Isaac John à Ashford and St. Peter’s Hospitals NHS Foundation Trust, a été conçue pour déterminer l’efficacité clinique de NONS pour le traitement de l’infection légère au Covid-19. Le critère de jugement principal était la différence de la charge d’ARN du SRAS-CoV-2 entre le départ et le jour 6 entre les bras NONS et les bras témoins. «NONS détruit le virus, bloque l’entrée et arrête la réplication virale dans la cavité nasale, ce qui réduit rapidement la charge virale. Ceci est important car la charge virale a été liée à l’infectiosité et à de mauvais résultats », a déclaré le Dr Chris Miller, directeur scientifique et cofondateur de SaNOtize.

L’étude a conclu que le NONS accélérait la clairance du SRAS-CoV-2 d’un facteur 16 par rapport au placebo, et elle présente des preuves à l’appui de l’utilisation d’urgence du NONS pour la prévention ou le traitement des patients atteints du SRAS-CoV-2 récent ou établi. Infection à ARN au cours de cette pandémie de Covid-19.

«La rigueur de cet essai et les décennies de données sur l’innocuité du monoxyde d’azote nous incitent à une totale confiance pour demander une autorisation d’utilisation d’urgence au Royaume-Uni, au Canada et ailleurs dans le monde», a déclaré Rob Wilson, le représentant britannique de SaNOtize. «Nous sommes heureux d’avoir mené cet essai crucial dans le NHS et espérons maintenant que les régulateurs joueront leur rôle pour armer le public dans la bataille contre cette maladie dévastatrice.»

SaNOtize R&D Corp. est une société de biotechnologie basée à Vancouver, en Colombie-Britannique, qui commercialise des solutions antimicrobiennes à multiples facettes d’un liquide produisant de l’oxyde nitrique. La société a développé et breveté une technologie de plateforme de solution de libération d’oxyde nitrique (NORSTM) pour traiter et prévenir les infections microbiennes.

Le Dr Winchester est consultant en virologie médicale chez Frimley Health NHS Foundation Trust affilié à Berkshire et Surrey Pathology Services (BSPS). BSPS est une coentreprise contractuelle entre Ashford et St Peter’s Hospitals NHS Foundation Trust, Frimley Health NHS Foundation Trust, Royal Berkshire NHS Foundation Trust et Royal Surrey County Hospital NHS Foundation Trust.
Robert Wilson est un ancien ministre du gouvernement et député du Royaume-Un
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedVen 16 Juil 2021, 3:47 am

Du nouveau encore

RECHERCHE : L'extrait de feuille de pissenlit empêche les protéines de pointe de se lier au récepteur de surface cellulaire ACE2

Lundi 28 juin 2021 par : Lance D Johnson 
Mots clés : ACE2 , récepteurs ACE2 , adaptation , médecine alternative , activité anti-virale , écorce d'agrumes , feuille de pissenlit , goodmedicine , goodscience , herbes , immunité collective , infections , racine de réglisse , médecine naturelle , pandémie , plantes médicinales , prévention , remèdes , protéine de pointe ,protéines pic , la fixation du virus , la réplication virale , déclin l' efficacité du vaccin

Contournez la censure en partageant ce lien :

https://www.afinalwarning.com/530847.html
Copier le lien
Nouvelles naturelles ) Les protéines de pointe modifiées du SRAS-CoV-2 peuvent être ARRÊTÉES par une « mauvaise herbe » commune qui est exterminée des pelouses chaque année. Une étude universitaire allemande a révélé que le pissenlit commun ( Taraxacum officinale ) peut empêcher les protéines de pointe de se lier aux récepteurs de surface cellulaire ACE2 dans les cellules pulmonaires et rénales humaines. L'extrait de pissenlit à base d'eau, extrait des feuilles séchées de la plante, était efficace contre la protéine de pointe D614 et une multitude de souches mutantes, notamment D614G, N501Y, K417N et E484K.
L'extrait de pissenlit bloque les protéines de pointe du SRAS CoV-2 et leurs variantes
Les chercheurs ont utilisé des composés de haut poids moléculaire extraits d'un extrait de pissenlit à base d'eau et les ont testés dans des cellules rénales humaines HEK293-hACE2 et pulmonaires A549-hACE2-TMPRSS2. Le pissenlit a bloqué les interactions protéine-protéine entre la sous-unité S1 de la protéine de pointe et le récepteur de surface cellulaire ACE2 humain. Cet effet était également vrai contre les mutations de la protéine de pointe des variantes prédominantes en circulation, y compris la variante du Royaume-Uni (B.1.1.7), sud-africaine (B.1.351) et brésilienne (P.1).
L'extrait de pissenlit a empêché les particules de lentivirus pseudotypées à pointe de SARS-CoV-2 de se fixer aux cellules pulmonaires et a arrêté un processus inflammatoire appelé sécrétion d'interleukine-6. Étant donné que l'étude a été menée in vitro, d'autres études cliniques sont nécessaires pour comprendre comment l'extrait de pissenlit est absorbé et utilisé dans les systèmes biologiques du corps humain.
Alors que les vaccins affaiblissent l'immunité collective, les herbes naturelles promettent une véritable prévention, une immunité plus substantielle
Même si des dizaines de milliards de fonds publics ont été investis dans le développement de vaccins expérimentaux et des campagnes de propagande, le monde continue de lutter contre de nouvelles infections respiratoires, car le SRAS-CoV-2 est contraint de muter en différentes variantes. Il n'y a aucune preuve suggérant que les coronavirus peuvent être éradiqués de la Terre, donc l'adaptation humaine sera essentielle à l'avenir. L'extrait de pissenlit est l'une des nombreuses herbes qui aideront à une réponse immunitaire saine. Mieux encore, l'extrait de pissenlit pourrait s'avérer efficace pour prévenir complètement les infections, en bloquant le canal précis par lequel les protéines de pointe se fixent et provoquent la réplication virale.
D'autres composés naturels ont été étudiés à l'aide d'études d'amarrage moléculaire. La nobilétine est un flavonoïde isolé des écorces d'agrumes. La néohespéridine, un dérivé de l'hespérétine, est un glycoside de flavanone également présent dans les agrumes. La glycyrrhizine est un composé moléculaire extrait de la racine de réglisse . Ces trois substances naturelles empêchent également les protéines de pointe de se lier aux récepteurs ACE2. L'extrait hydroalcoolique de zeste de grenade bloque la protéine de pointe au niveau du récepteur ACE2 avec une efficacité de 74%. Lorsque ses principaux constituants ont été testés séparément, la punicalagine était efficace à 64 pour cent et l'acide ellagique était efficace à 36 pour cent.
Ces composés naturels (ainsi que l'extrait de pissenlit) peuvent être facilement produits en masse, combinés et déployés en tant que médecine préventive pour toutes les futures variantes de protéines de pointe. Ces herbes sont généralement reconnues comme sûres et il n'y a aucun cas connu de surdosage avec l'extrait de feuille de pissenlit . Selon la Coopérative scientifique européenne de phytothérapie, la dose recommandée de feuille de pissenlit est de 4 à 10 grammes trempés dans de l'eau chaude, jusqu'à trois fois par jour.
Les auteurs de l'étude avertissent que la dépendance aux vaccins est risquée et dangereuse, non seulement pour la santé individuelle mais aussi pour l'immunité collective. La dépendance au vaccin se concentre uniquement sur l'augmentation des anticorps et s'avère être une intervention à haut risque avec des résultats à court terme. Les blessures liées aux vaccins sont fréquemment signalées. Les réinfections après la vaccination sont également courantes, car le vaccin exerce une pression sur la protéine de pointe modifiée d'origine pour qu'elle mute.
Les auteurs concluent : « Ainsi, des facteurs tels qu'une faible toxicité chez l'homme et une inhibition efficace de la liaison de cinq mutations de pointe pertinentes au récepteur ACE2 humain, comme indiqué ici in vitro, encouragent une analyse plus approfondie de l'efficacité de T. officinales dans le SRAS. -CoV-2 et nécessite désormais des preuves cliniques de confirmation supplémentaires. »
Les sources comprennent :
Biorxiv.org
NaturalNews.com
ScienceDirect.com
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedDim 25 Juil 2021, 7:57 pm

Hello !

Une autre adresse pour le purificateur d'air :

https://www.aucybermonde.com/covid-pollution-le-monde-de-demain-naitra-t-il-dans-lherault-avec-beewair-9/

Allez , il faut en mettre de partout ! PARTOUT , magasins, resto , hôpitaux ,cliniques , Ehpad , écoles , chez soi ......

Et compter sur le Saint Esprit pour purifier les neurones , oui , j'y crois ! pensez  y et priez sincèrement en pensant à toutes et tous ( aimer même ses ennemis ,un des sujets de ce forum  Laughing  )
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedDim 25 Juil 2021, 8:17 pm





astvadz a écrit,


Citation :
Et compter sur le Saint Esprit pour purifier les neurones


Par les temps qui courent,

C'est une nécessité !
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMar 24 Aoû 2021, 2:53 am

Toujours à propos de la vitamine D et à toute fin utile :

La Plume du Citoyen
Français et fiers de l'être


En aviez-vous entendu parlé ?
Vitamine D et Covid-19
Communiqué de l’Académie n
ationale de Médecine 22 mai 2020
La vitamine D est une prohormone synthétisée dans le derme sous l’effet des ultraviolets, c’est-à-dire des rayons du soleil, puis transportée dans le foie et le rein où elle est transformée en hormone active. Elle est responsable de l’absorption intestinale du calcium et de la santé osseuse.
Mais la vitamine D a aussi des effets non classiques. En particulier, elle module le fonctionnement du système immunitaire par stimulation des macrophages et des cellules dendritiques [1,2,3]. Elle joue un rôle dans la régulation et la suppression de la réponse inflammatoire cytokinique à l’origine du syndrome de détresse respiratoire aigu qui caractérise les formes sévères et souvent létales de Covid-19.
Une corrélation significative entre de faibles taux sériques de vitamine D et la mortalité par Covid-19 a été montrée [4]. Ce phénomène suit généralement un gradient Nord-Sud, bien qu’il y ait des exceptions tels les pays nordiques où la supplémentation des nutriments en vitamine D, en particulier des produits lactés, est systématique. Par contre les pays du sud de l’Europe affichent de façon surprenante une prévalence élevée de carence en vitamine D malgré un ensoleillement plus élevé [5]. Ceci expliquerait que les nourrissons qui reçoivent régulièrement de la vitamine D fassent des formes asymptomatiques de Covid-19 et moins de complications.
La vitamine D ne peut être considérée comme un traitement préventif ou curatif de l’infection due au SARS-CoV-2 ; mais en atténuant la tempête inflammatoire et ses conséquences, elle pourrait être considérée comme un adjuvant à toute forme de thérapie.
L’Académie nationale de Médecine
* rappelle que l’administration de vitamine D par voie orale est une mesure simple, peu coûteuse et remboursée par l’Assurance Maladie ;
confirme sa recommandation d’assurer une supplémentation vitaminique D dans la population française dans un rapport en 2012 [2] ;
* recommande de doser rapidement le taux de vitamine D sérique (c’est-à-dire la 25 OHD) chez les personnes âgées de plus de 60 ans atteintes de Covid-19, et d’administrer, en cas de carence, une dose de charge de 50.000 à 100.000 UI qui pourrait contribuer à limiter les complications respiratoires ;
–
* recommande d’apporter une supplémentation en vitamine D de 800 à 1000 UI/jour chez les personnes âgées de moins de 60 ans dès la confirmation du diagnostic de Covid-19.
1 Liu
Science, 2006, 311 : 1770.
PT, Stenger S, et al. Toll like receptor triggering of a vitamin D mediated human antimicrobial response.
2 Rapport de l’Académie nationale de médecine. Statut vitaminique, rôle extra osseux et besoins quotidiens en vitamine D. Bull Acad Natle Med. 2012, 196, 1011.
3 Laird E, Rhodes JM and Kenny RA. Vitamin D and inflammation : potential implications for severity of Covid-19. Irish med J, 2020, 113 : 81.
4 McCartney DM, Byrne DG. Optimisation of vitamin D status impact mortality from SARS –CoV-2 infection Irish Med J .2020 113 : 58.
5 Lips P, Cashman KD, et al. Current vitamin D status in European and Middle East countries and strategies to prevent vitamin D deficiency : a position statement of the European Calcified Tissue Society. Eur J Endocrinol, 2019, 180 : P23-P54.
Site : www.academie-medecine.fr / Twitter : @Acadmed
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedJeu 02 Sep 2021, 8:23 pm

