Rappel du premier message :

@ DoutePieux;

Salam;

voilà, après une longue hésitation et suite à tes encouragements, j'ouvre un fil pour discuter autour d'un sujet épineux ! le titre déjà ça donne la chair de poule LoL, je me réfugie dans la section Islam, pour discuter calmement et en toute objectivité.
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les juifs

pourquoi les juifs ne croient pas en JESUS ?

d'après les juifs, le Messie devrait accomplir les prophéties messianiques, à savoir :

1- Construire le Troisième Temple (Ézéchiel 37:26-28).

2. Ramener tous les Juifs en Terre d'Israël (Esaïe 43:5-6)

C. Introduire une ère de paix dans le monde, et mettra fin à toute haine, oppression, souffrance et maladie. Comme il est dit: «Un peuple ne tirera plus l'épée contre un autre peuple, et on n'apprendra plus l’art des combats. » (Isaïe 2:4)

D. Etendre la connaissance universelle du DIEU d'Israël, qui unifiera l'humanité comme une seule entité. Comme il est dit: «L’Eternel sera Roi sur toute la terre – en ce jour L’Eternel sera Un et unique sera Son nom" (Zacharie 14:9).

http://www.aish.fr/print/?contentID=158387155§ion=/israel/monde_juif

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le sionisme;

le but principal du sionisme c'est d'établir un état purement "juif".

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sionisme
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pour commencer :

ce qui est contradictoire, c'est que le sionisme "un courant purement laïque" se base sur le fait que "le Messie est déjà venu" le premier siècle, ce qui est "une croyance religieuse".

au plaisir de te lire "Doute"

Chroniques de Tabari page 517

Luc et matthieu

Chronique de tabari edt bien joli ca...il les sorts d ou ses sources tabari ?a ce jeu la je peux sortir une genealogie de JESUS et dire "ca vient des chroniques de jean jacques"

Cet ouvrage, rédigé en arabe, fut traduit en persan vers 963 (soit 40 ans après la mort de l'auteur) par le savant samanide Abou-Ali Mohammed Belami, fils de Muhammed, fils d'Abd-Allah, d'après les manuscrits de la Bibliothèque du Roi. C'est une version « abrégée », où les références, répétitions, et citations des sources ont été supprimées.

Réchauffé de chez ré ré chauffé de l'avant veille...

On ne sait même pas quelles sont les sources par lesquelles le mr a écrit ses trucs...

titibxl a écrit:

Luc et matthieu

et pkoi ils sont pas d'accord la dessus
et pkoi vous nous engeuler lorsque on dit que votre livre n'est pas preci???

ketabd a écrit:

titibxl a écrit:

Luc et matthieu

et pkoi ils sont pas d'accord la dessus
et pkoi vous nous engeuler lorsque on dit que votre livre n'est pas preci???

Ils sont d'accord seulement ils ne décrivent pas la même branche généalogique (tu sais un être humain en a 2 de par son père et sa mère )

grace2dieu a écrit:

ketabd a écrit:

et pkoi ils sont pas d'accord la dessus
et pkoi vous nous engeuler lorsque on dit que votre livre n'est pas preci???

Ils sont d'accord seulement ils ne décrivent pas la même branche généalogique (tu sais un être humain en a 2 de par son père et sa mère )

belle tentative de conciliation

grace2dieu a écrit:

Cet ouvrage, rédigé en arabe, fut traduit en persan vers 963 (soit 40 ans après la mort de l'auteur) par le savant samanide Abou-Ali Mohammed Belami, fils de Muhammed, fils d'Abd-Allah, d'après les manuscrits de la Bibliothèque du Roi. C'est une version « abrégée », où les références, répétitions, et citations des sources ont été supprimées.

Réchauffé de chez ré ré chauffé de l'avant veille...

On ne sait même pas quelles sont les sources par lesquelles le mr a écrit ses trucs...

Ils veulent faire que les hébreux . c'est tout dire !

ketabd a écrit:

grace2dieu a écrit:

Ils sont d'accord seulement ils ne décrivent pas la même branche généalogique (tu sais un être humain en a 2 de par son père et sa mère )

belle tentative de conciliation

Donc toi tu n'as qu'une seule branche dans ton arbre généalogique ? Tes parents sont donc frères....

ketabd a écrit:

grace2dieu a écrit:

Ils sont d'accord seulement ils ne décrivent pas la même branche généalogique (tu sais un être humain en a 2 de par son père et sa mère )

belle tentative de conciliation

Y a que les "bêta" lambda (savantissimes imams) qui nous sortent toujours les mêmes griefs sans se donner la peine de lire et sonder les Écritures:

Ésaïe 34:16 Consultez (cherchez) le livre de l`Éternel, et lisez! Aucun d`eux ne fera défaut, Ni l`un ni l`autre ne manqueront; Car sa bouche l`a ordonné. C`est son esprit qui les rassemblera.

