Date d'inscription : 22/09/2009 Messages : 1005 Pays : OccidentistanR E L I G I O N : aucune
Sujet: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Lun 03 Mai 2010, 5:04 pm
Rappel du premier message :
Définition (Wikipédia) : [...] Les gourous sont généralement définis comme des personnes qui seraient seules détentrices d'une vérité absolue (par exemple grâce à une révélation) et leur permettraient d'exercer un pouvoir totalitaire sur les membres de leur secte[4].
Ce point de vue, largement diffusé au sein des administrations dans un but préventif, parle de culte de la personnalité dévorant, sacralisé; le gourou est vu comme un usurpateur de traditions anciennes, édictant les règles, codifiant la violence, coupant sous le prétexte de relier, au discours radical, diabolisant l'extérieur, aux aspirations inavouables ou indicibles, traducteur de l'impensable, porteur du refoulé collectif, dont l'image historique se change subrepticement en une image totalitaire.
Les secte utilisent le lavage de cerveau / l'endoctrinement
En terre d'islam comme en occident, les enfants ne choisissent par leur religion, l'islam leur est imposé par leur famille.Au proche et moyen orient, l'islam est OBLIGATOIRE dans les ecoles ; cette discipline est bien plus importante que les mathematique ou autre. les enfants sont imprégnés depuis leur naissance par cette religion. Pire encore, certains pays islamique utilisent les madrassas, ecole ou les enfants apprennent chaque jour des morceaux entiers du coran...
Toute secte possede un gourou : Mahomet est il un gourou ?
Un gourou prétend détenir une vérité absolue qui lui a été révélé par un esprit supérieur
Mahomet prétend avoir reçu sa révélation dans une grotte [par un ange] ; étrange d'habitude c'est Dieu lui même qui se manifeste aux prophètes...
Un gourou prétend être LE véritable Messager de Dieu
c'est le cas de Mahomet ; la shahadah : " il n'y pas d'autre dieu que allah et Mahomet est SON messager"
Un gourou aime être adoré par ses disciples
La shahadah récité quotidiennement par les musulmans, glorifie Mahomet comme LE messager de Dieu ; les rites, paroles, faits et gestes quotidiens des musulmans visent à imiter ceux de leur prophète
Un gourou est un usurpateur de traditions anciennes
Mahomet semble avoir remanié l'ancien et le nouveau testament à ses propres fins pour établir une nouvelle religion puisant ces racines à la fois dans le judaisme et le christianisme.
La pluspart des gourous sont polygames
Mahomet était polygame et eut de nombreuses femmes
Un gourou encourage ses discliples à financer la cause de sa fausse doctrine
Sourate 9/34-35 «[...] À ceux qui thésaurisent l'or et l'argent et ne les dépensent pas dans le sentier d'Allah, annonce un châtiment douloureux. Le jour où ces trésors seront portés à l'incandescence dans le feu de l'Enfer et qu'ils en seront cautérisés, fronts, flancs et dos : voici ce que vous avez thésaurisé pour vous-mêmes. Goûtez de ce que vous thésaurisiez. »
Un gourou possède [souvent] un discour radical et intolèrant
Mahomet à dit "Quiconque quitte sa religion islamique, tuez le !"
La doctrine d'un gourou vise à priver ses disciples de relations sociales avec ceux qui n'adhèrent pas à ses principes
Mahomet créa une doctrine qui prive toute relation saine d'un musulman avec un non-musulman ; une doctrine visant à dénigrer les non-musulmans
Sourate 5 : Ne prenez point pour alliés les juifs et les chrétiens ; ils sont alliés les uns des autres. Celui qui les prendra pour amis finira par leur ressembler, et Dieu ne sera point le guide des pervers . (5 :51)
Sourate 5 : les juifs sont comparés à des singes et des porcs
Sourate 9 : Allah dénigre juifs et chrétiens "Qu'Allah les anéantisse" (9:30)
etc... etc...
Auteur
Message
patou13 nouveau membre
Date d'inscription : 07/06/2010 Messages : 50
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Dim 01 Mai 2011, 5:17 pm
OUI , il faut insulté ces musulmans , je suis sur que de cette maniere il comprendron, apres on se regardera
mick MODERATION
Date d'inscription : 10/11/2010 Messages : 7769
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Dim 01 Mai 2011, 6:11 pm
ca va brasser Osama Ben Laden est mort, CNN, maintenant il est face à Dieu,
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Lun 02 Mai 2011, 1:20 am
patou13 a écrit:
OUI , il faut insulté ces musulmans , je suis sur que de cette maniere il comprendron, apres on se regardera
Non, les musulmans sont des victimes de Mahomet et du coran. Il faut leur ouvrir les yeux. Pas les insulter.
arnica Membre Actif II
Date d'inscription : 06/10/2008 Messages : 9573 Pays : region Rhône - Alpes R E L I G I O N : chrétienne
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Lun 02 Mai 2011, 2:50 am
patou13 a écrit:
OUI , il faut insulté ces musulmans , je suis sur que de cette maniere il comprendron, apres on se regardera
C'est de l'humour j'espère ?
Man Membre Actif
Date d'inscription : 30/10/2010 Messages : 6307 Pays : Ahla baladR E L I G I O N : Christianisme
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Lun 02 Mai 2011, 3:14 am
patou13 a écrit:
OUI , il faut insulté ces musulmans , je suis sur que de cette maniere il comprendron, apres on se regardera
Il ne faut pas insulter les musulmans, ou alors dans ce cas, ne pas se prétendre chrétien. On n'insulte pas autrui, quelque soit son idéologie.
Xx-Mikado-xX nouveau membre
Date d'inscription : 03/04/2011 Messages : 49 Pays : Canada ; Québec R E L I G I O N : Convertie au Vocaloidïsme depuis un moment <3
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Jeu 02 Juin 2011, 12:00 pm
Techniquement,toutes les religions sont des sectes (Dans le sens que il y a plusieurs obligations) ,mais tout ça,ça dépend aussi a quel niveau on vit la religion (soft : prières de temps à autres.respect et tout etc) (hardcore : Prières a tout moment,crier sur des gens pour être athé ou de religion différente,être obsédé par Dieu,vouloir convertir tout le monde etc) et puis,du moment que y'a pas de suicide collectif ou de chossses révoltantes du genre...
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Jeu 09 Juin 2011, 9:03 pm
Si jeune et déjà rempli de haine envers les juifs grâce à un enseignement coranique de première classe
Lazare Catholique
Date d'inscription : 28/01/2011 Messages : 264 Pays : FranceR E L I G I O N : Chrétien Non Apostat
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Sam 11 Juin 2011, 6:07 am
yacoub a écrit:
patou13 a écrit:
OUI , il faut insulté ces musulmans , je suis sur que de cette maniere il comprendron, apres on se regardera
Non, les musulmans sont des victimes de Mahomet et du coran. Il faut leur ouvrir les yeux. Pas les insulter.
c'est sur et l'insulte ne fait que braquer les gens.
Cesar Membre Actif
Date d'inscription : 09/03/2010 Messages : 7309 Pays : AlgerieR E L I G I O N : Islam
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Dim 12 Juin 2011, 7:33 am
Lazare a écrit:
yacoub a écrit:
patou13 a écrit:
OUI , il faut insulté ces musulmans , je suis sur que de cette maniere il comprendron, apres on se regardera
Non, les musulmans sont des victimes de Mahomet et du coran. Il faut leur ouvrir les yeux. Pas les insulter.
c'est sur et l'insulte ne fait que braquer les gens.
Quand on n'a plus d'arguments convaincants...........................On insulte!!!Vive la liberté d'expression made in Occident!!! :regret:
Cesar Membre Actif
Date d'inscription : 09/03/2010 Messages : 7309 Pays : AlgerieR E L I G I O N : Islam
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Dim 12 Juin 2011, 8:07 am
[quote="christophe59"][quote="karail38"]
yacoub a écrit:
Allah qui est Puissant et Sage s'est beaucoup trompé dans son livre le Saint Coran. Il parle de l'évangile, alors qu'il y en a 4 au moins. Il confond Marie, mère de Jésus, avec Marie sœur d'Aaron, Il prétend que Marie fait partie de la Trinité ce qui est faux.
effictivement Yacoub ! J'ai essayé de demander à plusieurs musulmans pourquoi de telles erreurs dans le coran et personne n'ose me répondre. Visiblement ça géne ou ça dérange ! Chaque mot du coran vient il vraiment de DIEU ? Avec de telles erreurs, j'en doute !
Au lieu de le demander a Karail,ou d'avaliser passionnément les avis de Yacoub,lisez plutôt ce que disent les plus célèbres imminences grises que connait l'humanité!Bon!Je vous rend service en vous listant une infime partie de leurs témoignages. Ce n'est pas possible!Ni vous,ni ceux qui pensent comme vous,ni les haineux,ni les hautins de tous genres et espèces ne pourront éteindre avec leurs écrits ou leurs paroles la Lumière de Dieu! Même si en cela il seront aidé par tous les Diables de la terre!
D'autres plus intelligents,plus rusés,plus machiavéliques,plus sataniques,plus diaboliques que vous avaient,avec des ardeurs féroces de le faire tout au long des 15 derniers siècles de le faire pour vous épargner cette corvée,mais ce fut missions impossibles!La volonté de Dieu s’établira sur terre,personne ne pourra l’empêcher car c'est Sa Volonté!