Et n'oublions pas La LACTOFERRINE :

Utilité de la lactoferrine comme agent préventif pour les travailleurs de la santé exposés au COVID-19
Efficacité de la lactoferrine en tant qu'agent préventif pour les travailleurs de la santé exposés au COVID-19
Sponsors Commanditaire principal: Cairo University
La source Cairo University

Bref résumé COVID 19, qui a probablement commencé à partir d'une transmission zoonotique liée à des marchés surpeuplés dans La Chine a été annoncée comme pandémie par l'OMS le 11 mars 2020. Il n'existe actuellement aucun agent antiviral spécifique cliniquement prouvé disponible pour le SRAS-CoV-2 infection. Traitement de soutien, y compris oxygénothérapie, gestion des fluides et antibiotiques à large spectre pour couvrir l'infection bactérienne secondaire, reste le plus important stratégie de gestion. Depuis sa découverte, la lactoferrine et ses peptides apparentés sont considérés comme des hôtes non spécifiques molécules de défense contre un large éventail de virus, y compris le SRAS-CoV, qui est étroitement lié au SARS-CoV-2 qui cause le COVID-19. En plus de réduire l'entrée virale, la lactoferrine peut supprime également la réplication du virus après l'entrée du virus et un effet immunomodulateur qui peut empêcher la tempête de cytokines associée au COVID-19. Le but de notre étude est d'écrire la sécurité et l'efficacité de la lactoferrine dans le contexte du SRAS-CoV-2 et propose la possibilité d'un supplément de lactoferrine comme potentiel médicament préventif pour les travailleurs de la santé exposés au SRAS-CoV-2.

Description détaillée En décembre 2019, une épidémie de pneumonie de cause inconnue s'est produite dans la ville de Wuhan, en Échine. Le 7 janvier, les scientifiques ont réussi à isolé un nouveau coronavirus, aigu sévère syndrome respiratoire coronavirus 2 (SARS-CoV-2). L'OMS l'a désigné comme maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) en février 2020. COVID-19 a un large spectre clinique allant de infection asymptomatique, symptômes bénins des voies respiratoires supérieures et pneumonie virale grave pouvant entraîner une insuffisance respiratoire et finalement la mort. Il n'y a actuellement aucune clinique agent antiviral spécifique éprouvé pour l'infection par le SRAS-CoV-2. Traitement de soutien, y compris l'oxygénothérapie, la gestion des fluides de conservation et les antibiotiques à large spectre pour couvrir l'infection bactérienne secondaire, reste la stratégie de gestion la plus importante. La lactoferrine est une glycoprotéine de 80 kDa de liaison au fer pléiotrope fortement conservée du la famille des transferrines exprimée et sécrétée par les cellules glandulaires et présente dans la plupart des corps fluides avec des concentrations particulièrement élevées dans le lait des mammifères. Depuis sa découverte, la lactoferrine et ses peptides apparentés sont principalement considérés comme des hôtes non spécifiques importants molécules de défense contre un large éventail de virus, y compris le SRAS-CoV, qui est étroitement lié au SARS-CoV-2 qui cause le COVID-19. On a découvert expérimentalement que la lactoferrine inhiber l'entrée virale dans le coronavirus murin, et les coronavirus humains hCOV-NL63 et pseudotypés SRAS-CoV. Compte tenu de l'homologie des structures de protéines de pointe SARS-CoV et SARS-CoV-2, ainsi que les deux virus dépendants du même récepteur ACE2 pour l'entrée cellulaire, il est probable que la lactoferrine peut inhiber l'invasion du SARS-CoV-2 comme dans le cas du SARS-CoV. En plus de réduire l'entrée virale, la lactoferrine peut également supprimer la réplication du virus après l'entrée virale comme dans le cas de VIH. Un autre aspect majeur de la bioactivité de la lactoferrine concerne ses propriétés immunomodulatrices et fonctions anti-inflammatoires. La pensée actuelle suggérée que la mort due au COVID n'est pas simplement due à une infection virale mais est le résultat d'une tempête de cytokines associée à hyper-inflammation conduisant à une détresse respiratoire aiguë et à la mort par la suite. Une cytokine le profil des cas sévères de COVID-19 est caractérisé par une augmentation des cytokines et de la phase aiguë des réactifs tels que l'interleukine IL-6, le facteur de nécrose tumorale-a (TNFa) et la ferritine. Dans ce À cet égard, il a été démontré que la lactoferrine réduit l'IL-6, le TNF a et régule négativement la ferritine dans paramètres expérimentaux simulant une septicémie. Dans cette étude, nous visons à étudier les propriétés antivirales et les mécanismes immunomodulateurs de lactoferrine dans le cadre de ses applications potentielles contre le SRAS-CoV-2 et proposant la possibilité d'un supplément de lactoferrine en tant qu'agent préventif potentiel pour le COVID-19.
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMer 08 Sep 2021, 10:58 pm

Encore et encore !
N'oublions pas :

Des extraits de β-glucane du même champignon shiitake comestible Lentinus edodes produisent des effets immunomodulateurs et cytoprotecteurs pulmonaires in vitro différentiels - Implications pour les immunothérapies de la maladie à coronavirus (COVID-19)
Emma J Murphy  1 ,  Claire Masterson  2 ,  Emmanuel Rezoagli  3 ,  Daniel O'Toole  2 ,  Ian Major  4 ,  Pile de Gary D  5 ,  Marc Lynch  5 ,  John G Laffey  6 ,  Neil J Rowan  7
*
Résumé
La pneumonie à coronavirus s'accompagne d'une réplication virale rapide, où un grand nombre d'infiltrations de cellules inflammatoires et de tempêtes de cytokines peuvent entraîner des lésions pulmonaires aiguës, un syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) et la mort. La libération incontrôlée de cytokines pro-inflammatoires, dont l'interleukine (IL)-1β et l'IL-6, est associée au SDRA. Cela a constitué la première étude à rendre compte de la variabilité des propriétés physico-chimiques des extraits de β-glucanes du même champignon comestible Lentinus edodes sur la réduction de ces cytokines pro-inflammatoires et du stress oxydatif. Plus précisément, l'impact sur les propriétés immunomodulatrices et cytoprotectrices de notre roman en « maison » (IH-Lentinan, IHL) et d'un extrait commercial (Carbosynth-Lentinan, CL) de Lentinan a été étudié à l'aide de modèles in vitro de lésion pulmonaire et de phagocytose des macrophages.CL comprenait des quantités plus élevées de -glucanes et en conséquence moins de β-glucanes. Les deux extraits de lentinane ont démontré des activités immunomodulatrices variables. Les deux extraits de lentinane ont réduit l'activation de NF-κB induite par les cytokines dans les cellules épithéliales alvéolaires humaines A549, l'extrait IHL s'avérant plus efficace à des doses plus faibles. En revanche, dans les macrophages dérivés de THP-1 activés, l'extrait de CL a atténué plus efficacement la production de cytokines pro-inflammatoires (TNF-α, IL-8, IL-2, IL-6, IL-22) ainsi que TGF-β et IL-10. L'extrait CL a atténué l'apoptose précoce induite par le stress oxydatif, tandis que l'extrait IHL a atténué l'apoptose tardive. Nos résultats démontrent des différences physico-chimiques significatives entre les extraits de Lentinane,qui produisent des effets immunomodulateurs et cytoprotecteurs pulmonaires in vitro différentiels qui peuvent également avoir une pertinence positive pour les candidats thérapeutiques COVID-19 ciblant la tempête de cytokines.
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedJeu 09 Sep 2021, 8:02 pm

Je n'ai pas parlé dans mon dernier message de la Synergie : Reihshi ,Shitaké , Maïtaké bien connue en mycothérapie . Cette synergie a un très large spectre d'actions .
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMer 22 Sep 2021, 7:06 am

L'Artemisia en traitement covid : non conventionnel mais efficace ?
Publié par wikistrike.com sur 22 Septembre 2021, 08:20am

L’Artemisia, plus précisément l’artemisia afra et l’artemisia annua, qui appartiennent à la famille des asteraceae, sont des plantes fréquemment utilisées sur le continent africain, notamment dans la prévention et le traitement contre le paludisme. Depuis le début de la pandémie de covid-19, les médecins africains se sont également tournés vers ces plantes, que ce soit de manière prophylactique ou en traitement anti-viral, et ont trouvé dans ces dernières une réponse potentiellement efficace contre ce nouveau virus. Après un an et demi de pandémie, quelles certitudes tirer de leurs utilisations ? Peuvent-elles avoir un véritable impact sur la jugulation de l’épidémie ?

Il est peu de dire que cette pratique médicinale - répandue en Afrique (surtout en thés et infusion) et encore plus sur l’ile de Madagascar, a du mal à trouver des initiés en Occident. Depuis maintenant 18 mois, ces deux plantes ont subi plusieurs campagnes médiatiques de dénigrement par certains puissants médias occidentaux, qui ne sont pas sans rappeler les campagnes médiatiques toutes aussi déconcertantes contre les vieilles molécules génériques que sont l’hydroxychloroquine et l’ivermectine. De plus, ces asteraceae sont très souvent utilisées par les homéopathes, et Dieu sait à quel point ils sont critiqués par les adeptes de l’Evidence Based Medicine (EBM), la "médecine fondée sur les preuves", notamment en France, qui ont obtenu la fin de leur remboursement par la Sécurité sociale depuis le 1er janvier.
Le président malgache vante les mérites de l'Artemisia

Lorsqu'on évoque Artemisia et covid-19, il nous vient à l’esprit cette histoire surprenante d’avril 2020 : le président malgache Andry Rajoelina vante et recommande alors chaudement l’utilisation de ces deux plantes familières. Il avale soudainement, devant une assemblée médusée, de grandes gorgées d’une tisane dorée d’herbes médicinales tout en affirmant qu’elle protège et guérit de la covid-19. Les médias se saisissent alors de l’affaire, ne manquant pas de critiquer violemment la tentative de coup de force du président, qui serait avant tout un effet d’annonce politique et économique. En effet, le fabriquant d’Artemisia Bionnex est basé sur l’île, avec 1 000 tonnes en stock. Alors que ses affirmations ne sont fondées sur rien de tangible que la fameuse EBM puisse entériner à cette date.