Il est certainement vrai que vous n'aimez pas chercher dans les Écritures

sonouche a écrit:

Salam;

Jusqu'à la seconde moitié du 18e siècle, les termes « Juifs » et « adhérents au judaïsme » étaient pratiquement synonyme.
Cette identité religieuse n'était pas absolue. Ainsi, selon Daniel Boyarin, une interrogation sur la distinction entre la notion de Juif et de judaïsme existait dans l’Antiquité après Platon chez les Juifs hellénisés d'Alexandrie. De même, la halakha (loi religieuse juive orthodoxe) n'impose pas la pratique religieuse pour appartenir au peuple juif, puisque pour elle, même un Juif converti à une autre religion reste Juif.
Cependant, ces idées restaient marginales ou théoriques. Le « peuple d'Israël » étant censé avoir été voulu par Dieu pour recevoir Ses préceptes, séparer les deux notions n'avait guère de sens dans des sociétés traditionnelles très marquées par la religion. Les formes prises par cette religion à travers l'histoire et l'espace ont cependant été diversifiées (judaïsme orthodoxe, karaïsme, Falashas).
À compter du 18e siècle, apparaît en Occident le mouvement des Lumières. Celui-ci, sous l'influence des philosophes français, prétend fonder une pensée politique et sociale dégagée du religieux (mais pas forcément anti-religieuse). Dès la fin du 18e siècle apparaît le versant juif de ce mouvement, la Haskala. Prônant des valeurs profanes, elle suscite de nouvelles interrogations, chez les Juifs et chez les non-Juifs, sur les éventuelles définitions non-religieuses du fait juif.

Les deux sens du mot « Juif » ou « juif » sont déjà perçus au XVIIIe siècle puisque l'Encyclopédie de D'Alembert et Diderot définit le mot "juif" (avec un j minuscule) comme « sectateur de la religion judaïque ». "Juif" avec un J majuscule, désigne une personne qui fait parti du peuple juif.

Tout "juif" est un "Juif" mais tout "Juif" n’est pas "juif".
Donc un Juif peut être musulman ou bouddhiste ?!?
--
http://fr.wikipedia.org/wiki/Juifs

Salam;

qui peut m'expliquer pourquoi d'un coté c'est permis à un juif d'être athée mais dès qu'il se convertit à une religion autre que le judaïsme il se coupe du peuple élu. alors qu'on lit en haut qu'un Juif reste Juif tant que ses parents sont Juifs ?

grace2dieu a écrit:

ketabd a écrit:

Quel honte, elohim vous dit noir sur blanc qu il va multiplier ismail à l infini, et vous êtes entrain de vous amusez à dire il voulais dire "une infinie fini" ou bien ratati ou bien tatata
Je vois bien pkoi elohim à rompu l aliance avec vous.....

Votre problème est que vous refusez de croire qu on est une grande nation promise par dieu car cela contrarie vos croyances....

Tu es incapable de justifier ta compréhension de ce texte. Tu ne sais même pas ce que veut dire multiplier à l'infini....

Salam;

se multiplier à l'infini c'est se multiplier sans fin.......

grace2dieu a écrit:

ketabd a écrit:

belle tentative de conciliation

V
Donc toi tu n'as qu'une seule branche dans ton arbre généalogique ? Tes parents sont donc frères....

Et depuis quand JESUS a un arbre généalogique de son père!!!!!!!!!!!

sonouche a écrit:

grace2dieu a écrit:

Tu es incapable de justifier ta compréhension de ce texte. Tu ne sais même pas ce que veut dire multiplier à l'infini....

Salam;

se multiplier à l'infini c'est se multiplier sans fin.......

Ce qui dérange grace2dieu c'est que la Bible promet aux ismailites une vie éternelle ce que peut être le paradis, contrariée elle comme aveugle devant cette lumière éblouissante....dans son ivresse rationnelle elle prétend même que dieu a un arbre généalogique!!!!!!!!!