COMMENTAIRES SUR LE CORAN PAR DIFFÉRENTS SAVANTS
Certains commentaires sur l'excellence littéraire et l'inimitabilité du Coran
...Les Mecquois exigeaient toujours de lui un miracle, et avec une assurance et une confiance remarquables, Mohammad (psl) en appela au Coran lui-même, comme preuve suprême de sa mission. Comme tous les Arabes, ils possédaient la connaissance du langage et de la rhétorique. S'il était l'auteur du Coran, alors ils pouvaient rivaliser avec lui." Laisse-les produire dix versets semblables à ceux du Coran. S'ils n'y parviennent pas (et il est évident qu'ils n'y parviendraient pas), alors laisse-les accepter le Coran comme un miracle d'une évidence exceptionnelle. (Le très célèbre arabisant Hamilton Gibb de l'Université d'Oxford)
En tant que monument littéraire le Coran parle de lui-même, une production unique dans la littérature arabe, qui n'a pas de précurseur ni de successeur dans son propre idiome. Les musulmans de tous âges s'accordent pour proclamer son inimitabilité pas seulement par rapport à son contenu mais aussi par rapport à son style. (Hamilton Gibb de l'Université d'Oxford)
L'influence du Coran sur le développement littéraire de la langue arabe a été incommensurable, et s'exerça dans de nombreux domaines. Ses idées, son langage, ses rimes se propagèrent à travers toutes les oeuvres subséquentes et ce dans une mesure plus ou moins grande. Ses caractéristiques linguistiques n'ont jamais pu être imitées, que ce soit par la prose des instances du siècle suivant ou dans les textes en proses qui furent écrits ultérieurement. Mais c'était au moins partiellement grâce à la flexibilité transmise par le Coran à l'arabe littéraire idiomatique, que ce dernier put se développer si rapidement et s'ajuster aux nouveaux besoins du gouvernement impérial et à une société en plein essor. (Hamilton Gibb)
Chaque fois qu'on lui demandait un miracle, prouvant l'authenticité de sa mission, le Prophète Mohammad (pbsl) leur mentionnait la composition du Coran et son excellence comme preuve de son origine divine. Et en réalité, même pour les non-musulmans, il n'y a rien de plus merveilleux que son langage à la plénitude et au rythme saisissants… L'amplitude de ses syllabes à la cadence grandiose et au rythme remarquable a joué un grand rôle dans la conversion des plus hostiles et des plus sceptiques. (De l'article écrit par Paul Casanova, L'Enseignement de I'Arabe au College de France)
Il s'agit d'une révélation littérale de Dieu [le Coran], dictée au Prophète Mohammad [pbsl] par l'Archange Gabriel, parfait jusqu'à la moindre lettre. C'est un miracle omniprésent témoin de lui-même et de Mohammad, le Prophète de Dieu [pbsl]. Ses qualités miraculeuses résident en partie dans son style, si parfait et si imposant qu'aucun être humain ni aucun djinn ne pourraient produire ne serait-ce qu'un seul chapitre comparable à sa plus courte sourate, et en partie dans le contenu de ses enseignements, ses prophéties, et ses informations d'une précision étonnante, que [le Prophète] Mohammad [pbsl] n'aurait jamais pu rassembler de lui-même. (Du livre de Harry Gaylord Dorman, Towards Understanding Islam)
Tous ceux qui sont familiers avec le Coran en langue arabe s'accordent à louer la beauté du livre de cette religion, sa grandeur de forme si sublime qu'aucune traduction dans aucune des langues européennes ne permettrait de l'apprécier à sa juste valeur. (Edward Montet : Traduction Française du Coran)
Le Coran dans sa parure originale arabe a… une beauté et un charme qui lui sont propres. Conçu avec un style concis et exalté, ses phrases brèves, chargées de sens, souvent rimées, possèdent une force d'expression et une énergie explosive, qu'il est très difficile de rendre par une traduction littérale. (Du livre de John Naish, The Wisdom of the Qur'an)
Il est universellement admis que le Coran est écrit avec l'élégance la plus extrême et une pureté de langage, dans le dialecte de Qoreich, le plus noble et le plus raffiné de tous les dialectes arabes... Le style du Coran est beau et fluide... et en de nombreux endroits, particulièrement ceux où la majesté et les attributs de Dieu sont décrits, sublime et magnifique... Il a tant de succès, et a une manière si étrange de captiver l'esprit de son audience, que plusieurs de ses contradicteurs pensaient être sous l'effet d'une magie et d'un enchantement. (Du livre de George Sale, The Koran: The Preliminary Discourse)
Un miracle de pureté de style, de sagesse et de vérité. (Du livre du Rev. R. Bosworth Smith, Mohammed and Mohammedanism)
Le Coran a un rythme d'une beauté particulière et une cadence qui charme l'oreille. De nombreux Arabes chrétiens parlent de son style avec une chaleureuse admiration, et la plupart des Arabisants reconnaissent l'excellence de son style... En effet, on peut affirmer que dans la littérature arabe, considérable et féconde aussi bien dans le domaine de la poésie que dans celui de la prose, rien ne lui est comparable. (Du livre d'Alfred Guillaume, Islam)
Certains commentaires sur la nature divine du Coran et ses effets sur les gens
Dans l'ensemble nous y trouvons une collection de sagesses qui peuvent être adoptées par les plus intelligents des hommes, les plus grands philosophes et les plus habiles des politiciens... Mais il y a une autre preuve de l'origine divine du Coran, c'est le fait qu'il soit resté intact à travers les âges depuis l'époque de sa révélation jusqu'à aujourd'hui... Lu et relu par le monde musulman, ce livre ne suscite pas de lassitude, bien au contraire, à travers les répétitions, il est plus aimé encore chaque jour. Il donne naissance à un sentiment profond de crainte et de respect chez celui qui le lit ou l'écoute... Par conséquent, par-dessus tout, ce qui permit cette grande et rapide diffusion de l'Islam est le fait que ce livre... soit le livre de Dieu... (Du livre de Laura Veccia Vaglieri, Apologie de I'Islamisme)
Le Coran abonde en excellentes recommandations morales et préceptes, sa composition est si fragmentaire qu'on ne peut tourner une page sans trouver des maximes que tous les hommes doivent approuver. Cette construction fragmentaire génère des textes, des leitmotivs, et des règles absolues en elles-mêmes, qui conviennent à l'homme, quel qu'il soit, à n'importe quel moment de sa vie.(Du livre de John William Draper, A History of the Intellectual Development of Europe)
On doit reconnaître, aussi, que le Coran mérite les plus grands éloges pour sa conception de la nature divine en référence aux attributs de pouvoir, de connaissance, de providence universelle et d'unité - que sa foi et sa confiance en l'Unique, Dieu des cieux et de la terre, est profonde et fervente - et qui... incarne beaucoup du noble et de la profonde gravité morale, et de sagesse prophétique solennelle, et a prouvé qu'il renferme des éléments sur lesquels de puissantes nations et des ... empires conquérants peuvent être bâtis.(De la préface du Coran, traduit de l'arabe par le Rev. J. M. Rodwell)
On ne saurait donc, évaluer ses mérites en tant qu'oeuvre littéraire, suivant des règles préconçues, nées d'un goût esthétique et subjectif, mais plutôt par rapport aux effets qu'il eut sur les contemporains et les compatriotes du [Prophète] Mohammad [pbsl]. S'il a choisi un ton aussi austère et convaincant pour s'adresser aux coeurs de ses auditeurs, pour souder des éléments centrifuges et antagonistes en un ensemble compact et bien structuré, animé par des idées jusqu'alors inconnues de l'intellectuel arabe, lors son éloquence était parfaite, du simple fait d'avoir transformé des tribus sauvages en une nation civilisée.(Une déclaration du Dr Steingass, citée dans Dictionary of Islam de T. P. Hughes')
Voulant par la présente tentative... proposer quelque chose qui saurait faire résonner, quoique faiblement, la rhétorique sublime du Coran en arabe, j'ai éprouvé toutes les peines à maîtriser les rythmes complexes et magnifiquement variés qui, outre le message lui-même, permettent au Coran de compter incontestablement parmi les plus grands chefs-d'oeuvre littéraires à la disposition de l'humanité... Cette caractéristique particulière... a été presque totalement ignorée par les traducteurs précédents ; ainsi, on ne s'étonne guère de constater que ce qu'ils ont écrit paraît terne et plat par rapport à un original, somptueusement orné.(Du livre d'Arthur J. Arberry, The Koran Interpreted)
Une analyse purement objective du Coran à la lumière des connaissances modernes, nous amène à reconnaître l'harmonie existant entre eux, ainsi qu'on l'a fait ressortir à maintes reprises. On a du mal à s'imaginer qu'un homme du temps de Mohammed ait pu être l'auteur de telles affirmations, compte tenu du niveau intellectuel de l'époque. De telles considérations expliquent en partie la place exceptionnelle qu'occupe la Révélation Coranique et contraignent le scientifique impartial à admettre son incapacité à fournir une explication fondée uniquement sur la logique matérialiste. (Dr Maurice Bucaille, Ancien chef de la Clinique Chirurgicale, Université de Paris)
... [L]e Coran a invariablement maintenu sa place en tant que point de départ fondamental... Un crédo si précis... si accessible à la compréhension ordinaire, si dénué de toute complexité un merveilleux pouvoir pour se frayer un chemin dans la conscience des hommes. (Edward Montet, Intellectuel français)
... Nous avons un livre absolument unique de par son origine, sa préservation... concernant l'autorité substantielle sur laquelle personne n'a jamais pu émettre un sérieux doute. (Extrait du livre du Rev. Bosworth Smith, Mohammed and Mohammedanism)
... Le Coran est explicite dans le soutien qu'il apporte à la liberté de conscience. (De l'article écrit par James Michener, Islam: The Misunderstood Religion)
L'une des plus belles aspirations de l'Islam est la justice. En lisant le Coran, j'y ai rencontré une doctrine de vie dynamique, non une éthique mystique, mais une éthique apte à mener à bien une vie quotidienne et convenant au monde entier. (D'une conférence sur "The Ideals of Islam", texte cité dans Speeches And Writings de Sarojini Naidu)
Nous ne devons pas être surpris de trouver dans le Coran la source des sciences. Le moindre sujet lié au ciel ou à la terre, à la vie humaine au commerce et à différents échanges commerciaux est abordé et cela a donné lieu à la production de nombreuses monographies traitant de certaines parties du livre saint. Ainsi le Coran a donné lieu à beaucoup de discussions, et indirectement fut responsable du merveilleux développement de toutes les branches de la science dans le monde musulman... Cela n'affecta pas seulement les Arabes mais permit également aux philosophes juifs de modifier leur approche des questions d'ordre métaphysique et religieux en adoptant celle des Arabes. Enfin, il est inutile de discuter plus longuement sur l'apport de la théosophie arabe à la scolastique chrétienne.
Une fois l'activité spirituelle stimulée à l'intérieur des frontières musulmanes, elle ne s'est pas cantonnée uniquement aux spéculations théologiques. Les connaissances acquises à travers les écrits grecs dans les domaines de la philosophie, des mathématiques, de l'astronomie et de la médecine ont conduit à la poursuite de ces recherches. Dans le texte de la révélation, [le Prophète] Mohammad [pbsl] attire constamment l'attention sur le mouvement des corps célestes, comme faisant partie des miracles de Dieu mis au service de l'homme et par conséquent ne devant pas faire l'objet d'une adoration. La façon avec laquelle les musulmans de toutes races ont poursuivi avec succès l'étude de l'astronomie est démontrée par le rôle dominant qu'ils ont joué durant des siècles dans le cadre de cette discipline. Même de nos jours, de nombreux noms arabes attribués à des étoiles et à des termes techniques sont encore en usage. Les astronomes européens de l'époque médiévale étaient les élèves de leurs homologues arabes.