Il est donc intéressant de se pencher, plus d’un an après cette déclaration, sur ce que nous apporte en réponse la littérature scientifique. Et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas abondante, au regard de la comparaison avec l’hydroxychloroquine ou la vitamine D3, pour n’en citer que deux. Ajoutée au faible nombre d’études publiées, on peut également se questionner sur la lenteur manifeste entre les « preprints » (prépublication) et les publications officielles. Comme s’il était urgent d’attendre avant de valider les phases d’essais in vitro, afin de bloquer l’entame des in vivo. Comme si la priorité était surtout de ne pas faire obstacle à un tout autre projet thérapeutique… On a connu des études pour d’autres traitements ou thérapies qui sont sorties dans des revues, souvent de renom, bien plus rapidement.
Revue des publications scientifiques sur l'Artemisia

Parmi les publications scientifiques, se démarque celle du « Journal of Ethnopharmacology », sortie le 28 juin dernier ; alors qu’une version encore en preprint mise à jour a été ajoutée le 08 septembre. Cet essai conduit par l’équipe du Dr Mangalam S.Nair, du CSIR indien, montre que des extraits d’artemisia annua (par infusion des plantes) inhibent l’infection par le covid-19. Le composant actif serait très probablement l’artémisinine, ou une combinaison d’éléments de cet ordre, permettant un blocage peu avant l’entrée effective du virus dans les cellules. Les résultats cliniques suggèrent vivement une confirmation par la mise en place d’un essai in vivo. Le preprint de septembre conclut quant à lui à une efficacité similaire sur les nouveaux variants dominants, y compris le Delta.

La plus importante, parue dans une grande publication, est certainement celle conduite par le Dr Zhou et son équipe. Cette étude, in vitro elle aussi, est sortie le 16 juillet dernier dans la prestigieuse revue Nature. Ce qui lui garantit une certaine visibilité, notamment aux yeux des partisans de l’EBM et des scientifiques des pays occidentaux de manière générale. Tout comme dans l’essai du docteur Nair, est testée l’efficacité antivirale des extraits d’artemisia annua, et plus particulièrement des substances actives que sont l’artémisinine, l’artésunate et l’artéméther. Toutes montrent un effet (au plus haut pour l’artésunate) tangible sur la prévention de la réplication du virus dans les cellules, notamment les VeroE6. Ce travail suggère même que l’artésunate est capable de cibler le virus après son entrée cellulaire, et que des concentrations plasmatiques maximales de cette substance dépassant les EC50 (concentration efficace médiane) peuvent être atteintes, ce qui est un fort signal d’efficience. Là encore, la mise en place d’un essai en vie réelle est clairement recommandé.

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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMer 22 Sep 2021, 7:09 am

Suite ARTEMISIA

Fort de ces données sur l’artésunate, en juillet dernier, le laboratoire sud-coréen Shin Poong annonce la fin de la phase II de son essai randomisé contrôlé double aveugle (le fameux "gold standard " de l’EBM) qui teste le médicament Pyramax comme traitement contre la covid. Comme le Plaquénil, c’est un antipaludéen. Il est composé d’artésunate et de pyronaridine. Essai in vivo, de petite envergure (N=113), dont le recrutement a été effectué auprès de 13 hôpitaux du pays. Il a cependant le mérite de concerner une population bien ciblée (âge moyen de 54 ans et donc sujette à faire des formes aggravées) dans des phases de maladie légères à modérées. Cet essai randomisé se focalise donc sur l’effet potentiel du médicament à agir sur la clairance virale, phase où l’artésunate est censé faire effet (pas comme certains essais occidentaux qui utilisaient des antiviraux en pleine tempête cytokinique).

Malgré une significativité non atteinte statistiquement due au faible nombre de patients, les résultats préliminaires sont jugés encourageants par le laboratoire. Notamment la durée de clairance virale totale à J+10 dans le groupe traité, au contraire du groupe placebo (J+28). Les dirigeants de Shin Poong ajoutant aussi que les risques d’hospitalisation, de besoin d’oxygène ou d’aggravation des symptômes connaissent une réduction de 55.4 % dans le groupe traité. De plus, aucun problème de toxicité n’est constaté. Estimant la phase II prometteuse, il est envisagé que ce médicament puisse jouer un rôle dans la lutte contre le virus, essentiellement en phase précoce. Une phase III sur un échantillon beaucoup plus large est dans les tuyaux. Une requête pour une « IND Approval » (l’équivalent de nos RTU et ATU qui sont accordées sur base de fortes présomptions d’efficacité) auprès de la FDA sud-coréenne a d’ailleurs été faite par le laboratoire.

Le 8 septembre était publiée dans le « Virology Journal » l’étude scientifique de l’équipe des docteurs Chuanxiong Nie et Peter H Seeberger de la « Freie Universitat Berlin ». Cette étude in vitro a évalué les propriétés antivirales des extraits d’Artemisia (annua et afra) ainsi que la boisson Covid Organics CVO (dont la recette n’est pas révélée mais à base bien sûr d’extraits de la plante malgache). Dans cet essai, est encore démontré que, in vitro, les extraits par infusion inhibent l’infection des cellules par le Sars-Cov-2 dans des concentrations qui n‘affectent pas la viabilité de celles-ci. La conclusion appuie cependant sur le fait que la quantité de concentration plasmatique maximale nécessaire dans les cellules afin d’inhiber l’infection virale chez les humains n’est clairement pas définie. La mise en place d’essais cliniques in vivo, dans ce travail également, est réclamée.

Parallèlement à cette publication, qui était en preprint depuis un moment, le Centre national d’application de recherche pharmaceutique (CNARP) de Madagascar, qui n’a jamais cessé de promouvoir les bienfaits de cette plante depuis l’intervention médiatique de son président, a lancé son essai clinique in vivo en association avec le laboratoire pharmaceutique malgache (détenu par l’État à 100 %) Pharmalagasy. Cette étude, qui concerne 339 patients, teste l’efficacité antivirale d’une nouvelle déclinaison du Covid Organics (CVO), cette fois-ci sous forme de gélule. Début juillet, le laboratoire annonce le succès de la phase III de leur essai. Cette ultime phase, qui a été menée de janvier à mai de cette année, conclurait à une efficacité du médicament de 87.1 % s’il est utilisé pour traiter le covid-19 sous forme légère et modérée. Avec une clairance virale établie à J+14 et aucun effet secondaire notable constaté, selon le Pr Rakotosaona du CNARP.

Enfin, pour conclure sur le lexique Artemisia, on indiquera la publication d’un tout dernier papier, dans le journal « PLOS PATHOGENS » en date du 09 septembre. Ce travail, mené par l’équipe du professeur Pickard de l’université de Manchester, consistait à évaluer bon nombre de molécules repositionnées grâce à un procédé de nano luciferase. Pickard a pu constater les fortes propriétés antivirales (spécifiquement sur la réplication des cellules Vero) de neuf molécules parmi lesquelles l’amodiaquine, qu’on trouve dans l’Artemisia. Il définit clairement cette molécule comme un « sérieux candidat dans la catégorie des drogues repositionnées, qui pourrait devenir un puissant ajout dans le traitement de la covid ».
Pourquoi est-ce si lent ?

Il paraît désolant qu’en septembre 2021, la littérature scientifique concernant cette plante et ses extraits soit si mince. On ne peut que regretter le faible nombre d’études, particulièrement in vivo, ainsi que le temps pris pour leurs publications, alors que ses bienfaits sont évoqués depuis le mois de mars de l’année dernière. Il aura fallu attendre une éternité pour se mettre à lancer des essais sur les humains. Pour une plante utilisée depuis des années dont les effets secondaires sont établis et connus, cela interpelle.

Cela dit, l'effet antiviral contre le covid-19 est aujourd’hui clairement démontré in vitro. Il est donc urgent que d’autres pays, surtout ceux qui n’ont pas des moyens importants, se lancent dans des études cliniques in vivo afin d’apporter de la certitude scientifique à son utilisation. Dans des pays où les hôpitaux sont vétustes, l’accès aux soins compliqué et le coût du vaccin inabordable, l'alternative qu'offrirait l'Artemisia, accessible à tous et peu chère, pourrait être un véritable "game changer". Une distribution massive, y compris en Occident, pourrait être décisive dans ce combat contre ce virus qui n’a que trop duré.
Cette fois-ci, l'OMS pourrait jouer en la faveur de l'Artemisia

Il y a malgré tout un espoir qui pointe à l’horizon : l'Organisation mondiale de la santé a en effet supervisé l’essai malgache sur la gélule CVO+. Cet essai a donc été effectué en bonne entente avec le puissant organisme. Et, même si cette dernière reste très prudente en communiquant que les résultats n’ont pas été encore peer reviewed (revus par les pairs) et que pour l’instant aucune preuve tangible n’a été établie ; il y a vraiment bon espoir que la revue scientifique puis la publication soient rapidement actées. D’une part, les acteurs économiques et l’État malgache s’y retrouveraient financièrement, cette gélule pouvant être brevetée par le laboratoire. D’autre part, l’OMS s’est clairement positionnée contre les choix stratégiques vaccinaux des pays riches, en totale connivence avec l’ogre pharmaceutique américain. Alors que l’OMS ne voit pas l’utilité d’une troisième dose ainsi que l’injection aux moins de 18 ans, recommandant énergiquement de prioriser ces doses pour les pays « du Sud », il s’avère qu’in fine, ces recommandations sont totalement ignorées par les puissances occidentales. On peut dès lors imaginer que l’OMS va favoriser l’autorisation de mise sur le marché et l’insérer dans ses recommandations officielles, s’il s’avère bien évidemment que le traitement est efficace, dans le but de tenter de combler le cruel manque de vaccins pour ces pays. Ce serait également une manière d’afficher publiquement une certaine contestation envers les riches laboratoires qui tentent d’étouffer le discours de l’agence spécialisée de l’ONU.
Il est dès lors en droit d’espérer qu’on ne revivra pas le scandale de l’ivermectine gate, les intérêts des différentes parties impliquées étant cette fois-ci convergents.
 

 
Auteur(s): Laurent Gars, pour FranceSoir
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedDim 03 Oct 2021, 8:20 pm

NOUVELLE HYPOTHÈSE
Hypothèse : Pertinence des antihistaminiques H1 dans le traitement du covid

http://echelledejacob.blogspot.com/2021/10/hypothese-pertinence-des.html#more
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedSam 23 Oct 2021, 9:42 pm

ET L'ASPIRINE ALORS ?

L'admission d'aspirin a-t-elle pu réduire le risque de mortalité dans les patients COVID-19 ?
* Download PDF Copy

By Dr. Sanchari Sinha Dutta, Ph.D.Jul 13 2021
Les scientifiques de l'université de l'Etat d'État du Michigan, Etats-Unis, ont conduit une révision et une méta-analyse systématiques pour comparer le taux de mortalité dans les patients de la maladie 2019 de coronavirus (COVID-19) qui sont des usagers ou des non-utilisateurs d'aspirin. Les découvertes indiquent que l'utilisation d'aspirin est associée à une réduction significative dans des taux de mortalité généraux et à l'hôpital. L'étude est actuellement disponible sur le serveur de prétirage de medRxiv*.