Il ya le cote par joseph car ne voit on pas les jiifs nomme JESUS le fils de joseph ?ol est dit "JESUS que l on pensait fils de joseph"voila la seconde branche de l arbre genealogique

ketabd a écrit:

titibxl a écrit:

Luc et matthieu

et pkoi ils sont pas d'accord la dessus
et pkoi vous nous engeuler lorsque on dit que votre livre n'est pas preci???

C'est vrai tu as raison...
la généalogie de luc et Matthieu est différente car ayant écrit les événement avec leurs ressentis-ce sont des humains avant tout!-chacun veut montrer la messianité du Christ comme il l'aperçoit...Luc est grec et Matthieu Juif

Le livre n'e doit pas être précis car c'est pas ça l'important...L'important c'est l'Esprit du Livre c'est ce qui fait que nous croyons pas l'Ecriture en elle-même

sonouche a écrit:

sonouche a écrit:

Salam;

Jusqu'à la seconde moitié du 18e siècle, les termes « Juifs » et « adhérents au judaïsme » étaient pratiquement synonyme.
Cette identité religieuse n'était pas absolue. Ainsi, selon Daniel Boyarin, une interrogation sur la distinction entre la notion de Juif et de judaïsme existait dans l’Antiquité après Platon chez les Juifs hellénisés d'Alexandrie. De même, la halakha (loi religieuse juive orthodoxe) n'impose pas la pratique religieuse pour appartenir au peuple juif, puisque pour elle, même un Juif converti à une autre religion reste Juif.
Cependant, ces idées restaient marginales ou théoriques. Le « peuple d'Israël » étant censé avoir été voulu par Dieu pour recevoir Ses préceptes, séparer les deux notions n'avait guère de sens dans des sociétés traditionnelles très marquées par la religion. Les formes prises par cette religion à travers l'histoire et l'espace ont cependant été diversifiées (judaïsme orthodoxe, karaïsme, Falashas).
À compter du 18e siècle, apparaît en Occident le mouvement des Lumières. Celui-ci, sous l'influence des philosophes français, prétend fonder une pensée politique et sociale dégagée du religieux (mais pas forcément anti-religieuse). Dès la fin du 18e siècle apparaît le versant juif de ce mouvement, la Haskala. Prônant des valeurs profanes, elle suscite de nouvelles interrogations, chez les Juifs et chez les non-Juifs, sur les éventuelles définitions non-religieuses du fait juif.

Les deux sens du mot « Juif » ou « juif » sont déjà perçus au XVIIIe siècle puisque l'Encyclopédie de D'Alembert et Diderot définit le mot "juif" (avec un j minuscule) comme « sectateur de la religion judaïque ». "Juif" avec un J majuscule, désigne une personne qui fait parti du peuple juif.

Tout "juif" est un "Juif" mais tout "Juif" n’est pas "juif".
Donc un Juif peut être musulman ou bouddhiste ?!?
--
http://fr.wikipedia.org/wiki/Juifs

Salam;

qui peut m'expliquer pourquoi d'un coté c'est permis à un juif d'être athée mais dès qu'il se convertit à une religion autre que le judaïsme il se coupe du peuple élu. alors qu'on lit en haut qu'un Juif reste Juif tant que ses parents sont Juifs ?

Il est vrai qu’un juif est censé pratiquer la torah mais il est faux de penser que s’il ne le fait pas il n’est pas juif. ‘Hazal ont bien dit : « Israël, af al pi ché’hata, Israël hou - Un juif, bien qu’il ait fauté, reste juif » (même s’il se convertit à une autre religion).
Effectivement, la réalité d’un juif ne se réfère pas à sa pratique mais tire sa source de sa néchama. Il est vrai que pour être en symbiose avec sa néchama, il doit pratiquer mais il ne perd pas pour autant son statut de juif s’il ne le fait pas.
Que D. fasse que son peuple Le reconnaisse et commence à vivre en accord avec sa néchama pour le bien de l’humanité, Amen.