De la même manière, le Coran a donné une impulsion aux études médicales et a recommandé l'observation et l'étude de la Nature en général. (Tiré du livre du Prof. Hartwig Hirschfeld, New Researches into the Composition and Exegesis of the Qur'an)
Spoiler:
Le Coran occupe, de l'aveu général, une position importante parmi les plus grandes écritures religieuses du monde. Bien qu'étant la dernière-née des œuvres inoubliables de ce type de littérature à faire date, aucune d'elles ne la surclasse dans le merveilleux impact qu'elle a su créer sur une multitude d'hommes. Elle a donné naissance à un concept de pensée humaine au caractère complètement nouveau. D'abord elle convertit de nombreuses tribus hétérogènes des déserts de la péninsule arabe en une nation composée de héros, et fonda par la suite les grandes institutions politico-religieuses caractéristiques du monde musulman, et qui constituent l'une des forces majeures avec lesquelles l'Europe et l'Orient doivent aujourd'hui compter. (Extrait de l'introduction de G. Margoliouth au Coran, traduit de l'arabe par le Rev. J. M. Rodwell)
A chaque fois que nous le [le Coran] lisons... , il nous séduit, nous étonne et finit par forcer notre révérence. Son style, en harmonie avec son contenu et son objectif est... grandiose, à jamais sublime. Ainsi ce livre continuera à exercer une forte influence sur les temps à venir. (Citation de Goethe tirée du livre de T. P. Hughes, Dictionary of Islam)
Certains commentaires faits par des scientifiques au sujet du Coran
... Il y a de trop nombreuses exactitudes [dans le Coran] et, comme le Dr Moore, je n'ai aucune difficulté à affirmer que c'est une inspiration divine ou une révélation qui l'a conduit à toutes ces déclarations. (Dr T. V. N. Persaud, Professeur d'Anatomie, de Pédiatrie et de la Santé de l'Enfant, d'Obstétriques, de Gynécologie, et des Sciences de la Reproduction à l'Université de Manitoba)
... Par conséquent, j'estime qu'il n'y a non seulement pas de désaccord entre la génétique et la religion, mais je considère plutôt que la religion peut guider la science en la renforçant par des révélations sur quelques-unes des approches scientifiques traditionnelles. Il existe dans le Coran des explications qui se sont avérées être valides quelques siècles plus tard, et il en ressort que le Coran est bien la parole de Dieu. (Dr Joe Leigh Simpson, Professeur d'Obstétriques et de Gynécologie, Génétique Humaine et Moléculaire)
En ma qualité de scientifique, je suis en mesure de confronter uniquement des éléments spécifiques que je peux voir avec précision. Je peux comprendre l'embryologie et la biologie du développement. Je peux donc comprendre les thèmes qui me sont transmis par le Coran. Comme les exemples que j'ai déjà donnés, si je devais être transposé à cette époque, muni de toutes les connaissances que j'ai acquises à ce jour, je n'aurais pu les décrire comme elles l'ont été ; je ne vois rien qui soit en contradiction avec les principes de l'intervention divine qui englobe ce qu'il [le Prophète Mohammad (pbsl)] devait communiquer. (Dr E. Marshall Johnson, Professeur Emérite d'Anatomie et de Biologie du Développement à l'Universite de Thomas Jefferson)
Relativement peu de versets contiennent une description complète du développement de l'être humain depuis le stade de fusion des gamètes jusqu'à celui de l'organogenèse. Et aucune précision aussi claire et complète sur le développement humain, telle que la classification, la terminologie et la description, n'a été faite auparavant.Dans la plupart, si ce n'est dans tous les exemples, cette description a de l'avance de plusieurs siècles sur la connaissance scientifique classique notamment en ce qui concerne les informations sur les différentes phases du développement de l'être humain depuis le stade embryonnaire jusqu'au développement foetal.(Gerald C. Goeringer, Professeur Agrégé du Département d'Emrbyologie Medicale de l'Université de Georgetown)
Il m'est particulièrement agréable, d'apporter ma part d'explication sur le développement humain contenu dans les versets coraniques. Il est parfaitement clair que ces versets ont bel et bien fait l'objet d'une révélation de Dieu, ou Allah, au [Prophète] Mohammad [pbsl], car une grande partie de ces connaissances n'a vu le jour que des siècles plus tard. Cela est pour moi, la preuve que [le Prophète] Mohammad (pbsl) est bien le Messager de Dieu, ou de Dieu. (Dr Keith L. Moore, Professeur Emérite, Département d'Anatomie et de Biologie Cellulaire, Université de Toronto. Embryologiste et auteur de plusieurs livres médicaux)
... Parce que les phases de l'embryon humain sont complexes, en raison des changements permanents qui ont cours durant son développement, nous proposons qu'un nouveau système de classification utilisant les termes mentionnés dans le Coran et la Sounna soit établi. Ce système est simple, complet et conforme à la connaissance actuelle que nous avons de l'embryologie. (Dr Keith L. Moore, Professeur Emérite, Département d'Anatomie et de Biologie Cellulaire, Université de Toronto)
Commentaires Sur Le Coran Par Differents Savants ...
Les études intensives du Coran et du Hadith de ces quatre dernières années ont révélé un système de classification de l'embryon humain étonnant étantdonné qu'il a été effectué au 7èmesiècle... Les descriptions du Coran ne peuvent être basées sur les connaissances du septième siècle... (Dr Keith L. Moore, Professeur Emérite, Département d'Anatomie et de Biologie Cellulaire, Université de Toronto)
Je pense qu'il est impossible d'envisager qu'il [le Prophète Mohammad (pbsl)] ait eu des connaissances sur les origines communes de la formation de l'Univers, parce que les scientifiques n'ont accédé à ces découvertes qu'au cours de ces dernières années et cela n'a été possible que grâce à des moyens et à des méthodes extrêmement compliqués et techniquement très avancés... A mon avis, une personne qui ignorait tout de la physique nucléaire, il y a 1.400 ans, n'était pas en mesure de découvrir, d'elle-même, que la terre et les cieux avaient les mêmes origines, ni même de cerner d'autres nombreux sujets dont nous avons discutés ici. (Alfred Kroner, Professeur du Département de Géosciences, Université de Mainz, Allemagne, l'un des plus célèbres géologues)
Je crois que si l'on réunit tous ces phénomènes et que l'on rassemble toutes les questions explicitées dans le Coran, sur la Terre, sur sa formation et sur la science de façon générale, on peut, en ce qui concerne l'essentiel, affirmer que ce qui est exposé dans le Coran est exact et qu'on peut maintenant confirmer par des méthodes scientifiques. Un grand nombre de déclarations faites dans le Coran ne pouvaient être prouvées à son époque, mais uniquement avec les moyens disponibles aujourd'hui, et nous sommes maintenant en mesure de vérifier les paroles de Mohammad (pbsl) qui remontent à 1.400 ans. (Alfred Kroner, Professeur du Département de Géosciences, Université de Mainz, Allemagne)
Je dois dire que je suis très impressionné de trouver ces faits scientifiques dans le Coran, et pour les astronomes contemporains que nous sommes, nous n'avons étudié que de très petits fragments de l'Univers. Nous avons concentré nos efforts pour percer une petite partie du mystère. Parce qu'avec les télescopes nous ne pouvons voir qu'une infime partie du ciel sans considérer l'Univers dans son ensemble. En lisant le Coran et en répondant aux questions, je crois pouvoir trouver dans mes recherches sur l'Univers, une voie future. (Professeur Yushidi Kusan, Directeur de l'Observatoire de Tokyo, Japon)
Je peux avec certitude dire que ce qu'on vient de voir est remarquable. Il est possible qu'il n'y ait pas de place à une explication scientifique. Il pourrait y avoir autre chose qui dépasse notre entendement et qui puisse expliqer ces écritures qu'on vient de voir. (Professeur Armstrong, Professeur d'Astronomie travaillant pour la NASA)
Il est difficile d'imaginer que ce type de connaissances existait à l'époque, il y a 1.400 ans. Il pouvait y avoir peut-être quelques idées sans plus, mais cette description avec force détails, est une chose extrêmement difficile à concevoir. C'est pour cela qu'il est certain qu'il ne s'agit pas d'une simple science humaine. Un être humain normal n'était pas en mesure d'expliquer ces phénomènes avec une telle précision. Je pencherais donc plutôt vers l'idée que ces informations sont issues d'une source supra-naturelle. (Prof. Dorja Rao, Professeur de Géologie Marine à l'Université du Roi AbdelAziz, Djedda, Arabie Saoudite)
... Je suis convaincu que tout ce qui a été dit dans le Coran voilà 1.400 ans ne peut être qu'exact et peut être prouvé par les moyens scientifiques... Cela a été communiqué par une révélation de Dieu, ou d'Allah, qui est omniscient.Le moment est venu pour moi de témoigner qu'il n'est d'autre divinité que Dieu et que Mohammad (pbsl) est Son prophète (Prof. Tejatat Tejasen, Chef du Service d'Anatomie et d'Embryologie, de l'Université de Chiang Mai, Chiang Mai, Thaïlande)
Le Coran est apparu il y a quelques siècles, pour confirmer ce que nous avons découvert. Cela indique que le Coran est la parole de Dieu. (Prof. Joly Sumson, Professeur en Gynécologie et Obstétriques)
Il [le Coran] parle du passé, du présent et du futur. J'ignore quel était le niveau culturel qui prévalait au temps de [Prophète] Mohammad [pbsl], j'ignore également à quel niveau scientifique ils étaient parvenus. Si la connaissance scientifique était effectivement faible, c'est-à-dire telle que nous la connaissons, à cette époque ancienne, et que la technologie était absente, alors nul doute que la science que nous lisons aujourd'hui dans le Coran est une lumière de la science divine révélée au [Prophète] Mohammad [pbsl]. Il l'a inspiré au [Prophète] Mohammad [pbsl]. J'ai effectué des recherches relatives à l'histoire des premières civilisations du Moyen-Orient afin de savoir s'il existait des informations d'une aussi grande précision que celle-ci. S'il n'existait pas d'autres informations du même genre que celles du Coran à cette période, cela renforce la croyance que Dieu a envoyé [le Prophète] Mohammad [pbsl] ; Il a transmis à travers lui une grande quantité de Sa vaste science, que nous n'avons découvert que récemment. Et nous aspirons à un dialogue permanent en ce qui concerne la science de la géologie dans le Coran. (Prof. Palmar, l'un des plus grands géologues américains)
Suite à une discussion au sujet de la fonction fixatrice des montagnes :
Je crois que c'est [les informations contenues dans le Coran] très très étrange, presque inconcevable, je crois que si ce que vous dites est vrai, alors le Coran mérite toute notre attention, je suis d'accord avec vous. (Professeur Syawda, scientifique japonais de renommée internationale, spécialiste de la géologie marine)
Une sélection des autres déclarations concernant le Coran
Je ne suis pas un musulman au sens habituel du terme, quoique j'espère être un "musulman" en tant que "quelqu'un qui s'est rendu à Dieu", mais je crois que sont gravés dans le Coran et dans d'autres expressions de la vision islamique, de vastes entrepôts de la divine vérité dont moi et d'autres occidentaux avons encore beaucoup à apprendre, et "l'Islam est certainement un puissant candidat dans l'apport de la structure fondamentale de la religion du futur". (Du livre Islam and Christianity Today)
L'élément essentiel et définitif de ma conversion à l'Islam est le Coran. J'ai commencé à l'étudier avant ma conversion avec un esprit critique d'intellectuel occidental... Certains versets de ce livre, le Coran, révélé il y a plus de 13 siècles, enseignent exactement les mêmes notions que les recherches scientifiques les plus modernes aujourd'hui. Cela m'a décidé à me convertir. (Ali Selman Benoist, France, Docteur en Médecine)
J'ai lu les écritures sacrées de chaque religion, et nulle part je n'ai trouvé ce que j'ai découvert dans l'Islam : la perfection. Le Saint Coran, comparé à n'importe quelle autre Ecriture que j'ai lue est tel le Soleil comparé à une allumette. Je suis persuadé que quiconque lit la parole de Dieu avec un esprit qui n'est pas complètement fermé à la vérité, deviendra musulman. (Saifuddin Dirk Walter Mosig)
La force du Coran vient du fait qu'un musulman ou qui que ce soit d'autre, peut l'ouvrir à n'importe quelle page et tomber sur un message qui a rapport au sens de la vie. (Le très célèbre théologien John Esposito)
J'espère que le moment ne tardera pas où je pourrai réunir tous les hommes sages et instruits du pays, et établir un régime uniforme, fondé sur les principes du Coran,qui sont les seuls vrais et qui peuvent seul faire le bonheur des hommes. (L'Empereur français Napoléon Bonaparte)
TEXTE TROP LONG.