Étude : L'utilisation d'Aspirin est associée à la mortalité diminuée dans les patients avec COVID-19 : Une révision et une méta-analyse systématiques. Crédit d'image : AleksSafronov/Shutterstock
Mouvement propre
À partir du 13 juillet 2021, mondial, il y a eu 186 millions a confirmé les cas COVID-19, y compris 4 millions de morts, enregistrées à l'Organisation Mondiale de la Santé. Bien qu'une part importante de patients COVID-19 demeurent asymptomatique ou doux symptomatique, la maladie peut entraîner des complications sévères dans les personnes susceptibles, y compris des adultes plus âgés et des personnes avec des comorbidités. Dans les patients à l'hôpital sévèrement affectés COVID-19, un taux de mortalité prévu de 11,5% a été rapporté dans une étude récente.
Selon la littérature procurable, la pathogénie de COVID-19 sévère est associée au dysfonctionnement immunisé, à l'inflammation excessive, au hypercoagulation, et à la thrombose cardiopulmonaire. Donné ces observations, les scientifiques dans l'étude actuelle ont présumé que l'admission d'aspirin peut réduire la gravité de COVID-19 par ses effets anti-inflammatoires, antithrombiques, et immunomodulateurs.
Modèle d'étude
Dans la méta-analyse, les scientifiques ont inclus récent publié ainsi que les études non publiées du PubMed, de MEDLINE, d'EMBASE, et de bases de données de Cochrane ce rapporté l'effet de la consommation d'aspirin d'inférieur-dose sur COVID-19 ont associé la mortalité. Les études que l'utilisation particulièrement comparée d'aspirin sans l'utilisation d'aspirin dans les patients COVID-19 et les événements rapportés de la mortalité ont été comprises dans la méta-analyse. L'objectif principal de l'analyse était de déterminer la tout-cause et les taux de mortalité à l'hôpital.
Les scientifiques avaient l'habitude l'écaille de Newcastle-Ottawa pour évaluer la qualité des études incluses. Pour chaque étude, l'écaille fournit un maximum de 9 remarques. Une étude avec une vingtaine de 6 ou un plus élevé est considérée une publication de haute qualité avec un à faible risque de la polarisation.
Observations importantes
De plus de 900 études au commencement incluses, les scientifiques ont finalement sélecté cinq études pour le qualitatif et les analyses quantitatives finales. Toutes les études sélectées étaient les études de cohorte rétrospectives, avec quatre étaient sur les patients COVID-19 dans-hospitalisés, et on était sur les patients non-hospitalisés. Basé sur les rayures d'écaille de Newcastle-Ottawa, quatre sur cinq études étaient de haute qualité, et on était basse qualité.
Dans les cinq études finales, il y avait 6.797 participants au groupe d'aspirin et 7.268 participants au groupe de non-aspirin. Les caractéristiques mises en commun de 5 études ont indiqué que l'admission d'aspirin est associée à une réduction de 53% de la mortalité de tout-cause dans les patients COVID-19. Dans le cas des patients COVID-19 hospitalisés, l'analyse a indiqué que l'utilisation d'aspirin est associée à une réduction de 49% de la mortalité à l'hôpital.  
Signification d'étude
L'étude met en valeur l'importance potentielle de l'admission d'aspirin en réduisant le risque de mortalité parmi les patients hospitalisés COVID-19 et non-hospitalisés. Indépendamment des effets anti-inflammatoires et antiplaquettes, aspirin est connu pour avoir des activités antivirales contre les coronaviruses saisonniers et pathogènes, tels que le coronavirus respiratoire humain de coronavirus-229E et de syndrome de Moyen-Orient (MERS-CoV). D'ailleurs, aspirin a été employé en tant qu'un de l'intervention thérapeutique dans les patients COVID-19.
Comme mentionné par les scientifiques, l'étude actuelle a quelques limitations. À cause de la non-disponibilité des caractéristiques de test clinique sur aspirin, l'analyse actuelle a compris seulement des études d'observation. D'ailleurs, la majorité d'études sélectées sont des études unique-centrées entreprises aux Etats-Unis et en Chine. Ainsi, les découvertes peuvent ne pas être généralisées à la population globale.
avis *Important
le medRxiv publie les états scientifiques préliminaires qui pair-ne sont pas observés et ne devraient pas, en conséquence, être considérés comme concluants, guident la pratique clinique/comportement relatif à la santé, ou traité en tant qu'information déterminée.
Journal reference:
* Savarapu P. 2021. Aspirin Use is Associated with Decreased Mortality in Patients with COVID-19: A Systematic Review and Meta-analysis. medRxiv. doi: https://doi.org/10.1101/2021.07.08.21260236, https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2021.07.08.21260236v1.
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedLun 25 Oct 2021, 7:19 pm

UN AUTRE VOLET SUR LES CARENCES EN :
Oligoéléments autres que le zinc et en vitamines comme la vitamine D3 :
LE SELENIUM :
Le Sélénium en complément alimentaire, c’est quoi ?
Nous connaissons bien l’action anti-oxydante du sélénium, mais il joue aussi un rôle important dans la stimulation de l’immunité et dans la détoxication de l’organisme. Il prévient également l’apparition de nombreuses maladies cardio-vasculaires. Le Sélénium lutte contre les radicaux libres et aide à neutraliser les métaux lourds (arsenic, cadmium, mercure, plomb, platine).
Le sélénium ne peut pas être synthétisé par le corps, il doit donc être apporté par l’alimentation. Le sélénium est un oligo-élément indispensable au corps humain. On le trouve essentiellement dans les champignons, les tomates, le chou, le brocoli, l’oignon, l’ail, certaines céréales, les abats (foie, rognons), la viande rouge, les fruits de mer (huîtres et moules), dans les produits laitiers et les eaux minérales.
Une carence en sélénium se traduit par :
* Une diminution des défenses immunitaires
* Une fatigue importante
* Des trouble musculaires, des infections à répétition
* Des troubles cardio-vasculaires : cardiomyopathie juvénile (la maladie de Keshan), insuffisances cardiaques, angine de poitrine, infarctus

La carence en sélénium se rencontre surtout chez les personnes âgées, les enfants nés prématurément et dans les cas de malnutrition importante. A noter que les végétariens, les fumeurs, les gros consommateurs d’alcool sont aussi des sujets à risque. Il est conseillé d’associer le sélénium avec des vitamines A, C et E.
Complément alimentaire Sélénium, pour qui ?
* Pour ceux qui souhaitent renforcer leur système immunitaire
* Pour améliorer la fonction d’une thyroïde déficiente
* Pour protéger le corps et les cellules cérébrales particulièrement vulnérables aux attaques des radicaux libres

Comment agit le Sélénium ? Un complément alimentaire pour mille bienfaits santé !
Antioxydant : Le sélénium est indispensable au fonctionnement de la glutathion peroxydase, une enzyme très précieuse qui protège les membranes cellulaires contre l'oxydation des radicaux libres. Le sélénium s'opposerait aux effets toxiques responsables de la genèse de certaines maladies cancéreuses (notamment gastro-intestinaux et pulmonaires). D’autre part, le sélénium permet de freiner l'oxydation des graisses qui est à l'origine de problèmes inflammatoires ou cardiovasculaires.
Immunomodulateur : Le sélénium est essentiel au bon fonctionnement du système immunitaire. Il freinerait la reproduction de cellules virales, ce qui le rend utile en cas d’hépatites et de SIDA. Il stimule le système immunitaire et permet ainsi à l’organisme de mieux se défendre contre les infections.
Détoxiquant : Le sélénium semble avoir la capacité de se lier à certains métaux lourds toxiques et aiderait donc notre organisme à l’éliminer par le biais de l’urine. De plus le sélénium protège l’organsime face à certains métaux lourds.
Système nerveux : Le sélénium intervient dans la synthèse des cellules nerveuses ; sa carence peut provoquer une dépression, de la fatigue et de l’anxiété. Il réduit la fréquence des troubles de l’humeur (anxiété, dépression) et a des effets significatifs sur les problèmes de mémorisation et de concentration.

Le sélénium est indispensable à la synthèse des hormones thyroïdiennes!
Le sélénium est plus concentré dans la glande thyroïde que dans aucun autre organe! Il agit comme un antioxydant qui protège la thyroïde des radicaux libres et facilite la production des hormones thyroïdiennes. On sait qu’un déficit en sélénium peut être à l’origine de dysfonctionnements graves de la thyroïde. Il existe de nombreux enzymes du sélénium (par ex : la peroxidase glutathione ou la réductase thioredoxine) qui agissent directement sur la thyroïde. Ainsi le sélénium est indispensable à la liaison de l’iode à la L-tyrosine pour former les hormones T3 et T4 fonctionnelles. Il est également impliqué dans la conversion de la T4 (forme non-active de réserve) en T3 (forme active de métabolisme). Une carence en sélénium conduit à de nombreuses pathologies de la thyroïde. Son absence totale mène à la mort définitive des cellules thyroïdiennes.
De récentes recherches démontrent que la prise de sélénium sous sa forme organique (L-sélénométhionine) soigne la thyroïdite auto-immune, l’une des maladies thyroïdiennes les plus fréquentes. Il supprime significativement la quantité des anticorps dans le sang (anti-TPO et anti-TG), qui jouent un rôle dans la destruction des cellules thyroïdiennes.
Contre indications : Déconseillé en cas de sélénose ou d’allergie au sélénium.


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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedLun 01 Nov 2021, 10:34 pm

LE CURCUMA

Turmeric Root and Its Bioactive Ingredient Curcumin Effectively Neutralize SARS-CoV-2 In Vitro
by Maren Bormann

1 [ORCID] , Mira Alt
1, Leonie Schipper
1, Lukas van de Sand
1 [ORCID] , Vu Thuy Khanh Le-Trilling
2 [ORCID] , Lydia Rink
2, Natalie Heinen
3, Rabea Julia Madel
1, Mona Otte
1, Korbinian Wuensch
1, Christiane Silke Heilingloh
1, Thorsten Mueller
4,5, Ulf Dittmer
2, Carina Elsner
2, Stephanie Pfaender
3, Mirko Trilling
2 [ORCID] , Oliver Witzke
1 and Adalbert Krawczyk
1,2,* [ORCID]
1
Department of Infectious Diseases, West German Centre of Infectious Diseases, Universitätsmedizin Essen, University Duisburg-Essen, 45147 Essen, Germany
2
Institute for Virology, University Hospital Essen, University Duisburg-Essen, 45147 Essen, Germany
3
Department of Molecular and Medical Virology, Faculty of Medicine, Ruhr University Bochum, 44801 Bochum, Germany
4
Department of Molecular Biochemistry, Cell Signaling, Ruhr-University Bochum, 44801 Bochum, Germany
5
Institute of Psychiatric Phenomics and Genomics (IPPG), University Hospital, LMU Munich, 80336 Munich, Germany
*
Author to whom correspondence should be addressed.
Academic Editors: Kenneth Lundstrom and Alaa A. A. Aljabali
Viruses 2021, 13(10), 1914; https://doi.org/10.3390/v13101914
Received: 9 September 2021 / Accepted: 20 September 2021 / Published: 23 September 2021
(This article belongs to the Special Issue Vaccines and Therapeutics against Coronaviruses)
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Abstract
Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus Type 2 (SARS-CoV-2) is the causative agent of the coronavirus disease 2019 (COVID-19). The availability of effective and well-tolerated antiviral drugs for the treatment of COVID-19 patients is still very limited. Traditional herbal medicines elicit antiviral activity against various viruses and might therefore represent a promising option for the complementary treatment of COVID-19 patients. The application of turmeric root in herbal medicine has a very long history. Its bioactive ingredient curcumin shows a broad-spectrum antimicrobial activity. In the present study, we investigated the antiviral activity of aqueous turmeric root extract, the dissolved content of a curcumin-containing nutritional supplement capsule, and pure curcumin against SARS-CoV-2. Turmeric root extract, dissolved turmeric capsule content, and pure curcumin effectively neutralized SARS-CoV-2 at subtoxic concentrations in Vero E6 and human Calu-3 cells. Furthermore, curcumin treatment significantly reduced SARS-CoV-2 RNA levels in cell culture supernatants. Our data uncover curcumin as a promising compound for complementary COVID-19 treatment. Curcumin concentrations contained in turmeric root or capsules used as nutritional supplements completely neutralized SARS-CoV-2 in vitro. Our data argue in favor of appropriate and carefully monitored clinical studies that vigorously test the effectiveness of complementary treatment of COVID-19 patients with curcumin-containing products. View Full-Text
Keywords: SARS-CoV-2; COVID-19; herbal medicine; antiviral; Curcuma longa; turmeric root; curcumin
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMer 05 Jan 2022, 9:18 pm

astvadz a écrit:
LE CURCUMA

Turmeric Root and Its Bioactive Ingredient Curcumin Effectively Neutralize SARS-CoV-2 In Vitro
by Maren Bormann