C'est un thème, non pas exclusivement religieux, mais aussi identitaire. On a souvent tendance à penser qu'être juif, ce n'est que pratiquer des preceptes religieux vieux de milliers d'années. En réalité, être juif, c'est beaucoup plus vaste qu'une "simple" religion, c'est aussi toute une culture, une philosophie, une langue, un humour, une cuisine, et j'en passe. Aujourd'hui, la société fait en sorte d'uniformiser les individus en un seul modèle unique, universel d'homme. L'identité, l'éducation que l'on reçoit, ce que l'on appelle le déterminisme sociale si je puis dire, cela fait la différence dès notre naissance, entre un juif et un non juif. Si être juif, ce n'est que pratiquer une religion, cela veut dire qu'un juif athée, ne croyant pas en D', n'ayant pas inculquer ces preceptes ancestraux religieux, serait il pas considéré comme juif ? Allons même encore plus loins dans le raisonnement, et là est mon idée. Un enfant, avant de savoir ce qu'il veut faire plus tard, doit aller a l'école pour se construire mais aussi s'éduquer. Ne pensez vous pas que les jeunes, au lieu de les inciter à pratiquer exclusivement la religion dès le début, auraient besoin avant tout d'une construction sur l'être juif ? Chabbat shalom

P.S.:Un Juif est un Israélite mais tout Israélite n'est pas juif....

sonouche a écrit:

grace2dieu a écrit:

Tu es incapable de justifier ta compréhension de ce texte. Tu ne sais même pas ce que veut dire multiplier à l'infini....

Salam;

se multiplier à l'infini c'est se multiplier sans fin.......

Sans fin c'est un nombre ou une durée ? Vous ne savez pas ce que ce verset veut dire...

Shabbat Shalom cher Mister Be,

Merci pour cette explication qui rejoint une pensée récente sur comment je pouvais définir un Juif. Ton exemple du Juif athée renvoie à ma réflexion.
Le Judaïsme est une religion tellement large, comprenant "tous" (j'imagine) les domaines de la vie quotidienne et spirituelle. Ainsi le Juif athée, donc incroyant mais toujours de culture juive, aura plus ou moins gardé des us et coutumes hérités de la Tradition juive.
Pour toi, les différences entre ashkénaze, séfarade ou yiddish sont dûes aux interactions avec les peuples et les environnements singuliers qu'ils ont rencontré/habités (donc du pur culturel) ou s'inscrivent-elles (désormais) plus profondément dans la vision et l'interprétation de la Tradition ?

Dans la tradition juive, le fait d’être élu ne conduit pas à l’arrogance, mais plutôt à l’humilité. S'il s’agissait d’un roi de chair et de sang qui nous avait choisi pour être son peuple, nous deviendrions élitistes. Plus un pouvoir humain fera de favoritisme envers un sujet, plus celui-ci en développera de l’arrogance. Plus il sera proche du roi, plus il aura de l’importance et donc plus le respect qui lui est dû sera grand à ses yeux.

Mais nous avons été choisis par D.ieu. Et plus on est proche de D.ieu, plus on a conscience d’être insignifiant. Alors que le fait d’être copain avec un leader humain gonfle quelqu’un d’orgueil, cultiver une relation avec D.ieu fait éclater la bulle d’égoïsme de l’homme. Ceci parce que D.ieu est un Être infini et toutes les illusions liées à la suffisance et l’amour-propre s’évanouissent quand on se tient devant l’Infini. Être proche de D.ieu exige introspection et travail sur soi. Non orgueil et prétention.

C’est là l’idée du Peuple Élu : une nation d’individus à qui l’opportunité fut donnée de ressentir la proximité de D.ieu, d’entendre Sa vérité et de relayer Son message au reste du monde. Tous s’accordent à dire que ce sont les Juifs qui ont introduit dans le monde le monothéisme ainsi qu’un système de valeurs éthiques et morales qui ont façonné la vision moderne de la vie et de la finalité de celle-ci. Et c’est la survivance du Judaïsme jusqu’à ce jour qui atteste de la pertinence éternelle d’un tel système.

Dire que ceci est ethnocentrique est absurde pour la bonne raison que n’importe qui peut se convertir au Judaïsme – et ainsi devenir élu – quelles que soient ses origines ethniques. L’élection du Peuple Juif n’est pas un gène, c’est une disposition de l’âme. Quiconque souhaite l’adopter y est invité, à condition d’être prêt à ce que sa bulle éclate.

Ainsi, une personne arrogante ne reflète pas cette élection. Ce qui exprime réellement le fait d’être élu, c’est le degré d’humilité. L'humilité est telle qu’elle ne vous permet même pas d’accepter que vous êtes élus. Alors que la plupart des autres religions trouvent parfaitement naturel de clamer leur supériorité, nous, les Juifs, sommes toujours prêts à tout pour affirmer que nous n’avons rien de spécial. En voilà vraiment un Peuple Élu !

Ce peuple se distingue donc par sa manière de concevoir les choses,de s'habiller, de manger....Le Talmud (Chabbat 31a) raconte l'anecdote d'un païen grec qui vint voir Hillel en réclamant : “Maître, convertis mois dans le temps que je tiens sur une jambe.”