LA PROCHAINE LE TEXTE SERA SUPPRIME LE STAFF
Man Membre Actif
Date d'inscription : 30/10/2010 Messages : 6307 Pays : Ahla baladR E L I G I O N : Christianisme
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Dim 12 Juin 2011, 7:38 pm
:fourire:
Le genre de témoignage bidon en déca de la réalité que les musulmans ont besoin pour subsister dans la foi. C'est là qu'on voit la limite chez les musulmans, ils sont incapable non seulement d'assumer le Coran mais en plus de raisonner dessus sans passer par une tierce personne.
Cesar Membre Actif
Date d'inscription : 09/03/2010 Messages : 7309 Pays : AlgerieR E L I G I O N : Islam
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Mer 15 Juin 2011, 11:14 am
Man a écrit:
:fourire:
Le genre de témoignage bidon en déca de la réalité que les musulmans ont besoin pour subsister dans la foi. C'est là qu'on voit la limite chez les musulmans, ils sont incapable non seulement d'assumer le Coran mais en plus de raisonner dessus sans passer par une tierce personne.
Et le bon témoignage,il est où?Chez toi?Ou dans la Bible qui dit que dieu à crée la terre avant la lumière?
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Jeu 16 Juin 2011, 11:27 pm
@Cesar Les citations anti-Mahomet sont plus nombreuses que celles qui sont pour Mahomet
Voltaire a fait une pièce de théâtre contre lui
Il semble que Mahomet n'a formé son peuple que pour la guerre, la reproduction et la prière Voltaire
Lazare Catholique
Date d'inscription : 28/01/2011 Messages : 264 Pays : FranceR E L I G I O N : Chrétien Non Apostat
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Jeu 16 Juin 2011, 11:49 pm
Cesar a écrit:
Man a écrit:
:fourire:
Le genre de témoignage bidon en déca de la réalité que les musulmans ont besoin pour subsister dans la foi. C'est là qu'on voit la limite chez les musulmans, ils sont incapable non seulement d'assumer le Coran mais en plus de raisonner dessus sans passer par une tierce personne.
Et le bon témoignage,il est où?Chez toi?Ou dans la Bible qui dit que dieu à crée la terre avant la lumière?
Mise à jour : http://blogdelazare.over-blog.com/
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Ven 17 Juin 2011, 2:18 am
Par la barbe du Saint Prophète, c'est bien fait.
Lazare Catholique
Date d'inscription : 28/01/2011 Messages : 264 Pays : FranceR E L I G I O N : Chrétien Non Apostat
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Ven 17 Juin 2011, 3:11 am
yacoub a écrit:
Par la barbe du Saint Prophète, c'est bien fait.
Merci Yacoub.
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Sam 18 Juin 2011, 3:35 am
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Jeu 13 Oct 2011, 11:18 pm
"Le mauvais islam continue à avancer:
Boualem Sansal : «Le mauvais islam continue à avancer»
ENTRETIEN. L’auteur du «Village de l’Allemand» recevra ce 16 octobre, à la Foire de Francfort, le prestigieux prix de la Paix des libraires allemands. Il publie «Rue Darwin», son livre le plus personnel. Il revient ici sur son étrange passé, sur les révolutions arabes, et sur les raisons pour lesquelles l’Algérie n’a pas fait la sienne. Boualem SANSAL en 5 dates: 1949. Naissance en Algérie. 1999. «Le Serment des barbares» obtient le prix du Premier Roman. 2003. Licencié par le ministère de l'Industrie. 2008. Publie «le Village de l'Allemand». 2011. Publie «Rue Darwin», son sixième roman, et remporte le prix de la Paix des libraires allemands. (c)Sipa Boualem SANSAL en 5 dates: 1949. Naissance en Algérie. 1999. «Le Serment des barbares» obtient le prix du Premier Roman. 2003. Licencié par le ministère de l'Industrie. 2008. Publie «le Village de l'Allemand». 2011. Publie «Rue Darwin», son sixième roman, et remporte le prix de la Paix des libraires allemands. (c)Sipa
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La rue Darwin était située à deux pas de celle où vécut Camus, dans un quartier pauvre d'Alger. Boualem Sansal y a passé une partie de son enfance. Il lui restait à découvrir ce qu’il avait fait avant, pour comprendre ce qu’il est devenu après.
C’est le sujet principal de ce beau «récit-roman» où, en fouillant dans les zones sombres de sa mémoire, l’auteur du «Serment des barbares» et du «Village de l’Allemand» se rappelle confusément avoir grandi, loin d’Alger, dans un étonnant phalanstère régi par Djéda, sorte d’impératrice locale qui tirait une partie de sa fortune d’un gigantesque lupanar. S’agit-il d’un de ces aspects positifs de la colonisation dont on nous a tant rabattu les oreilles? Sansal, qui n’aime pas les réponses toutes faites, laisse son lecteur libre de se poser la question.
Une chose est sûre: «Rue Darwin» n’est pas seulement son livre le plus personnel et le plus secret; c’est aussi, comme toujours chez lui, une enquête haute en couleurs sur l’histoire de son pays, depuis la guerre d’indépendance jusqu’à nos jours. Un récit tortueux, parfois déroutant, mais dont on comprend à la fin qu’il était structuré, en profondeur, par cette très belle idée: la vérité est là, sous nos yeux, même quand on ne la voit pas.
Grégoire Leménager
***
BibliObs - Dans quelle mesure ce «récit-roman» est-il autobiographique?
Boualem Sansal - Tous les personnages ont réellement existé. Des images me restaient, de mon enfance dans un village. Mais il n’y avait personne pour répondre à mes questions. Mon père est mort dans un accident de voiture quand j’avais un an. Ma mère était très évasive. Et mes frères et moi n’avons jamais vraiment vécu ensemble. L’un est témoin de Jéhovah à Marseille, je ne l’ai pas vu depuis quarante ans. Le dernier a vécu à Oran, puis est devenu islamiste pendant un temps. Maintenant il s’est éloigné de ça, les ponts se sont rétablis, mais nous avons peu de choses à nous dire. Quand ma mère est morte j’ai senti le besoin de faire un travail de spéléologue, sur une vie que j’ai vécue sans la vivre.
Comment l’un de vos frères est-il devenu témoin de Jéhovah?
Après l’indépendance, les témoins de Jéhovah ont fait un rush sur l’Algérie. Comme toujours dans les pays qui sont déstabilisés par une crise, les sectes se jettent dessus comme un vautour sur une charogne. Ils ont frappé à notre porte, ma mère les a fait rentrer, on a été convertis en 24 heures. C’est comme ça que dans ma famille, on est devenu témoins de Jéhovah pendant quelques mois – j’ai même parfois l’impression que toute l’Algérie l’a été à cette période-là. J’ai suivi ça pendant un mois, un autre frère pendant deux ou trois mois, et un autre, qui avait alors une quinzaine d’années, l’est resté.
Quand Boumediene a fait son coup d’état [en 1965], l’une de ses premières décisions a concerné les témoins de Jéhovah, qui ont dû quitter le pays en 48 heures. Mon frère est parti avec eux. Il a été porté disparu pendant plusieurs semaines. Ma mère l’a cherché partout, dans les hôpitaux, les commissariats. Et puis un jour, coup de téléphone d’une dame qui se nommait Blanche. Elle appelait de Marseille, pour dire de ne pas nous inquiéter. Ma mère s’est précipitée à Marseille, mais elle n’a pas pu ramener mon frère. Il menaçait de se suicider. Nous ne l’avons jamais revu. Il n’acceptait de voir que sa mère, et une fois tous les quatre ou cinq ans. Un jour, après la publication du «Serment des barbares», il a appelé ma mère pour demander mon numéro de téléphone. C’est finalement moi qui l’ai appelé, cinq ou dix minutes; je lui ai proposé de venir le voir, il n’a pas voulu parce que je n’étais pas croyant. Tout est comme ça dans ma famille.
C’est pour cela aussi que ce livre a été très difficile à écrire. Il ne fallait blesser personne, et en même temps rendre compte de mes difficultés. Djéda, par exemple, je ne savais plus très bien qui elle était pour moi quand je me suis mis à écrire: une grand-mère? Elle avait élevé mon père. Mais mon père était-il le fils de sa sœur? Ou celui de sa cousine? Les Algériens disent tous «mon frère» pour présenter un ami. Alors, si on prend ça au premier degré, on est vite perdu... Tout était comme ça, en trompe-l’œil. Quand j’ai écrit ce livre, il fallait que le lecteur comprenne pourquoi tout n’est pas raconté clairement. J’ai une idée présumée de ce qui s’est passé dans mon enfance. Mais il est impossible de savoir exactement la vérité.
Le phalanstère dirigé par Djéda, où se trouvait l’immense bordel que vous décrivez, a cependant bien existé...
Djéda était à la tête d’une tribu, elle possédait tout un quartier d’une ville, les commerces, etc. Elle était vénérée. C’était un chef de tribu, mais aussi un chef religieux. Un peu comme dans la féodalité. A la suite de la première guerre mondiale, elle a monté un bordel. Ca n’est pas des choses qu’on raconte, évidemment, je ne l’ai su que longtemps après. Tout en étant un chef de tribu admirée, respectée, elle avait une activité à part: elle a monté plusieurs bordels à travers l’Algérie, le Maroc, et avait aussi des cinémas, des cabarets, des relations avec le milieu politique.
Pendant la guerre de libération, elle finançait des révolutionnaires. Puis après l’indépendance, elle a fait émigrer une partie de sa tribu à Vichy, à Paris, et ailleurs. A Alger, avec le nouveau pouvoir, une occasion s’est alors présentée de consolider ce qui lui restait de son empire. Ben Bella a lancé une opération de collecte d’or pour consolider le trésor, parce que l’Algérie souveraine refusait catégoriquement que sa nouvelle monnaie, le dinar, soit garantie par le franc. Cette collecte a revêtu deux aspects: l’un était très romantique, avec des petites vieilles qui donnaient une boucle d’oreille au maire de leur village, pour les martyrs de la révolution; de l’autre côté il y avait les notables qui venaient avec un paquet de bijoux, parce qu’ils avaient quelque chose à se faire pardonner.
Djéda est devenue une sorte d’héroïne nationale en donnant trois ou quatre quintaux d’or. Comme elle était immensément riche, elle a comploté pour remettre cet argent à Ben Bella lui-même. Pour le régime, il était important de mettre ça en scène: donc ça s’est fait à la télévision, ça a été filmé... D’autant qu’à ce moment-là, Nasser était de passage à Alger. Ben Bella l’a invité, il était présent quand Djéda lui a remis son or. Et du coup le gouvernement a fermé l’œil sur ses bordels, qui d’ailleurs avaient été fermés car il était hors de question qu’une Algérie arabe et musulmane garde ce genre de séquelles du colonialisme.
Vous rappelez-vous avoir vu cette cérémonie à la télévision?
J’ai un souvenir très net de sa photo dans les journaux, pas de son passage à la télévision parce qu’à l’époque on était trop pauvre pour l’avoir. Et je n’ai jamais osé parler de tout ça à ma mère. Je savais qu’elle éprouvait beaucoup de gêne devant ce sujet. Elle se dérobait. Mes frères et moi trouvions que c’était bizarre, nous imaginions qu’elle n’était peut-être pas notre vraie mère.
On retrouve dans «Rue Darwin» votre volonté d’aller contre «les légendes qui gouvernent les peuples». Votre nostalgie de l’enfance se nourrit-elle aussi d’une sorte de nostalgie de l’époque coloniale?