1 [ORCID] , Mira Alt
1, Leonie Schipper
1, Lukas van de Sand
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2 [ORCID] , Lydia Rink
2, Natalie Heinen
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1, Christiane Silke Heilingloh
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4,5, Ulf Dittmer
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2, Stephanie Pfaender
3, Mirko Trilling
2 [ORCID] , Oliver Witzke
1 and Adalbert Krawczyk
1,2,* [ORCID]
1
Department of Infectious Diseases, West German Centre of Infectious Diseases, Universitätsmedizin Essen, University Duisburg-Essen, 45147 Essen, Germany
2
Institute for Virology, University Hospital Essen, University Duisburg-Essen, 45147 Essen, Germany
3
Department of Molecular and Medical Virology, Faculty of Medicine, Ruhr University Bochum, 44801 Bochum, Germany
4
Department of Molecular Biochemistry, Cell Signaling, Ruhr-University Bochum, 44801 Bochum, Germany
5
Institute of Psychiatric Phenomics and Genomics (IPPG), University Hospital, LMU Munich, 80336 Munich, Germany
*
Author to whom correspondence should be addressed.
Academic Editors: Kenneth Lundstrom and Alaa A. A. Aljabali
Viruses 2021, 13(10), 1914; https://doi.org/10.3390/v13101914
Received: 9 September 2021 / Accepted: 20 September 2021 / Published: 23 September 2021
(This article belongs to the Special Issue Vaccines and Therapeutics against Coronaviruses)
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Abstract
Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus Type 2 (SARS-CoV-2) is the causative agent of the coronavirus disease 2019 (COVID-19). The availability of effective and well-tolerated antiviral drugs for the treatment of COVID-19 patients is still very limited. Traditional herbal medicines elicit antiviral activity against various viruses and might therefore represent a promising option for the complementary treatment of COVID-19 patients. The application of turmeric root in herbal medicine has a very long history. Its bioactive ingredient curcumin shows a broad-spectrum antimicrobial activity. In the present study, we investigated the antiviral activity of aqueous turmeric root extract, the dissolved content of a curcumin-containing nutritional supplement capsule, and pure curcumin against SARS-CoV-2. Turmeric root extract, dissolved turmeric capsule content, and pure curcumin effectively neutralized SARS-CoV-2 at subtoxic concentrations in Vero E6 and human Calu-3 cells. Furthermore, curcumin treatment significantly reduced SARS-CoV-2 RNA levels in cell culture supernatants. Our data uncover curcumin as a promising compound for complementary COVID-19 treatment. Curcumin concentrations contained in turmeric root or capsules used as nutritional supplements completely neutralized SARS-CoV-2 in vitro. Our data argue in favor of appropriate and carefully monitored clinical studies that vigorously test the effectiveness of complementary treatment of COVID-19 patients with curcumin-containing products. View Full-Text
Keywords: SARS-CoV-2; COVID-19; herbal medicine; antiviral; Curcuma longa; turmeric root; curcumin

6 MILLIONS de FRANÇAIS dans les CATACOMBES ?
devons nous attendre notre EMP. CONSTANTIN ?
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMar 18 Jan 2022, 10:18 pm

Le Pakistan affirme que l’essai de la médecine traditionnelle chinoise pour le COVID-19 a été couronné de succès
Publié par wikistrike.com sur 19 Janvier 2022, 08:55am
Catégories : #Santé - psychologie

Ce traitement de phytothérapie à base de 12 plantes a été approuvé depuis avril 2020 par la Chine. Cette préparation avait été développée pour soigner la grippe H1N1 et elle est aujourd'hui utilisée pour le COVID. Voilà sa composition exacte: chèvrefeuille du Japon, gypse, éphédra, amande amère frite, Scutellaire, Forsythia, Fritillaire, Anemarrhena, graine de bardane, Artemisia annua, menthe poivrée et réglisse. En dehors de l'artemisia dont on a déjà parlé, on retrouve des plantes aux propriétés antivirales qui n'intéressent pas les labos comme forsythia mais aussi la réglisse qui dispose de plusieurs études concernant le COVID (étude 1, étude 2, étude 3). La médecine traditionnelle chinoise a des centaines d'années d'avance sur la médecine allopathique moderne sur bien des points. Fawkes
--------

KARACHI, Pakistan, 17 janvier (Reuters) – Les autorités sanitaires pakistanaises ont annoncé lundi l’achèvement d’un essai clinique réussi d’un médicament traditionnel chinois à base de plantes pour le traitement du COVID-19, alors que le pays d’Asie du Sud entre dans une cinquième vague de la pandémie menée par le variant Omicron.

Le médicament chinois, Jinhua Qinggan Granules (JHQG) fabriqué par Juxiechang (Beijing) pharmaceutical Co Ltd, est déjà utilisé dans le traitement des patients atteints du COVID-19 en Chine.

« Comme il a été testé sur des patients présentant différentes variantes du COVID-19, nous nous attendons à ce qu’il soit efficace sur Omicron comme sur les autres variants », a déclaré à la presse le professeur Iqbal Chaudhry, directeur de l’International Center for Chemical and Biological Science (ICCBS) où les essais ont été menés.

Les essais ont été menés sur 300 patients qui ont été traités à domicile, et seraient efficaces sur les cas légers à modérés de COVID-19, a déclaré à la presse le Dr Raza Shah, investigateur principal des essais, ajoutant que le taux d’efficacité était d’environ 82,67%.

Les essais ont été approuvés par l’Autorité de réglementation des médicaments du Pakistan.

Le Pakistan a signalé 4 340 cas de COVID-19 lundi, soit le chiffre le plus élevé enregistré en trois mois sur une période de 24 heures. Karachi, la plus grande ville du pays, a enregistré un taux de positivité – le pourcentage de tests revenant positifs – de 39,39 % pendant le week-end, le plus élevé à ce jour.

« Au cours des sept derniers jours, le nombre de cas de COVID au Pakistan a augmenté de 170 %, tandis que le nombre de décès a également augmenté de 62 % », a déclaré le Centre national de commandement des opérations (NCOC), qui supervise la réponse à la pandémie, dans un tweet lundi.
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedJeu 27 Jan 2022, 3:26 am

astvadz a écrit:
Le Pakistan affirme que l’essai de la médecine traditionnelle chinoise pour le COVID-19 a été couronné de succès
Publié par wikistrike.com sur 19 Janvier 2022, 08:55am
Catégories : #Santé - psychologie

Ce traitement de phytothérapie à base de 12 plantes a été approuvé depuis avril 2020 par la Chine. Cette préparation avait été développée pour soigner la grippe H1N1 et elle est aujourd'hui utilisée pour le COVID. Voilà sa composition exacte: chèvrefeuille du Japon, gypse, éphédra, amande amère frite, Scutellaire, Forsythia, Fritillaire, Anemarrhena, graine de bardane, Artemisia annua, menthe poivrée et réglisse. En dehors de l'artemisia dont on a déjà parlé, on retrouve des plantes aux propriétés antivirales qui n'intéressent pas les labos comme forsythia mais aussi la réglisse qui dispose de plusieurs études concernant le COVID (étude 1, étude 2, étude 3). La médecine traditionnelle chinoise a des centaines d'années d'avance sur la médecine allopathique moderne sur bien des points. Fawkes
--------

KARACHI, Pakistan, 17 janvier (Reuters) – Les autorités sanitaires pakistanaises ont annoncé lundi l’achèvement d’un essai clinique réussi d’un médicament traditionnel chinois à base de plantes pour le traitement du COVID-19, alors que le pays d’Asie du Sud entre dans une cinquième vague de la pandémie menée par le variant Omicron.

Le médicament chinois, Jinhua Qinggan Granules (JHQG) fabriqué par Juxiechang (Beijing) pharmaceutical Co Ltd, est déjà utilisé dans le traitement des patients atteints du COVID-19 en Chine.

« Comme il a été testé sur des patients présentant différentes variantes du COVID-19, nous nous attendons à ce qu’il soit efficace sur Omicron comme sur les autres variants », a déclaré à la presse le professeur Iqbal Chaudhry, directeur de l’International Center for Chemical and Biological Science (ICCBS) où les essais ont été menés.

Les essais ont été menés sur 300 patients qui ont été traités à domicile, et seraient efficaces sur les cas légers à modérés de COVID-19, a déclaré à la presse le Dr Raza Shah, investigateur principal des essais, ajoutant que le taux d’efficacité était d’environ 82,67%.

Les essais ont été approuvés par l’Autorité de réglementation des médicaments du Pakistan.

Le Pakistan a signalé 4 340 cas de COVID-19 lundi, soit le chiffre le plus élevé enregistré en trois mois sur une période de 24 heures. Karachi, la plus grande ville du pays, a enregistré un taux de positivité – le pourcentage de tests revenant positifs – de 39,39 % pendant le week-end, le plus élevé à ce jour.

« Au cours des sept derniers jours, le nombre de cas de COVID au Pakistan a augmenté de 170 %, tandis que le nombre de décès a également augmenté de 62 % », a déclaré le Centre national de commandement des opérations (NCOC), qui supervise la réponse à la pandémie, dans un tweet lundi.

NOUVEAU :

Prophylaxie du Covid-19 : la vitamine D et le zinc plus efficaces que les "vaccins" ? TRIBUNE — Le 13 décembre 2021, un article publié dans Frontiers in Medecine porte sur la chimioprévention du Covid-19 par une supplémentation en zinc [1] . Cette étude a concerné 200 participants : 104 participants ont reçu une supplémentation en zinc...
Source :
https://www.wikistrike.com/2022/01/prophylaxie-du-covid-19-la-vitamine-d-et-le-zinc-plus-efficaces-que-les-vaccins.html
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMar 01 Fév 2022, 12:10 am

Bonjour à tous,

https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/pourquoi-la-proteine-spike-est-toxique-dans-le-covid-19-et-aussi-dans-les-vaccins#.Yfj9fxSY3_8.mailto
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedDim 20 Fév 2022, 4:13 am

Carotenoids:
Therapeutic Strategy in the Battle against Viral Emerging Diseases, COVID-19: An Overview
Abstrait


Les caroténoïdes, un groupe de composés phytochimiques, se trouvent naturellement dans le règne végétal, en particulier dans les fruits, les légumes et les algues. Il existe plus de 600 types de caroténoïdes, dont certains sont censés prévenir les maladies, principalement grâce à leurs propriétés antioxydantes. Les caroténoïdes présentent plusieurs avantages biologiques et pharmaceutiques, tels que des propriétés anti-inflammatoires, anticancéreuses et de renforcement de l'immunité, d'autant plus que certains caroténoïdes peuvent être convertis en vitamine A dans l'organisme. Cependant, les humains ne peuvent pas synthétiser les caroténoïdes et doivent les obtenir à partir de leur alimentation ou via une supplémentation. Le virus zoonotique émergent du syndrome respiratoire aigu sévère coronavirus 2, qui cause la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19), est originaire de chauves-souris et a été transmis à l'homme. Le COVID-19 continue de causer des problèmes de santé internationaux dévastateurs dans le monde entier. Par conséquent, les stratégies thérapeutiques préventives naturelles à partir de composés bioactifs, tels que les caroténoïdes, doivent être évaluées pour renforcer les fonctions physiologiques contre les virus émergents. Cette revue résume les caroténoïdes les plus importants pour la santé humaine et le renforcement de l'immunité, ainsi que leur rôle potentiel dans le COVID-19 et ses symptômes associés. En conclusion, les rôles prometteurs des caroténoïdes en tant que traitements contre les maladies émergentes et les symptômes associés sont mis en évidence, dont la plupart ont été fortement prémédités dans des études menées sur plusieurs infections virales, dont le COVID-19. Plus loin doit être évalué pour renforcer les fonctions physiologiques contre les virus émergents. Cette revue résume les caroténoïdes les plus importants pour la santé humaine et le renforcement de l'immunité, ainsi que leur rôle potentiel dans le COVID-19 et ses symptômes associés. En conclusion, les rôles prometteurs des caroténoïdes en tant que traitements contre les maladies émergentes et les symptômes associés sont mis en évidence, dont la plupart ont été fortement prémédités dans des études menées sur plusieurs infections virales, dont le COVID-19. Plus loin doit être évalué pour renforcer les fonctions physiologiques contre les virus émergents. Cette revue résume les caroténoïdes les plus importants pour la santé humaine et le renforcement de l'immunité, ainsi que leur rôle potentiel dans le COVID-19 et ses symptômes associés. En conclusion, les rôles prometteurs des caroténoïdes en tant que traitements contre les maladies émergentes et les symptômes associés sont mis en évidence, dont la plupart ont été fortement prémédités dans des études menées sur plusieurs infections virales, dont le COVID-19. Plus loin dont la plupart ont été fortement prémédités dans des études menées sur plusieurs infections virales, dont le COVID-19. Plus loin dont la plupart ont été fortement prémédités dans des études menées sur plusieurs infections virales, dont le COVID-19. Plus loin Des recherches in vitro et in vivo sont nécessaires avant que les caroténoïdes puissent être considérés comme des médicaments puissants contre ces maladies émergentes.
https://www.pnfs.or.kr/journal/view.html?doi=10.3746/pnf.2021.26.3.241
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedJeu 26 Mai 2022, 5:39 am

Quel est le mode d’action des molécules d’un traitement anti-Covid-19 précoce ?