Sur quoi Hillel lui répond :”Aime ton prochain comme toi même et le reste (de la Torah) c'est du commentaire.”
Ceci ne rejoint-il pas un autre grand personnage que nous connaissons tous?

Mister Be a écrit:

Dans la tradition juive, le fait d’être élu ne conduit pas à l’arrogance, mais plutôt à l’humilité. S'il s’agissait d’un roi de chair et de sang qui nous avait choisi pour être son peuple, nous deviendrions élitistes. Plus un pouvoir humain fera de favoritisme envers un sujet, plus celui-ci en développera de l’arrogance. Plus il sera proche du roi, plus il aura de l’importance et donc plus le respect qui lui est dû sera grand à ses yeux.

Mais nous avons été choisis par D.ieu. Et plus on est proche de D.ieu, plus on a conscience d’être insignifiant. Alors que le fait d’être copain avec un leader humain gonfle quelqu’un d’orgueil, cultiver une relation avec D.ieu fait éclater la bulle d’égoïsme de l’homme. Ceci parce que D.ieu est un Être infini et toutes les illusions liées à la suffisance et l’amour-propre s’évanouissent quand on se tient devant l’Infini. Être proche de D.ieu exige introspection et travail sur soi. Non orgueil et prétention.

C’est là l’idée du Peuple Élu : une nation d’individus à qui l’opportunité fut donnée de ressentir la proximité de D.ieu, d’entendre Sa vérité et de relayer Son message au reste du monde. Tous s’accordent à dire que ce sont les Juifs qui ont introduit dans le monde le monothéisme ainsi qu’un système de valeurs éthiques et morales qui ont façonné la vision moderne de la vie et de la finalité de celle-ci. Et c’est la survivance du Judaïsme jusqu’à ce jour qui atteste de la pertinence éternelle d’un tel système.

Dire que ceci est ethnocentrique est absurde pour la bonne raison que n’importe qui peut se convertir au Judaïsme – et ainsi devenir élu – quelles que soient ses origines ethniques. L’élection du Peuple Juif n’est pas un gène, c’est une disposition de l’âme. Quiconque souhaite l’adopter y est invité, à condition d’être prêt à ce que sa bulle éclate.

Ainsi, une personne arrogante ne reflète pas cette élection. Ce qui exprime réellement le fait d’être élu, c’est le degré d’humilité. L'humilité est telle qu’elle ne vous permet même pas d’accepter que vous êtes élus. Alors que la plupart des autres religions trouvent parfaitement naturel de clamer leur supériorité, nous, les Juifs, sommes toujours prêts à tout pour affirmer que nous n’avons rien de spécial. En voilà vraiment un Peuple Élu !

Ce peuple se distingue donc par sa manière de concevoir les choses,de s'habiller, de manger....Le Talmud (Chabbat 31a) raconte l'anecdote d'un païen grec qui vint voir Hillel en réclamant : “Maître, convertis mois dans le temps que je tiens sur une jambe.”

Sur quoi Hillel lui répond :”Aime ton prochain comme toi même et le reste (de la Torah) c'est du commentaire.”
Ceci ne rejoint-il pas un autre grand personnage que nous connaissons tous?

Amen Mister Be !

Au-delà des clichés et de l'animosité de certains, il est difficile (au début) de saisir cette dimension à la fois universel du Judaïsme et le particularisme du Peuple choisi.
Il est pourtant vital de comprendre ce rapport pour comprendre le coeur du Judaïsme dans son identité et son espérance.
Ce choix divin sur ce peuple peut pour une poignée d'intégristes être une source de fierté ethnocentriste, ces insensés ne se rendent peut-être pas compte de la tâche, de la responsabilité d'individu et de groupe (j'allais dire nation on va éviter dans ce contexte ) dont la finalité se trouve dans le Deutéronome 4:6-8.
Un destin à la fois grandiose et tragique, fruit d'une mission ô combien difficile à porter, un métronome pour les Nations.

Mister Be a écrit:

Dans la tradition juive, le fait d’être élu ne conduit pas à l’arrogance, mais plutôt à l’humilité. S'il s’agissait d’un roi de chair et de sang qui nous avait choisi pour être son peuple, nous deviendrions élitistes. Plus un pouvoir humain fera de favoritisme envers un sujet, plus celui-ci en développera de l’arrogance. Plus il sera proche du roi, plus il aura de l’importance et donc plus le respect qui lui est dû sera grand à ses yeux.