Je ne suis pas manichéen. Il y a du bon et du mauvais dans tout. Tous les pays du monde ont été colonisés. La France est ce qu’elle est parce qu’il y a eu les Romains, les Anglais.... C’est aussi une histoire d’apports et de renouvellements. Ca enrichit la langue, la culture. En même temps ça détruit beaucoup de choses, bien sûr! Dans la culture algérienne, beaucoup de choses viennent de la culture arabo-musulmane, je considère que certaines sont positives et d’autres négatives. Le fait que le français soit parlé en Algérie, et que cela permette à beaucoup d’Algériens de s’ouvrir sur le monde, de lire en français, je trouve ça positif. Le fait que la France ait détruit beaucoup de ce qu’elle a trouvé sur place, je trouve ça négatif.
Mais globalement, mon expérience m’a fait comprendre qu’on gouverne les peuples en leur racontant une histoire. Quand j’étais gamin, on récitait «Nos ancêtres les Gaulois», on chantait la Marseillaise. Dans le milieu où j’étais, on était contents d’être Français, avec tout ce qu’on peut raconter sur le pays des droits de l’homme, etc. Puis l’indépendance arrive, Ben Bella prononce son premier discours à Oran: «Nous sommes arabes, nous sommes arabes, nous sommes arabes.» Il l’a répété trois fois. A partir de là une nouvelle fiction s’est mise en place, on a construit une supercherie. Les Algériens se sont vus comme venants d’Arabie, en occultant le fait qu’ils sont là depuis 10.000 ans, ont traversé de multiples civilisations, ont été Français et, pour beaucoup, contents de l’être. Le peuple a commencé à s’émanciper de tout ce discours officiel après les émeutes kabyles, quand il s’est mis à revendiquer sa berbérité... Aujourd’hui, tout le monde est assez désorienté.
A l’arrivée, votre livre donne de l’Algérie l’image d’un pays bloqué, paralysé.
A l’indépendance, il n’y a pas eu la libération, la liberté, et encore moins les libertés, mais un système coincé à la cubaine, à la Brejnev, avec un islam qui commençait à régresser... Les premières respirations ont été les mouvements berbères. Ca a mené à octobre 88, avec des révolutions qui ont dégénéré.
On a vu alors que les dictatures sont extrêmement puissantes parce qu’une dictature, ça n’est pas un homme, mais un système très enraciné, et qu’il est très difficile de désherber: même en utilisant les désherbants les plus puissants, trois mois après tout repousse. Le système a chancelé, il a autorisé le multipartisme et la liberté de la presse, mais il a découvert que ça le renforçait: sous prétexte de démocratie, il a donné la parole aux islamistes, ce qui était une façon de neutraliser le plus par le moins.
On en est arrivé à la guerre civile, qui finalement a renforcé le pouvoir: vingt ans après 88, on en est là, dans une situation pire qu’avant. On était dans une dictature vieillissante, qui se délitait progressivement. Désormais on verrouille pour des motifs de sécurité, avec des militaires partout, des policiers partout, les «moukabarats» partout. Les «moukabarat», ce sont les espions au sens arabe du terme: ils sont dans la famille, chez vos voisins... Le mot vient d’un verbe qui veut dire «rapporter».
Les révolutions arabes ont suivi la rédaction de «Rue Darwin». Comment les avez-vous vécues?
On a chassé des dictateurs, mais au fond, chasser un dictateur, c’est assez facile. Le système reste là, avec la religion, les traditions... C’est très profondément ancré, et pas seulement dans une nomenklatura, mais dans toute la société. Elle traverse toute la société, à l’intérieur même des familles. La question se pose donc pour l’étape suivante. Nos pays sont-ils capables d’aller au-delà? De chasser ce qui fait la dictature? De sortir de la féodalité, de l’organisation traditionnelle de la société arabo-musulmane, du culte du chef, de l’omnipotence de la religion qui dicte tout ? Les Coptes vont-ils être gouvernés par l’Islam? Ce n’est pas possible! On ne peut pas leur demander allégeance à l’islam. On va arriver devant la grande forteresse, la vraie: maintenant, est-ce que la femme est l’égale de l’homme?
Tant que les élites musulmanes ne feront pas un travail de modernisation de l’islam, pour le déconnecter de la politique, n’importe qui pourra puiser n’importe quoi dans le Coran. C’est le travail de la société civile. L’Europe s’est affranchie de l’Eglise et de la féodalité grâce à sa société civile, et notamment grâce à sa bourgeoisie. Nous n’avons pas l’équivalent de cette classe dans nos pays. Celle que nous avons vit à l’étranger. Elle vit de manière presque parasitaire: oui, une société civile qui ne produit pas du sens, qui ne vit que sur le sens qu’elle trouve ailleurs, est parasitaire!
Et comment percevez-vous l’attitude de la France, qui a choisi d’aller chasser Kadhafi par la force?
Je crois que c’est très positif. C’est en tout cas très bien perçu par les Algériens. Toutes les analyses sont possibles: c’est pour le pétrole, etc. Mais logiquement tout le monde adhère au principe de base, venir en aide à l’agressé. Et même s’ils pensent par ailleurs les pires choses de Sarkozy, les Algériens sont assez satisfaits que ce soient venu des Français, plutôt que des Américains. Surtout que, contrairement à ce qui s’est passé en Irak, ça semble se passer bien. En voulant tout filmer, les Américains s’étaient tendu un piège. Là, on ne voit rien. Pas de dommages collatéraux. C’est très bien fait, la communication est bien faite. Les seules images qu’on a montrées, c’est la maison de Kadhafi qui a été bombardée, les installations officielles, les casernes, les forteresses; mais pas les installations civiles.
L’étape suivante peut être problématique à cause des divisions internes au CNT qui ne vont pas manquer de surgir avec beaucoup de violence, très vite. On l’a vu en 1962, en Algérie, quand les maquisards sont descendus des maquis et que les opportunistes se sont montrés dans les villes. Les gens misérables qui sont à quinze dans une chambre, ou qui ont passé des journées entières dans le maquis, estiment avoir le droit de s’accaparer une belle maison abandonnée. Ils s’installent, le propriétaire revient, et ça se règle au pistolet.
Pour la Lybie, c’est étonnant, je suis assez optimiste: peut-être parce qu’il y a eu cette intervention étrangère, et que d’une manière ou d’une autre elle va continuer. Je me dis qu’un certain suivi pourra mettre de l’huile dans les rouages, parce qu’il est sûr que les forces centripètes vont jouer. Maintenant, il peut aussi y avoir la tentation de jouer les uns contre les autres. Il va falloir lancer des appels à la raison, mais qui ne soient pas trop moralisants. C’est un jeu très difficile. En Tunisie et en Egypte, ça ne peut pas jouer: l’Occident n’y sera jamais crédible. on ne peut pas oublier l’aide fournie à Ben Ali et Moubarak pendant des décennies. Les peuples vont devoir se débrouiller par eux-mêmes, et c’est évidemment difficile quand les religieux sont les plus puissants et les mieux organisés.
Gardez-vous l’espoir que se produise en Algérie ce qui s’est passé en Tunisie et en Egypte?
Ca s’est passé en 88, il y a eu échec, les gens sont échaudés. Ces vingt dernières années, le pays s’est beaucoup divisé, le pouvoir a joué là-dessus : les Kabyles contre les Arabes, les Berbères contre les Kabyles, les francophones contre les arabophones... Dans les autres pays, la présence d’un dictateur faisait l’unité. Ce n’est pas le cas en Algérie. Il y a 4 ou 5000 émeutes par an. Mais chacune est réprimée de façon très brutale. Le pouvoir fonctionne sur le modèle syrien: il faut taper tout de suite, très fort, pour éviter la contagion, pour éviter que ça sache. Du coup aucune émeute ne ressemble à l’autre, et aucune n’arrive à fédérer un mouvement, même si une autre a lieu dans le même quartier, à deux pâtés de maisons.
On a essayé de marcher, à Alger, en février-mars dernier. Le premier jour on était 2000, il y avait 35000 policiers en face. Le deuxième samedi on était 1000, ils étaient toujours 35000, super armés, super agressifs. Le troisième week-end on était 500, c’était fini. Et puis nous avions presque tous plus de 50 ans: des notables, des intellectuels, des avocats qui ont la soixantaine, les chefs de deux ou trois partis... C’est une grosse différence avec ce qui s’est passé dans les autres pays, où les révolutions ont été menées par des jeunes, et où les vieux ont suivi beaucoup plus tard, pour accompagner leurs enfants. Chez nous ils sont plus proches des jeunes des banlieues françaises, très en colère contre la société, contre tout ce qui représente la réussite.
Par ailleurs, le mouvement a été lancé par des partis comme celui de Said Saadi, le Rassemblement pour la Démocratie et la Culture, qui est un parti laïc: donc du coup c’est mal passé dans une société qui compte beaucoup de musulmans. Et puis, de façon générale, il y a une très grande suspicion à l’égard des partis: on pense qu’ils sont tous manœuvrés par d’honorables correspondants, qu’ils sont manipulés par les services et, au bout du compte, servent les intérêts du pouvoir.
«Le Village de l’Allemand» faisait le procès de l’islamisme. Dans «Rue Darwin», on trouve des pages très dures sur l’islam. Quelle différence, et pourquoi ce glissement?
L’islamisme a une matrice. C’est le monde musulman, pour le dire vite. C’est son lieu de production intellectuelle, matérielle, etc. Or on voit désormais à quoi s’abreuve l’islamisme, dans quelles sourates ils puisent, et comment il s’organise. On arrive à peu près à lutter contre lui et à le contenir sur le plan militaire. Le problème c’est qu’il se redéploie par ailleurs, en profondeur, à travers les écoles, les mosquées, le système financier... Il est donc temps de dénoncer le mauvais islam, celui qui n’a pas été créé par un prophète envoyé de Dieu, mais par les dictatures, les systèmes, les théologiens, les bondieuseries... C’est aux élites musulmanes de le faire, en priorité. Mais il reste beaucoup de tabous, on a peur. Il faut commencer.
Est-ce pour cela que votre personnage dit avoir «la phobie des imams»? Voilà qui ne va pas augmenter votre popularité en Algérie...
Mais enfin a-t-on le droit de s’afficher comme laïc? Comme anticlérical? Sans être particulièrement islamophobe, ou raciste, je n’aime pas le curé, les gens en soutane, les imams. Personne ne m’a appris à parler avec un dieu; je veux parler avec des hommes, qui déblatèrent, que je peux critiquer voire envoyer paître... L’islamisme, c’est assez simple: il est désormais rejeté par à peu près tout le monde, y compris par les musulmans. Mais l’islam, le mauvais islam, lui, continue à avancer.
J’habite dans une ville d’universitaires, Boumerdès: il n’y a que de la société civile là-dedans, que des cracks formés aux Etats-Unis et en France. Avant la guerre civile, en 1988, il y avait une mosquée riquiqui qui pouvait contenir quinze personnes; nous en avons maintenant quinze, qui peuvent contenir 2000 personnes chacune. Tous les vendredis, devant chaque mosquée, je me dis «ce n’est pas possible, j’ai mal au cœur, j’ai mal à la tête»: il y a 300, 400, 500 voitures. En général, on ne sort pas dans les rues pendant que tout le monde est à la prière. Moi je sors. Et qu’est-ce que je vois à la sortie des mosquées? Je les connais tous: 80% des gens y vont par réflexe social, parce que tel ministre fréquente telle mosquée et qu’il faut donc s’y montrer, pour le saluer de loin.