Publié le 23/05/2022 à 20:10

Jean-Marc Sabatier explique les modes d'action des traitements ambulatoires précoces.
Auteur(s): FranceSoir

ENTRETIEN – Les traitements ambulatoires précoces agissent sur le Covid-19 et les bactéries de diverses manières. Certaines molécules agissent en bloquant l’entrée et/ou les effets délétères du virus dans la cellule, d’autres en prévenant d’une infection bactérienne qui peut suivre une attaque virale et provoquer une surinfection prompte à envahir l’organisme notamment lorsque le système immunitaire de l'hôte est affaibli par la vieillesse ou par des comorbidités.
Cet entretien est réalisé avec Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS et docteur en biologie cellulaire et microbiologie, affilié à l’institut de neurophysiopathologie à l’université d’Aix-Marseille.
Nous précisons que Jean-Marc Sabatier s'exprime ici en son nom.

Depuis le début de l’épidémie, des médecins soignent avec des molécules qui existent depuis longtemps sur le marché du médicament. Qu’il s’agisse d’hydroxychloroquine, d’ivermectine ou d’azithromycine, pour ne parler que des plus connues, ils ont été nombreux à traiter le SARS-CoV-2 avec ces médicaments connus pour lutter contre d’autres pathologies.
En France, le Pr Didier Raoult, le Pr Christian Perronne, mais également de nombreux généralistes ont utilisé ces traitements dans la phase précoce de la maladie. Ils ont publié des résultats dans lesquels on a pu constater une diminution de la charge virale et un risque moins grand de complications, d’hospitalisations et de décès.
Aux États-Unis, le Pr Peter McCullough, les docteurs Pierre Kory et Vladimir Zelenko ont été parmi les premiers à soigner avec ces traitements.
Malgré des résultats qui prouvaient une nette amélioration de l’état général des patients, ces médecins ont été moqués de toutes parts et ennuyés par les autorités sanitaires.
Pourtant, il existe bien une action de ces molécules. Pour chacune d’elles, pouvez-vous en décrire le mode d’action ? Comment ces médicaments ciblent les mécanismes impliqués dans la multiplication du virus dans les cellules ? Comment agit l’hydroxychloroquine ? 
Pour rappel, l’hydroxychloroquine (ou Plaquenil) est une molécule qui possède des propriétés anti-inflammatoires, immunosuppressives (traitements de maladies auto-immunes), photo-protectrice (contre les rayons UV), anti-parasitaires (antipaludéen), et antivirales.
Les divers types de virus utilisent des modes d’entrée différents dans les cellules. En ce qui concerne le virus SARS-CoV-2 (virus enveloppé à ARN monobrin), il existe trois étapes majeures lors d’une infection cellulaire : (1) la pénétration des particules virales dans la cellule, (2) la libération du génome du virus à l’intérieur de la cellule (dans le cytoplasme), ce qui permet la copie du génome viral et la production de nouveaux virus, et (3) la sortie de ces virus/particules virales hors de la cellule.
Le SARS-CoV-2 peut pénétrer dans la cellule par deux voies : la voie « non endosomale » (voie qui n’utilise pas d’endosomes) et la voie « endosomale » (voie qui utilise des endosomes). Un endosome est une petite vésicule sphérique entourée d’une membrane cellulaire ; cette vésicule se forme lors de la pénétration — ici du SARS-CoV-2 – dans la cellule (via un phénomène appelé endocytose).
Dans la voie « non endosomale », le virus se fixe sur son récepteur cellulaire (récepteur ECA2 = enzyme de conversion de l’angiotensine-2) via sa protéine Spike, celle-ci est alors clivée par une protéase appelée TMPRSS2, permettant la fusion directe des membranes virale et cellulaire et la libération du génome viral dans la cellule. L’hydroxychloroquine serait inactive sur cette voie.
Dans l’autre voie dite « endosomale », le virus SARS-CoV-2 se fixe sur son récepteur ECA2 à la surface de la cellule, puis la protéine Spike virale serait clivée par une autre protéase cellulaire (furine ou cathepsine) permettant l’entrée — par endocytose – du SARS-CoV-2 dans la cellule.
Après internalisation par endocytose, le virus se retrouve dans une vésicule (endosome) contenant des enzymes. Cette vésicule est acidifiée (via une pompe à proton) pour permettre une fusion des membranes et la libération de la capside virale dans le cytoplasme. 
L’hydroxychloroquine, qui est une base faible pouvant s’accumuler de façon passive dans les compartiments acides (endosomes/lysosomes) de la cellule, bloque cette étape de relargage viral dans le cytoplasme. Ainsi, l’hydroxychloroquine, de par son mode d’action, semble active sur la voie « endosomale » mais non sur la voie « non endosomale » de pénétration du SARS-CoV-2. De façon intéressante, il apparait que le SARS-CoV-2 et ses variants utilisent les deux voies pour une pénétration cellulaire, à l’exception du plus récent variant Omicron, qui ne semble utiliser que la voie « endosomale » de pénétration cellulaire sur laquelle l’hydroxychloroquine est active.
Néanmoins, il a aussi été montré (par le Prof. Jacques Fantini et son équipe) que l’hydroxychloroquine se fixe sur les radeaux lipidiques de la membrane plasmique (microdomaines membranaires, peu fluides et riches en cholestérol, phospholipides saturés, et sphingolipides) et empêche la protéine Spike de s’y fixer, par inhibition compétitive. On ne peut donc exclure un effet antiviral général de l’hydroxychloroquine quelle que soit la voie d’infection (fusion à la membrane plasmique ou endocytose).
Bien qu’active in vitro contre le SARS-CoV-2, il existe une controverse quant à une activité antivirale de l’hydroxychloroquine in vivo.
Qu’en est-il de l’ivermectine ?
L’ivermectine (ou Stromectol) est un médicament utilisé contre les parasites, notamment la parasitose de la gale. Elle possède également une activité vermifuge (contre les vers gastro-intestinaux), insecticide et acaricide. Chez les invertébrés, l’ivermectine agit sur les canaux ioniques chlorures (glutamate dépendants) des cellules nerveuses et musculaires inhibant la neurotransmission et provoquant la paralysie et la mort des animaux. Ces canaux sont spécifiques des invertébrés, et n’existent pas chez les mammifères.
Plus récemment, une puissante activité anti-SARS-CoV-2 a été décrite pour l’ivermectine.
Cette activité antivirale de l’ivermectine est controversée pour le SARS-CoV-2, bien qu’elle ait été démontrée in vitro (en éprouvette) et in vivo (chez l’animal) sur plusieurs autres virus à ARN, dont les virus « West Nile », de la grippe et de la dengue.
L’ivermectine agirait comme un inhibiteur de l’importine α/β1 responsable du transport dans le noyau cellulaire de molécule(s) virale(s) nécessaire(s) à la multiplication du virus SARS-CoV-2. Il est notable qu’il y aurait potentiellement plusieurs mécanismes d’action, dont un effet bénéfique (régulateur négatif) sur le système rénine-angiotensine (SRA). Le SRA est indispensable au fonctionnement de l’organisme humain ; il est présent au niveau de tous les organes et tissus, et pilote l’immunité innée et les microbiotes (intestinal, buccal, vaginal).
Or, il faut se rappeler que le SARS-CoV-2 interfère avec ce système hormonal complexe et ubiquitaire en s’attaquant à lui, le rendant dysfonctionnel, ce qui entraîne de possibles répercussions sur de très nombreux organes et tissus (le cerveau, le cœur, les poumons, la rate, le foie, le pancréas, le système vasculaire, le système auditif, les yeux, la peau, les intestins, les glandes surrénales, les organes reproducteurs, etc.).
Et de l’azithromycine ?
L’azithromycine (ou Zithromax) est un antibiotique de type macrolide, appartenant au sous-groupe des azalides. Il est principalement utilisé pour le traitement d’infections génitales spécifiques et d’infections sexuellement transmissibles. L’activité antibactérienne de l’azithromycine est due à sa fixation sur les ribosomes (ARN ribosomique 23S de la sous-unité 50S des ribosomes) des bactéries sensibles, ce qui inhibe la synthèse des protéines bactériennes.
Parallèlement, l’azithromycine a montré un effet antiviral in vitro (virus Zika, virus Influenza) et sur des modèles précliniques d’infections virales (virus respiratoire syncytial, rhinovirus, entérovirus). Le mode d’action serait un blocage de l’entrée du virus dans la cellule, et/ou une induction de l’immunité innée (réponse immunitaire immédiate contre les microbes) par des interférons (IFN) qui sont des molécules fabriquées par les cellules de notre organisme en réponse à une agression par un microbe afin de résister à celui-ci.
Si l’azithromycine est l’un des principaux antibiotiques contre les virus respiratoires, certains médecins ont également prescrit la doxycycline qu’ils ont souvent associée avec l’ivermectine. Quelle est la particularité de cet antibiotique ? En quoi est-il différent de l’azithromycine ?
La doxycycline est un antibiotique de la famille des tétracyclines (antibiotique bactériostatique de la classe des cyclines), et diffère donc des antibiotiques de type macrolides (tel que l’azithromycine). Comme l’azithromycine, elle inhibe la synthèse des protéines bactériennes. La doxycycline est intéressante dans la mesure où elle protège contre de multiples germes dont les manifestations peuvent être respiratoires, cutanées, génitales, oculaires ou autres. Il est notable que le Covid-19 peut se manifester par des atteintes à ces organes ou tissus (tels que les poumons et les voies respiratoires en général, la peau, les organes reproducteurs, les yeux, etc.). La doxycycline est efficace sur les parodontites infectieuses (dysbiose buccale) qui sont largement représentées dans les formes plus graves du Covid-19 et du Covid long. En parallèle, la doxycycline a des propriétés anti-inflammatoires (elle diminue l’expression de cytokines pro-inflammatoires), et présente un large spectre anti-microbien, avec des activités in vitro sur les bactéries, mais aussi les parasites (dont le Plasmodium, parasite de la malaria) et les virus (dont le SARS-CoV-2).
Dans le cadre d’un Covid gastrique, il a été question de céphalosporine de troisième génération.
La céphalosporine de 3ᵉ génération (Céfotaxime) est un antibiotique de type beta-lactamine (proches des pénicillines) possédant une action bactéricide. Elle tue les bactéries en les empêchant de synthétiser leurs parois protectrices. Un inconvénient majeur de cet antibiotique est l’apparition de possibles effets neurologiques indésirables. Le mode d’action des céphalosporines est donc différent et complémentaire de l’azithromycine et de la doxycycline dans l’arsenal anti-Covid-19.
L’efficacité de ces molécules est-elle la même sur tous les variants ?
Je ne pense pas que l’efficacité de ces molécules soit équivalente sur les multiples variants et sous-variants du SARS-CoV-2. À titre d’exemple, le variant Omicron semble pénétrer dans la cellule par la voie « endosomale », contrairement à d’autres variants du SARS-CoV-2 qui utilisent à la fois les voies « endosomale » et « non endosomale ». De plus, le variant Omicron est préférentiellement localisé dans les voies aériennes supérieures (qui sont peu accessibles au système immunitaire), contrairement aux précédents variants et à la souche « Wuhan » originelle du SARS-CoV-2. Ceci souligne des spécificités pouvant exister au sein d’une même famille de virus, ce qui suggère fortement qu’ils n’auront pas tous la même sensibilité aux diverses molécules bioactives ou médicaments utilisés.
Y-a-t-il des situations où il est préférable de privilégier une molécule plutôt qu’une autre ?
Personnellement, je recommanderais la supplémentation en vitamine D (ou dedrogyl/calcidiol en cas de Covid-19 symptomatique car bioactif plus rapidement), en présence des composés appropriés (zinc, magnésium, vitamine C liposomale, selenium, glutathion ou N-acetyl-cystéine, et vitamine K2).
Pourquoi la vitamine D ? Parce qu’elle agit -entre autres- en amont du SRA en inhibant la production de rénine. Ainsi, la vitamine D contrecarre le dysfonctionnement du SRA et la suractivation « délétère » de son récepteur AT1R à l’origine des maladies Covid-19.
Tous les médecins qui défendaient les traitements ambulatoires précoces avançaient que cela pouvait éviter les formes graves de la maladie. Pensez-vous qu’ils puissent également contribuer à éviter les syndromes associés au SARS-CoV-2 qui se prolongent bien après l’infection et que l’on nomme désormais le Covid long ou le syndrome post-Covid ?
En effet, je pense qu’un traitement prophylactique (préventif) et/ou ambulatoire précoce (par exemple, une supplémentation à la vitamine D ou dedrogyl/calcidiol, ou autre) devrait permettre d’éviter une évolution potentielle vers les formes graves du Covid-19 et également du Covid long pour la grande majorité des personnes infectées. Il aurait, à l’évidence, été préférable de procéder à des traitements ambulatoires précoces (plusieurs associations de molécules sont possibles) en cas d’infection plutôt que de préconiser de rester à son domicile avec, pour seul traitement, une prise de doliprane (qui de plus n’est pas recommandé dans le Covid-19 -contrairement à l’aspirine- car le paracétamol contenu dans le doliprane provoque un déficit en glutathion qui un antioxydant important pour lutter contre le stress oxydatif d’une suractivation du SRA induite par le virus).
Auteur(s): FranceSoir
https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/le-mode-daction-des-molecules-dun-traitement-anti-covid-19-precoce
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedSam 27 Aoû 2022, 8:09 pm