Mais nous avons été choisis par D.ieu. Et plus on est proche de D.ieu, plus on a conscience d’être insignifiant. Alors que le fait d’être copain avec un leader humain gonfle quelqu’un d’orgueil, cultiver une relation avec D.ieu fait éclater la bulle d’égoïsme de l’homme. Ceci parce que D.ieu est un Être infini et toutes les illusions liées à la suffisance et l’amour-propre s’évanouissent quand on se tient devant l’Infini. Être proche de D.ieu exige introspection et travail sur soi. Non orgueil et prétention.

C’est là l’idée du Peuple Élu : une nation d’individus à qui l’opportunité fut donnée de ressentir la proximité de D.ieu, d’entendre Sa vérité et de relayer Son message au reste du monde. Tous s’accordent à dire que ce sont les Juifs qui ont introduit dans le monde le monothéisme ainsi qu’un système de valeurs éthiques et morales qui ont façonné la vision moderne de la vie et de la finalité de celle-ci. Et c’est la survivance du Judaïsme jusqu’à ce jour qui atteste de la pertinence éternelle d’un tel système.

Dire que ceci est ethnocentrique est absurde pour la bonne raison que n’importe qui peut se convertir au Judaïsme – et ainsi devenir élu – quelles que soient ses origines ethniques. L’élection du Peuple Juif n’est pas un gène, c’est une disposition de l’âme. Quiconque souhaite l’adopter y est invité, à condition d’être prêt à ce que sa bulle éclate.

Ainsi, une personne arrogante ne reflète pas cette élection. Ce qui exprime réellement le fait d’être élu, c’est le degré d’humilité. L'humilité est telle qu’elle ne vous permet même pas d’accepter que vous êtes élus. Alors que la plupart des autres religions trouvent parfaitement naturel de clamer leur supériorité, nous, les Juifs, sommes toujours prêts à tout pour affirmer que nous n’avons rien de spécial. En voilà vraiment un Peuple Élu !

Ce peuple se distingue donc par sa manière de concevoir les choses,de s'habiller, de manger....Le Talmud (Chabbat 31a) raconte l'anecdote d'un païen grec qui vint voir Hillel en réclamant : “Maître, convertis mois dans le temps que je tiens sur une jambe.”

Sur quoi Hillel lui répond :”Aime ton prochain comme toi même et le reste (de la Torah) c'est du commentaire.”
Ceci ne rejoint-il pas un autre grand personnage que nous connaissons tous?

Bravo cher Mister Be,

DoutePieux a écrit:

Amen Mister Be !

Au-delà des clichés et de l'animosité de certains, il est difficile (au début) de saisir cette dimension à la fois universel du Judaïsme et le particularisme du Peuple choisi.
Il est pourtant vital de comprendre ce rapport pour comprendre le coeur du Judaïsme dans son identité et son espérance.
Ce choix divin sur ce peuple peut pour une poignée d'intégristes être une source de fierté ethnocentriste, ces insensés ne se rendent peut-être pas compte de la tâche, de la responsabilité d'individu et de groupe (j'allais dire nation on va éviter dans ce contexte ) dont la finalité se trouve dans le Deutéronome 4:6-8.
Un destin à la fois grandiose et tragique, fruit d'une mission ô combien difficile à porter, un métronome pour les Nations.

La dimension universelle est pourtant incontestable mais pas sans ce particularisme que ce soit au niveau vestimentaire, langue,pensées,rites,nourritures... qui prend sens en se démarquant des nations...Le Christ affirmera que le Salut vient des Juifs
C'est la raison pour laquelle je ai ressenti cette mission plus que comme une malédiction que comme une bénédiction car combien mon envie de ressembler aux gens des nations est grande
oui le juif appartient à un peuple MIS à part ou élu...
Malgré son désir de ressembler aux peuples des nations,il ne peut l'être de par sa vocation prophétique
Il est un peuple qui est le témoin de la révélation et ça doit se marquer dans tout ce qu'il fait et est(vestimentaire,nourriture,pensées...)
Ce n'est en rien un privilège...

Mister Be a écrit:

DoutePieux a écrit:

Amen Mister Be !