Et puis aller à la mosquée, je veux bien, mais cela doit-il vraiment ressembler à un carnaval? Est-il vraiment nécessaire de se mettre en djellabah pour être un musulman? Ca veut dire que la société civile ne s’est pas autonomisée.
Tu n’es pas obligée de cacher tes formes si tu es une femme. Et si tu es un homme, tu n’es pas obligé de te faire la petite barbe pour éviter les ennuis. Les ennuis font partie de la vie, mon ami! Si vraiment tu ne veux pas d’ennuis, alors va mourir! Il faut affronter les ennuis! Donc de même que beaucoup s’arrogent le droit d’afficher leur islamité, je m’arroge le droit d’être laïc et d’afficher ma mécréance. Je ne veux pas agresser, mais je ne veux pas qu’on m’agresse: fonctionnons sur le droit. C’est l’étape suivante.
Propos recueillis par G.L.
Rue Darwin par Boualem Sansal, Gallimard, 256 p., 17, 50 euro
mick MODERATION
Date d'inscription : 10/11/2010 Messages : 7769 Pays : canadaR E L I G I O N : chrétienne
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Ven 14 Oct 2011, 9:01 am
Bonjour , petite question, dans la première vidéo le dernier petit garcon dit à la fin que Jésus descendra pour tuer l'antichrist, et ce sera la fin, parcontre les musulments sur ce cite nous disent que Jésus n'était qu'un prophète et qu'il est mort, est-ce que je me trompe ?
Sincèrement, Mick, si je suis dans l'erreur, s.v.p. corrigez moi, merci
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Sam 15 Oct 2011, 1:23 am
Manuel de l'islamiste opportuniste par Kamel Daoud
Un - Je ne fais jamais la Révolution. C'est comme pour l'accouchement : c'est la femme qui donne la vie et c'est moi qui donne le nom. J'attends donc que Bouazizi s'immole, que les jeunes d'octobre se fassent descendre, que des facebookistes se fassent tuer à square Tahrir, puis je prends mon trois-pièces (barbe, kamis et haut-parleur) et je sors faire la soirée, revendiquer, dire que c'est moi le Père et le propriétaire et demander la démocratie, des sièges au Parlement, le droit à la parole et un Etat pour moi, selon moi.
Deux - Je ne demande jamais l'application de la chariâa. Pas au début. Je ne suis plus un idiot. Je demande la démocratie puis je lui mets un voile et je l'épouse avec mon sourire. Après, je demande à la démocratie de ne pas sortir seule dans la rue sans un accompagnateur, de ne pas ouvrir les fenêtres quand je ne suis pas là, de ne pas montrer ses cheveux aux étrangers et de m'obéir au doigt et à la paupière. Au début, il ne faut pas faire à la démocratie, il faut la séduire. Après, c'est plus facile : avec une bague à la main, elle a un collier au cou et une chaîne au pied.
Trois - Je ne dis jamais ce que je pense mais ce que pensent les autres. Jusqu'à ce qu'ils n'arrivent plus à penser correctement. C'est alors que j'arrive, je surviens, je me révèle. Je prends la parole, le haut-parleur, la bouche, la langue, le vêtement et la rue et le quartier et le stade. Les gens n'ayant plus où aller, vont aller avec moi.
Quatre - Je respecte la loi et la Constitution jusqu'à ce que j'arrive où je veux arriver. Après, quand je prends le pouvoir ou la rue, c'est le contraire : c'est la loi qui est obligée de me respecter.
Cinq - La recette c'est de répéter partout que « j'y étais » : lors de la bataille de Badr, pendant les évènements d'octobre, pendant la révolution du Jasmin, en Andalousie jusqu'au dernier moment, au sud comme au nord et même dans votre propre lit. Ma stratégie, c'est d'occuper l'espace et d'investir l'intimité : j'ai donc des avis sur le futur de l'Etat, la vie du couple, les ablutions intimes, le fisc et l'amour, l'habit et les ongles. La dictature c'est une personne, l'islamiste c'est un peu personne qui se fait passer pour tout le monde.
Six - Je suis myope quand je vise, sauf quand je vise le Pouvoir : par exemple, quand je parle de Djihad contre l'Occident, je vise l'Occident mais je tue le policier de mon quartier. Quand je veux libérer la Palestine, je pose une bombe dans un café de mon quartier. Quand je dis l'Occident nous attaque, j'attaque les femmes de mon quartier. Quand je parle du Paradis pour tous, je parle surtout du Pouvoir pour moi. Et quand je discute de la liberté, je discute de la mienne, pas celle des autres.
Sept - Le meilleur moyen de prendre la terre, c'est de parler du ciel. Et pendant que les gens cherchent Dieu dans les nuages, moi je cherche les plus belles chaussures à la sortie des mosquées. D'ailleurs, je le dis partout : faites la prière en groupe : pendant que vous faites face à Dieu, moi, je suis dans le dos de tout le monde. La meilleure technique c'est dire qu'il y a une vie (meilleure) après la mort. Celle des autres. Toujours.
Huit - Cacher que «le printemps arabe» est une saison où le peuple plante des fleurs que vous tentez de cueillir en disant que les fleurs sont meilleures au paradis.
Aimé .
Date d'inscription : 12/11/2010 Messages : 382 Pays : MadagascarR E L I G I O N : brahmine spirituel (BKWSU)
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Mar 15 Nov 2011, 9:49 pm
Bonjour,
Vous parlez d'enfer comme s'il n'y a pas assez de souffrances sur terre et pas assez d'amour en Dieu. "Chacun récolte ce qu'il a semé" et pas ailleurs.
je termine par ce poème. Amicalement
LA MORT, C'EST CELA
"Je suis debout au bord de la plage Un voilier passe dans la brise du matin Et part vers l´océan, il est la beauté .... il est la vie ... Je le regarde jusqu'à´à ce qu'il disparaisse à l´horizon Quelqu'un, à mon côté, dit : "il est parti" Parti ? Vers où ? Parti de mon regard c´est tout ! Son mât est toujours aussi haut, Sa coque a toujours la force de porter sa charge humaine Sa disparition totale de ma vue est en moi, pas en lui ... Et juste au moment où quelqu'un, près de moi, dit : "il est parti" Il en est d´autres qui, le voyant poindre à l´horizon Et venir vers eux, s´exclament avec joie : "le voilà" C´est cela la mort."
William Blake
ederlezi .
Date d'inscription : 20/10/2011 Messages : 299 Pays : franceR E L I G I O N : musulmane
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Mar 15 Nov 2011, 10:34 pm
bonjour,
malgré tous vos efforts -et dieu sait qu'ils sont nombreux-
personne ne peut empêcher l'islam de progresser,
le comble pour une secte !
l'auteur du poste a comparé le très noble prophète MOUHAMMED à un gourou, mais il a oublié de préciser que le gourou est mort, MORT
ce n'est pas mouhammed qui oblige les gens à croire à l'islam
c'est une force ....SUPERIEURE
ne vous en déplaise.
Aimé .
Date d'inscription : 12/11/2010 Messages : 382 Pays : MadagascarR E L I G I O N : brahmine spirituel (BKWSU)
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Mar 15 Nov 2011, 11:51 pm
Bonjour,
Je ne suis pas contre la progression de l'Islam, d'ailleurs, je n'ai pas ce moyen. "Ce qui est écrit s'accomplira." Comme je l'ai toujours dit , chacun est libre de ses croyances. Ce que je partage est une autre façon de voir, de croire. Croire que Dieu est Amour, que Dieu aime tous Ses enfants quelque soient leurs croyances et que c'est la loi qui punit.
Donc croire que Dieu a des ennemis et qu'Il a crée un enfer éternel et brûlant pour eux parce que ces derniers appartiennent à une religion ou à autre religion est de la diffamation de Dieu.
Par ailleurs, La haine, l'avidité, l'ego ..etc. .sont nos ennemis alors que Dieu est au-delà de tout cela.
Amicalement
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Ven 06 Jan 2012, 7:49 am
Espagne: des musulmans portent plainte contre un professeur pour avoir parlé de jambon!
SPIRITANGEL Co-Admin
Date d'inscription : 10/01/2010 Messages : 10765 Pays : MONTREAL QUEBEC CANADAR E L I G I O N : CROYANT DI
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Ven 06 Jan 2012, 7:59 am
---- REPLIQUE :
yacoub a écrit:
Espagne: des musulmans portent plainte contre un professeur pour avoir parlé de jambon!
1 - MOI J'AI VU PIRE QUE CA
2 - J'AI VU UN MUSULMAN FRAPPER
3 - UN HOMME JUSTE PARCE QU'IL
4 - A PORTE SON REGARD SUR LE
5 - FOULARD DE SA FEMME ET CE
6 - SANS DIRE UN MOT .
7 - C'EST CA LE FANATISME EN ISLAM
8 - ILS LE SONT JUSQU'AU BOUT DES DOIGTS
9 - POURTANT NOUS VIVONS AU CANADA
10 - EN NON EN PAYS CHARIATIQUE .
11 - C'EST RENDU TRES GRAVE L'ISLAM .
12 - ET SUR CE SITE LES MUSULMANS
13 - DISENT QUE C'EST NOUS QUI SOMMES HAINEUX
14 - C'EST A N'Y RIEN COMPRENDRE
LOGIQUEMENT : SPIRITANGEL
gilmig Membre Actif
Date d'inscription : 23/09/2008 Messages : 5161 Pays : FranceR E L I G I O N : VÉRITÉ* AUTHENTICITÉ
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Ven 06 Jan 2012, 10:35 pm
ederlezi a écrit:
bonjour,
malgré tous vos efforts -et dieu sait qu'ils sont nombreux-
personne ne peut empêcher l'islam de progresser,
le comble pour une secte !
l'auteur du poste a comparé le très noble prophète MOUHAMMED à un gourou, mais il a oublié de préciser que le gourou est mort, MORT
ce n'est pas mouhammed qui oblige les gens à croire à l'islam
c'est une force ....SUPERIEURE
ne vous en déplaise.
Vous dites:
- " personne ne peut empêcher l'islam de progresser,"
Vous oubliez juste que ce n'est pas l'Islam (ou 'l'islam") qui doit progresser mais l'Homme ! LES hommes et les femmes, donc...les musulmans aussi !
Là où il n'y a pas progression et transformation il y a stagnation et avec la stagnation, la...putréfaction la décomposition et la déliquescence ( Dégénérescence, décrépitude) !
L'auteur de ce message est actuellement banni du forum - Voir le message
BenJoseph Co-Admin
Date d'inscription : 08/01/2009 Messages : 16084 Pays : Ile de FranceR E L I G I O N : Chrétienne
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Sam 07 Jan 2012, 6:50 am
yacoub a écrit:
Espagne: des musulmans portent plainte contre un professeur pour avoir parlé de jambon!
Bientôt ils vont se plaindre parce qu'ils passent (passage obligé) devant une boucherie qui vend du porc non halal
Fallopia nouveau membre
Date d'inscription : 24/11/2011 Messages : 88 Pays : FranceR E L I G I O N : Chrétienne
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Sam 07 Jan 2012, 9:56 pm
Tu blagues mais nous n'en sommes plus trés loin, notre continent subit une islamisation trés rapide et trés dangereuse, la Suisse a prit les devants depuis longtemps en interdisant pas mal de choses dans le pays, ce fût une trés bonne chose je dois l'admettre. Ici, une mosquée va être construite bientôt; financement magouilleux grâce à de l'argent sale issu de la drogue blanchi via les machands de Kébabs et compagnie, trés bonne couverture pour eux.