Malgré mon carton jaune inapproprié par abus de pouvoir !

Je vous propose cet article qui vous permettra d'élargir votre champ d'approche des maladies virales .
La thérapie fréquentielle grâce aux champs électromagnétiques: médecine d’hier et de demain?
Publié par wikistrike.com sur 26 Août 2022, 20:50pm
Catégories : #Santé - psychologie, #Science - technologie - web - recherche

Professeur Montagnier
Nathalie Souvorov-Robert pour WikiStrike
«Tout est énergie » (Albert Einstein).  
De nombreux précurseurs de progrès ont été décriés dans un premier temps avant d’être reconnus, l’histoire se répète depuis des siècles et, en ce qui concerne l’étude des ondes, d’Albert Einstein au professeur et prix Nobel de médecine, Luc Montagnier, cette affirmation prouve sa véracité. 
Tout dans l’univers a une fréquence de résonance. Une analyse de la fréquence des plantes, plantes développées pendant plus de 2,5 milliards d’années, combinée avec notamment les travaux de Raymond Rife sur les fréquences, entre autres, des bactéries et des virus pourrait être une réponse aux défis médicaux actuels et semble en tout cas être une piste à explorer aux côtés d’autres vecteurs de fréquences. 
En effet, il existe différentes façons d’introduire une fréquence dans notre organisme : par la nourriture que nous mangeons, par un générateur de fréquence, par des diapasons, de la musique,… mais aussi par les huiles essentielles issues de la distillation des plantes aromatiques.
La crise du COVID-19 et, plus récemment, les cas de variole du singe au regard des séquelles et effets négatifs secondaires des vaccins occidentaux, ont remis en lumière ces thérapies médicales en sommeil depuis plusieurs décennies.
I – Un peu d’histoire
Se soigner par les plantes est aussi vieux que la civilisation et remonte à la préhistoire. Les premiers textes gravés relatant des propriétés des plantes datent de 5000 ans à Sumer et 4700 ans en Chine.
Il y a des milliers d’années, les Chinois ont inscrit les flux d’énergie invisibles au cœur de leur médecine traditionnelle reconnue par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). De même, les médecins comme Hippocrate (Vème siècle avant JC) ont porté leur attention aux « canaux d’énergie » pour optimiser la santé de leurs patients et disciples.
Cette pratique a été petit à petit oubliée pour renaître au début du XXème siècle notamment grâce aux travaux de Nikola Tesla, George Lakhovsky et Raymond Rife sur la médecine électromagnétique. 
A part en URSS où les recherches scientifiques ont continué, cette médecine est de nouveau tombée dans l’oubli balayée par la révolution pharmacologique. A la chute du mur de Berlin en 1989, les Occidentaux ont recommencé à s’intéresser ponctuellement aux « ondes qui soignent ».
Plus récemment, le professeur Luc Montagnier avait axé ses travaux sur la mémoire de l’eau et sur la médecine énergétique à travers les champs électromagnétiques. 
Logiquement, les analyses du professeur Montagnier et celles notamment de Raymond Rife se recoupent en partie avec des études sur les virus, bactéries, toxines, champignons, parasites qui auraient tous une fréquence bien spécifique.
II – Les huiles essentielles, vecteurs de fréquences 
Chacune des huiles aromatiques contenues dans une plante a une fréquence de résonance. En introduisant à tout élément sa propre fréquence de résonance, il se trouve détruit en implosant. La distillation des plantes aromatiques, selon la thérapie fréquentielle, en générant des huiles essentielles peut permettre à celles-ci de détruire un élément pathogène si leurs fréquences sont similaires. 
Une huile essentielle possède plusieurs fréquences différentes et peut donc s’attaquer à divers agents pathogènes suite à un diagnostic via notamment la kinésiologie. 
III – COVID-19 et médecine par les ondes
Selon la thérapie fréquentielle, les maladies et vaccins sont réversibles naturellement.
D’après les études récentes de John Millward, tous les cas positifs de Covid-19 et les personnes vaccinées avec les vaccins en Europe sont infectées de protéines Spike qui peuvent, d’après lui, être brisées grâce aux fréquences. Cette réponse à la protéine Spike est un espoir, de nombreux spécialistes ayant mis en garde contre le danger de cette protéine bien que ce débat soit controversé. 
La méthode électromagnétique semble également s’appliquer au syndrome de Guillain-Barré qui serait lié parfois à la vaccination. En effet, selon l’Agence américaine du médicament (FDA), le vaccin contre le COVID-19 entraînerait un « risque accru » de développer cette maladie neurologique rare.
Face au désarroi de la population et au scandale sanitaire possible lié au Covid-19, la thérapie fréquentielle pourrait se vulgariser, les recherches et application s’étendre.
Conclusion
 « Tout est énergie et cela résume tout. Mettez-vous sur la fréquence de la réalité que vous voulez obtenir et vous ne pourrez qu’obtenir cette réalité. Il ne peut en être autrement. Ce n’est pas de la philosophie. C’est de la physique. » (Albert Einstein).
La nature semble être une réponse possible aux nombreux maux actuels, n’en déplaisent à certains. Il est peut être temps de se replonger dans notre passé pour trouver les solutions de demain.
 
Nathalie Souvorov-Robert pour WikiStrike
 
Principales sources :
Cathy Lorio / John Millward (essentialoiltherapy.org)
Xavier Bazin pour FranceSoir
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Attila
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedSam 27 Aoû 2022, 9:59 pm

JESUS est un grand physicien ( Luc 8/46)
Le meilleur 👍🙏

Christisez vous !
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedSam 27 Aoû 2022, 10:44 pm

Attila a écrit:
JESUS est un grand physicien ( Luc 8/46)
Le meilleur 👍🙏

Christisez vous !

Oui , ALLÉLUIA !
Le plan divin c'est la fusion totale et parfaite entre AMOUR et SCIENCE !
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMer 04 Jan 2023, 9:35 pm

DERNIÈRE DÉCOUVERTE:
par Lisa Bian et Summer Lawson

L’équipe de recherche du KIOM, l’Institut coréen de médecine orientale, a récemment découvert que des ingrédients provenant d’écorces de mûrier peuvent supprimer l’infection par le virus COVID-19.
Des études publiées dans Nutrients et International Journal of Molecular Sciences ont révélé que les composés des rameaux de mûrier inhibent efficacement l’infection par le virus COVID-19. La recherche clinique a achevé son transfert de technologie et est entrée dans une phase de commercialisation.
Le mûrier est un trésor de la nature
Depuis des milliers d’années, le mûrier est utilisé comme plante médicinale en Chine, en Corée du Sud et dans d’autres pays. Les rameaux de mûrier sont de jeunes branches séchées du mûrier (Morus alba) et sont largement utilisés pour traiter les douleurs arthritiques, les accidents vasculaires cérébraux, la paralysie partielle, les œdèmes, le pied d’athlète et les irritations cutanées.
Dans la médecine occidentale, les branches de mûrier sont considérées comme diurétiques, anti-inflammatoires, antibactériennes et antivirales, et elles aident à prévenir le développement du cancer.
Dans les études mentionnées précédemment, l’équipe de recherche sud-coréenne a confirmé que deux composants des rameaux de mûrier, le mulberrofuran G et le kuwanon C, bloquent efficacement le processus de pénétration des virus dans les cellules hôtes pendant la phase initiale de l’infection par le COVID-19.
Le mûrier prévient l’infection par le COVID-19
Une fois entré dans le corps humain, le coronavirus se lie au récepteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) des cellules épithéliales humaines et pénètre dans les cellules hôtes par le biais de la protéine spike à la surface du virus.
Grâce à des expériences cliniques, le groupe de recherche a découvert que le mulberrofuran G et le kuwanon C se fixent étroitement à la protéine spike et au récepteur de l’ACE2, empêchant efficacement la liaison mutuelle de la protéine spike et du récepteur de l’ACE2.
En outre, l’équipe de recherche a vérifié par des expériences cellulaires que le mulberrofuran G et le kuwanon C pouvaient inhiber les infections de virus simulés et du coronavirus réel. Il bloque la pénétration des cellules hôtes au stade initial de l’infection par le COVID-19.
La mûre supprime les virus résistants aux médicaments
À l’heure actuelle, les traitements contre le COVID-19 approuvés par la Food and Drug Administration (FDA) américaine comprennent des inhibiteurs de la réplication de l’ARN viral sous forme de petites molécules, comme le remdesivir et le paxlovir. Il existe également des inhibiteurs de l’osmose cellulaire du virus qui sont à base de macromolécules.
Toutefois, certains nouveaux variants de coronavirus sont résistants aux inhibiteurs de la réplication de l’ARN et, en tant que thérapeutiques à base d’anticorps, ils ne peuvent être administrés que par voie intraveineuse.
Le Dr Choi Jang-Gi, professeur au centre d’application de la médecine coréenne de l’Institut coréen de médecine orientale, a déclaré au média coréen NEWSIS que le virus COVID-19 utilise l’ARN comme matériel héréditaire. Par conséquent, il est fort probable que le virus développe une résistance aux antimicrobiens, c’est-à-dire que les micro-organismes mutent et deviennent résistants à des médicaments déjà efficaces.
Choi Jang-Gi a déclaré : « L’utilisation du Mulberrofuran G et du kuwanon C en tant qu’inhibiteurs de l’osmose, en conjonction avec les traitements inhibiteurs de la réplication de l’ARN actuellement disponibles et approuvés, permettra d’améliorer le taux de guérison du virus COVID-19, ainsi que d’empêcher l’émergence de virus résistants aux médicaments ».
source : The Epoch Times via Ze Journal
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedVen 03 Fév 2023, 12:43 pm

Voyons maintenant le problème des interférons pratiquement jamais évoqués dans les médias et  étonnamment jamais en ce qui concerne les vaccins à ARNm:
#160 Les Interférons : qu'est-ce que c'est ? Sont-ils efficaces pour prévenir ou traiter la COVID-19 ?
La réponse à cette question est issue d'un consensus d'experts.