Au-delà des clichés et de l'animosité de certains, il est difficile (au début) de saisir cette dimension à la fois universel du Judaïsme et le particularisme du Peuple choisi.
Il est pourtant vital de comprendre ce rapport pour comprendre le coeur du Judaïsme dans son identité et son espérance.
Ce choix divin sur ce peuple peut pour une poignée d'intégristes être une source de fierté ethnocentriste, ces insensés ne se rendent peut-être pas compte de la tâche, de la responsabilité d'individu et de groupe (j'allais dire nation on va éviter dans ce contexte ) dont la finalité se trouve dans le Deutéronome 4:6-8.
Un destin à la fois grandiose et tragique, fruit d'une mission ô combien difficile à porter, un métronome pour les Nations.

La dimension universelle est pourtant incontestable mais pas sans ce particularisme que ce soit au niveau vestimentaire, langue,pensées,rites,nourritures... qui prend sens en se démarquant des nations...Le Christ affirmera que le Salut vient des Juifs
C'est la raison pour laquelle je ai ressenti cette mission plus que comme une malédiction que comme une bénédiction car combien mon envie de ressembler aux gens des nations est grande
oui le juif appartient à un peuple MIS à part ou élu...
Malgré son désir de ressembler aux peuples des nations,il ne peut l'être de par sa vocation prophétique
Il est un peuple qui est le témoin de la révélation et ça doit se marquer dans tout ce qu'il fait et est(vestimentaire,nourriture,pensées...)
Ce n'est en rien un privilège...

mais un fardeau....

Si c'est un privilège dans le sens réel du mot (loi particulière d'un statut particulier pour une personne ou un groupe physiques ou une personne morale) mais qui ne confère pas d'avantages/ de privilèges (dans le sens populaire dû aux privilèges de l'Ancien Régime par la classe noble) sur l'autre, de passe droit ou je ne sais quoi.
Un fardeau, certes, mais qui sera l'issue d'une récompense.

DoutePieux a écrit:

Si c'est un privilège dans le sens réel du mot (loi particulière d'un statut particulier pour une personne ou un groupe physiques ou une personne morale) mais qui ne confère pas d'avantages/ de privilèges (dans le sens populaire dû aux privilèges de l'Ancien Régime par la classe noble) sur l'autre, de passe droit ou je ne sais quoi.
Un fardeau, certes, mais qui sera l'issue d'une récompense.

La récompense le sera qu'après la réalisation prophétique de Zacharie 12:10

Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem Un esprit de grâce et de supplication, Et ils tourneront les regards vers moi, celui qu`ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, Ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né.

et ainsi toutes les bénédictions se réaliseront comme annoncées par Moïse, celles de Jérémie, Esaïe, Joël, etc. ...

Tout à fait c'est une issue

DoutePieux a écrit:

Si c'est un privilège dans le sens réel du mot (loi particulière d'un statut particulier pour une personne ou un groupe physiques ou une personne morale) mais qui ne confère pas d'avantages/ de privilèges (dans le sens populaire dû aux privilèges de l'Ancien Régime par la classe noble) sur l'autre, de passe droit ou je ne sais quoi.
Un fardeau, certes, mais qui sera l'issue d'une récompense.

BenJoseph a écrit:

DoutePieux a écrit:

Si c'est un privilège dans le sens réel du mot (loi particulière d'un statut particulier pour une personne ou un groupe physiques ou une personne morale) mais qui ne confère pas d'avantages/ de privilèges (dans le sens populaire dû aux privilèges de l'Ancien Régime par la classe noble) sur l'autre, de passe droit ou je ne sais quoi.
Un fardeau, certes, mais qui sera l'issue d'une récompense.

La récompense le sera qu'après la réalisation prophétique de Zacharie 12:10

Alors je répandrai sur la maison de David et sur les habitants de Jérusalem Un esprit de grâce et de supplication, Et ils tourneront les regards vers moi, celui qu`ils ont percé. Ils pleureront sur lui comme on pleure sur un fils unique, Ils pleureront amèrement sur lui comme on pleure sur un premier-né.

et ainsi toutes les bénédictions se réaliseront comme annoncées par Moïse, celles de Jérémie, Esaïe, Joël, etc. ...

grace2dieu a écrit:

sonouche a écrit:

Salam;

se multiplier à l'infini c'est se multiplier sans fin.......

Sans fin c'est un nombre ou une durée ? Vous ne savez pas ce que ce verset veut dire...