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Dim 08 Jan 2012, 5:36 am
Fallopia a écrit:
Tu blagues mais nous n'en sommes plus trés loin, notre continent subit une islamisation trés rapide et trés dangereuse, la Suisse a prit les devants depuis longtemps en interdisant pas mal de choses dans le pays, ce fût une trés bonne chose je dois l'admettre. Ici, une mosquée va être construite bientôt; financement magouilleux grâce à de l'argent sale issu de la drogue blanchi via les machands de Kébabs et compagnie, trés bonne couverture pour eux.
Mais un « bon musulman », je veux dire un musulman appliquant l’islam, est jihadiste. Après, il y a des jihads violents (les terroristes), et les jihads plus sournois (Tariq Ramadan, UOIF), le but final étant – et c’est également un commandement coranique – de convertir à l’idéologie mahométane tous les êtres humains, de gré ou de force.
Spoiler:
Islam, Islam fanatique, islam radical, islamisme, extrémisme islamique, intégrisme, etc.…
Telles sont les différentes expressions pour qualifier la religion de Mahomet et ses variantes idéologiques dans les médias. Et on peut multiplier les variations : extrémisme islamiste, fanatisme musulman, extrémisme radical, intégrisme extrémiste, islam intégriste, etc.
D’autres parlent également d’islam politique, d’islamisme conquérant, d’islam prosélyte, d’islam rétrograde, et que sais-je encore. Si on essayait d’y voir plus clair ?
Mes vieilles encyclopédies déclinent, quant à elles, deux entrées sur le sujet :
1. le mot « islam » (avec une minuscule quand on parle de la religion et une majuscule quand on parle de la civilisation, ce que peu de rédacteurs connaissent ! l’islam est au christianisme ce que l’Islam est à la Chrétienté…) ;
2. les mots « islamisme », « mahométisme » et « mahométanisme », qui sont des synonymes de « islam ».
Le mot « islamisme » n’avait pas du tout le même sens que de nos jours. Islam vient de la racine arabe S-L-M et signifie « soumission ». Cette racine S-L-M a donné également le mot « salam », (le « shalom » des hébreux), qui veut dire « paix ». On en dérive aussi le mot « musulman », qui désigne un adepte de l’islam.
On utilisait aussi le mot « mahométan », qui fait hurler les musulmans, et je me demande pourquoi, parce qu’il est bien plus exact sémantiquement. En effet, « musulman » veut dire « soumis » (sous-entendu à Allah), et l’islam n’est pas la seule religion où les adeptes se soumettent à une ou plusieurs divinités.
D’ailleurs les adeptes de Mahomet jouent sur l’ambiguïté de cette définition pour prétendre qu’Abraham, Moïse ou Jésus étaient « musulmans », sous prétexte qu’ils étaient soumis à leur Dieu, mais c’est idiot au sens commun du mot musulman, puisqu’ils vécurent bien avant Mahomet, qui a fondé l’islam.
De même, des falsificateurs sémantiques, de Nicolas Sarkozy à Tariq Ramadan en passant par Mouloud Aounit, appellent « musulman » tout « né musulman », toute personne de « culture musulmane », de « famille musulmane », niant ainsi à la plupart des Maghrébins le droit élémentaire à changer de religion (ce qu’interdit d’ailleurs l’islam sous peine de mort).
Ce fascisme linguistique et religieux que n’aurait pas dédaigné Savonarole s’appelle tout simplement du totalitarisme idéologique, et là encore les musulmans jouent sur les mots, et en particulier leurs représentants autoproclamés, pour se prévaloir abusivement de 5 ou 6 millions de « fidèles » en France, et d’1,3 milliard dans le monde. (Au Maroc, par exemple, vous êtes compté comme musulman si vous n’êtes ni chrétien ni juif, et cette étiquette affecte tous vos enfants, vos petits-enfants, etc.). C’est aussi stupide que si Nicolas, Tariq ou Mouloud appelaient (presque) tous les occidentaux des chrétiens !
Le mot « mahométan » me semble bien plus juste, comme je l’ai dit. Il désigne un adepte de la religion fondée par Mahomet, tout comme un chrétien est un adepte de la religion fondée par Jésus (le Christ) ou un bouddhiste un adepte de la religion fondée par Bouddha.
On essaie donc de trouver des variantes au mot « islam », et surtout aux « musulmans » : islamistes, intégristes, fondamentalistes, extrémistes, radicaux, etc. Et même des sous-variantes : islamistes modérés (hum !), musulmans intégristes, etc.
Ce qui permet de faire des analogies avec par exemple les « catholiques intégristes » ou les « juifs orthodoxes » (avec une minuscule à « juif » dans ce cas).
Quelle idiotie ! Non seulement il n’y a pas des « christianistes » ou « juifistes » comparables aux « islamistes », mais en plus les adeptes de Monseigneur Lefebvre ou les « juifs à papillotes » de Mea Shearim n’appellent pas à convertir la terre entière, à égorger des mécréants ou à se faire sauter les entrailles, et de plus ils posent assez rarement des bombes.
D’ailleurs, à propos des juifs, la plupart des gens confondent sionisme et orthodoxie religieuse, alors que les Juifs (avec la majuscule cette fois) sionistes ne sont pas majoritairement des piliers de synagogues, loin de là. Dans les kibboutz, on vénérait plutôt Marx et Proudhon que Yahvé, et je n’ai jamais vu Ariel Sharon avec des bouts de ficelles à la ceinture. Mais là encore, les journalistes essaient de nous faire croire à une « guerre de religion » au Proche-Orient, alors que ce n’est pas du tout le cas, du moins pour l’un des camps, et même si Israël est loin d’être un pays laïque.
Au moins, ces digressions montrent que sous des vocables erronés ou mal définis, on peut manipuler les esprits et même exercer un terrorisme intellectuel, tout comme on peut le faire avec des anathèmes comme « sioniste » ou « islamophobe ».
On distingue « islam » de ses variantes « extrémistes » : islam radical, islam politique, islamisme, fondamentalisme, salafisme (au sens propre du terme : les Frères Musulmans et leurs disciples, de Ramadan à l’UOIF, sont aussi « salafistes » dans leur doctrine que les Bouziane et Benchellali). Mais qu’est-ce que l’islam ?
L’islam est la religion fondée par Mahomet. Selon les musulmans, Allah lui-même aurait révélé à Mahomet le Coran par l’intermédiaire de l’archange Gabriel. Le Coran est donc, pour les musulmans, la parole d’Allah, leur dieu, lui-même. Là encore le Coran lui-même raconte des absurdités quand il fait dire à Allah : « J’ai donné la Thora aux juifs, l’Evangile aux chrétiens et le Coran à vous, les meilleurs ».
En effet, les chrétiens savent bien que les Evangiles racontent la vie de Jésus et ont été écrits par des hommes (les quatre évangélistes Jean, Luc, Marc et Mathieu) bien après la mort de Jésus, et non par le Dieu des chrétiens lui-même. En quelque sorte, si on pouvait faire une comparaison, le Verbe Incarné du Dieu chrétien serait Jésus, tandis que le Verbe Incarné d’Allah serait le Coran.
Et cette différence est fondamentale. En effet, les chrétiens peuvent « contextualiser » les Evangiles, en relativiser le sens, et même admettre des contradictions (qu’ils nomment pudiquement « mystères »). Quant aux juifs, c’est encore pire ! Mettez deux rabbins en face de trois versets bibliques, et ils passeront la journée à vous trouver mille sens différents.
Ce qui a l’énorme avantage d’une part de les occuper, et d’autre part d’éviter tout dogmatisme stupide, et de faire évoluer l’interprétation avec la modernité. De même chez les chrétiens, les prêtres vous expliquent aujourd’hui davantage le sens métaphorique des passages d’Evangile que leur sens « littéraliste » (comme dirait Tariq Ramadan dans certaines de ses « postures »).
Il en est tout autrement avec le Coran. Comme c’est la parole même d’Allah selon les musulmans, toute interprétation due à une « contextualisation » du rédacteur est nulle et non avenue. Le Coran lui-même, dans l’une de ses admirables tautologies, le dit lui-même ! Et il est interdit d’en changer un iota ! Mais il y a une autre différence fondamentale d’avec les textes sacrés des juifs et des chrétiens.
Le Coran, c’est un « manuel », une sorte de « user’s guide » sans aucune spiritualité originale. De nombreux islamologues pensent d’ailleurs que le Coran aurait été une sorte de « commentaire » de la Thora aux premiers temps de Mahomet, d’où ses références nombreuses au livre sacré des Juifs (voir l’islam ou le plagiat du judaïsme par Djinn Al Nader). Le Coran contient donc des recommandations très pratiques pour plaire à Allah, ainsi que de nombreuses interdictions souvent d’origine juive (ainsi l’usage du porc).
Le Coran : un conglomérat hétéroclite de récits et de mythes d’autres religions
Le Coran consiste ainsi en une conglomération hétéroclite de récits et de mythes d’autres religions qui s’étaient répandues dans l’Arabie préislamique (judaïsme, zoroastrisme, christianisme, paganisme…). D’ailleurs le programme des cours dispensés dans les écoles coraniques (par exemple à l’institut de formation des imams de l’UOIF dans le Morvan), la plupart des matières traitent de jurisprudence (« fiqh » et « charia ») et pas du tout de théologie, d’exégèse, de morale, etc.
En conséquence, l’islam est une religion composée de règles à suivre. Ceux qui les suivent vont au Paradis (en première classe s’ils se tuent au combat contre les mécréants), et les autres vont en Enfer, pour brûler dans d’atroces souffrances que le Coran se complaît à détailler avec un sadisme et une cruauté inimaginables.
Les non musulmans vont, quant à eux, systématiquement en Enfer, même s’ils ont eu une conduite exemplaire : si vous n’avez pas respecté les cinq piliers, et en particulier la profession de foi (« chahada ») et les cinq prières quotidiennes (« salate »), vous avez beau avoir donné tous vos sous aux pauvres et fait, en bon idiot utile, toutes les manifs du MRAP et des collectifs pro-voile, ça ne compte pas. Sauf pour Abraham, Moïse, Jésus, et compagnie, bien sûr, réputés être musulmans avant la lettre, comme nous l’avons vu plus haut.
Les règles coraniques ne laissent guère de place à l’interprétation
Ces règles coraniques ne laissent guère place à l’interprétation, puisqu’elles sont très terre-à-terre et pragmatiques. On peut d’ailleurs penser que Mahomet ou ses proches les ont inventées au fur et à mesure de leurs besoins, pour administrer leurs troupes, motiver leurs combattants, partager le butin (sourate ainsi que les femmes captives. S’ajoute au Coran la Sunna, c’est-à-dire des centaines de « hadith » qui parlent de la vie quotidienne de Mahomet. Et tout ça nous donne la « charia ».
Ainsi l’âge légal du mariage en Iran est fixé à 9 ans ( !) en référence à la petite Aïsha que Mahomet avait mis dans son lit alors qu’il atteignait la cinquantaine… Je ne vais pas entrer plus en détails dans la jurisprudence islamique. Disons seulement qu’elle est bétonnée et surtout intangible par sa nature et ses fondements.