Qu'est-ce que sont les interférons, et dans quelles pathologies sont-ils habituellement utilisés ?
Les interférons, ou IFN, sont de petites protéines produites naturellement dans le corps en réponse à une infection virale. Ils appartiennent à la famille des cytokines, dont la mission est de jouer le rôle de messager au sein du système immunitaire, dans le but d'organiser la défense de l'organisme face à une agression. Ils sont pourvus de propriétés anti-virales, immunomodulatrices (régulant le système immunitaire), et/ou antioncogéniques (combattant certains cancers) selon le sous-groupe auquel ils appartiennent.
Il existe trois types d'interférons (I, II, III) en fonction du récepteur sur lequel ils se fixent, eux-mêmes classés en sous-groupes. Certains d'entre eux sont utilisés en thérapeutique dans la prise en charge de certaines pathologies :
* Les interférons de type I : 
IFNα : les IFNα-2a (ROFERON®) et IFNα-2b (INTRONA®) sont notamment utilisés dans le traitement des hépatites B et C, dans plusieurs lymphomes et leucémies, et dans certains cancers tels que le mélanome. L'IFNα-2a existe également sous forme pégylée (peginterféron α-2a) dans les traitements spécifiques de l'Hépatite B et C (PEGASYS®). 
IFNβ : les IFNβ sont tous utilisés dans la sclérose en plaques (SEP). Il existe l'IFNβ-1a (AVONEX®, REBIF®), et sa forme pégylée (PLEGRIDY®), et l'IFNβ-1b (BETAFERON®, EXTAVIA®).
* Les interférons de type II :
ils comprennent l'interféron gamma (INFγ). L'IFNγ-1b (IMUKIN®), est utilisé dans les infections graves en cas de granulomatose septique chronique ou d'ostéoporose maligne sévère.
* Les interférons de type III :
ils sont composés des interférons lambda (IFNλ). Ils ne sont pas utilisés en thérapeutique.

 Les interférons sont-ils efficaces pour traiter ou prévenir la COVID-19 ?
De par leurs propriétés anti-virales, les interférons font l'objet de nombreuses études cliniques relatives à la prise en charge de la COVID-19, dû à une infection par le virus SARS-Cov2.
Il s’agit essentiellement des Interférons de Type 1. Les autres ne sont pas étudiés.



 Les résultats de deux de ces études ont été récemment publiés :
* La première (1) est une étude multicentrique (qui s'est déroulé dans plusieurs hôpitaux), en ouvert (les patients et les médecins avaient connaissance des traitements donnés aux patients).  Cette étude a comparé le délai de négativation des RT-PCR sur des prélèvements naso-pharyngés entre deux groupes de patients, c'est à dire le délai nécessaire pour que le virus SARS-Cov-2 ne soit plus excrété. Le premier groupe, ou groupe témoin, était traité par l'association d'antiviraux lopinavir+ritonavir, tandis que l'autre groupe, ou groupe combinaison, était traité par cette même association, avec en plus un autre antiviral, la ribavirine, et par de l'IFNβ-1b. Les résultats ont montré que les prélèvements naso-pharyngés du groupe traité par la combinaison se sont négativés plus rapidement (médiane à 7 jours) que ceux du groupe témoin (médiane à 12 jours). Aucun décès n'est survenu au cours de cette étude, et les effets indésirables n’ont pas différé entre les deux groupes (en termes de nature, de gravité, de fréquence, et de durée de l’effet indésirable). Seul un patient du groupe témoin est sorti d’étude prématurément en raison d’un effet indésirable grave.
* La seconde (2) est une étude exploratoire chinoise dans laquelle les délais de négativation des RT-PCR ont été comparés (entre autres) enter trois groupes de patients : traitement par IFNα-2b seul, traitement par umifénovir (traitement antigrippal non utilisé en France) seul, ou association de ces deux traitements. Dans cette étude, le délai de négativation des RT-PCR semble plus court dans les groupes traités par IFNα-2b seul ou associé à l’uméfénovir, comparé au groupe traité par l’uméfénovir seul. Attention cependant, ce type d’étude ne permet pas de conclure, d’autant plus que les groupes n’étaient pas comparables (notamment au niveau de l’âge des patients).
* La troisième (3) est une étude randomisée, comparative en double aveugle de phase 2 testant l’efficacité de l’INFβ1a recombinant nébulisé administré par voie inhalée (SNG001) contre placebo chez 98 patients ayant une PCR positive au SARS CoV2 ou une forte suspicion clinique en attente des résultats de la PCR durant les 24 premières heures. Les patients les plus graves (soins intensifs ou en réanimation) n’étaient pas inclus. Les patients recevaient une inhalation par jour du médicament ou du placebo pendant 14jours et étaient suivis durant les 14 jours suivants. Les résultats montrent que l’INFβ1a améliore de façon significative par rapport au placebo le statut clinique des patients (basé sur une échelle OSCI de l’OMS). Il n’y avait pas de différence concernant la durée de séjour à l’hôpital, ou une évolution clinique défavorable (décès ou nécessité d’intubation) des patients. La durée médiane entre l’apparition des symptômes et l’administration du médicament était de 10 jours. Les effets indésirables observés (céphalées, insuffisance respiratoire dont pneumonie) n’étaient pas différents entre les 2 groupes.
* La quatrième (4) est une étude randomisée comparant 4 médicaments (remdesivir, hydroxychloroquine, lopinavir, and interferon beta-1a) répartis de façon équilibrée par rapport au placebo . Sur 11330 patients inclus, 2063 ont reçu un traitement par INFβ dont 651 en association avec du Lopinavir. Au final, les INFβ ne permettaient pas de réduire la mortalité ou la nécessité de ventilation mécanique.
En conclusion, les résultats obtenus sur les deux premières études sont à interpréter avec précaution car ils reposent sur un critère virologique. La troisième étude de meilleure qualité méthodologique est réalisée en double aveugle (ni le patient ni le médecin n’ont connaissance du traitement pris par le patient), et évalue des critères cliniques et pas seulement virologiques. Malgré une amélioration sur un score clinique, cette étude n’a pas montré d’amélioration en termes de durée d’hospitalisation ou d’évolution défavorable de la maladie. La quatrième étude de bonne qualité méthodologique également, n’a pas montré d’intérêt de l’interféron β en termes de mortalité ou de prévention de la ventilation mécanique. L’intérêt de ce médicament parait donc moindre chez les patients infectés par le SARS-Cov2.
Pour en savoir plus:
- Sur les essais cliniques en cours  dans la prise en charge du COVID-19: consultez la question #020.
- Sur les bases méthodologiques des essais cliniques : consultez la question #136.
Références :
(1)  https://doi.org/10.1016/S0140-6736(20)31042-4
(2) https://doi.org/10.3389/fimmu.2020.01061
(3)  https://doi.org/10.1016/S2213-2600(20)30511-7
(4) https://doi.org/10.1056/NEJMoa2023184
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MessageSujet: Re: VIRUS ?   VIRUS ? - Page 2 Icon_minipostedMer 17 Mai 2023, 5:09 am

Durée de l'efficacité du vaccin antigrippal chez les personnes âgées au Japon : une étude de cohorte rétrospective utilisant des données de registre basées sur la population à grande échelle
Kohei Uemura 1, Sachiko Ono 2, Nobuaki Michihata 3, Hayato Yamana 3, Hideo Yasunaga 4
Affiliations
Affiliations
* 1Département de biostatistique et de bioinformatique, Initiative interfacultaire en études de l'information, Université de Tokyo, Tokyo, Japon. Adresse électronique : kohei.uemura@iii.u-tokyo.ac.jp.
* 2Department of Eat-loss Medicine, Graduate School of Medicine, Université de Tokyo, Tokyo, Japon.
* 3Département de recherche sur les services de santé, École supérieure de médecine, Université de Tokyo, Tokyo, Japon.
* 4Département d'épidémiologie clinique et d'économie de la santé, École de santé publique, École supérieure de médecine, Université de Tokyo, Tokyo, Japon.
* PMID : 37045684
* DOI : 10.1016/j.vaccine.2023.03.066
Abstrait
Contexte : La réponse immunitaire à la vaccination antigrippale chez les personnes âgées est susceptible d'être plus faible que chez les jeunes adultes. La protection clinique peut ne pas persister toute l'année chez les personnes âgées. Cependant, l'efficacité du vaccin antigrippal chez les personnes âgées n'a pas été suffisamment étudiée, notamment en termes de durée d'efficacité.
Méthodes : Nous avons utilisé une base de données liée de données administratives sur les demandes de soins de santé et de dossiers de vaccination conservée par la municipalité d'une ville de la région de Kanto au Japon. Nous avons étudié des personnes âgées de 65 ans ou plus au départ et qui ont été suivies entre le 1er avril 2014 et le 31 mars 2020. La durée de l'efficacité du vaccin antigrippal par catégorie d'âge a été analysée à l'aide d'un modèle de risque proportionnel de Cox dépendant du temps avec le temps. -statut vaccinal dépendant, vaccination de la saison précédente et covariables confirmées dans la période de référence (âge, sexe, cancer, diabète, maladies pulmonaires obstructives chroniques, asthme, maladies rénales chroniques et maladies cardiovasculaires).
Résultats : Nous avons identifié une population d'analyse de 83 146 personnes, dont 7 401 (8,9 %) avaient été victimes de la grippe et 270 (0,32 %) avaient subi une hospitalisation liée à la grippe. Les personnes vaccinées au cours de la première saison (n = 47 338) étaient plus âgées que les personnes non vaccinées (n = 35 808) (âge moyen, 75,8 contre 74,1 ans, respectivement). L'analyse multivariée a montré une incidence plus faible de la grippe chez les personnes vaccinées (risque relatif [RR], 0,47 ; intervalle de confiance [IC] à 95 %, 0,43-0,51 ; P < 0,001), tandis que l'incidence des hospitalisations pour grippe ne différait pas significativement selon statut vaccinal (RR, 0,79 ; IC à 95 %, 0,53-1,18 ; P = 0,249). L'efficacité protectrice contre l'incidence a été maintenue pendant 4 ou 5 mois après la vaccination chez les personnes âgées de 65 à 69 ans et de 80 ans, 5 mois chez les 70 à 79 ans.
Conclusions : Notre étude a identifié une efficacité modérée du vaccin dans la prévention de l'incidence de la grippe chez les personnes âgées japonaises. L'efficacité du vaccin a montré une tendance à l'atténuation progressive. Les cliniciens doivent suspecter une infection grippale même chez les personnes vaccinées, en particulier chez les personnes âgées vaccinées depuis plus de 4 ou 5 mois.
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