Salam;

:fourire:
se multiplier sans fin : c'est un nombre qui ne cesse pas de se multiplier dans l'espace et dans le "temps" = un nombre illimité qui se multiplie pendant une durée indéterminée

Mister Be a écrit:

Dans la tradition juive, le fait d’être élu ne conduit pas à l’arrogance, mais plutôt à l’humilité. S'il s’agissait d’un roi de chair et de sang qui nous avait choisi pour être son peuple, nous deviendrions élitistes. Plus un pouvoir humain fera de favoritisme envers un sujet, plus celui-ci en développera de l’arrogance. Plus il sera proche du roi, plus il aura de l’importance et donc plus le respect qui lui est dû sera grand à ses yeux.

Mais nous avons été choisis par D.ieu. Et plus on est proche de D.ieu, plus on a conscience d’être insignifiant. Alors que le fait d’être copain avec un leader humain gonfle quelqu’un d’orgueil, cultiver une relation avec D.ieu fait éclater la bulle d’égoïsme de l’homme. Ceci parce que D.ieu est un Être infini et toutes les illusions liées à la suffisance et l’amour-propre s’évanouissent quand on se tient devant l’Infini. Être proche de D.ieu exige introspection et travail sur soi. Non orgueil et prétention.

C’est là l’idée du Peuple Élu : une nation d’individus à qui l’opportunité fut donnée de ressentir la proximité de D.ieu, d’entendre Sa vérité et de relayer Son message au reste du monde. Tous s’accordent à dire que ce sont les Juifs qui ont introduit dans le monde le monothéisme ainsi qu’un système de valeurs éthiques et morales qui ont façonné la vision moderne de la vie et de la finalité de celle-ci. Et c’est la survivance du Judaïsme jusqu’à ce jour qui atteste de la pertinence éternelle d’un tel système.

Dire que ceci est ethnocentrique est absurde pour la bonne raison que n’importe qui peut se convertir au Judaïsme – et ainsi devenir élu – quelles que soient ses origines ethniques. L’élection du Peuple Juif n’est pas un gène, c’est une disposition de l’âme. Quiconque souhaite l’adopter y est invité, à condition d’être prêt à ce que sa bulle éclate.

Ainsi, une personne arrogante ne reflète pas cette élection. Ce qui exprime réellement le fait d’être élu, c’est le degré d’humilité. L'humilité est telle qu’elle ne vous permet même pas d’accepter que vous êtes élus. Alors que la plupart des autres religions trouvent parfaitement naturel de clamer leur supériorité, nous, les Juifs, sommes toujours prêts à tout pour affirmer que nous n’avons rien de spécial. En voilà vraiment un Peuple Élu !

Ce peuple se distingue donc par sa manière de concevoir les choses,de s'habiller, de manger....Le Talmud (Chabbat 31a) raconte l'anecdote d'un païen grec qui vint voir Hillel en réclamant : “Maître, convertis mois dans le temps que je tiens sur une jambe.”

Sur quoi Hillel lui répond :”Aime ton prochain comme toi même et le reste (de la Torah) c'est du commentaire.”
Ceci ne rejoint-il pas un autre grand personnage que nous connaissons tous?

Salam;

si je comprends bien, pour appartenir au peuple élu, il suffit juste de maîtriser l’hébreu et être de tradition juive (cuisine, musique, façon de s’habiller…..), la religion et l’appartenance raciale n’ont donc pas d’importance… c’est ça ? excusez-moi, mais là ma tête commence à tourner. si l’appartenance raciale n’a pas d’importance, ceci dit qu'il existeraient des Juifs qui ne sont pas des descendants Abrahamique dont les ancêtres n'ont jamais connu la terre sainte de Yorshalim ni "d'exil". mais vous dites que le peuple élu avait été exilé. qui a été exilé ? c'est absurde.

Sans rancune.

Salam;

DoutePieux a écrit:

Concernant le sionisme il faut faire attention avec l'idéologie post-moderne de Herzl motivé par les conjonctures judéophobes exacerbées du 19ème siècle avec une exégèse ancienne sur le retour d'Exil du Peuple Choisi.

dois-je comprendre qu'il existe deux significations différentes du mot "sionisme" ?

Les juifs , c'est le peuple d alliance, nul ne peut être juif que descendant de Jacob, jusqu à la venu de christ qui a généralisé la religion au monde, JESUS a délivré ce peuple du fardeau d être le peuple témoin , c est le messie, mais eux ont voulu s approprier dieu, alors ils ont nié JESUS, enfaite y a plus religion juive, y'a que les descendants juifs.....
Les juifs messianiques, c est un terme qu est faux, s ils reconnaissent JESUS ils sont tout simplement chretiens, peut être sont les plus chrétiens parmi les chrétiens car reconnaissent les traditions orales juives....