D’ailleurs, vous pouvez aisément déstabiliser n’importe quel musulman prétendument « réformiste » ou « réformateur » à la sauce Tariq Ramadan qui prétend « relire », « ré-interpréter », « contextualiser » le Coran : demandez-lui comment il faut interpréter les versets qui disent qu’on peut prendre quatre épouses (mais pas quatre maris), qu’on peut enfermer et battre sa femme si « on craint » qu’elle ne désobéisse (sourate 4), ou qu’il faut exterminer les mécréants : je n’ai jamais entendu aucun Ramadan (qui se contente de moratoires sur la lapidation pour esquiver les questions) ni aucun Bencheikh, ni aucun Boubakeur répondre à ce genre de question.
Tout au plus ils changeront de conversation ou vous expliqueront pour la centième fois qu’il faut replacer ces versets dans leur contexte. Depuis 14 siècles, d’autres ont essayés, Averroès et Ar Razi en premier. On a brûlé leur bouquin, quand ce n’est pas les intellectuels eux-mêmes qu’on brûlait.
Une petite anecdote révélatrice de cette impossibilité à sortir des ornières coraniques. Lors d’une émission de télévision, le pamphlétaire Jack-Alain Léger houspillait le vénérable Dalil Boubakeur, lui citant un verset sexiste du Coran. Le recteur de la Mosquée de Paris esquivait, et, excédé par l’insistance du trublion islamophobe, finit par lâcher un « mais je me fous de ce qu’il y a écrit dans le Coran » qui restera dans le bêtisier du CFCM. Il en a fait d’autres dans le genre, et pourrait rivaliser avec Fouad Alaoui. Par exemple, lors de l’affaire Houllebecq, Dalil Boubakeur s’est époumoné devant micros et caméras avec un sophisme mémorable (je cite de mémoire) : « J’apprends que les musulmans sont des cons. Nous sommes un milliard de musulman sur Terre. Donc nous serions un milliard de cons ? »
Remettre en cause un seul des commandements coraniques, qui ne laissent guère de place à l’interprétation, c’est remettre en cause un commandement divin, donc remettre en cause le Coran, qui est le fondement même de l’islam, et par conséquent l’islam lui-même.
En effet, si tel verset était « faux », alors lesquels seraient vrais et lesquels seraient faux ? Tout s’écroulerait comme un château de cartes, et c’est d’ailleurs le thème des redoutables « Versets sataniques » de Salman Rushdie : ce n’est pas seulement parce qu’il blasphémait qu’on l’a pourchassé de fatwas, mais c’est qu’il appuyait sur le talon d’Achille. Et comme il n’y a pas de « support spirituel » ou de possibilité d’interprétation métaphorique (comme dans les Evangiles) qui apportent autre chose au disciple que cet ensemble de croyances terre-à-terre et binaires (« hallal » / « haram »), cela sonnerait le glas de l’islam.
De plus, une réforme de l’islam ne peut aller que dans le sens du durcissement. En effet, comparons encore avec le christianisme. Quand on étudie les différentes « réformes » chrétiennes, depuis « la » Réforme de Luther et Calvin jusqu’à Vatican II, on constate que, outre des considérations politiques et sociales, celles-ci se sont opérées par un retour aux Ecritures, et aux commandements fondamentaux du christianisme. En gros : « tu aimeras ton prochain comme toi-même ».
Appliquez la même chose à l’islam : c’est la multiplication assurée des Ben Laden ! Par exemple, savez-vous que le mot « amour » et ses dérivés (aimer, etc.) au sens « amour entre êtres humains » ou « amour entre homme et femme » (et non amour d’Allah ou du bétail) n’apparaît pas une seule fois dans les 114 sourates du Coran ?
Les divisions entre islam, islamisme, etc., sont relativement artificielles
Tout cela pour dire que les divisions entre islam, islamisme, etc., sont relativement artificielles. D’abord il y a un continuum entre les pratiques et les dogmes parmi les musulmans : on peut lapider avec des cailloux plus ou moins gros, ou éviter de battre sa femme sur la figure, comme le conseille l’imam de Vénissieux. On peut respecter plus ou moins tel commandement. Mais à vrai dire, on ne peut pas respecter l’islam quand on vit dans un pays occidental. Ne serait-ce que le jeûne du Ramadan, qui est une véritable torture (et la plupart des musulmans trichent), et les cinq prières quotidiennes à heures précises et variables selon les saisons. D’ailleurs le jeu des islamistes (UOIF et Cie) est bien de dire : nous avons le droit de pratiquer nos absurdités, donc il faut tout aménager pour nous : horaires, piscine, etc.
Après, est-ce que les gens croient qu’ils iront en enfer s’ils ne respectent pas telle ou telle règle ? Je n’en sais rien, mais mon expérience du monde musulman m’a appris à résumer l’islam en deux qualificatifs : hypocrisie et violence. Allah reconnaîtra les siens. Je crois aussi que les leaders musulmans sont surtout des malins qui, suivant l’exemple de Mahomet, ont su comment ils peuvent manipuler les foules en utilisant cette idéologie.
Je ne crois pas que les dirigeants des pays arabes et maghrébins, par exemple, croient un seul instant à toutes ces débilités. Ou alors, ils sont masochistes étant donnée leur conduite personnelle bien peu orthodoxe ! Je suis aussi convaincu qu’un Al Qadawari ou un Thomas Milcent (« Docteur Abdallah ») sont également des manipulateurs. L’islam est aussi un bon refuge pour tous les fachos refoulés, du taliban de banlieue à Mohamed Latrèche. Il peut cependant y avoir des gens « sincères » et naïfs, profitant néanmoins plus ou moins de la situation, et je pense même que l’imam de Vénissieux était dans ce cas.
Donc le bon musulman, ce n’est peut-être pas Ben Laden (il exagère un peu et à mon avis on devrait pouvoir trouver un ou deux versets contre lui), mais c’est au moins Bouziane et Benchellali qui respectent bien plus le Coran que les « innovateurs » à la Bencheikh ou que votre voisin de palier. Les autres se contentent de faire plus ou moins semblant, et aussi… de respecter la loi républicaine, soit parce qu’ils ont tout de même un peu de morale qui leur dit que tuer les mécréants ce n’est quand même pas très correct, soit par simple peur du gendarme.
Alors islam ou islamisme ? Disons, comme le dit d’ailleurs très bien des gens comme Fethi Benslama quand il ne se perd pas dans une vaine interprétation psychanalytique du Coran (et je ne parle pas de Malek Chebel qui confond Coran et Mille et Une Nuits), « ce n’est pas une question de différence de nature, mais de degré ». Certains poussent la « logique » jusqu’à faire sauter des statues de Bouddha millénaires ou des gratte-ciel, d’autres se contentent de terroriser les beurettes de banlieue et de caillasser la police en hurlant « vive Ben Laden ! » D’ailleurs Benslama récuse complètement le terme « islamisme », et je suis tenté de le suivre. Le problème est qu’il n’a pas trouvé d’autres mots pour le remplacer.
L’islam est une idéologie et non une religion
En résumé l’islam c’est une idéologie et non une religion, fabriquée par un (ou sans doute plusieurs) bédouins chefs de guerre pour leurs besoins militaires, politiques et familiaux (et sans doute sur une période qui dépasse le vivant de Mahomet). Il y a des versets dans le Coran qui sont révélés juste au bon moment pour « arranger le coup » à Mahomet, par exemple pour prendre la femme de son propre fils Zaib contre toute morale, même à l’époque.
Si le calendrier lunaire musulman se décale par rapport au cycle des saisons à cause de l’absence des « mois surnuméraires » qu’on retrouve dans tous les calendriers lunaires du monde, c’est parce qu’un jour ça a arrangé Mahomet de faire supprimer un mois surnuméraire – pendant lequel on devait respecter la trêve des combats – afin de finir une bataille en cours.
L’islam est une idéologie totalitaire, débile, primaire et violente, et non une « religion » au sens commun du terme. Pour citer Jack-Alain Léger dans son livre « Tartuffe fait Ramadan » quand il répond à l’accusation stupide d’islamophobie, l’islam est « athéophobe, éleuthériophobe, apostasiophobe, gynophobe, homophobe, judéophobe, hétérophobe, exogamophobe, érotophobe, hédonophobe, eidolophobe, oenophobe, et j’en passe ».
Pour faire plus simple, Michel Houellebecq dit : « la religion la plus con, c’est quand même l’islam ». Cependant, cette assertion lapidaire (et non lapidatoire) oublie un aspect capital de l’islam : il n’est pas seulement bête, mais en plus méchant.
Un « musulman modéré », c’est soit un apostat qui n’ose pas le dire, soit un croyant qui ne respecte pas complètement sa religion (et tant mieux pour lui et nous), soit un mixte des deux. Et ils sont légions, ces « nés musulmans » qui ne le sont plus que par tradition, par suivisme, ou tout simplement par peur du qu’en dira-t-on, avec une croyance en Allah plus ou moins bricolée.
Selon des auteurs comme Abdelhak Serhane ou Karim Labidi, ils vivent dans une espèce de schizophrénie plus ou moins enfouie, entre islam et modernité. Il n’y a que trois portes de sorties : l’apostasie d’un côté, et le jihad de l’autre. La troisième est l’hôpital psychiatrique, où curieusement on rencontre de plus en plus de jeunes musulmanes. Etrange, non ?
Mais un « bon musulman », je veux dire un musulman appliquant l’islam, est jihadiste. Après, il y a des jihads violents (les terroristes), et les jihads plus sournois (Tariq Ramadan, UOIF), le but final étant – et c’est également un commandement coranique – de convertir à l’idéologie mahométane tous les êtres humains, de gré ou de force.
Mes livres d’Histoire des religions prévoyaient la mort lente de l’islam au milieu du siècle passé. Mais pour des raisons conjoncturelles trop longues à détailler, il a eu un regain depuis une trentaine d’année (principalement pour des raisons purement démographiques), et évidemment des chefs de guerre ont relancé les différentes formes de jihad partout dans le monde, puisque le jihad est fondamental dans l’islam.
Mais je crois que l’islam tombera face à la modernité, c’est inéluctable.
Par contre, je pense que le baroud d’honneur sera très sanglant, surtout en Europe, ventre mou de l’Occident, et en particulier en France. Mais c’est une autre histoire !
yacoub MODERATION
Date d'inscription : 27/07/2010 Messages : 7006 Pays : franceR E L I G I O N : agnostique
Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Jeu 19 Jan 2012, 3:32 am
Sur deux mois, les crimes de l'abominable secte protégée par des idiots utiles.
HOSANNA Co-Admin
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Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Jeu 19 Jan 2012, 1:02 pm
Antifaschismes,quels qu'ils soient!
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Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Jeu 19 Jan 2012, 1:15 pm
yacoub a écrit:
patou13 a écrit:
OUI , il faut insulté ces musulmans , je suis sur que de cette maniere il comprendron, apres on se regardera
Non, les musulmans sont des victimes de Mahomet et du coran. Il faut leur ouvrir les yeux. Pas les insulter.
HOSANNA Co-Admin
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Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ? Dim 22 Jan 2012, 12:06 pm
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Sujet: Re: L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ?
L'islam la plus grande secte au monde ? Mahomet, un gourou ?